Un barbecue bizarre
Récit érotique écrit par MissNana [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-07-2021 dans la catégorie Plus on est
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Un barbecue bizarre
Nous sommes l’été dernier, le 15 août. Nous avons invité une vingtaine d’amis pour un barbecue à la maison, c’est un petit rituel pour nous depuis une dizaine d’années maintenant. J’ai dressé une magnifique table dans le pré derrière la maison. De ton côté tu t’affaires au barbecue. Je porte une robe fuchsia légère. Le décolleté cache-coeur est plutôt plongeant et une ceinture marque bien ma taille. Je la porte avec des cordes vraiment hautes qui m’obligent à me cambrer. Depuis cet hiver j’ai pris quelques kilos, mes hanches sont plus larges, mes fesses plus généreuses et mes seins plus lourds. Je suis devenue une femme avec des formes pulpeuses et un bon gros cul. Mais j’assume. Et surtout je me suis aperçu que les hommes adorent ça et j’en suis ravie.
Il fait un temps magnifique. Le barbecue se passe divinement bien. Tu bois des bières avec les mecs en grillant la viande et moi je papote avec mes copines en apportant les salades et les accompagnements. Y a un peu de vent et ça fait du bien vu le cagnard de ce mois d’août exceptionnel. Les bouteilles de rosé se vident à la vitesse grand V et les langues se délient. Les anecdotes coquines fusent. Tout le monde parle fort et rigole pour un rien.
Je rapporte à la cuisine des saladiers vides pour faire un peu de place sur la table avant le dessert. La fraîcheur de la maison m’apaise et me rafraîchit. Je ne me suis pas aperçue que tu m’as suivi. Tu m’enlaces par les hanches et me pose un baiser dans le cou. Ta main s’égare sous ma robe. Elle remonte le long de l’intérieur de ma cuisse quand tu te rends compte que je n’ai pas mis de petite culotte. Tu marques un temps d’arrêt de surprise puis tu introduis un doigt dans ma fente. Là c’est moi qui suit surprise et lâche un petit cri de plaisir. Je regarde autour de nous si personne ne peut nous voir et me penche un peu plus en avant. Tu m’enfonces un deuxième doigt et me titille là où il faut. Oh putain, c’est trop bon. Je suis toute mouillée en deux secondes. Je ferme les yeux et savoure tes petits mouvements experts. Je me ressaisis et prends sur moi. Je retire délicatement ta main de mon entrejambe. « Arrête chéri, on pourrait nous surprendre ».
Tu te colles à moi et resserre ton étreinte, ta main se faufile à nouveau vers mon sexe mais là tu t’arrêtes sur mon clitoris et attaque à le caresser. Je sens ta queue bien dure contre mon cul. Merde, tu es trop doué, ma chatte est littéralement trempée. Tu me susurres à l’oreille « Viens, on monte s’il te plaît. Je te baise en deux deux et on redescend tout de suite. Personne s’en apercevra. Allez please ». Tu m’entraînes dans l’escalier et me pousse dans la 1ère chambre sans ménagement. Tu m'embrasses fougueusement puis me mets à quatre pattes sur le tapis, les coudes au sol et la croupe bien tendue vers le plafond. J’entends nos invités qui s’amusent dans le jardin. Tu retrousses ma robe jusqu’à la taille et m’agrippes solidement par les hanches. Tu me pénètres d’un coup sec. Tout mon corps en frémit et je ne peux retenir un gémissement d’extase. Tu attaques à me besogner lentement mais vigoureusement. Je me mords les lèvres pour ne pas crier à chacun de tes coups de reins. La porte s’ouvre soudain et David apparait sur le seuil. C’est le nouveau mec de ma copine d’enfance, Alexia. Je me relève en prenant appui sur mes mains mais tu me repousses de toutes tes forces. J’ai la poitrine et le visage écrasés contre le tapis et tu me maintiens dans cette position en appuyant de tout ton