Un couple à la plage (pour elle)
Récit érotique écrit par Helene2010 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-08-2010 dans la catégorie Plus on est
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Un couple à la plage (pour elle)
C'était il y a deux ans, en été. Pour la première fois nous partions en vacances sans nos enfants qui désormais ne
voulaient plus venir en vacances avec leurs parents. Nous voici donc à la Turballe et ce jour-là, nous étions allés
faire du nudisme sauvage sur la presqu'île de Penbron. Il n'y avait pas grand monde, des habitués que nous avions
déjà aperçu les jours précédents et un jeune couple est venu s'intaller à quelques mètres de nous.
Un gentil petit couple, elle très jolie et lui charmant jeune homme. Mon mari, épuisé par la nuit précédente, piquait
un somme. Moi, je regardais autour de moi en attente de je ne sais quoi quand j'ai vu la fille se mettre à branler son
ami. Elle était allongée à côté de lui et s'appuyait sur son coude. Son ami ne bandait pas et la fille s'employait à le
faire raidir puis elle a pris le pénis tendu bien en main et l'a bien masturbé. Le jeune homme ne bougeait pas et se
laissait faire et la fille me regardait dans les yeux tout en continuant sa branlette, comme une sorte de défi puis elle
s'est penchée sur son ami et a embouché le pénis et n'a plus arrêté de le sucer jusqu'à ce qu'elle se redresse,
triomphante et elle a repris mon regard. Elle avait les joues gonflées puis elle a allongé les lèvres et j'ai vu le sperme
s'écouler de sa bouche, blanchâtre et cassant et ça a duré un bon moment avant que la fille ne se redresse.
Elle me regardait toujours et je ne pouvais faire autrement que de la regarder mais j'ai fini par me relever et aller me
tremper les pieds dans l'eau. J'avais besoin de ça pour me calmer et je regardais au large pour ne pas regarder en
arrière quand la fille est arrivée et s'est arrêtée à côté de moi.
- J'adore le sperme, m'a-t-elle dit et je ne sais pas pourquoi !
Je n'ai pas pu faire autrement que d'éclater de rire. Le ton sur lequel cette fille avait dit ça. Elle avait l'âge d'être ma
fille et son ami celui d'être mon fils.
- Nous sommes mariés et nous avons bien le droit, a précisé la fille !
Je lui ai dit qu'il n'y avait pas besoin d'être mariés pour faire ça et elle m'a répondu par une impertinence :
- Vous étiez mariée quand vous avez fait ça pour la première fois ?
J'étais heureuse de lui dire que je ne l'étais pas, mais m'a-t-elle crue ?
- Il m'a tout de suite plu, a continué la jeune femme ! Et c'est un bon amant !
Je lui ai répondu que mon mari aussi, mais qu'elle verrait bien, qu'au bout de vingt ans...
- Je ne vous crois pas, a-t-elle continué !
- Vous avez quel âge, lui ai-je demandé ?
- Dix-neuf, presque vingt, a fait la fille !
-Vous avez commencé de bonne heure, lui ai-je fait, par dépit ! Et lui, quel âge a-t-il ?
- Vingt-cinq, m'a répondu la jeune femme !
- Hum, alors, c'est ça ! Il avait besoin d'une tendre poulette !
- Je ne sais pas, m'a-t-elle répondu !
Elle semblait en colère tout d'un coup.
- Vous deviez être très jeune, ai-je insisté ?
- Oui, très, a fait la jeune femme ! Un peu trop, mais si je ne savais pas ce que c'était, j'en avais trop envie !
- C'est ça le problème avec le sexe, lui ai-je répondu ! On voudrait bien savoir avant de commencer, mais même si
on sait, on ne peut pas s'empêcher !
- Oh, oui, j'aime ça, m'a répondu la fille ! Si c'était possible, je passerais ma vie accouplée avec mon mari ! Mais les
hommes ont souvent besoin de repos, tout du moins pour ça !
- Oui, c'est dommage, ai-je ajouté, car s'ils pouvaient rester raides, ce serait beaucoup plus amusant !
- Vous ne savez pas comment ça s'attrape, le priapisme, m'a demandé la fille ?
J'ai dit que je ne savais pas et nous sommes parties à rire avant d'aller nous mouiller un peu plus. L'eau était limite,
mais passé le bord, il y a eu une zone plus chaude et nous nous sommes enfoncées dans la mer plus avant. Je me
suis mise à nager et la jeune femme m'a suivie et comme elle était meilleure nageuse que moi, elle a commencé à
plonger et à passer sous moi puis elle a continué tout en essayant de m'attraper et ses mains ont glissé sur mes
seins et mon ventre avant de s'aventurer entre mes jambes.
Chaque fois qu'elle faisait surface, la fille me souriait. C'était un vrai coup de foudre d'amitié et elle a plongé encore
une fois sous l'eau et a collé sa bouche sur un de mes mamelons et sa main s'est aventurée sur ma vulve mais une
vague nous a déséquilibrées et nous nous sommes retrouvées cul par dessus tête sur le rivage.
- Tu aimes les femmes, lui ai-je demandé une fois que nous avons pu nous redresser ?
