Un cadeau d'anniversaire - histoire érotique

Quand tu ouvres la porte, ton regard est directement diriger sur moi qui t’attends. Vêtu uniquement d’une petite nuisette minimaliste, je te regarde entrer et poser tes affaires. Tu t’approches de moi et m’embrasse avant de te reculer légèrement.
« Bonsoir»
«En quel honneur cet accueil ? »
« J’avais envie de te faire plaisir ce soir »
« J’en ai de la chance »
« On n’a pas tous les jours 30 ans »
« Effectivement, à genoux alors »
Lentement je me laisse glisser sur le sol et relève légèrement la tête pour te voir ouvrir ton pantalon et en sortir ton sexe qui commence à bander.
« Suce-le »
Je le prends entre mes mains pour le branler et lui donner un peu plus de raideur tu m’arrêtes aussitôt repoussant mes mains.
« Je t’ai dit de le sucer pas de me branler, tu n’utilises pas tes mains uniquement ta bouche »
Je commence par lui donner de petit coup de langue sur le gland pour lui donner envie de se lever, quand celui-ci commence à se redresser je viens aspirer son gland dans ma bouche le tétant doucement. Petit à petit je fais descendre ma bouche sur sa hampe continuant à remuer ma langue pour le cajoler. Il n’y a pas de doute se traitement lui plait. Je me mets maintenant à le sucer en de long va et vient mais veille bien à ne jamais le prendre en entier dans ma bouche. Je m’active un petit moment avant de le faire ressortir et de passer ma langue sur tu sa longueur. Je l’entends gronder.
« Tu me reprends en bouche et tu me suces bien à fond »
Je le reprends mais vas et viens avec ma bouche mais continue à ne pas l’accueillir en entier. Impatient, il se saisie de ma tête et la maintenant s’enfonce jusqu’au fond. Il se retire et reviens doucement puis avec le plaisir d’être au fond de ma bouche, il accélère le mouvement me ramenant de ses main vers lui dans une cadence rythmé qui me laisse à peine le temps de respirer. Ses mouvement deviennent brutaux et d’un coup s’immobile au fond en me regardant dans les yeux.
« Je vais bientôt jouir, et je veux que tu avales tout comme la petite chienne que tu es ce soir »
Doucement, j’acquiesce de la tête et il reprend ses vas et viens s’en s’occuper de moi. Il me baise la bouche, venant buter au fond à chaque coup de rein. Son plaisir est sur le point de venir et il s’immobilise de nouveau bien au fond et se met à donner de petit coups jusqu’à ce que le premier jet de sperme vienne frapper m’a bouche et que je l’avale. Une fois le dernier jet avalé, il se retire jusqu’à ce que seul son gland soit encore dans ma bouche.
« Tète le jusqu’à ce qu’il soit bien propre »
Aussitôt, j’entreprends de petites sucions sur son gland, le cajolant de ma langue pour faire disparaitre toute trace de sperme.
« Tu mouilles ? »
« Oui »
« Montre-moi, tu te mets un doigt puis me le montre »
Je vais pour me lever et lui obéir mais il m’en empêche me maintenant dans ma position initiale.
« Je ne t’ai pas dit de bouger. Tu restes à genoux avec mon sexe dans ta bouche et tu obéis. »
Je reprends ma position et glisse un doigt en moi. Il n’a aucune difficulté à entrer tellement je suis mouillée. Je n’ai pas arrêté de couler tout le temps que je le sucer et qu’il me baiser la bouche. Je fais faire quelque aller-retour à mon doigt et laisse échapper quelques soupirs de plaisir. Je l’entends se racler la gorge et je sors rapidement mon doigt et le lui temps pour qu’il puisse constater à quel point je suis humide.
« Ça t’a bien excité de me sucer. Tu dégoulines littéralement, regarde tu en as mis sur le sol»
Je baisse les yeux et voie effectivement que ma mouille s’étale sur le sol.
« Tu vas aller chercher ce qu’il faut pour essuyer »
Je me vais pour me lever mais une nouvelle fois il me maintient en position.
« A quatre pattes, une chienne se déplacement à quatre patte et c’est ce que tu es pour le moment à mouiller comme ça »
Je m’en vais donc à quatre pattes remuant bien les fesses pour l’exciter.
