Un certain repas de famille.
Récit érotique écrit par Chelmi34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-11-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un certain repas de famille.
L’histoire se passe lors d’un repas de famille. En effet, chaque année à cet époque, nous fêtons l’anniversaire de Sylvain, mon tendre et cher époux. Il a quarante ans aujourd’hui.
A l’occasion de cet anniversaire, je me suis offerte une bonne partie de la nuit. On a baisé, je l’ai sucé, on a bien jouit. Seul ombre au tableau, il ne me propose jamais de me sodomiser, malgré mes envies de sentir sa queue, dans mon petit trou. Bref…
Parmi les invités, il y a ses parents, bien sur, les miens, et Hervé, le meilleur pote de mon mari, toujours de la partie. Faut dire qu’il est toujours célibataire. On lu prête bien quelques aventures, mais rien de bien sérieux. Dommage, car il est très séduisant. Du reste, j’avais eu un flirt avec lui au lycée, mais sans lendemain. Après, j’ai rencontré Sylvain.
Moi, je m’appelle Céline, la quarantaine, avec de très beaux restes, des seins bien fermes, des lèvres pulpeuses, que mon mari adore quand je le suce.
Le repas se passe dans une ambiance feutrée, rien d’exceptionnel. Je remarque que ce soir, Hervé me tourne autour. A l’apéro, il est à côte de moi, à table pareil. Jusqu’en cuisine.
Je suis en train de rincer de la vaisselle, quand je sens des mains, me prendre par les hanches. Je pense de suite à mon mari, qui très souvent, me fait ce genre de blague. Je me retourne, et tombe nez à nez avec Hervé.
-Mais. que t’arrive-t-il, ça va pas, lui dis-je.
-Désolé, dit-il, mais j’avais un truc à te proposer.
-Et ça t’oblige à me prendre par la taille. Vas-y, je t’écoute.
-Heu...c’est à dire que...c’est pas facile.
-Arrêtes, ça fait plus de vingt ans qu’on se connaît. Allez, lances toi.
-Je voudrais pas que tu te fâches.
-Vas-y, dis toujours-Voila, poursuit Hervé. Ca fait quelque temps que j’ai un fantasme.
-A bon, et lequel, dis moi.
-J’ai envie que tu me tailles une pipe.
-Quoi...mais t’es fou, tu n’y penses pas. Tu oses demander ça à la femme de ton meilleur pote?
-Je suis désolé, s’excuse-t-il, je t’ai rien dit. J’espère que cette discussion restera entre nous.
Hervé quitte le cuisine, et rejoint les autres invités. Je suis sidérée par sa proposition, lui le meilleur copain de mon mari.
Quand j’apporte le dessert, j’évite son regard.
Je m’installe auprès de Sylvain, quant à Hervé, il a changé de place. Perdue dans mes pensées, je n’entends pas ce que mon mari me dit.
-Ohé, mon amour, t’es avec nous.
-Désolé mon chéri, j’étais ailleurs. Tu veux quoi?
-Tu devrais commencer à débarrasser
C’est vrai que suis ailleurs. Du reste, pendant tout le repas, je pense à la proposition d’Hervé. Je m’imagine, à genoux, en train de sucer sa queue. Pour me changer les idées, je commence à lever la table. Arrivée à la cuisine, Hervé est derrière moi, avec une pile d’assiettes.
-Alors, me dit-il, tu as réfléchi.
-C’est tout réfléchi. Ôte toi ça de la tête.
-Mais enfin, poursuit Hervé, ce n’est qu’une pipe!
-Je sais...mais je suis fidèle, je n’ai jamais trompé mon mari.
-Avoue qu’il s’en est fallu de peu.
Hervé fait allusion à une certaine soirée ou Sylvain m’avait surpris sur le point de tailler une pipe à un jeune beur, qui m’avait emmener dans sa voiture.