- Elles m'ont toujours attirée, m'a répondu la jeune femme !
- Alors, pourquoi t'es-tu mariée, me suis-je étonnée ?
- Parce que j'aime mon mari, m'a fait la fille !
- Tu dois être bisexuelle, ai-je conclu !
Elle ne semblait pas comprendre ce que ça voulait dire et je lui ai expliqué mais elle n'a pas très bien compris et m'a
dit que c'était comme faire l'amour avec un autre couple.
- Oui, si tu... fais l'amour avec elle et que vos hommes vous regardent, lui ai-je expliqué.
- Ah, c'est ça, m'a répondu la fille, faire l'amour avec les deux... sexes ? Vous l'avez déjà fait, m'a-t-elle demandé ?
Je lui ai avoué que j'avais déjà fait l'amour avec une de mes cousines et que pour le couple, que mon mari m'en avait
souvent parlé sans que ça se concrétise.
- J'ai vu un film, a continué la fille... Elle était seule et il y avait une vingtaine de types qui tous, les uns après les
autres... C'était dégoûtant !
- Dégoûtant en quoi, ai-je répondu ? La plupart du temps, ces filles sont des putains et ça ne les gêne pas !
- Des putains aussi belles, a protesté la fille ?
- Rassure-toi, lui ai-je dit, le sexe, ça prend n'importe qui, des plus moches aux plus belles et seules les plus belles
ont du succès dans les films !
Je l'ai regardée. Elle semblait choquée et j'ai insisté :
- Je suis sûre que si tu t'y mettais, toi, tu aurais pas mal de succès !
- Ah, non, m'a-t-elle fait, déjà que mon mari me filme et me photographie...
- J'ai mon appareil, ai-je continué. Tu es là pour combien de temps...
- On part à six heures m'a répondu la fille !
- Je ne voulais pas dire ça, lui ai-je rétorqué en me retenant de rire ! Je voulais juste savoir combien de jours encore
tu pourras venir sur la plage ?
- Ah, c'est dommage, m'a-t-elle répondu, on est venu en voiture de Nantes et on y retourne ! C'est là qu'on habite !
- Alors, c'est le hasard si on se rencontre, lui ai-je fait ?
- Oui, le hasard, a fait la jeune femme, songeuse !
J'ai tourné la tête. Mon mari dormait encore et le sien lisait un livre tout en se faisant bronzer.
- On retourne dans l'eau, m'a demandé la jeune femme ?
Je l'ai suivie. Nous sommes restées enfoncées dans l'eau sans bouger. L'eau était bien chaude à cet endroit. Inutile
d'aller risquer le froid. Seule notre tête dépassait des vagues et il suffisait de faire un petit saut pour y échapper.
- Faites-moi jouir, m'a demandé la fille !
- Quoi ?
- Personne ne verra rien, a ajouté la fille ! Et moi aussi, je vous ferais jouir !
- Petite impudente, ai-je conclu avant d'avancer mes doigts vers son entre-cuisse et quand j'ai commencé à la
toucher, elle commençait elle aussi à me doigter et ce furent des minutes magiques au bout desquelles j'ai cru que
j'allais mourir de plaisir.
- Ça t'a plu, ai-je demandé à la jeune femme une fois que nous avons retrouvé notre souffle ?.
- J'adore ça et d'autant que je me souvienne, je n'ai jamais cessé de me masturber, m'a avoué la fille !
J'avais l'impression d'avoir fait ça à ma fille aînée. Elle se ressemblaient un peu, surtout pour la coupe de cheveux. La
jeune femme a ensuite posé ses mains sur mes hanches puis sur ma poitrine et m'a dit qu'elle me jalousait d'avoir
des seins aussi gros.
- Vous verrez, quand vous aurez eu des enfants, lui ai-je dit pour la rassurer, les vôtres seront plus gros !
- J'espère bien, m'a répondu la jeune femme ! Je n'ai jamais pris la pilule ni fait quoi que ce soit, mais ça ne vient pas
!
- Vous avez fait des examens, lui ai-je demandé ?
- Non, m'a fait la fille ! Mon docteur dit que c'est trop tôt pour s'inquiéter !
Je m'étais surprise à jouer avec ses mamelons moi aussi et ce n'était pas une surprise que ses seins étaient bien
petits et puis elle était entièrement épilée et la peau de son ventre était douce.
- C'est dommage, a enfin dit la jeune femme...
- Dommage pour quoi, lui ai-je fait ?
- Dommage qu'on ne soit pas des lesbiennes, a continué la jeune femme ! On aurait pu se mettre ensemble ! Je peux
vous embrasser ?
J'ai regardé en arrière et je me suis dit que c'était sans doute inéluctable et quand je me suis retournée vers le large,
nous nous sommes embrassées à pleine bouche. Elle sentait bon et sa langue était dure et longue et pointue et m'a
ravagée la bouche avant qu'on ne finisse par se séparer. J'avais faim. Il devait être pas loin de midi. J'avais emporté
un panier picnic. Les jeunes avaient acheté des sandwichs. Je lui ai dit que ce n'était pas de la bonne nourriture et je
l'ai invitée à partager notre panier. Une fois essuyée, j'ai tiré notre barda près de leur position et nous avons pu nous
asseoir et j'ai tout de suite constaté que mon mari était bien réveillé parce qu'il reluquait la fille. Ça m'étonnait un
peu parce qu'il n'arrêtait pas de répéter qu'il aimait les gros nichons et qu'avec moi il était servi.
