Un cadeau inoubliable (suite)
Récit érotique écrit par Norbert [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-06-2007 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Un cadeau inoubliable (suite)
J'étais donc en train de déguster ma part de gâteau à la crème entre les cuisse de Lia qui manifestait bruyamment son plaisir, pendant que Jeanne me suçait avec gourmandise et entrain. Cette dernière m'avait fait réellement un royal cadeau en invitant sa jeune collègue déguisée en none, ce qui ajoutait au coté pervers de ce don plein de charme et de chaleur.
Ayant terminé mon dessert, je lapais à grands coup de langue dans la chatte de Lia et soudain Jeanne interrompit sa fellation, et me demanda de donner mon sexe à sucer à Lia pour qu'elle aussi ait son dessert crémeux. Après quelques coups de langues maladroits de la pucelle je lui déchargeais mon foutre épais au fond de la gorge, elle n'eut ni haut le coeur ni mouvement de recul ce qui présageait de ses dispositions à l'amour. Elle avala tout, mais cette salope de Jeanne vint lui rouler une pelle pour récupérer un peu de ce bon sperme dont elle aime à se régaler.
Je demandais à Lia de quitter son déguisement car je n'avais pas encore vu ni touché ses seins et je sentais que ces derniers seraient si je puis dire la cerise sur le gâteau. En effet, aidée de Jeanne elle quitta sa robe sous laquelle elle était nue, et je vis apparaître deux superbes ogives aux aréoles larges et gonflées, avec des pointes arrogantes qui étaient une invite aux mains et aux bouches vers qui elles se tendaient.
Jeanne se mit à lui sucer, mordiller, lécher le sein droit pendant que je m'occupais tout aussi activement du gauche. Lia était alors assise sur la table et se trouvait à la hauteur idéale pour que nous nous occupions de ses superbes et fiers tétins.
Je profitais de sa position, jambes légèrement ouvertes, pour partir à la découverte de cette petite chatte que seule ma langue et ma bouche avaient exploré.
Je remontais lentement le long de la jambe fuselée atteignant bientôt une cuisse déjà moite de sueur des exercices précédents et des présent. Cette moiteur et cette chaleur me guidèrent naturellement vers ce calice des délices que rien ne gênait pour en apprécier la douceur. J'effleurai tout d'abord la petite perle cachée en haut de la fleur et la massait doucement du pouce, la faisant gonfler et bander à force de sollicitations.
Lia de son coté, avait empoigné mon sexe et le masturbait, le caressait comme une bête que l'on veut apprivoiser. Ces différentes manoeuvres redonnèrent de la vigueur à ma queue qui s'allongea et grossi dans cette main innocente mais pas maladroite.
Lia, voyant que mon sexe avait pris des proportions intéressantes demanda à jeanne si je pouvais l'enculer comme une chienne qu'elle est. Jeanne lui dit qu'elle était bien gourmande de me céder son pucelage anal avant son conin, Lia lui répondit que si elle passait l'épreuve de la sodomie avec succès le reste serait bien meilleur.
Jeanne ne voulant pas la contrarier et connaissant mes goûts pour la porte étroite des femmes, elle prit de l'huile d'amande douce qu'elle avait laissé à porté de main et commença l'apprentissage de l'anus de Lia à une intromission qui risquait vu mon calibre d'être douloureuse. Elle commença par l'index tout en lui brouttant la chatte puis vint le pouce et enfin après un bon moment et avec l'accord de Lia elle lui enfonça deux doigts doigts dont elle pistonna cet antre de tout les plaisirs.
Lorsque Jeanne jugea que Lia était prête, elle me céda la place. Je fit mettre Lia à quatre pattes sur le fauteuil, le cul bien relevé et offert, tendu vers ma bite qui n'avait jamais été a telle fête.
La suite de cette soirée dans un prochain HDS.
Ayant terminé mon dessert, je lapais à grands coup de langue dans la chatte de Lia et soudain Jeanne interrompit sa fellation, et me demanda de donner mon sexe à sucer à Lia pour qu'elle aussi ait son dessert crémeux. Après quelques coups de langues maladroits de la pucelle je lui déchargeais mon foutre épais au fond de la gorge, elle n'eut ni haut le coeur ni mouvement de recul ce qui présageait de ses dispositions à l'amour. Elle avala tout, mais cette salope de Jeanne vint lui rouler une pelle pour récupérer un peu de ce bon sperme dont elle aime à se régaler.
Je demandais à Lia de quitter son déguisement car je n'avais pas encore vu ni touché ses seins et je sentais que ces derniers seraient si je puis dire la cerise sur le gâteau. En effet, aidée de Jeanne elle quitta sa robe sous laquelle elle était nue, et je vis apparaître deux superbes ogives aux aréoles larges et gonflées, avec des pointes arrogantes qui étaient une invite aux mains et aux bouches vers qui elles se tendaient.
Jeanne se mit à lui sucer, mordiller, lécher le sein droit pendant que je m'occupais tout aussi activement du gauche. Lia était alors assise sur la table et se trouvait à la hauteur idéale pour que nous nous occupions de ses superbes et fiers tétins.
Je profitais de sa position, jambes légèrement ouvertes, pour partir à la découverte de cette petite chatte que seule ma langue et ma bouche avaient exploré.
Je remontais lentement le long de la jambe fuselée atteignant bientôt une cuisse déjà moite de sueur des exercices précédents et des présent. Cette moiteur et cette chaleur me guidèrent naturellement vers ce calice des délices que rien ne gênait pour en apprécier la douceur. J'effleurai tout d'abord la petite perle cachée en haut de la fleur et la massait doucement du pouce, la faisant gonfler et bander à force de sollicitations.
Lia de son coté, avait empoigné mon sexe et le masturbait, le caressait comme une bête que l'on veut apprivoiser. Ces différentes manoeuvres redonnèrent de la vigueur à ma queue qui s'allongea et grossi dans cette main innocente mais pas maladroite.
Lia, voyant que mon sexe avait pris des proportions intéressantes demanda à jeanne si je pouvais l'enculer comme une chienne qu'elle est. Jeanne lui dit qu'elle était bien gourmande de me céder son pucelage anal avant son conin, Lia lui répondit que si elle passait l'épreuve de la sodomie avec succès le reste serait bien meilleur.
Jeanne ne voulant pas la contrarier et connaissant mes goûts pour la porte étroite des femmes, elle prit de l'huile d'amande douce qu'elle avait laissé à porté de main et commença l'apprentissage de l'anus de Lia à une intromission qui risquait vu mon calibre d'être douloureuse. Elle commença par l'index tout en lui brouttant la chatte puis vint le pouce et enfin après un bon moment et avec l'accord de Lia elle lui enfonça deux doigts doigts dont elle pistonna cet antre de tout les plaisirs.
Lorsque Jeanne jugea que Lia était prête, elle me céda la place. Je fit mettre Lia à quatre pattes sur le fauteuil, le cul bien relevé et offert, tendu vers ma bite qui n'avait jamais été a telle fête.
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