-Oui, je l’avoue. J’étais très alcoolisée. Mais il ne sait rien passé. Mais toi, tu te rends compte, te faire sucer par la femme de ton meilleur copain. Imagine, s’il apprend ça.
-OK, oublie çà dit-il. Je vais y aller, tu n’entendras plus parler de moi.
-Mais enfin, Hervé, ne le prend pas comme çà. Tu sais bien que c’est impossible, vis à vis de mon mari, de ton pote.
Je suis déçu de voir Hervé le prendre ainsi, car après tout, je l’aime bien. Aussi, je ne peux m’empêcher de m’imaginer en train de lui tailler une pipe.
L’heure arrive ou mon mari doit ramener ses parents chez eux. Cent cinquante bornes.
Plus l’heure du départ approche, plus la proposition d’Hervé prend corps dans ma tête.
Après tout, ce n’est qu’une pipe. Et qui sait...
Par la fenêtre, je vois Hervé en grande discussion avec Sylvain. Que peuvent-ils se dire.
Quand j’accompagne mon mari à la voiture, je lui demande s’il y a un souci avec son copain.
-Mais pas du tout ma chérie. Comme je dois ramener mes parents, je lui ai demandé de te donner un coup de main.
-Et…-Ben, il m’a dit qu’il n’avait pas trop le temps.
-C’est pas grave, je me débrouillerai toute seule.
Allez, sois prudent. Bisous.
Je finis de ranger la vaisselle, quand je sens une présence derrière moi. Je me retourne, Hervé me regarde en souriant. Il s’approche, me prend mes mains. Il tente de m’embrasser, mais je l’évite, à plusieurs reprises. Il insiste. Petit à petit, j’abandonne toute résistance, répond au baiser. Mieux, c’est même moi qui met la langue. J’ai le sentiment que je vais faire une grosse bêtise. Je le repousse, tombe à ses genoux, et ouvre sa braguette.
Une queue énorme jaillit de son pantalon.
«Ouah, comme il est monté.»Je la prend en main, la décalotte, et commence à la branler. J’excite le gland avec ma langue, et le prend en bouche. Hervé pousse un léger soupir. Je sens sa bite enfler dans ma bouche. Après quelques minutes, c’est l’explosion, imprévisible. Le sperme gicle au fond de ma gorge. Hervé essaie de se retirer...trop tard, j’ai tout avaler.
Pendant tout ce temps j’avais glissé une main entre mes cuisses, écarté ma culotte. D’un doigt, je m’étais caressé la chatte, doigté mon petit bouton. Je suis toute trempe.
Ce qui ne m’empêche pas, de garder la queue en bouche, l’enrouler avec ma langue, et, sans la sortir, entame une deuxième pipe.
La seconde rafale est aussi copieuse que la première. Cette fois, Hervé n’essaie pas de se retirer. Encore une fois, j’avale tout.
En à peine vingt minutes, je lui ai vidé deux fois les couilles. Hervé me relève, et ignorant le sperme qui coule sur mes lèvres, m’embrasse.
-T’es content...t’en a eu deux pour le prix d’une.
-Merci Céline, tu es adorable.
-Tiens...un message de Sylvain.
« Suite à de violents orages, je ne peux rentrer. Je reste chez mes parents pour la nuit. Bisous.»-Rien de grave, demande Hervé.
-Non, Sylvain est bloqué par la météo. Il ne rentrera que demain.
-Ici aussi, l’orage menace. Je peux rester si tu as peur...je prendrais le canapé.
-J’aimerais bien...mais j’ai de la place dans mon lit.
Je prend Hervé par la main, l’entraîne à la chambre. La surprise se lit sur son visage, mais ne refuse pas l’invitation.
La nuit a été torride. Je dois avouer qu’Hervé a assuré. Sa réputation de baiseur, n’est pas erronée. Et ce que mon mari m’a toujours refusé, lui me l’a donnée. Il m’a enculée profond, et à plusieurs reprises.