Il n'arrêtait pas de la regarder. Nous avons déjeuné et heureusement, ils avaient apporté un thermos de café puis
nous sommes restés assis en carré. Ils avaient aussi apporté un jeu de carte et nous avons commencé un tournoi de
belotte et j'ai déclaré en milieu de partie que celui qui gagnerait le tournoi pourrait choisir sa récompense. J'avais
une petite idée derrière la tête et vu que j'avais appris à jouer avec mon grand-père, je connaissais quelques petites
tricheries et je n'avais aucun doute que j'allais gagner, ce qui finit par arriver.
- Alors, m'a demandé le jeune époux ? Qu'est-ce que vous décidez ?
Je me suis mise à rougir mais je le faisais exprès. Je faisais toujours ça quand je voulais obtenir quelque chose.
- Vous avec moi et votre épouse avec mon mari, ai-je suggéré...
Du coup, c'est le jeune mari qui a rougi :
- Vous et moi ? Vous voulez dire que...
- Oui, ai-je continué, je veux dire que vous et moi et vous pouvez me faire tout ce que vous voulez ! Mon mari m'a
bien préparée au fil de toutes ces années !
- Je veux bien, a dit son épouse ! Je veux bien !
Elle était toute rose et toute émoustillée.
- On fait comment, a-t-elle demandé ensuite ? On fait en même temps ou les uns après les autres ?
J'ai regardé autour de nous. Les gens sur notre droite avaient déserté la plage et ne restait plus qu'un couple dans
notre dos, mais assez loin pour ne rien voir. Néanmoins, j'ai décidé qu'il vaudrait mieux que les deux spectateurs
s'assoient pour faire un rideau et cacher les deux autres, ce que mon mari et la fille on fait pendant que je
m'allongeais sur le côté. Le mari est venu derrière moi et a commencé par me peloter la poitrine. Il manquait un peu
d'expérience, forcément mais je me suis laissée faire et quand son épouse lui a dit de me sodomiser, je me suis à
nouveau laissée faire. C'est là qu'il a éjaculé et nous nous sommes laissés tomber sur le dos en plein soleil.
Ça avait été bon mais plutôt frustrant, mais son épouse m'avait donné un bel orgasme dans l'eau. Ne me restait plus
qu'à admirer la façon dont mon mari se débrouillerait avec cette jeunesse. Une famille venait de s'installer un peu
trop près de nous et il était temps d'en finir. Nous nous sommes assis là où s'étaient assis nos épouse et mari et ils
se sont allongé sur les couvertures, mon, mari derrière elle. Il s'en sortait bien pour une première fois avec une autre
selon ce que j'en savais officiellement mais j'avais confiance en lui. Il lui a soulevé la jambe et s'est enfoncé dans son
vagin puis il a posé sa main sur la hanche de Chantal et l'a prise mais il y avait à peine cinq minutes qu'ils avaient
commencé que ça m'a démangé d'aller les rejoindre.
Un rapide regard autour de nous pour vois que les importuns avaient déménagé et choisi un autre endroit pour
s'installer et pour voir aussi que le jeune époux préférerait regarder ailleurs que son épouse et j'ai rejoins le couple
et me suis assis près de la fille pour les encourager. Mon mari n'avait pas besoin de mes conseils et je me suis
concentré sur la femme. Je lui ai soulevé la jambe pour la soulager et j'ai joué avec son bouton puis avec ses
mamelons et mis un doigt dans sa bouche. Elle me regardait, rassurée pendant que mon mari la labourait.
- Dedans, m'a demandé mon mari ?
- Dedans, ai-je fait, puis m'adressant à Chantal, je lui ai demandé si elle voulait bien. Elle n'a pas répondu. Dans ses
yeux, son regard semblait perdu et sans doute ne savait-elle plus ce qu'elle faisait puis elle a ouvert la bouche et
poussé un cri et j'ai posé la main sur sa joue et j'ai bien vu qu'elle avait joui. Il était temps que mon mari finisse. Je
lui ai fait une tape sur la fesse et il s'est concentré et la semence a fini par jaillir au fond du ventre de la fille. J'ai
ensuite tenu la fesse de mon mari pour ne pas qu'il se décolle puis je les ai libérés.
- Ne bouge pas, ai-je dit à la fille en la retournant sur son ventre ! Soulève un peu tes fesses !
Elle m'a obéi. Mon mari s'est écarté et la fille était vraiment belle. J'ai caressé le dessous de ses cuisses. Il y avait
bien un peu de foutre sur ses petites lèvres, mais le plus important était resté au fond de son vagin. Après ça, je l'ai
autorisée à s'allonger et elle n'a plus bougé pendant un moment. J'ai mis une serviette sur son dos pour qu'elle n'ait
pas une insolation. Quand elle a voulu se lever, elle m'a rejointe dans les vagues.
