Un bel enterrement
Récit érotique écrit par Pipistrele [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 27 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 6.8 • Cote moyenne attribuée par HDS : 7.7
- • L'ensemble des récits érotiques de Pipistrele ont reçu un total de 423 953 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-05-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 9 853 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Un bel enterrement
La cérémonie religieuse sera suivie de l'inhumation au cimetière de....le 2 février. Le grand père du marié de l'autre jour (voir : la main baladeuse/un beau mariage) n'aura pas survécu longtemps au mariage de son petit fils.
Bien que ne les connaissant pas trop , il fut décidé que ma tante Dominique et moi représenterions la famille aux obsèques.
Oh ! Joie. J'allai me retrouver en tête à tête avec ma -chère- tante.
Le matin du jour dit, elle passa me chercher à la maison avec sa vieille R5.
« Tu prends un café » lui demande ma mère.
« Non, merci, nous sommes déjà en retard. Mais pas de problème, je connais le chemin, c'est au même endroit que le mariage de l'autre jour» lui répond sa belle sœur.
Malgré le froid de ce matin de février, elle était vêtue d 'un stricte tailleur noir, bas noirs et hautes chaussures, une vraie panoplie de circonstances. On aurait dit une veuve joyeuse.
Tout le long du parcours je détaillais cette belle femme qu'était ma tante. Elle avait vraiment tout ce qu'il faut, là où il faut . Seulement, peut être, ses seins étaient-ils trop petits à mon goût.
Bien entendu, nous sommes arrivés en retard. La cérémonie était commencée, et comme pour le mariage, elle entra sur la pointe des pieds et nous nous sommes retrouvés sur le même banc qu'à la noce de la cousine. Bien que tenté, je n'osais pas réitérer le coup de la main baladeuse comme la dernière fois, ce n'était vraiment pas le moment.
Ma tante me regarda d'un air dédaigneux, en effet, l'officiant n'était pas le beau et jeune curé noir que nous connaissions mais un vieux diacre (il faut dire que les curés ne font plus d'enterrements de nos jours) qui chantait faux ( un enterrement serait triste si le curé ne chantait pas). Il n'en finissait plus de palabrer sur ce trou noir et profond qu'est la mort. Moi, il y a bien un trou noir et profond qui me faisait flashé, c'était celui de ma tante. On peut dire que son trou noir, c'est troublant.
J'étais aux anges, j'avais une belle femme désirable à côté de moi. Il flottait dans l’église un parfum de paradis. J'aime bien entrer dans une église après une messe, il y flotte une odeur de vieilles pierres, mêlée à celui des divers parfums des femmes, de la naphtaline des anciens qui ne sortent le costume que les dimanches, de la cire des cierges et de l'encens.
Nous sommes allés au cimetière, là pendant l'inhumation ma tante tapait des pieds, elle se balançait d'une jambe sur l'autre.
« Il fait un froid de gueux » je lui dis « tu aurais dû t'habiller plus chaudement »
« C'est pas ça » me répondit-elle à voix basse « j'ai une de ces envie de pipi et avec ce froid, je te dis pas ».
« C'est bientôt fini et j'ai vu des toilettes publiques sur la place ».
En pensée, je la voyais déjà se pressant vers le petit édicule, me donnant son sac en disant,- tu tiens la porte- en se précipitant à l'intérieur, j’entendais le froissement de ces vêtements et aussitôt le bruit excitant des femmes qui font pipi.
Après les condoléances, elle se précipita , en effet, vers le petit coin, mais rien ne se passa comme je l'avais prévu.
« Ah ! Les cons ! Me voilà bien avancée, qu'est que je fais maintenant ?»
Un petit écriteau était placardé sur la porte :
-A cause du gel les toilettes seront fermées du 1er novembre au 30 mars
Chacun est prié de prendre ces dispositions en conséquence-
Nous étions suivi par une petite troupe de femmes en noir, des jeunes, des vieilles, des moins jeunes qui ostensiblement venaient faire la même chose que nous.
« C'est fermé » leur dit ma tante « et puis regardez ces messieurs, eux il se soulagent le long du mur du cimetière, nous n'allons pas nous abaisser à faire comme eux, notre pudeur nous l'interdit. Et puis leur panneau il me fait bien rire, on ne va pas se retenir d'aller aux toilettes pendant tout l'hiver »
« C'est toujours pareil, eux ils peuvent faire n'importe où, et nous pauvres femmes il va nous falloir ramener nos vessies pleines à la maison » répliqua une des femmes.
« Allez viens, nous rentrons je trouverais bien un coin tranquille sur la route, je ne tiendrais pas jusqu'à chez nous ». me dit Dominique dépitée en jetant son sac sur le siège arrière de la voiture.
Sur le chemin du retour, elle ne dit pratiquement pas un mot, je la sentais préoccupée. Son envie la tenaillait et ça se voyait.
La route était droite mais à un moment on devinait le tracé de l'ancienne route qui pouvait servir de refuge.
« Je n'y tiens plus, il faut que je m'arrête » me dit-elle en empruntant cet ancien tracé qui au fil du temps était devenu un chemin.
En un clin d’œil elle sortit un paquet de kleenex de la boite à gants et se précipita hors de la R5.
« Je reviens au plus vite, mais ça risque d'être long »
Elle ne prit pas le temps de refermer la portière et je la vis courir, mais à petits pas en serrant les cuisses, vers l'arrière de la voiture afin d'être hors de portée de vue.