poids sur mes épaules en ayant pris bien soin de laisser ta bite en moi. « Désolé, je cherche les toilettes »« Pas de soucis, tu peux regarder si tu veux mais ferme la porte derrière toi». Pardon? J’essaie à nouveau de me redresser mais en vain et tu reprends le pilonnage méthodique de ma chatte. Me voilà aplatie au sol, le cul à l’air et relevé, en train de me faire baiser comme une chienne devant le copain de mon amie sans avoir vraiment le choix. Je retiens mes gémissements pour marquer ma désapprobation mais j’ai du mal car j’aime trop ce que me fait ta queue dans cette position. Elle tape parfaitement là où il faut et très vite une chaleur électrique envahit rapidement mon bas-ventre. Tu m’attrapes par les cheveux et tire dessus. Je me retrouve en levrette sur les mains, les bras tendus . Je peux voir à nouveau David. Il n’a pas résisté et a sorti sa bite pour se branler devant le spectacle offert à lui. Je détourne la tête, un peu honteuse, pour ne pas croiser son regard et surtout pour cacher les expressions de plaisir de mon visage car je sens un orgasme irrépressible monté en moi. Tu as remarqué mon petit manège. Tu tires encore plus fort sur mes cheveux et je me redresse en relevant le buste. Tu me saisis un bras au niveau du coude puis rapproche de mon crâne ton emprise sur mes cheveux. Tu tapes dans ma chatte de plus en plus vite et plus fort. J’ai les reins complètement cambrés, les fesses livrées à tes coups de butoir, le buste pratiquement droit et la tête presque en arrière. Je ne peux que voir David, il s’est rapproché de moi en se branlant toujours. Putain, je suis à deux doigts de jouir malgré sa présence gênante. Je halète en continu et lâche des petits cris aigus malgré moi en fermant les yeux. Putain, je vais jouir. Je sais plus vraiment où je suis. Mon périnée se crispe comme jamais, ça dure une éternité puis il explose soudain dans un feu d’artifice de contractions. Tout mon corps vibre encore et encore de convulsions. Oh mon Dieu, j’ai l’impression que mon orgasme ne va jamais s’arrêter. Je ne peux retenir des cris de jouissance. D’un coup je sursaute, J’ai reçu un truc sur le visage. J’ouvre les yeux et reçoit une nouvelle salve juste avant de comprendre que David est en train de me gicler sur le visage. Je veux détourner la tête mais tu me maintiens face à lui. Je prends encore quatre bonnes giclées de foutre pleine face avant qu’il ait fini son affaire. Merde, j’en ai partout, j’ai dû fermé un oeil pour ne pas en prendre dedans. Son sperme épais dégouline lentement, y compris sur mes lèvres que je pince pour ne pas en avaler. Par miracle ce fils de pute n’a pas juté dans ma bouche pendant que je gémissais d’extase. D’un seul oeil, je le vois rentrer sa bite puis s’en aller en disant pardon mais que c’était plus fort que lui. Je me lève en faisant attention de ne pas en mettre partout sur ma robe et pars chercher des mouchoirs pour essuyer toute sa merde. Tu m’arrêtes et regardes intensément mon visage souillé par l'autre. Alors, brusquement, tu me retournes et me plaques contre le mur. Ta queue me déchire l’anus en s’enfonçant entière d’un coup. En criant de douleur, du foutre de David rentre dans ma bouche. Je le recrache sur le tapis, dégoutée. Après quatre ou cinq va-et-vient, tu exploses au fond de mon cul. Je rêve, ça t’a excité comme un dingue de voir mon visage crépi du foutre d’un autre malgré moi. Tu te retires de mon rectum, ça me brûle trop et me fait mal mais je peux enfin aller chercher des mouchoirs. En marchant vers la table de nuit, je sens ton jus s’échapper le long de la cuisse de mon trou du cul encore tout dilaté. Décidément. Je passe cinq ou six mouchoirs à m’essuyer le visage correctement.