- Mon dieu, m'a-t-elle dit, mon mari n'est pas aussi adroit ! Vous avez de la chance car la plupart du temps je dois
me finir dans la salle de bains et lui faire croire qu'il m'a faite jouir !
Je lui ai dit qu'avec l'âge, elle finirait par lui apprendre à faire les choses comme il fallait mais qu'elle n'aurait jamais à
dire qu'elle avait joui afin qu'il continue.
- Je le redoutais, a continué Chantal ! Les hommes ne pensent pas trop...
Nous sommes restés ensemble jusqu'à sept heures sur la plage. Ils devaient rentrer et ne pouvaient pas rester pour
dîner avec nous bien que je les ai invités. J'avais un stylo dans mon sac. Au moment de nous séparer, j'ai inscrit mon
numéro de portable sur sa paume en lui recommandant de m'appeler. Chantal m'a rappelé dès qu'ils sont arrivés
chez eux et deux fois par mois, elle m'a appelé jusqu'au jour où elle m'a dit qu'il fallait absolument qu'on se
rencontre. Je les ai invités chez nous et même si c'était un peu loin, elle a accepté de venir. Nous étions fin avril.
Quand j'ai entendu la voiture s'arrêter devant chez nous, je suis sortie et quelle ne fut pas ma surprise de voir la
jeune femme avec son ventre énorme et sa poitrine presque aussi grosse mais à part ça, elle n'avait pas vraiment pris
de poids. Elle était toujours aussi mince et son visage resplendissait.
- Je voudrais vous remercier, m'a-t-elle dit en premier !
- Me remercier de quoi, lui ai-je demandé ?
- De nous avoir... libérés !
- Libérés de quoi, ai-je insisté ?
- Et bien, a ajouté la femme, d'avoir fait l'amour tous les quatre. Depuis, mon mari s'est montré plus insistant et
voilà le résultat !
Elle avançait son ventre comme si elle voulait qu'il soit plus gros.
- Et puis, a-t-elle continué en posant ses mains sur sa poitrine, j'ai les seins presque aussi gros que les vôtres
aujourd'hui et j'espère bien que je vais les garder ! Vous voulez que je vous montre ?
Son mari était en train de sortir les valises du coffre de la voiture. Nous sommes entrées dans la maison et elle m'a
suivie dans ma chambre. J'ai tourné la clé et aussitôt, Chantal a retiré sa robe et j'ai pu admirer le superbe ensemble.
Elle n'avait pas menti et ses seins énormes s'étalaient sur son énorme ventre et elle n'avait pas de fesses et ses bras
étaient aussi minces que je les avais connu.
- J'en avais tant envie, m'a dit ensuite Chantal tout en passant ses mains sur son ventre et ses fesses et sa poitrine.
J'en avais toujours rêvé d'être enceinte mais je ne suis pas aussi sûre pour l'enfant, a-t-elle ajouté en riant ! Je
voulais le gros ventre pour faire comme ma soeur !
Moi aussi, j'avais trouvé dommage de perdre mon gros ventre après mes accouchements. A chaque fois, j'avais
retrouvé mon ventre plat et gardé mes gros seins pleins de lait.
- Tu as déjà du lait, lui ai-je demandé ?
- Oui, mais le médecin m'a dit que ça n'en était pas vraiment et que ça ne viendra qu'après la naissance mais ça
coule parfois tout seule ! Tient, regarde !
Elle a pressé son sein gauche dans sa main et en a fait jaillir quelques gouttes qui se sont transformés en fins filets
qui ont jailli vers moi. J'en ai eu sur la figure.
- Tout ce qu'il faut, ce sera de ne pas en priver ton mari, lui ai-je conseillé ! Il ne t'en aimera que plus !
J'ai regardé dans le jardin. Son mari avait posé la valise et regardait les fleurs. J'ai dit à Chantal de se rhabiller mais je
me suis étonnée qu'elle n'ait pas de soutien-gorge.
- Un soutien-gorge, s'est-elle exclamée ? Plus jamais je n'en mettrais et je préférerais avoir la poitrine sur le ventre
comme celle de ma grand-mère plutôt que d'en remettre un !
J'ai fait entrer son mari et je les ai emmenés dans leur chambre. Mon mari n'allait pas tarder à rentrer. Les deux
tourtereaux sont ressortis de leur chambre un peu plus tard et j'ai vu qu'ils avaient pleuré mais je n'ai pas su
pourquoi. Mon mari est rentré. Plus tard, dans la chambre, il m'a demandé :
- Tu penses que c'est moi ?
Je lui ai dit que non et tenté de lui expliquer que je petit couple n'avait pas besoin de lui pour faire ça. Ne valait-il
pas mieux n'en plus parler ? Le week-end est vite passé. Au moment de repartir, Chantal m'a pris à part pour me
dire qu'elle aurait bien aimé faire l'amour avec moi mais quand je lui ai dit qu'on aurait d'autres occasions, elle m'a
répondu qu'elle était sûre que ça ne se reproduirait pas.
- Je sais que c'est grâce à ton mari, a commencé Chantal...