Ce qu'elle avait oublié dans sa course vers la délivrance c'est que les automobiles possèdent un petit accessoire très utile pour voir ce qui se passe à l'arrière : le rétroviseur.
Elle se positionna donc, sans le savoir, juste dans le champ de vision de celui-ci.
J'assistais alors à un spectacle étonnant :
Je la voyais de profil. Elle tapait des pieds tout en se secouant comme un canard qui sort de l'eau afin de retrousser sa jupe moulante. De l'autre main elle fit descendre son collant noir ( c'est là que je m'aperçus qu'elle portait un collant, nous étions en février et il faisait froid) et sa minuscule petite culotte violette.Elle dégagea tout juste ce qu'il faut pour ne pas se mouiller. Aussitôt un jet puissant apparu, elle pissait debout légèrement pliée en deux et je pouvais voir nettement le blanc laiteux de ses fesses. Un flot dru d'urine fumante partait très en arrière sous la pression et venait s'écraser en éclaboussant le sol gelé formant une mare d'où s'échappait une légère vapeur. La cascade fusait avec une force impressionnante dans le sifflement caractéristique des dames qui urinent. J'avais la vue par le rétro et le son par la portière laissée ouverte. Elle faisait pipi comme une enragée en poussant un cri de bonheur de pouvoir se dégonfler complètement. Elle se vidait avec joie. On aurait dit (je ne devrait pas parler ainsi de ma tante chérie) une vache qui pisse. Après ce qui me sembla une éternité ( environ une minute) le jet diminua d'intensité et se termina par saccades, elle devait pousser pour bien vidanger.
Les mouchoirs, après un essuyage rapide, allèrent rejoindre l'étang fumant qui s'était formé à ces pieds.
Remise en place de tous les vêtements, ébrouage, pour y mettre de l'ordre. Rideau, le spectacle qui ne me laissait pas de glace était terminé.
« Eh ben, dis donc, ça fait du bien. Il était temps, il était moins une que je fasses dans ma culotte. Tu ne peux pas t'imaginer comme je suis soulagée, je ne me souviens plus d'avoir eu une telle envie, j'ai bien dû en faire un litre.... Au fait, t'as pas envie de pipi, toi ? »
« Oh, que si »
« Vas y, profites en pendant que nous sommes arrêtés »
« Je voudrais bien, mais je ne peux pas »
« Comment ça, tu ne peux pas. Tu as peur qu'elle gèle si tu la sors par ce froid »
« C'est pas ça, comment te dire.... »
«T'as envie de pisser et tu ne peux pas, il faut que tu m'expliq...... » Elle ne finit pas sa phrase, elle venait de comprendre.
« Tu bandes, c'est ça. Ah ! Le petit coquin, savoir sa tante en train de se soulager lui fait de l'effet, il t'en faut peu pour t’exciter »
« Comment te dire, il y a des rétroviseurs sur ta voiture et tu étais en plein dans mon champ de vision. Et tu m'as offert un spectacle des plus affriolant ».
« Dans le rétro !? !» me répondit-elle interloquée.
« Eh!Oui, je peux même te dire que tu portes des collants et une petite culotte violette minuscule et que tu avais une sacrée envie, vu la pression du jet et je peux même ajouter que tu as pissé debout»
« Ça alors, et mateur en plus. Faut bien avouer que dans mon désespoir je n'avais pas pensé que tu pouvais voir toute la scène. Ça t'as plu au moins mais pour toi mais pas question d'aller plus loin, ne t'imagines pas des choses, même si nous deux.... l'autre jour (voir : la main baladeuse/un beau mariage) »
« Tu n'étais pas farouche, il ne t'as pas fallu grand temps pour te décider ni l'après midi et encore moins le matin où c'est toi qui est venue me fourrer ta foufoune sous le nez »
« L'après midi, tu as été tellement téméraire que, surprise, je n'ai pas pu te résister et le lendemain après ta mésaventure, ton oncle n'a pas été à la hauteur, voilà tout, tu ne vas pas me reprocher de t'avoir cédée ».
« J'avais pensé que tu pourrais me soulager, surtout après ta prestation de tout à l'heure. Depuis quand t'as pas fait l'amour avec tonton Daniel ? ».
« D'abord une, ça ne te regarde pas et ma prestation pipi, comme tu dis, elle était bien involontaire ».
« Juste une petite pipe, ou simplement une branlette ? »
« NON, pas question, désormais je ferais le nécessaire pour n'être jamais seule avec toi, petit branleur, tu as l'air d'oublier que je suis ta tante, pas ta petite amie »me dit-elle en reprenant la route.
Un froid s'installa entre nous pendant le reste du parcours.
« C'est pas des gendarmes que je vois là bas, c'est bien ma veine, à tout les coups j'y ai droit avec ma vieille guimbarde ».
C'était bien des gendarmes ; Ils nous firent signent de nous arrêter sur le côté de la route. L'un d'eux se penchant à la vitre ouverte :
« Gendarrrmerrrie nationale, contrrrôle du véhicule, vos papiers 'il vous plaît » demanda l'agent de la force publique en reluquant les genoux et cuisses de ma tante.
« Je ne vois pas votre permis de conduire ? »
« Suis je bête, il est dans mon sac à main » répondit Dominique complètement paniquée en cherchant le maudit sac.
« Reste calme, il a glissé sous ton siège ».
En se contorsionnant elle se positionna à genoux sur le siège pour l'atteindre.