« Cambre-toi bien que ton cul ressorte bien quand tu te trémousses. Quitte à m’exciter autant bien le faire »
Je continue à me déplacer veillant bien à ce que mes fesses restent dans son champ de vision, écartant un maximum les cuisses pour qu’il puisse entre apercevoir ma chatte. Il me fait m’arrêter et vient se mettre derrière moi pour me venir cajoler ma chatte de sa langue. Quelques coups bien placés et mon corps réagis essayant d’échapper à cette langue diabolique alors même qu’il en redemande.
« Je t’interdis de bouger mais tu peux gémir autant que tu veux»
Sa langue reprend son manège léchant, suçant, triturant mon clitoris. Je m’efforce de ne pas bouger mais la tâche est difficile, il ne me laisse pas de répit. J’ai l’impression qu’elle est partout à la fois, mes muscles se crispent sous la concentration. L’orgasme est en train de monter, j’halète de plus en plus et de moins en moins élégamment. Il suffirait qu’il me pénètre ne serai ce qu’un peu et je partirai. On voit qu’il me connait bien, car il se retient bien de ne pas franchir cette barrière. Je deviens folle sous ses caresses, je n’ai plus qu’une envie, jouir. Il joue avec moi m’amenant au plus près du précipice tout en m’empêchant d’y tomber.
D’un coup sa langue arrêta son ballet infernal et aussitôt un gode s’enfonça dans ma chatte déclenchant un orgasme explosif. Il remue celui-ci en moi tout le temps que dure ma jouissance, l’accompagnant de mouvement rapide et profond, libérant toute sa puissance.
Doucement nous reprenons nos esprits, revenant au présent, de nouvelles idées pour poursuivre la soirée jaillissant déjà dans nos esprits. La sonnette retentie.
« Tu attends quelqu’un ? »
« Juste une surprise »
« Quel genre de surprise ? »
« Il faut que je te prépare avant que tu la vois »
« Je t’en prie dispose donc de m’on corps de mâle »
« C’est bien mon attention »
Je l’entraine dans la chambre, et lui ôte ses vêtements un par un prenant tout mon temps pour le mettre à nu profitant de chaque partie mise à nu. Je laisse vagabonder mes mains sur lui, je me baisse et prend son sexe dans ma bouche, le temps de lui redonner vie. Une fois ma tâche accomplie je le fais assoir au bord du lit les jambes écartées mettant en valeur da bite bien raide. Je termine ma préparation en lui bandant les yeux d’un foulard avant de me pencher à son oreille.
« Ne bouge pas, et je reviens avec la surprise. Et garde la bien raide, mais tu n’y touche pas »
« Je suis impatient »
« Pas tant que moi »
Je sors de la chambre et vais ouvrir la porte à notre visiteur. Nous nous mettons à chuchoter pour ne pas être entendus.
« Il est prêt ? »
« Oui, il nous attend bien qu’il ne sache pas ce qu’il attend »
« Il ne se doute de rien ? »
« De rien du tout, ça sera une totale surprise »
« On y va alors »
« Suis-moi ! »
Nous arrivons dans la chambre, il est toujours dans la position dans laquelle je l’ai laissé. Nous restons sur le pas de la porte et observons ses réactions. Je me déplace plutôt bruyamment dans la chambre permettant à ma surprise de s’approcher sans éveiller trop ses soupçons. Je le vois essayer de suivre mes mouvements et se demander où est la surprise. Je me rapproche de lui et viens poser ma main sur sa bite, doucement je la fais coulisser de haut en bas sur toute sa longueur, augmentant la pression de mes doigts sur son sexe au fur et à mesure que je le branle, de petites plaintes s’échappe de ses lèvres. Je stoppe mes mouvements, le frustrant au passage, j’attends quelques instants avant de me pencher à nouveau à son oreille.
« Tu ne préférerai pas une jolie bouche sur ta queue avant de passer aux choses sérieuses »
« Je ne dis jamais non à une petite pipe, tu devrais le savoir depuis le temps »
« Je sais par contre tu t’interdis d’utiliser tes mains sinon je les attaches »
Je souris et fais signe à mon complice de s’approcher et de se mettre sa bouche en action. Il penche la tête et gobe son sexe en entier. Il commence fort. Les lèvres bien serrées, je le vois monter et descendre en rythme le long de sa hampe, aspirant plus fort lorsqu’il arrive sur le gland. Il reste un petit moment sur le gland, il le cajole de langue puis il relâche la pression et s’en va donner quelques petits coups de langue sur ses couilles. Je le vois qui se retient d’avancer ses mains, alors que la bouche reprend possession de son sexe. Je le vois qui a de plus en plus de mal à se retenir, je sens que sa jouissance se rapproche mais ce n’est pas le moment encore. Je fais un petit signe et son sexe se retrouve abandonné. De nouveau, je me rapproche de son oreille.