Je lui ai mis un doigt devant la bouche et je lui ai dit de se taire. Après tout, ne valait-il pas ne plus en parler ?
voulaient plus venir en vacances avec leurs parents. Nous voici donc à la Turballe et ce jour-là, nous étions allés
faire du nudisme sauvage sur la presqu'île de Penbron. Il n'y avait pas grand monde, des habitués que nous avions
déjà aperçu les jours précédents et un jeune couple est venu s'intaller à quelques mètres de nous.
Un gentil petit couple, elle très jolie et lui charmant jeune homme. Mon mari, épuisé par la nuit précédente, piquait
un somme. Moi, je regardais autour de moi en attente de je ne sais quoi quand j'ai vu la fille se mettre à branler son
ami. Elle était allongée à côté de lui et s'appuyait sur son coude. Son ami ne bandait pas et la fille s'employait à le
faire raidir puis elle a pris le pénis tendu bien en main et l'a bien masturbé. Le jeune homme ne bougeait pas et se
laissait faire et la fille me regardait dans les yeux tout en continuant sa branlette, comme une sorte de défi puis elle
s'est penchée sur son ami et a embouché le pénis et n'a plus arrêté de le sucer jusqu'à ce qu'elle se redresse,
triomphante et elle a repris mon regard. Elle avait les joues gonflées puis elle a allongé les lèvres et j'ai vu le sperme
s'écouler de sa bouche, blanchâtre et cassant et ça a duré un bon moment avant que la fille ne se redresse.
Elle me regardait toujours et je ne pouvais faire autrement que de la regarder mais j'ai fini par me relever et aller me
tremper les pieds dans l'eau. J'avais besoin de ça pour me calmer et je regardais au large pour ne pas regarder en
arrière quand la fille est arrivée et s'est arrêtée à côté de moi.
- J'adore le sperme, m'a-t-elle dit et je ne sais pas pourquoi !
Je n'ai pas pu faire autrement que d'éclater de rire. Le ton sur lequel cette fille avait dit ça. Elle avait l'âge d'être ma
fille et son ami celui d'être mon fils.
- Nous sommes mariés et nous avons bien le droit, a précisé la fille !
Je lui ai dit qu'il n'y avait pas besoin d'être mariés pour faire ça et elle m'a répondu par une impertinence :
- Vous étiez mariée quand vous avez fait ça pour la première fois ?
J'étais heureuse de lui dire que je ne l'étais pas, mais m'a-t-elle crue ?
- Il m'a tout de suite plu, a continué la jeune femme ! Et c'est un bon amant !
Je lui ai répondu que mon mari aussi, mais qu'elle verrait bien, qu'au bout de vingt ans...
- Je ne vous crois pas, a-t-elle continué !
- Vous avez quel âge, lui ai-je demandé ?
- Dix-neuf, presque vingt, a fait la fille !
-Vous avez commencé de bonne heure, lui ai-je fait, par dépit ! Et lui, quel âge a-t-il ?
- Vingt-cinq, m'a répondu la jeune femme !
- Hum, alors, c'est ça ! Il avait besoin d'une tendre poulette !
- Je ne sais pas, m'a-t-elle répondu !
Elle semblait en colère tout d'un coup.
- Vous deviez être très jeune, ai-je insisté ?
- Oui, très, a fait la jeune femme ! Un peu trop, mais si je ne savais pas ce que c'était, j'en avais trop envie !
- C'est ça le problème avec le sexe, lui ai-je répondu ! On voudrait bien savoir avant de commencer, mais même si
on sait, on ne peut pas s'empêcher !
- Oh, oui, j'aime ça, m'a répondu la fille ! Si c'était possible, je passerais ma vie accouplée avec mon mari ! Mais les
hommes ont souvent besoin de repos, tout du moins pour ça !
- Oui, c'est dommage, ai-je ajouté, car s'ils pouvaient rester raides, ce serait beaucoup plus amusant !
- Vous ne savez pas comment ça s'attrape, le priapisme, m'a demandé la fille ?
J'ai dit que je ne savais pas et nous sommes parties à rire avant d'aller nous mouiller un peu plus. L'eau était limite,
mais passé le bord, il y a eu une zone plus chaude et nous nous sommes enfoncées dans la mer plus avant. Je me
suis mise à nager et la jeune femme m'a suivie et comme elle était meilleure nageuse que moi, elle a commencé à
plonger et à passer sous moi puis elle a continué tout en essayant de m'attraper et ses mains ont glissé sur mes
seins et mon ventre avant de s'aventurer entre mes jambes.
Chaque fois qu'elle faisait surface, la fille me souriait. C'était un vrai coup de foudre d'amitié et elle a plongé encore
une fois sous l'eau et a collé sa bouche sur un de mes mamelons et sa main s'est aventurée sur ma vulve mais une
vague nous a déséquilibrées et nous nous sommes retrouvées cul par dessus tête sur le rivage.
- Tu aimes les femmes, lui ai-je demandé une fois que nous avons pu nous redresser ?
- Elles m'ont toujours attirée, m'a répondu la jeune femme !
- Alors, pourquoi t'es-tu mariée, me suis-je étonnée ?
- Parce que j'aime mon mari, m'a fait la fille !
- Tu dois être bisexuelle, ai-je conclu !