J'avais alors un point de vue trois étoiles au guide Michelin. Mes yeux se posèrent sur ses chaussures à hauts talons pour suivre ses jambes gainées de noir et enfin s'arrêter sur cette belle mappemonde qu'était son fessier. Celui ci tendait le tissu de sa jupe à l'extrême, les coutures étaient à la limite de la rupture (rupture que j'espérais secrètement, imaginant ses deux hémisphères emprisonnés dans le nylon noir, un peu la vision que j'avais eu un jour de Noël (voir : Noël en famille), ma bandaison qui commençait à avoir du mou repris alors de plus belle peinant à trouver une place dans mon boxer.
Elle repris sa place sur le siège en présentant le précieux sésame au fonctionnaire qui n'avait pas perdu un instant de la scène, il avait repéré mon regard extasié . Il fit ensuite le tour du véhicule.
« Votre derrière est sale il faudra penser le nettoyer, les plaques sont illisibles. Celà dit, nous allons passer au contrôle d'alcoolémie »
Et présentant l'alcootest il lui dit :
« Madame, veuillez souffler fort dans mon instrument ».
« Monsieur l'agent, est ce bien raisonnable. Vous me dites que mon derrière est sale et que je dois souffler dans votre instrument »plaisanta ma tante.
« Madame, je ne suis pas là pour m'amuser, veuillez suivre les ordres »
Ce fut un peu laborieux tellement elle riait. Je suppose que ce gendarme, qui est un homme avant tout, aurait bien aimé que cette belle femme souffle dans son instrument personnel.
« Bien, je pense que vous ne transportez pas de substances illicites, madame ?. Et le jeune homme, à vos côté non plus. Rien dans le pantalon ? »
Avait-il remarqué qu'à la vue du cul de ma tante, la bosse dans mon futal avait presque doublée de volume. Voulait-il faire de l'humour ?
« T'as vu on a eu droit à la totale, pas marrant le mec, enfin c'est son boulot ».
Je pense qu'elle aussi avait remarqué la déformation qui me faisait presque mal, elle n'en dit mot.
Soudain sortant d'un chemin forestier un 4/4 nous déboucha à toute allure devant le nez. Coup de patin, crissement de pneus, ceintures tendues à fond ; Les freins d'une R5 n'ayant rien d'exceptionnels et le manque d'ABS firent que nous nous sommes retrouvés en plein travers de la route. Plus de peur que de mal.
« T'as vu ce con, il ne s'est même pas arrêté, c'était moins une qu'il nous balance dans le décor, j'ai eu une de ces trouille. Il faut que je me détente avant de repartir. Je vais reculer dans le sentier d’où venait ce connard ».
« La peur de ma vie, J'ai le cœur qui bat à une vitesse pas possible ; Tiens mets ta main tu verras que je n'exagère pas. T'as pas eu les foies toi ? » me dit elle en posant ma main gauche sur sa poitrine. Je sentais, en effet, son cœur et je pouvais en même temps palper son nichon, ce que je m’empressais de faire. Elle avait eu tellement la frousse qu'elle ne réagit même pas, je tentais alors ma main droite sur son genou et commençais à m’immiscer sous sa jupe. C'est en atteignant le haut de sa cuisse qu'elle m'envoya, d'un revers de main, une claque magistrale.
« Pardon, j'y ai peut être été un peu fort, mais tu as de ces manières. Profiter de la faiblesse d'une faible femme apeurée pour me peloter les seins et les cuisses. J'en suis encore toute retournée, tu te rends comte, on a failli y passer. Tu as peut être raison il faut profiter de la vie » me dit elle en palpant mon membre à travers le tissu ».
« Serait ce un appel »
Je replongeais donc ma main dans son entrecuisses. Elle écarta les jambes, (c'était donc bien un appel). Je lui caressai donc la fente, le bouton à travers le collant. Elle gémissait doucement. Intérieurement je remerciais l'automobiliste imprudent, sans lui je n'en serais pas là.
« Bon maintenant ça suffit tu as ce que tu voulais, tu m'as bien fait mouiller, petit salopard, tu veux me prendre comment, c'est pas trop facile dans cette voiture de nains »
« Et si tu te mettais comme quand tu as cherché ton sac, tout à l'heure, devant le flic, le derrière en l'air mais dans l'autre sens le cul vers la portière. Je vais descendre et me mettre le long de la voiture du côté du chauffeur. »
Le temps de descendre et faire le tour de la voiture elle était déjà en position.
Sa jupe était de nouveau tendue à l’extrême mais cette fois, pas de quartier, je tirais sur les pans et elle se déchira dans un grand craquement du bas en haut me révélant son postérieur moulé dans le collant.
« T'es pas bien tu pourrais faire attention, ma jupe est foutue et puis je ne sais plus ce que je fais, je suis passible de prison pour détournement de mineur »
« Je vais avoir 18 ans dans 2 mois, tu anticipes un peu c'est tout. Mineur peut être mais tu diras autre chose quand tu sentiras mon majeur ». Disant cela, d'un doigt je déchire son collant, repousse de côté la minuscule culotte et lui fourre sans précaution un doigt dans le cul »
« Aïe, t'es toujours obsédé par ce côté là. Pas aujourd’hui, avec toutes ces émotions tu risques de t'embourber, et puis tu me fais mal ».