« Je ne voulais pas que tu jouisses avant d’avoir rendu la pareille »
« J’ai hâte »
« Moi aussi, moi aussi »
Je sourie, savourant la suite qui ne va plus tarder. Un nouveau petit signe, et il se redresse se positionnant à la hauteur de son visage. Nouveau petit signe et je penche de nouveau à son oreille.
« Bien maintenant, tu ouvres grand la bouche et sors ta langue »
Il s’exécute aussitôt, pressé de passer à l’action.
« Et maintenant te me laisse te guider et tu te contentes de sucer de ton mieux. Je sais que tu sais faire »
Doucement je pose mes mains sur ses joues et dirige sa bouche sur ce sexe qui n’attend plus que lui. Il se laisse guider, jusqu’à ce qu’il se rende compte que contrairement à ce qu’il pensait il ne s’agit pas d’un sexe féminin mais d’une bite. Il comprend également que c’est un mec qui vient de le sucer et nullement une femme comme il se l’était imaginé. Il essaie de se désengager mais je tiens bon et l’oblige à engloutir cette bite jusqu’au bout. Je la laisse empaler un petit moment, le temps qu’il comprenne qu’il doit sucer cette bite qu’il a en bouche. J’aperçois enfin ça langue qui se met en action et j’entreprends alors de faire coulisser sa tête lui permettant ainsi de pouvoir apprécier toute la longueur de cette bite. Je laisse mon complice reprendre la main sur cette fellation, n’intervenant plus que ponctuellement pour qu’il le prenne bien à fond de bouche.
La température est très chaude maintenant et il me semble plus que temps que l’on s’occupe de moi. Je viens me mettre à califourchon sur lui et viens frotter mon clitoris sur sa bite qui malgré la surprise de couverte précédente et toujours bien dure. Ces frottements ne suffisent pas, ma chatte a besoin d’être comblée. J’arrête la pipe en cours et invite la surprise à venir savoir sur le lit à sa place. Aussitôt installé, je viens m’enfourcher sur ce sexe tendu qui n’attend que moi. Je descends lentement, le sentant m’écarteler progressivement pour entrer jusqu’au bout. Une fois bien empalée sur sexe qui me remplit, je l’attire à moi et lui et lui parle à nouveau l’oreille.
«Tu n’utilises que mes seins pour arriver à ta jouissance. »
Je commence à monter et à descendre sentant bien le sexe prendre possession de ma chatte. Les mains poser sur mes hanches il guide mes mouvements, m’obligeant à de lents mouvements alors que ses mains se sont posées sur mes seins et font rouler mes tétons, les étirent ou pas. Sa bouche maintenant à remplacer ses mains et les tètent avidement, mes mouvements du bassin ont pris de la vitesse et je sens mes fesses venir cogner à chaque fois contre lui.
La tension monte de plus en plus, les gémissements sont de plus en plus forts et il devient difficile de savoir lesquels appartiennent à qui. Mes mouvements se sont encore amplifiés et la pression des mains sur mes hanches s’est renforcée donnant une certaine brusquerie à mes mouvements lorsque je viens m’empaler. Sa bite est venu se promener sur ma poitrine en dessinant les contours avant de venir se placer dans la vallée de mes seins, ses mains venant les comprimer sur sa bite alors qu’il entame des vas et viens. Ma langue est sortie et lèche son gland quand il passe à proximité de ma bouche.
Nous arrivons tous à nos limites et notre jouissance est sur le point d’exploser, j’enlève le foulard et lui rend la vue. La première chose qu’il voit est sa bite qui coulisse entre mes seins puis ses yeux se posent sur mon sexe empalé sur cette bite qui me prend sans ménagement. Son sperme fuse sur mon visage, l’orgasme fait se tendre les traits de son visage. Le voir jouir déclenche ma jouissance et entraine par ricochet celle du sexe qui me ramone férocement depuis quelques instants. Nos cris se répercutent dans la chambre, nos mouvements deviennent frénétiques puis vient le calme d’après la jouissance. Je me retire tandis qu’il me tend un mouchoir pour faire disparaitre les traces de spermes sur mon corps mais pour le moment je ne souhaite pas les faire disparaitre, je veux qu’il puisse contempler sa jouissance avant de la faire disparaitre.