Elle ne semblait pas comprendre ce que ça voulait dire et je lui ai expliqué mais elle n'a pas très bien compris et m'a
dit que c'était comme faire l'amour avec un autre couple.
- Oui, si tu... fais l'amour avec elle et que vos hommes vous regardent, lui ai-je expliqué.
- Ah, c'est ça, m'a répondu la fille, faire l'amour avec les deux... sexes ? Vous l'avez déjà fait, m'a-t-elle demandé ?
Je lui ai avoué que j'avais déjà fait l'amour avec une de mes cousines et que pour le couple, que mon mari m'en avait
souvent parlé sans que ça se concrétise.
- J'ai vu un film, a continué la fille... Elle était seule et il y avait une vingtaine de types qui tous, les uns après les
autres... C'était dégoûtant !
- Dégoûtant en quoi, ai-je répondu ? La plupart du temps, ces filles sont des putains et ça ne les gêne pas !
- Des putains aussi belles, a protesté la fille ?
- Rassure-toi, lui ai-je dit, le sexe, ça prend n'importe qui, des plus moches aux plus belles et seules les plus belles
ont du succès dans les films !
Je l'ai regardée. Elle semblait choquée et j'ai insisté :
- Je suis sûre que si tu t'y mettais, toi, tu aurais pas mal de succès !
- Ah, non, m'a-t-elle fait, déjà que mon mari me filme et me photographie...
- J'ai mon appareil, ai-je continué. Tu es là pour combien de temps...
- On part à six heures m'a répondu la fille !
- Je ne voulais pas dire ça, lui ai-je rétorqué en me retenant de rire ! Je voulais juste savoir combien de jours encore
tu pourras venir sur la plage ?
- Ah, c'est dommage, m'a-t-elle répondu, on est venu en voiture de Nantes et on y retourne ! C'est là qu'on habite !
- Alors, c'est le hasard si on se rencontre, lui ai-je fait ?
- Oui, le hasard, a fait la jeune femme, songeuse !
J'ai tourné la tête. Mon mari dormait encore et le sien lisait un livre tout en se faisant bronzer.
- On retourne dans l'eau, m'a demandé la jeune femme ?
Je l'ai suivie. Nous sommes restées enfoncées dans l'eau sans bouger. L'eau était bien chaude à cet endroit. Inutile
d'aller risquer le froid. Seule notre tête dépassait des vagues et il suffisait de faire un petit saut pour y échapper.
- Faites-moi jouir, m'a demandé la fille !
- Quoi ?
- Personne ne verra rien, a ajouté la fille ! Et moi aussi, je vous ferais jouir !
- Petite impudente, ai-je conclu avant d'avancer mes doigts vers son entre-cuisse et quand j'ai commencé à la
toucher, elle commençait elle aussi à me doigter et ce furent des minutes magiques au bout desquelles j'ai cru que
j'allais mourir de plaisir.
- Ça t'a plu, ai-je demandé à la jeune femme une fois que nous avons retrouvé notre souffle ?.
- J'adore ça et d'autant que je me souvienne, je n'ai jamais cessé de me masturber, m'a avoué la fille !
J'avais l'impression d'avoir fait ça à ma fille aînée. Elle se ressemblaient un peu, surtout pour la coupe de cheveux. La
jeune femme a ensuite posé ses mains sur mes hanches puis sur ma poitrine et m'a dit qu'elle me jalousait d'avoir
des seins aussi gros.
- Vous verrez, quand vous aurez eu des enfants, lui ai-je dit pour la rassurer, les vôtres seront plus gros !
- J'espère bien, m'a répondu la jeune femme ! Je n'ai jamais pris la pilule ni fait quoi que ce soit, mais ça ne vient pas
!
- Vous avez fait des examens, lui ai-je demandé ?
- Non, m'a fait la fille ! Mon docteur dit que c'est trop tôt pour s'inquiéter !
Je m'étais surprise à jouer avec ses mamelons moi aussi et ce n'était pas une surprise que ses seins étaient bien
petits et puis elle était entièrement épilée et la peau de son ventre était douce.
- C'est dommage, a enfin dit la jeune femme...
- Dommage pour quoi, lui ai-je fait ?
- Dommage qu'on ne soit pas des lesbiennes, a continué la jeune femme ! On aurait pu se mettre ensemble ! Je peux
vous embrasser ?
J'ai regardé en arrière et je me suis dit que c'était sans doute inéluctable et quand je me suis retournée vers le large,
nous nous sommes embrassées à pleine bouche. Elle sentait bon et sa langue était dure et longue et pointue et m'a
ravagée la bouche avant qu'on ne finisse par se séparer. J'avais faim. Il devait être pas loin de midi. J'avais emporté
un panier picnic. Les jeunes avaient acheté des sandwichs. Je lui ai dit que ce n'était pas de la bonne nourriture et je
l'ai invitée à partager notre panier. Une fois essuyée, j'ai tiré notre barda près de leur position et nous avons pu nous
asseoir et j'ai tout de suite constaté que mon mari était bien réveillé parce qu'il reluquait la fille. Ça m'étonnait un
peu parce qu'il n'arrêtait pas de répéter qu'il aimait les gros nichons et qu'avec moi il était servi.