Elle avait raison ma tante, ce n'était pas par là qu'il fallait s'aventurer. Pour être plus à l'aise je continuais à déchirer son collant, laissant seulement une petite ouverture chirurgicale, la petite culotte glissée de côté, je présentais mon membre prêt à l'emploi depuis déjà un moment devant sa petite grotte. Elle serrait les cuisses si bien que sa raie des fesses et sa fente ne faisait qu'un sillon étroit. Sillon agrémenté d'une belle touffe de poils sur les bords. J'y plongeais mon dard, mais la fente serrée était si étroite que j'en ratais l'entrée et me retrouvais entre ses cuisses. Nouvelle tentative, même résultat, nouvel échec.
« Qu'est ce que tu fais, tu trouves pas le trou aujourd’hui » me dit elle en se contorsionnant pour attraper ma bite à pleine main et la faire glisser en elle.
« Putain, au toucher, je vois que tu es toujours aussi long, quand tu auras réussi à me défoncer ne vas pas trop loin, j'ai peur que tu me fasses mal »
Son intervention fut couronnée de succ, je pouvais désormais manœuvrer à l'aise dans son intimité. Je respectais les consignes, -pas trop loin-. Elle ahanait, elle mouillait, elle racontait des insanités.
« Je suis prête à partir, tu m'avertis quand ce sera ton cas mais ne décharge pas en moi, s'il te plait
»
« Tu veux où ? »
« Sur la figure » me répondit elle en se retournant.
Il était temps, à peine avais je son visage en face de moi que plusieurs giclées incontrôlées lui arrosèrent les yeux, le nez, les joues. J'y avais mis la dose. Elle fut prise d'un orgasme tout aussi incontrôlé que mon éjaculation.
Revenue de ses émotions elle me dit en reprenant son paquet de kleenex :
« Ben mon salaud, tu te retenais depuis combien de temps, tes bourses étaient aussi pleines que ma vessie tout à l'heure » et regardant ma queue qui diminuait de volume « c'est bien ce que je disais monté fin et long ».
«Je me retenais depuis que je sais que je devais aller avec toi à cet enterrement. Ça fait pas plus de trois jours »
« Là tu es en train de me dire que tu pensais me sauter. C'est pour ça que je ne veux plus me retrouver seule avec toi, je ne sais pas résister »
« Du moment que ça ne sort pas de la famille » lui dis je en allant pisser le long d'un arbre, car je n'avais toujours pas vidé ma vessie.
« Ça se voit que tes conduits sont débouchés, tu pisses plus loin que ton ombre »
« Veux tu bien ne pas regarder, ce n'est pas un spectacle pour toi ».
« Ça ne m’intéresse pas et puis je dois effacer toutes traces de nos effusions, il parait que le sperme, est un excellent produit de beauté » déclara elle en s'essuyant le visage à l'aide de ses mouchoirs.
« On le dit, c'est bon pour les rides »
« Voilà, Monsieur est bien comme tous les hommes dès qu'il a pris son plaisir, ce ne sont pas les compliments qui pleuvent... Pour les rides, sachez, jeune prétentieux, que malgré ma quarantaine passée je n'ai qu'une ride et que je m’assois dessus, et cette ride tu la connais bien depuis une certaine leçon de conduite ».(voir : la leçon d'anatomie) Allez, remballe ton matériel. Au fait je m'aperçois seulement maintenant que tu n'avais même pas posé ton pantalon, tu n'as sorti que le strict nécessaire. Moi par contre je suis en loques, la jupe déchirée, le collant défoncé, le reste en compote tellement tu m'as pistonnée..En route nous avons encore du chemin à faire, ta mère va s'inquiéter »
Maman nous attendait devant la maison.
« Enfin, je commençais à me faire du soucis, vous en avez mis du temps. La cérémonie était si longue que ça »
« C'était pas trop la cérémonie qui était longue, mais plutôt la queue au cimetière » lui répondit ma tante en pensant, j'en suis sûr à mon instrument pour dames.
« Et puis les flics nous ont arrêtés pour un contrôle, j'ai dû souffler dans leur instrument, le ballon quoi »
« Et il nous a fallu trouver des toilettes pour nous soulager, le froid ça donne envie »
« Tu entres boire quelque chose de chaud» demanda ma mère.
C'est là qu'elle s’aperçut du désastre sur la jupe de sa belle sœur.
« Qu'est ce qui t'es arrivée ? ta jupe est complètement décousue, on voit ton collant qui est déchiré lui aussi, il s 'en faut de peu qu'on voit tes intimités . »
Elle a de ces mots, ma mère, pour parler du sexe et du trou du cul -tes intimités-
Je vins au secours de Dominique :
« Elle s'est accrochée à une pointe dans un banc à l'église et voilà le résultat »
« Et tu es allée au cimetière comme ça, les hommes ont dû bien se régaler. On dirait que tu as croisé un satyre qui a abusé de toi, ah ! Ah ! Ah ! Je vais te prêter une de mes jupe, tu ne peux décemment pas rentrer comme ça chez toi»
Elle court chercher dans l'armoire une tenue de remplacement.
Ma tante pose jupe et collant déchiré devant tout le monde, se retrouvant ainsi en veste et minuscule petite culotte qui avait bien du mal à cacher quelques poils follets. Vision de rêve.
« Dominique tu pourrais avoir un peu de pudeur quand même, te déshabiller comme ça devant Steve,ton neveu, qu'est qu'il va penser de toi ?
Ma mère qui me traite, sans le savoir, de satyre. !!