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A l’occasion de cet anniversaire, je me suis offerte une bonne partie de la nuit. On a baisé, je l’ai sucé, on a bien jouit. Seul ombre au tableau, il ne me propose jamais de me sodomiser, malgré mes envies de sentir sa queue, dans mon petit trou. Bref…
Parmi les invités, il y a ses parents, bien sur, les miens, et Hervé, le meilleur pote de mon mari, toujours de la partie. Faut dire qu’il est toujours célibataire. On lu prête bien quelques aventures, mais rien de bien sérieux. Dommage, car il est très séduisant. Du reste, j’avais eu un flirt avec lui au lycée, mais sans lendemain. Après, j’ai rencontré Sylvain.
Moi, je m’appelle Céline, la quarantaine, avec de très beaux restes, des seins bien fermes, des lèvres pulpeuses, que mon mari adore quand je le suce.
Le repas se passe dans une ambiance feutrée, rien d’exceptionnel. Je remarque que ce soir, Hervé me tourne autour. A l’apéro, il est à côte de moi, à table pareil. Jusqu’en cuisine.
Je suis en train de rincer de la vaisselle, quand je sens des mains, me prendre par les hanches. Je pense de suite à mon mari, qui très souvent, me fait ce genre de blague. Je me retourne, et tombe nez à nez avec Hervé.
-Mais. que t’arrive-t-il, ça va pas, lui dis-je.
-Désolé, dit-il, mais j’avais un truc à te proposer.
-Et ça t’oblige à me prendre par la taille. Vas-y, je t’écoute.
-Heu...c’est à dire que...c’est pas facile.
-Arrêtes, ça fait plus de vingt ans qu’on se connaît. Allez, lances toi.
-Je voudrais pas que tu te fâches.
-Vas-y, dis toujours-Voila, poursuit Hervé. Ca fait quelque temps que j’ai un fantasme.
-A bon, et lequel, dis moi.
-J’ai envie que tu me tailles une pipe.
-Quoi...mais t’es fou, tu n’y penses pas. Tu oses demander ça à la femme de ton meilleur pote?
-Je suis désolé, s’excuse-t-il, je t’ai rien dit. J’espère que cette discussion restera entre nous.
Hervé quitte le cuisine, et rejoint les autres invités. Je suis sidérée par sa proposition, lui le meilleur copain de mon mari.
Quand j’apporte le dessert, j’évite son regard.
Je m’installe auprès de Sylvain, quant à Hervé, il a changé de place. Perdue dans mes pensées, je n’entends pas ce que mon mari me dit.
-Ohé, mon amour, t’es avec nous.
-Désolé mon chéri, j’étais ailleurs. Tu veux quoi?
-Tu devrais commencer à débarrasser
C’est vrai que suis ailleurs. Du reste, pendant tout le repas, je pense à la proposition d’Hervé. Je m’imagine, à genoux, en train de sucer sa queue. Pour me changer les idées, je commence à lever la table. Arrivée à la cuisine, Hervé est derrière moi, avec une pile d’assiettes.
-Alors, me dit-il, tu as réfléchi.
-C’est tout réfléchi. Ôte toi ça de la tête.
-Mais enfin, poursuit Hervé, ce n’est qu’une pipe!
-Je sais...mais je suis fidèle, je n’ai jamais trompé mon mari.
-Avoue qu’il s’en est fallu de peu.
Hervé fait allusion à une certaine soirée ou Sylvain m’avait surpris sur le point de tailler une pipe à un jeune beur, qui m’avait emmener dans sa voiture.
-Oui, je l’avoue. J’étais très alcoolisée. Mais il ne sait rien passé. Mais toi, tu te rends compte, te faire sucer par la femme de ton meilleur copain. Imagine, s’il apprend ça.
-OK, oublie çà dit-il. Je vais y aller, tu n’entendras plus parler de moi.