« Vas prévenir nos invités que je dois me changer car je me suis tachée en cuisine, je vais prendre une douche vite fait, j’en ai partout ».
En retournant la tête, je vois par la fenêtre David tranquillement assis à côté de ma copine d’enfance comme si de rien n’était alors que, même pas cinq minutes avant, il me crépissait le visage de son foutre dégueulasse. « Toi tu ne perds rien pour attendre enculé».
Il fait un temps magnifique. Le barbecue se passe divinement bien. Tu bois des bières avec les mecs en grillant la viande et moi je papote avec mes copines en apportant les salades et les accompagnements. Y a un peu de vent et ça fait du bien vu le cagnard de ce mois d’août exceptionnel. Les bouteilles de rosé se vident à la vitesse grand V et les langues se délient. Les anecdotes coquines fusent. Tout le monde parle fort et rigole pour un rien.
Je rapporte à la cuisine des saladiers vides pour faire un peu de place sur la table avant le dessert. La fraîcheur de la maison m’apaise et me rafraîchit. Je ne me suis pas aperçue que tu m’as suivi. Tu m’enlaces par les hanches et me pose un baiser dans le cou. Ta main s’égare sous ma robe. Elle remonte le long de l’intérieur de ma cuisse quand tu te rends compte que je n’ai pas mis de petite culotte. Tu marques un temps d’arrêt de surprise puis tu introduis un doigt dans ma fente. Là c’est moi qui suit surprise et lâche un petit cri de plaisir. Je regarde autour de nous si personne ne peut nous voir et me penche un peu plus en avant. Tu m’enfonces un deuxième doigt et me titille là où il faut. Oh putain, c’est trop bon. Je suis toute mouillée en deux secondes. Je ferme les yeux et savoure tes petits mouvements experts. Je me ressaisis et prends sur moi. Je retire délicatement ta main de mon entrejambe. « Arrête chéri, on pourrait nous surprendre ».
Tu te colles à moi et resserre ton étreinte, ta main se faufile à nouveau vers mon sexe mais là tu t’arrêtes sur mon clitoris et attaque à le caresser. Je sens ta queue bien dure contre mon cul. Merde, tu es trop doué, ma chatte est littéralement trempée. Tu me susurres à l’oreille « Viens, on monte s’il te plaît. Je te baise en deux deux et on redescend tout de suite. Personne s’en apercevra. Allez please ». Tu m’entraînes dans l’escalier et me pousse dans la 1ère chambre sans ménagement. Tu m'embrasses fougueusement puis me mets à quatre pattes sur le tapis, les coudes au sol et la croupe bien tendue vers le plafond. J’entends nos invités qui s’amusent dans le jardin. Tu retrousses ma robe jusqu’à la taille et m’agrippes solidement par les hanches. Tu me pénètres d’un coup sec. Tout mon corps en frémit et je ne peux retenir un gémissement d’extase. Tu attaques à me besogner lentement mais vigoureusement. Je me mords les lèvres pour ne pas crier à chacun de tes coups de reins. La porte s’ouvre soudain et David apparait sur le seuil. C’est le nouveau mec de ma copine d’enfance, Alexia. Je me relève en prenant appui sur mes mains mais tu me repousses de toutes tes forces. J’ai la poitrine et le visage écrasés contre le tapis et tu me maintiens dans cette position en appuyant de tout ton poids sur mes épaules en ayant pris bien soin de laisser ta bite en moi. « Désolé, je cherche les toilettes »« Pas de soucis, tu peux regarder si tu veux mais ferme la porte derrière toi». Pardon? J’essaie à nouveau de me redresser mais en vain et tu reprends le pilonnage méthodique de ma chatte. Me voilà aplatie au sol, le cul à l’air et relevé, en train de me faire baiser comme une chienne devant le copain de mon amie sans avoir vraiment le choix. Je retiens mes gémissements pour marquer ma désapprobation mais