Un satyre ! Moi ! d'abord un satyre c'est beaucoup plus vieux et moche !!
Ma tante qui se met à poil devant tout le monde !!
Si maman savait le vrai dans l'histoire, quel scandale !!
Pour un bel enterrement, ce fût un bel enterrement.
Bien que ne les connaissant pas trop , il fut décidé que ma tante Dominique et moi représenterions la famille aux obsèques.
Oh ! Joie. J'allai me retrouver en tête à tête avec ma -chère- tante.
Le matin du jour dit, elle passa me chercher à la maison avec sa vieille R5.
« Tu prends un café » lui demande ma mère.
« Non, merci, nous sommes déjà en retard. Mais pas de problème, je connais le chemin, c'est au même endroit que le mariage de l'autre jour» lui répond sa belle sœur.
Malgré le froid de ce matin de février, elle était vêtue d 'un stricte tailleur noir, bas noirs et hautes chaussures, une vraie panoplie de circonstances. On aurait dit une veuve joyeuse.
Tout le long du parcours je détaillais cette belle femme qu'était ma tante. Elle avait vraiment tout ce qu'il faut, là où il faut . Seulement, peut être, ses seins étaient-ils trop petits à mon goût.
Bien entendu, nous sommes arrivés en retard. La cérémonie était commencée, et comme pour le mariage, elle entra sur la pointe des pieds et nous nous sommes retrouvés sur le même banc qu'à la noce de la cousine. Bien que tenté, je n'osais pas réitérer le coup de la main baladeuse comme la dernière fois, ce n'était vraiment pas le moment.
Ma tante me regarda d'un air dédaigneux, en effet, l'officiant n'était pas le beau et jeune curé noir que nous connaissions mais un vieux diacre (il faut dire que les curés ne font plus d'enterrements de nos jours) qui chantait faux ( un enterrement serait triste si le curé ne chantait pas). Il n'en finissait plus de palabrer sur ce trou noir et profond qu'est la mort. Moi, il y a bien un trou noir et profond qui me faisait flashé, c'était celui de ma tante. On peut dire que son trou noir, c'est troublant.
J'étais aux anges, j'avais une belle femme désirable à côté de moi. Il flottait dans l’église un parfum de paradis. J'aime bien entrer dans une église après une messe, il y flotte une odeur de vieilles pierres, mêlée à celui des divers parfums des femmes, de la naphtaline des anciens qui ne sortent le costume que les dimanches, de la cire des cierges et de l'encens.
Nous sommes allés au cimetière, là pendant l'inhumation ma tante tapait des pieds, elle se balançait d'une jambe sur l'autre.
« Il fait un froid de gueux » je lui dis « tu aurais dû t'habiller plus chaudement »
« C'est pas ça » me répondit-elle à voix basse « j'ai une de ces envie de pipi et avec ce froid, je te dis pas ».
« C'est bientôt fini et j'ai vu des toilettes publiques sur la place ».
En pensée, je la voyais déjà se pressant vers le petit édicule, me donnant son sac en disant,- tu tiens la porte- en se précipitant à l'intérieur, j’entendais le froissement de ces vêtements et aussitôt le bruit excitant des femmes qui font pipi.
Après les condoléances, elle se précipita , en effet, vers le petit coin, mais rien ne se passa comme je l'avais prévu.
« Ah ! Les cons ! Me voilà bien avancée, qu'est que je fais maintenant ?»
Un petit écriteau était placardé sur la porte :
-A cause du gel les toilettes seront fermées du 1er novembre au 30 mars
Chacun est prié de prendre ces dispositions en conséquence-
Nous étions suivi par une petite troupe de femmes en noir, des jeunes, des vieilles, des moins jeunes qui ostensiblement venaient faire la même chose que nous.
« C'est fermé » leur dit ma tante « et puis regardez ces messieurs, eux il se soulagent le long du mur du cimetière, nous n'allons pas nous abaisser à faire comme eux, notre pudeur nous l'interdit. Et puis leur panneau il me fait bien rire, on ne va pas se retenir d'aller aux toilettes pendant tout l'hiver »
« C'est toujours pareil, eux ils peuvent faire n'importe où, et nous pauvres femmes il va nous falloir ramener nos vessies pleines à la maison » répliqua une des femmes.
« Allez viens, nous rentrons je trouverais bien un coin tranquille sur la route, je ne tiendrais pas jusqu'à chez nous ». me dit Dominique dépitée en jetant son sac sur le siège arrière de la voiture.
Sur le chemin du retour, elle ne dit pratiquement pas un mot, je la sentais préoccupée. Son envie la tenaillait et ça se voyait.
La route était droite mais à un moment on devinait le tracé de l'ancienne route qui pouvait servir de refuge.
« Je n'y tiens plus, il faut que je m'arrête » me dit-elle en empruntant cet ancien tracé qui au fil du temps était devenu un chemin.
En un clin d’œil elle sortit un paquet de kleenex de la boite à gants et se précipita hors de la R5.
« Je reviens au plus vite, mais ça risque d'être long »
Elle ne prit pas le temps de refermer la portière et je la vis courir, mais à petits pas en serrant les cuisses, vers l'arrière de la voiture afin d'être hors de portée de vue.
Ce qu'elle avait oublié dans sa course vers la délivrance c'est que les automobiles possèdent un petit accessoire très utile pour voir ce qui se passe à l'arrière : le rétroviseur.
Elle se positionna donc, sans le savoir, juste dans le champ de vision de celui-ci.