-Mais enfin, Hervé, ne le prend pas comme çà. Tu sais bien que c’est impossible, vis à vis de mon mari, de ton pote.
Je suis déçu de voir Hervé le prendre ainsi, car après tout, je l’aime bien. Aussi, je ne peux m’empêcher de m’imaginer en train de lui tailler une pipe.
L’heure arrive ou mon mari doit ramener ses parents chez eux. Cent cinquante bornes.
Plus l’heure du départ approche, plus la proposition d’Hervé prend corps dans ma tête.
Après tout, ce n’est qu’une pipe. Et qui sait...
Par la fenêtre, je vois Hervé en grande discussion avec Sylvain. Que peuvent-ils se dire.
Quand j’accompagne mon mari à la voiture, je lui demande s’il y a un souci avec son copain.
-Mais pas du tout ma chérie. Comme je dois ramener mes parents, je lui ai demandé de te donner un coup de main.
-Et…-Ben, il m’a dit qu’il n’avait pas trop le temps.
-C’est pas grave, je me débrouillerai toute seule.
Allez, sois prudent. Bisous.
Je finis de ranger la vaisselle, quand je sens une présence derrière moi. Je me retourne, Hervé me regarde en souriant. Il s’approche, me prend mes mains. Il tente de m’embrasser, mais je l’évite, à plusieurs reprises. Il insiste. Petit à petit, j’abandonne toute résistance, répond au baiser. Mieux, c’est même moi qui met la langue. J’ai le sentiment que je vais faire une grosse bêtise. Je le repousse, tombe à ses genoux, et ouvre sa braguette.
Une queue énorme jaillit de son pantalon.
«Ouah, comme il est monté.»Je la prend en main, la décalotte, et commence à la branler. J’excite le gland avec ma langue, et le prend en bouche. Hervé pousse un léger soupir. Je sens sa bite enfler dans ma bouche. Après quelques minutes, c’est l’explosion, imprévisible. Le sperme gicle au fond de ma gorge. Hervé essaie de se retirer...trop tard, j’ai tout avaler.
Pendant tout ce temps j’avais glissé une main entre mes cuisses, écarté ma culotte. D’un doigt, je m’étais caressé la chatte, doigté mon petit bouton. Je suis toute trempe.
Ce qui ne m’empêche pas, de garder la queue en bouche, l’enrouler avec ma langue, et, sans la sortir, entame une deuxième pipe.
La seconde rafale est aussi copieuse que la première. Cette fois, Hervé n’essaie pas de se retirer. Encore une fois, j’avale tout.
En à peine vingt minutes, je lui ai vidé deux fois les couilles. Hervé me relève, et ignorant le sperme qui coule sur mes lèvres, m’embrasse.
-T’es content...t’en a eu deux pour le prix d’une.
-Merci Céline, tu es adorable.
-Tiens...un message de Sylvain.
« Suite à de violents orages, je ne peux rentrer. Je reste chez mes parents pour la nuit. Bisous.»-Rien de grave, demande Hervé.
-Non, Sylvain est bloqué par la météo. Il ne rentrera que demain.
-Ici aussi, l’orage menace. Je peux rester si tu as peur...je prendrais le canapé.
-J’aimerais bien...mais j’ai de la place dans mon lit.
Je prend Hervé par la main, l’entraîne à la chambre. La surprise se lit sur son visage, mais ne refuse pas l’invitation.
La nuit a été torride. Je dois avouer qu’Hervé a assuré. Sa réputation de baiseur, n’est pas erronée. Et ce que mon mari m’a toujours refusé, lui me l’a donnée. Il m’a enculée profond, et à plusieurs reprises.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bof encore un fantasme rien de plus.
Histoire idiote une femme fidèle ne taille pas de pipe au meilleur ami de la famille et encore moins l emmener dans son lit.Que dira t elle si son mari l apprends faut vraiment être idiote.
Adorable c'est tellement réel de vérité que l on si croirait presque 👏