Il n'arrêtait pas de la regarder. Nous avons déjeuné et heureusement, ils avaient apporté un thermos de café puis
nous sommes restés assis en carré. Ils avaient aussi apporté un jeu de carte et nous avons commencé un tournoi de
belotte et j'ai déclaré en milieu de partie que celui qui gagnerait le tournoi pourrait choisir sa récompense. J'avais
une petite idée derrière la tête et vu que j'avais appris à jouer avec mon grand-père, je connaissais quelques petites
tricheries et je n'avais aucun doute que j'allais gagner, ce qui finit par arriver.
- Alors, m'a demandé le jeune époux ? Qu'est-ce que vous décidez ?
Je me suis mise à rougir mais je le faisais exprès. Je faisais toujours ça quand je voulais obtenir quelque chose.
- Vous avec moi et votre épouse avec mon mari, ai-je suggéré...
Du coup, c'est le jeune mari qui a rougi :
- Vous et moi ? Vous voulez dire que...
- Oui, ai-je continué, je veux dire que vous et moi et vous pouvez me faire tout ce que vous voulez ! Mon mari m'a
bien préparée au fil de toutes ces années !
- Je veux bien, a dit son épouse ! Je veux bien !
Elle était toute rose et toute émoustillée.
- On fait comment, a-t-elle demandé ensuite ? On fait en même temps ou les uns après les autres ?
J'ai regardé autour de nous. Les gens sur notre droite avaient déserté la plage et ne restait plus qu'un couple dans
notre dos, mais assez loin pour ne rien voir. Néanmoins, j'ai décidé qu'il vaudrait mieux que les deux spectateurs
s'assoient pour faire un rideau et cacher les deux autres, ce que mon mari et la fille on fait pendant que je
m'allongeais sur le côté. Le mari est venu derrière moi et a commencé par me peloter la poitrine. Il manquait un peu
d'expérience, forcément mais je me suis laissée faire et quand son épouse lui a dit de me sodomiser, je me suis à
nouveau laissée faire. C'est là qu'il a éjaculé et nous nous sommes laissés tomber sur le dos en plein soleil.
Ça avait été bon mais plutôt frustrant, mais son épouse m'avait donné un bel orgasme dans l'eau. Ne me restait plus
qu'à admirer la façon dont mon mari se débrouillerait avec cette jeunesse. Une famille venait de s'installer un peu
trop près de nous et il était temps d'en finir. Nous nous sommes assis là où s'étaient assis nos épouse et mari et ils
se sont allongé sur les couvertures, mon, mari derrière elle. Il s'en sortait bien pour une première fois avec une autre
selon ce que j'en savais officiellement mais j'avais confiance en lui. Il lui a soulevé la jambe et s'est enfoncé dans son
vagin puis il a posé sa main sur la hanche de Chantal et l'a prise mais il y avait à peine cinq minutes qu'ils avaient
commencé que ça m'a démangé d'aller les rejoindre.
Un rapide regard autour de nous pour vois que les importuns avaient déménagé et choisi un autre endroit pour
s'installer et pour voir aussi que le jeune époux préférerait regarder ailleurs que son épouse et j'ai rejoins le couple
et me suis assis près de la fille pour les encourager. Mon mari n'avait pas besoin de mes conseils et je me suis
concentré sur la femme. Je lui ai soulevé la jambe pour la soulager et j'ai joué avec son bouton puis avec ses
mamelons et mis un doigt dans sa bouche. Elle me regardait, rassurée pendant que mon mari la labourait.
- Dedans, m'a demandé mon mari ?
- Dedans, ai-je fait, puis m'adressant à Chantal, je lui ai demandé si elle voulait bien. Elle n'a pas répondu. Dans ses
yeux, son regard semblait perdu et sans doute ne savait-elle plus ce qu'elle faisait puis elle a ouvert la bouche et
poussé un cri et j'ai posé la main sur sa joue et j'ai bien vu qu'elle avait joui. Il était temps que mon mari finisse. Je
lui ai fait une tape sur la fesse et il s'est concentré et la semence a fini par jaillir au fond du ventre de la fille. J'ai
ensuite tenu la fesse de mon mari pour ne pas qu'il se décolle puis je les ai libérés.
- Ne bouge pas, ai-je dit à la fille en la retournant sur son ventre ! Soulève un peu tes fesses !
Elle m'a obéi. Mon mari s'est écarté et la fille était vraiment belle. J'ai caressé le dessous de ses cuisses. Il y avait
bien un peu de foutre sur ses petites lèvres, mais le plus important était resté au fond de son vagin. Après ça, je l'ai
autorisée à s'allonger et elle n'a plus bougé pendant un moment. J'ai mis une serviette sur son dos pour qu'elle n'ait
pas une insolation. Quand elle a voulu se lever, elle m'a rejointe dans les vagues.
- Mon dieu, m'a-t-elle dit, mon mari n'est pas aussi adroit ! Vous avez de la chance car la plupart du temps je dois
me finir dans la salle de bains et lui faire croire qu'il m'a faite jouir !