J'assistais alors à un spectacle étonnant :
Je la voyais de profil. Elle tapait des pieds tout en se secouant comme un canard qui sort de l'eau afin de retrousser sa jupe moulante. De l'autre main elle fit descendre son collant noir ( c'est là que je m'aperçus qu'elle portait un collant, nous étions en février et il faisait froid) et sa minuscule petite culotte violette.Elle dégagea tout juste ce qu'il faut pour ne pas se mouiller. Aussitôt un jet puissant apparu, elle pissait debout légèrement pliée en deux et je pouvais voir nettement le blanc laiteux de ses fesses. Un flot dru d'urine fumante partait très en arrière sous la pression et venait s'écraser en éclaboussant le sol gelé formant une mare d'où s'échappait une légère vapeur. La cascade fusait avec une force impressionnante dans le sifflement caractéristique des dames qui urinent. J'avais la vue par le rétro et le son par la portière laissée ouverte. Elle faisait pipi comme une enragée en poussant un cri de bonheur de pouvoir se dégonfler complètement. Elle se vidait avec joie. On aurait dit (je ne devrait pas parler ainsi de ma tante chérie) une vache qui pisse. Après ce qui me sembla une éternité ( environ une minute) le jet diminua d'intensité et se termina par saccades, elle devait pousser pour bien vidanger.
Les mouchoirs, après un essuyage rapide, allèrent rejoindre l'étang fumant qui s'était formé à ces pieds.
Remise en place de tous les vêtements, ébrouage, pour y mettre de l'ordre. Rideau, le spectacle qui ne me laissait pas de glace était terminé.
« Eh ben, dis donc, ça fait du bien. Il était temps, il était moins une que je fasses dans ma culotte. Tu ne peux pas t'imaginer comme je suis soulagée, je ne me souviens plus d'avoir eu une telle envie, j'ai bien dû en faire un litre.... Au fait, t'as pas envie de pipi, toi ? »
« Oh, que si »
« Vas y, profites en pendant que nous sommes arrêtés »
« Je voudrais bien, mais je ne peux pas »
« Comment ça, tu ne peux pas. Tu as peur qu'elle gèle si tu la sors par ce froid »
« C'est pas ça, comment te dire.... »
«T'as envie de pisser et tu ne peux pas, il faut que tu m'expliq...... » Elle ne finit pas sa phrase, elle venait de comprendre.
« Tu bandes, c'est ça. Ah ! Le petit coquin, savoir sa tante en train de se soulager lui fait de l'effet, il t'en faut peu pour t’exciter »
« Comment te dire, il y a des rétroviseurs sur ta voiture et tu étais en plein dans mon champ de vision. Et tu m'as offert un spectacle des plus affriolant ».
« Dans le rétro !? !» me répondit-elle interloquée.
« Eh!Oui, je peux même te dire que tu portes des collants et une petite culotte violette minuscule et que tu avais une sacrée envie, vu la pression du jet et je peux même ajouter que tu as pissé debout»
« Ça alors, et mateur en plus. Faut bien avouer que dans mon désespoir je n'avais pas pensé que tu pouvais voir toute la scène. Ça t'as plu au moins mais pour toi mais pas question d'aller plus loin, ne t'imagines pas des choses, même si nous deux.... l'autre jour (voir : la main baladeuse/un beau mariage) »
« Tu n'étais pas farouche, il ne t'as pas fallu grand temps pour te décider ni l'après midi et encore moins le matin où c'est toi qui est venue me fourrer ta foufoune sous le nez »
« L'après midi, tu as été tellement téméraire que, surprise, je n'ai pas pu te résister et le lendemain après ta mésaventure, ton oncle n'a pas été à la hauteur, voilà tout, tu ne vas pas me reprocher de t'avoir cédée ».
« J'avais pensé que tu pourrais me soulager, surtout après ta prestation de tout à l'heure. Depuis quand t'as pas fait l'amour avec tonton Daniel ? ».
« D'abord une, ça ne te regarde pas et ma prestation pipi, comme tu dis, elle était bien involontaire ».
« Juste une petite pipe, ou simplement une branlette ? »
« NON, pas question, désormais je ferais le nécessaire pour n'être jamais seule avec toi, petit branleur, tu as l'air d'oublier que je suis ta tante, pas ta petite amie »me dit-elle en reprenant la route.
Un froid s'installa entre nous pendant le reste du parcours.
« C'est pas des gendarmes que je vois là bas, c'est bien ma veine, à tout les coups j'y ai droit avec ma vieille guimbarde ».
C'était bien des gendarmes ; Ils nous firent signent de nous arrêter sur le côté de la route. L'un d'eux se penchant à la vitre ouverte :
« Gendarrrmerrrie nationale, contrrrôle du véhicule, vos papiers 'il vous plaît » demanda l'agent de la force publique en reluquant les genoux et cuisses de ma tante.
« Je ne vois pas votre permis de conduire ? »
« Suis je bête, il est dans mon sac à main » répondit Dominique complètement paniquée en cherchant le maudit sac.
« Reste calme, il a glissé sous ton siège ».
En se contorsionnant elle se positionna à genoux sur le siège pour l'atteindre.