j’ai du mal car j’aime trop ce que me fait ta queue dans cette position. Elle tape parfaitement là où il faut et très vite une chaleur électrique envahit rapidement mon bas-ventre. Tu m’attrapes par les cheveux et tire dessus. Je me retrouve en levrette sur les mains, les bras tendus . Je peux voir à nouveau David. Il n’a pas résisté et a sorti sa bite pour se branler devant le spectacle offert à lui. Je détourne la tête, un peu honteuse, pour ne pas croiser son regard et surtout pour cacher les expressions de plaisir de mon visage car je sens un orgasme irrépressible monté en moi. Tu as remarqué mon petit manège. Tu tires encore plus fort sur mes cheveux et je me redresse en relevant le buste. Tu me saisis un bras au niveau du coude puis rapproche de mon crâne ton emprise sur mes cheveux. Tu tapes dans ma chatte de plus en plus vite et plus fort. J’ai les reins complètement cambrés, les fesses livrées à tes coups de butoir, le buste pratiquement droit et la tête presque en arrière. Je ne peux que voir David, il s’est rapproché de moi en se branlant toujours. Putain, je suis à deux doigts de jouir malgré sa présence gênante. Je halète en continu et lâche des petits cris aigus malgré moi en fermant les yeux. Putain, je vais jouir. Je sais plus vraiment où je suis. Mon périnée se crispe comme jamais, ça dure une éternité puis il explose soudain dans un feu d’artifice de contractions. Tout mon corps vibre encore et encore de convulsions. Oh mon Dieu, j’ai l’impression que mon orgasme ne va jamais s’arrêter. Je ne peux retenir des cris de jouissance. D’un coup je sursaute, J’ai reçu un truc sur le visage. J’ouvre les yeux et reçoit une nouvelle salve juste avant de comprendre que David est en train de me gicler sur le visage. Je veux détourner la tête mais tu me maintiens face à lui. Je prends encore quatre bonnes giclées de foutre pleine face avant qu’il ait fini son affaire. Merde, j’en ai partout, j’ai dû fermé un oeil pour ne pas en prendre dedans. Son sperme épais dégouline lentement, y compris sur mes lèvres que je pince pour ne pas en avaler. Par miracle ce fils de pute n’a pas juté dans ma bouche pendant que je gémissais d’extase. D’un seul oeil, je le vois rentrer sa bite puis s’en aller en disant pardon mais que c’était plus fort que lui. Je me lève en faisant attention de ne pas en mettre partout sur ma robe et pars chercher des mouchoirs pour essuyer toute sa merde. Tu m’arrêtes et regardes intensément mon visage souillé par l'autre. Alors, brusquement, tu me retournes et me plaques contre le mur. Ta queue me déchire l’anus en s’enfonçant entière d’un coup. En criant de douleur, du foutre de David rentre dans ma bouche. Je le recrache sur le tapis, dégoutée. Après quatre ou cinq va-et-vient, tu exploses au fond de mon cul. Je rêve, ça t’a excité comme un dingue de voir mon visage crépi du foutre d’un autre malgré moi. Tu te retires de mon rectum, ça me brûle trop et me fait mal mais je peux enfin aller chercher des mouchoirs. En marchant vers la table de nuit, je sens ton jus s’échapper le long de la cuisse de mon trou du cul encore tout dilaté. Décidément. Je passe cinq ou six mouchoirs à m’essuyer le visage correctement.
« Vas prévenir nos invités que je dois me changer car je me suis tachée en cuisine, je vais prendre une douche vite fait, j’en ai partout ».
En retournant la tête, je vois par la fenêtre David tranquillement assis à côté de ma copine d’enfance comme si de rien n’était alors que, même pas cinq minutes avant, il me crépissait le visage de son foutre dégueulasse. « Toi tu ne perds rien pour attendre enculé».
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