Je me suis décidée à prendre une douche pour faire disparaitre les traces de nos ébats. A ma sortie il m’attend, une petite étincelle vicieuse dans le regard, je crois bien que la soirée n’est pas encore terminée. Il me fait signe de m’approcher et me retire ma serviette.
« Tu n’en auras pas besoin»
« Qu’a tu en tête ? »
« Tu verras, monte sur le lit est met toi à quatre pattes »
Je le regarde et la petite lueur dans ses yeux a grandi, je frissonne d’anticipation. Je monte sur le lit, m’étire sensuellement avant de me mettre dans la position demandée. Sa main descend le long de ma colonne vertébrale, s’arrête sur mes fesses, les flattent. Il s’éloigne et revient avec de liens, il commence par me lie les chevilles au lit les ecartant au maximum puis il me fait poser la tête sur le matelas et me ramène les bras dans le dos pour les lier ensemble. Une fois immobilisée, il se met à hauteur pour me parler à l’oreille.
« Attachée comme ça tu ne peux plus m’échapper »
J’ouvre la bouche pour parler mais son doigt se pause sur mes lèvres m’intimant le silence.
« Chut, je ne veux entendre des oh oui, encore, plus fort »
J’acquiesce de la tête.
« Maintenant suce ma bite pour lui redonner un de la vigueur »
J’ouvre la bouche et attend qu’il me présente sa bite. Il s’amuse à l’approcher aux bords de mes lèvres et lorsque je fais mine de refermer ma bouche dessus s’éloigne avant de l’approcher de nouveau. Il s’enfonce au fond de ma bouche venant en butée contre ma gorge, ma langue tourne autour de son sexe alors que celui-ci rentre et sors tantôt rapidement tantôt lentement. Il s’enfonce une dernière fois bien au fond, ses couilles venant s’écraser sur mon visage. Il se retire, me contourne et vient s’enfoncer dans ma chatte d’une seule poussée. Je mouille comme une folle.
Alors qu’il commence de petits vas et viens dans mon sexe, je sens un liquide frais couler et s’insinuer entre mes fesses. De son doigt il étale lentement le liquide autour de mon anus avant de l’y faire pénétrer en même temps que son doigt. Doucement il effectue de petit mouvement circulaire tout en y ajoutant régulièrement du lubrifiant. Alors qu’il accélère la cadence de ses vas et viens dans ma chatte, il en profite pour faire pénétrer un deuxième doigt dans mon cul.
Son sexe ressort de ma chatte et ses doigts de mon arrière train. Son sexe vient se frotter contre mon anus, appuyant à l’entrée.
« Non, tu ne vas pas .. »
« Tut, tut, tu as oublié que des oh oui, plus fort, encore.»
«S’il te plait, tu ne … »
« Je vais t’aider à te taire puisque tu en es incapable »
Un sexe se présente à ma bouche avant de l’investir, me réduisant de fait au silence.
« Comme je suis d’humeur charitable, la réponse à ta question est oui je vais t’enculer, en profondeur, sans te ménager et quelques soit tes réticences. Tu me dois bien ça »
Je sens sa bite appuyer plus fermement sur mon anus, l’obligeant à s’ouvrir lentement. Augmentant toujours la pression, son gland fini par passer l’étroit anneau me faisant pousser un cri vite étouffé par la bite présente dans ma bouche. Pendant que sa bite s’immobilise dans mon cul me laissant le temps de m’habitué à sa présence, celle de m’a bouche se met en mouvement, dedans, dehors, ma langue s’active sur le gland le titillant doucement.
Son sexe s’est remis en mouvement dans mon cul, s’enfonçant régulièrement jusqu’à être en totalité entré. Aussitôt, il entreprit de ressortir et de la rentrer de nouveau me faisant pousser un nouveau cri. Ses coups reins me propulsent un peu plus sur le sexe que je suis en train de sucer me faisant m’étouffer par moment dessus. Il poursuit ses mouvements de plus en plus forts, me malmenant un peu au passage, il n’a vraiment pas l’intention de me ménager. Une de ses mains descend entre mes cuisses et vient se poser sur mon clitoris, le frotte, le stimule pour me faire jouir. Ma jouissance explose, alors que je sens sa main se crisper sur ma hanche et son sperme se répandre en moi.
Ma bouche est libéré de la présence de son bâillon, il me contourne et viens répandre son plaisir sur ma chute de reins. Il me libère et je m’effondre dans ses bras et je chuchotte.
« Joyeux anniversaire »
« Merci pour ce cadeaux »