J'avais alors un point de vue trois étoiles au guide Michelin. Mes yeux se posèrent sur ses chaussures à hauts talons pour suivre ses jambes gainées de noir et enfin s'arrêter sur cette belle mappemonde qu'était son fessier. Celui ci tendait le tissu de sa jupe à l'extrême, les coutures étaient à la limite de la rupture (rupture que j'espérais secrètement, imaginant ses deux hémisphères emprisonnés dans le nylon noir, un peu la vision que j'avais eu un jour de Noël (voir : Noël en famille), ma bandaison qui commençait à avoir du mou repris alors de plus belle peinant à trouver une place dans mon boxer.
Elle repris sa place sur le siège en présentant le précieux sésame au fonctionnaire qui n'avait pas perdu un instant de la scène, il avait repéré mon regard extasié . Il fit ensuite le tour du véhicule.
« Votre derrière est sale il faudra penser le nettoyer, les plaques sont illisibles. Celà dit, nous allons passer au contrôle d'alcoolémie »
Et présentant l'alcootest il lui dit :
« Madame, veuillez souffler fort dans mon instrument ».
« Monsieur l'agent, est ce bien raisonnable. Vous me dites que mon derrière est sale et que je dois souffler dans votre instrument »plaisanta ma tante.
« Madame, je ne suis pas là pour m'amuser, veuillez suivre les ordres »
Ce fut un peu laborieux tellement elle riait. Je suppose que ce gendarme, qui est un homme avant tout, aurait bien aimé que cette belle femme souffle dans son instrument personnel.
« Bien, je pense que vous ne transportez pas de substances illicites, madame ?. Et le jeune homme, à vos côté non plus. Rien dans le pantalon ? »
Avait-il remarqué qu'à la vue du cul de ma tante, la bosse dans mon futal avait presque doublée de volume. Voulait-il faire de l'humour ?
« T'as vu on a eu droit à la totale, pas marrant le mec, enfin c'est son boulot ».
Je pense qu'elle aussi avait remarqué la déformation qui me faisait presque mal, elle n'en dit mot.
Soudain sortant d'un chemin forestier un 4/4 nous déboucha à toute allure devant le nez. Coup de patin, crissement de pneus, ceintures tendues à fond ; Les freins d'une R5 n'ayant rien d'exceptionnels et le manque d'ABS firent que nous nous sommes retrouvés en plein travers de la route. Plus de peur que de mal.
« T'as vu ce con, il ne s'est même pas arrêté, c'était moins une qu'il nous balance dans le décor, j'ai eu une de ces trouille. Il faut que je me détente avant de repartir. Je vais reculer dans le sentier d’où venait ce connard ».
« La peur de ma vie, J'ai le cœur qui bat à une vitesse pas possible ; Tiens mets ta main tu verras que je n'exagère pas. T'as pas eu les foies toi ? » me dit elle en posant ma main gauche sur sa poitrine. Je sentais, en effet, son cœur et je pouvais en même temps palper son nichon, ce que je m’empressais de faire. Elle avait eu tellement la frousse qu'elle ne réagit même pas, je tentais alors ma main droite sur son genou et commençais à m’immiscer sous sa jupe. C'est en atteignant le haut de sa cuisse qu'elle m'envoya, d'un revers de main, une claque magistrale.
« Pardon, j'y ai peut être été un peu fort, mais tu as de ces manières. Profiter de la faiblesse d'une faible femme apeurée pour me peloter les seins et les cuisses. J'en suis encore toute retournée, tu te rends comte, on a failli y passer. Tu as peut être raison il faut profiter de la vie » me dit elle en palpant mon membre à travers le tissu ».
« Serait ce un appel »
Je replongeais donc ma main dans son entrecuisses. Elle écarta les jambes, (c'était donc bien un appel). Je lui caressai donc la fente, le bouton à travers le collant. Elle gémissait doucement. Intérieurement je remerciais l'automobiliste imprudent, sans lui je n'en serais pas là.
« Bon maintenant ça suffit tu as ce que tu voulais, tu m'as bien fait mouiller, petit salopard, tu veux me prendre comment, c'est pas trop facile dans cette voiture de nains »
« Et si tu te mettais comme quand tu as cherché ton sac, tout à l'heure, devant le flic, le derrière en l'air mais dans l'autre sens le cul vers la portière. Je vais descendre et me mettre le long de la voiture du côté du chauffeur. »
Le temps de descendre et faire le tour de la voiture elle était déjà en position.
Sa jupe était de nouveau tendue à l’extrême mais cette fois, pas de quartier, je tirais sur les pans et elle se déchira dans un grand craquement du bas en haut me révélant son postérieur moulé dans le collant.
« T'es pas bien tu pourrais faire attention, ma jupe est foutue et puis je ne sais plus ce que je fais, je suis passible de prison pour détournement de mineur »
« Je vais avoir 18 ans dans 2 mois, tu anticipes un peu c'est tout. Mineur peut être mais tu diras autre chose quand tu sentiras mon majeur ». Disant cela, d'un doigt je déchire son collant, repousse de côté la minuscule culotte et lui fourre sans précaution un doigt dans le cul »
« Aïe, t'es toujours obsédé par ce côté là. Pas aujourd’hui, avec toutes ces émotions tu risques de t'embourber, et puis tu me fais mal ».
Elle avait raison ma tante, ce n'était pas par là qu'il fallait s'aventurer. Pour être plus à l'aise je continuais à déchirer son collant, laissant seulement une petite ouverture chirurgicale, la petite culotte glissée de côté, je présentais mon membre prêt à l'emploi depuis déjà un moment devant sa petite grotte. Elle serrait les cuisses si bien que sa raie des fesses et sa fente ne faisait qu'un sillon étroit. Sillon agrémenté d'une belle touffe de poils sur les bords. J'y plongeais mon dard, mais la fente serrée était si étroite que j'en ratais l'entrée et me retrouvais entre ses cuisses. Nouvelle tentative, même résultat, nouvel échec.