Je lui ai dit qu'avec l'âge, elle finirait par lui apprendre à faire les choses comme il fallait mais qu'elle n'aurait jamais à
dire qu'elle avait joui afin qu'il continue.
- Je le redoutais, a continué Chantal ! Les hommes ne pensent pas trop...
Nous sommes restés ensemble jusqu'à sept heures sur la plage. Ils devaient rentrer et ne pouvaient pas rester pour
dîner avec nous bien que je les ai invités. J'avais un stylo dans mon sac. Au moment de nous séparer, j'ai inscrit mon
numéro de portable sur sa paume en lui recommandant de m'appeler. Chantal m'a rappelé dès qu'ils sont arrivés
chez eux et deux fois par mois, elle m'a appelé jusqu'au jour où elle m'a dit qu'il fallait absolument qu'on se
rencontre. Je les ai invités chez nous et même si c'était un peu loin, elle a accepté de venir. Nous étions fin avril.
Quand j'ai entendu la voiture s'arrêter devant chez nous, je suis sortie et quelle ne fut pas ma surprise de voir la
jeune femme avec son ventre énorme et sa poitrine presque aussi grosse mais à part ça, elle n'avait pas vraiment pris
de poids. Elle était toujours aussi mince et son visage resplendissait.
- Je voudrais vous remercier, m'a-t-elle dit en premier !
- Me remercier de quoi, lui ai-je demandé ?
- De nous avoir... libérés !
- Libérés de quoi, ai-je insisté ?
- Et bien, a ajouté la femme, d'avoir fait l'amour tous les quatre. Depuis, mon mari s'est montré plus insistant et
voilà le résultat !
Elle avançait son ventre comme si elle voulait qu'il soit plus gros.
- Et puis, a-t-elle continué en posant ses mains sur sa poitrine, j'ai les seins presque aussi gros que les vôtres
aujourd'hui et j'espère bien que je vais les garder ! Vous voulez que je vous montre ?
Son mari était en train de sortir les valises du coffre de la voiture. Nous sommes entrées dans la maison et elle m'a
suivie dans ma chambre. J'ai tourné la clé et aussitôt, Chantal a retiré sa robe et j'ai pu admirer le superbe ensemble.
Elle n'avait pas menti et ses seins énormes s'étalaient sur son énorme ventre et elle n'avait pas de fesses et ses bras
étaient aussi minces que je les avais connu.
- J'en avais tant envie, m'a dit ensuite Chantal tout en passant ses mains sur son ventre et ses fesses et sa poitrine.
J'en avais toujours rêvé d'être enceinte mais je ne suis pas aussi sûre pour l'enfant, a-t-elle ajouté en riant ! Je
voulais le gros ventre pour faire comme ma soeur !
Moi aussi, j'avais trouvé dommage de perdre mon gros ventre après mes accouchements. A chaque fois, j'avais
retrouvé mon ventre plat et gardé mes gros seins pleins de lait.
- Tu as déjà du lait, lui ai-je demandé ?
- Oui, mais le médecin m'a dit que ça n'en était pas vraiment et que ça ne viendra qu'après la naissance mais ça
coule parfois tout seule ! Tient, regarde !
Elle a pressé son sein gauche dans sa main et en a fait jaillir quelques gouttes qui se sont transformés en fins filets
qui ont jailli vers moi. J'en ai eu sur la figure.
- Tout ce qu'il faut, ce sera de ne pas en priver ton mari, lui ai-je conseillé ! Il ne t'en aimera que plus !
J'ai regardé dans le jardin. Son mari avait posé la valise et regardait les fleurs. J'ai dit à Chantal de se rhabiller mais je
me suis étonnée qu'elle n'ait pas de soutien-gorge.
- Un soutien-gorge, s'est-elle exclamée ? Plus jamais je n'en mettrais et je préférerais avoir la poitrine sur le ventre
comme celle de ma grand-mère plutôt que d'en remettre un !
J'ai fait entrer son mari et je les ai emmenés dans leur chambre. Mon mari n'allait pas tarder à rentrer. Les deux
tourtereaux sont ressortis de leur chambre un peu plus tard et j'ai vu qu'ils avaient pleuré mais je n'ai pas su
pourquoi. Mon mari est rentré. Plus tard, dans la chambre, il m'a demandé :
- Tu penses que c'est moi ?
Je lui ai dit que non et tenté de lui expliquer que je petit couple n'avait pas besoin de lui pour faire ça. Ne valait-il
pas mieux n'en plus parler ? Le week-end est vite passé. Au moment de repartir, Chantal m'a pris à part pour me
dire qu'elle aurait bien aimé faire l'amour avec moi mais quand je lui ai dit qu'on aurait d'autres occasions, elle m'a
répondu qu'elle était sûre que ça ne se reproduirait pas.
- Je sais que c'est grâce à ton mari, a commencé Chantal...
Je lui ai mis un doigt devant la bouche et je lui ai dit de se taire. Après tout, ne valait-il pas ne plus en parler ?
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
très sensuelle et belle histoire
ummm c'est terribement excitant cette histoire! elle nous donne deja envie d'y aller plus loin que de fantasmer!! merci bon site!!
Tu en racontes toujours des histoires. Je pensais que le père serait ton mari.