« Qu'est ce que tu fais, tu trouves pas le trou aujourd’hui » me dit elle en se contorsionnant pour attraper ma bite à pleine main et la faire glisser en elle.
« Putain, au toucher, je vois que tu es toujours aussi long, quand tu auras réussi à me défoncer ne vas pas trop loin, j'ai peur que tu me fasses mal »
Son intervention fut couronnée de succ, je pouvais désormais manœuvrer à l'aise dans son intimité. Je respectais les consignes, -pas trop loin-. Elle ahanait, elle mouillait, elle racontait des insanités.
« Je suis prête à partir, tu m'avertis quand ce sera ton cas mais ne décharge pas en moi, s'il te plait
»
« Tu veux où ? »
« Sur la figure » me répondit elle en se retournant.
Il était temps, à peine avais je son visage en face de moi que plusieurs giclées incontrôlées lui arrosèrent les yeux, le nez, les joues. J'y avais mis la dose. Elle fut prise d'un orgasme tout aussi incontrôlé que mon éjaculation.
Revenue de ses émotions elle me dit en reprenant son paquet de kleenex :
« Ben mon salaud, tu te retenais depuis combien de temps, tes bourses étaient aussi pleines que ma vessie tout à l'heure » et regardant ma queue qui diminuait de volume « c'est bien ce que je disais monté fin et long ».
«Je me retenais depuis que je sais que je devais aller avec toi à cet enterrement. Ça fait pas plus de trois jours »
« Là tu es en train de me dire que tu pensais me sauter. C'est pour ça que je ne veux plus me retrouver seule avec toi, je ne sais pas résister »
« Du moment que ça ne sort pas de la famille » lui dis je en allant pisser le long d'un arbre, car je n'avais toujours pas vidé ma vessie.
« Ça se voit que tes conduits sont débouchés, tu pisses plus loin que ton ombre »
« Veux tu bien ne pas regarder, ce n'est pas un spectacle pour toi ».
« Ça ne m’intéresse pas et puis je dois effacer toutes traces de nos effusions, il parait que le sperme, est un excellent produit de beauté » déclara elle en s'essuyant le visage à l'aide de ses mouchoirs.
« On le dit, c'est bon pour les rides »
« Voilà, Monsieur est bien comme tous les hommes dès qu'il a pris son plaisir, ce ne sont pas les compliments qui pleuvent... Pour les rides, sachez, jeune prétentieux, que malgré ma quarantaine passée je n'ai qu'une ride et que je m’assois dessus, et cette ride tu la connais bien depuis une certaine leçon de conduite ».(voir : la leçon d'anatomie) Allez, remballe ton matériel. Au fait je m'aperçois seulement maintenant que tu n'avais même pas posé ton pantalon, tu n'as sorti que le strict nécessaire. Moi par contre je suis en loques, la jupe déchirée, le collant défoncé, le reste en compote tellement tu m'as pistonnée..En route nous avons encore du chemin à faire, ta mère va s'inquiéter »
Maman nous attendait devant la maison.
« Enfin, je commençais à me faire du soucis, vous en avez mis du temps. La cérémonie était si longue que ça »
« C'était pas trop la cérémonie qui était longue, mais plutôt la queue au cimetière » lui répondit ma tante en pensant, j'en suis sûr à mon instrument pour dames.
« Et puis les flics nous ont arrêtés pour un contrôle, j'ai dû souffler dans leur instrument, le ballon quoi »
« Et il nous a fallu trouver des toilettes pour nous soulager, le froid ça donne envie »
« Tu entres boire quelque chose de chaud» demanda ma mère.
C'est là qu'elle s’aperçut du désastre sur la jupe de sa belle sœur.
« Qu'est ce qui t'es arrivée ? ta jupe est complètement décousue, on voit ton collant qui est déchiré lui aussi, il s 'en faut de peu qu'on voit tes intimités . »
Elle a de ces mots, ma mère, pour parler du sexe et du trou du cul -tes intimités-
Je vins au secours de Dominique :
« Elle s'est accrochée à une pointe dans un banc à l'église et voilà le résultat »
« Et tu es allée au cimetière comme ça, les hommes ont dû bien se régaler. On dirait que tu as croisé un satyre qui a abusé de toi, ah ! Ah ! Ah ! Je vais te prêter une de mes jupe, tu ne peux décemment pas rentrer comme ça chez toi»
Elle court chercher dans l'armoire une tenue de remplacement.
Ma tante pose jupe et collant déchiré devant tout le monde, se retrouvant ainsi en veste et minuscule petite culotte qui avait bien du mal à cacher quelques poils follets. Vision de rêve.
« Dominique tu pourrais avoir un peu de pudeur quand même, te déshabiller comme ça devant Steve,ton neveu, qu'est qu'il va penser de toi ?
Ma mère qui me traite, sans le savoir, de satyre. !!
Un satyre ! Moi ! d'abord un satyre c'est beaucoup plus vieux et moche !!
Ma tante qui se met à poil devant tout le monde !!
Si maman savait le vrai dans l'histoire, quel scandale !!
Pour un bel enterrement, ce fût un bel enterrement.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Pipistrele
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...