Un couple d'amis - histoire érotique

Été. Un chaud et bel été mais sans canicule. Ma femme, Émilie, et moi n’avons pas la place nécessaire sur notre terrain pour pouvoir y mettre une piscine, à notre grand dam. Fort heureusement pour nous, ce n’est pas le cas d’un couple d’amis qui a eu la bonne idée de nous inviter à passer le samedi après-midi chez eux pour en profiter avec eux.

Nous roulons donc ma femme et moi en direction de leur maison dans notre voiture climatisée. Assise côté passager, Émilie porte un petit short en jean bleu délavé, le genre de petit short qui descend à peine plus bas que le pli des fesses et sur lequel les hommes aiment laisser leurs yeux voyeurs vagabonder. Sur le haut de son corps, un petit débardeur noir sous lequel elle cache un soutien-gorge coordonné avec le string qu’elle porte sous son short. Pour ma part, je suis vêtu d’un bermuda beige et d’une chemisette blanche dont je ne ferme pas les derniers boutons pour laisser le haut de mon torse imberbe visible.

Après quelques dizaines de minutes de route, nous avons la maison de nos amis en ligne de mire. Je ralentis pour me garer devant chez eux. Ils habitent une maison de campagne non-mitoyenne dont le terrain est délimité par une haie de thuyas qui ne laisse passer aucun regard voyeur. Ma femme sort de la voiture et réajuste son petit short qui, du fait qu’elle était assise, laissait voir l’arrondi de ses fesses. J’ai juste eu le temps de poser rapidement mes yeux dessus, ce qui a eu l’effet de me faire sourire.

- Hey hey, coucou, nous sommes là ! dit Émilie d’une voix amicale.
- Venez derrière, nous sommes à la piscine, nous répond la voix féminine de notre amie Virginie.

Nous longeons donc la maison et nous retrouvons nez à nez avec une grande piscine bleue dans laquelle nos amis sont déjà en train de se rafraîchir.

- Salut, ça va ? nous demande Virginie en sortant de l’eau par l’échelle.

Son corps brille sous l’effet de l’eau et les gouttes qui perlent dessus viennent d’écraser au sol. Mes yeux la parcourent rapidement en la détaillant tout de même. Un maillot de bain noir à pois blancs colle sur son entrejambe et son pubis que je devine épilé. Sur sa poitrine, les mêmes motifs avec de petites bretelles qui montent sur ses épaules. La forme de ses seins attire mon regard.

- Vous êtes déjà en tenue de combat ! dit Émilie en lui souriant.
- Pourquoi nous priverions-nous de ce plaisir ? répond Virginie qui s’approche de nous pour nous faire la bise.

Ses joues mouillées viennent de coller sur celles de ma femme puis les miennes. L’eau a toujours un pouvoir très érotique qui ne me laisse pas de marbre.

- Salut les amis, dit Julien, le mari de Virginie.
- Comment tu vas ? lui réponds-je en lui faisant la bise.
- Super ! dit-il en s’approchant d’Émilie dont les yeux dérivent rapidement sur le torse de Julien, lui aussi ruisselant d’eau.
- Vous avez pris de quoi piquer une tête avec nous ? demande Julien à ma femme.
- Bien sûr, lui répond-elle, nous n’allions pas oublier l’accessoire indispensable à la piscine.

Ils échangent tous les deux une sourire amical.

- Vous pouvez aller vous changer dans la maison, nous dit alors Virginie.

Ce qu’Émilie et moi nous empressons de faire. Nous ouvrons une porte qui donne sur une petite pièce qui leur serre de débarras. Je commence à retirer mon bermuda et mon boxer part avec lui. Mon sexe pend alors devant moi en direction de mon épouse qui le regarde.

- Salut toi, dit-elle souriante en venant le chatouiller à l’aide de son index.

Mon sexe lui répond par un petit sursaut. Je souris à ma femme qui commence à retirer son débardeur en le faisant passer par sa tête. Puis elle dégrafe son soutien-gorge pour libérer sa poitrine, une petite poitrine avec de belles aréoles surmontées d’un téton qui ne demande qu’à être titillé. Elle enfile alors le haut de son maillot de bain, un haut en forme de bandeau qu’elle lace dans son dos en y faisant un petit nœud. Puis elle retire son petit short en jean en embarquant en même temps le string qui se cachait dessous. Apparaît alors à mes yeux son pubis rasé qui surplombe l’entrée de son vagin.

- Hey, petit voyeur, me dit-elle en se retournant.

Je souris et m’empresse alors de regarder ses fesses rebondies à souhait. Un fessier que j’adore toucher, regarder, masser, et sur lequel j’ai déjà fait plein de choses vicieuses. Ah, le cul de ma femme, je l’aime trop ! Elle le cache en enfilant son bas de bikini, un bas de forme tanga qui laisse voir l’arrondi de ses fesses pour le plaisir des yeux masculins. Elle noue les lacets sur ses hanches.

- Alors, m’interpelle-t-elle, tu comptes y aller la nouille à l’air ?
- Et pourquoi pas ! je réponds en souriant.
- Allez beau parleur, enfile ton maillot et allons les rejoindre, renchérit-elle.

J’enfile donc mon boxer de bain noir qui moule mon sexe, pas vraiment au repos mais pas en pleine raideur non plus, à la suite de sa chatouille manuelle. Nous sortons tous les deux pour aller rejoindre nos amis qui nous attendent près de leur piscine. Émilie et moi sentons quelques regards sur nos corps presque nus.

- Cool, allons nous baigner, dit Virginie qui commence à entrer dans l’eau.
- C’est parti, dis-je en plongeant directement dans l’eau.

Émilie, quant à elle, est plus sérieuse et entre dans l’eau doucement en descendant l’échelle petit à petit avant d’immerger totalement son corps dans l’eau.

- Ah ça fait du bien ! dis-je en sentant la fraîcheur de l’eau sur moi
- Nous en profitons tous les jours, lance Julien.
- Vous avez bien raison, répond Émilie.

Nous nageons quelque peu et nous amusons tous les quatre dans l’eau malgré notre trentaine. Après plusieurs dizaines de minutes passées dans la piscine, Virginie nous propose un rafraîchissement. Elle sort de l’eau par l’échelle, instant magique car je ne me trouve pas loin et je peux allègrement regarder ses fesses et ses jambes sortir de l’eau, une scène super sensuelle et très excitante. Elle revient quelques minutes plus tard avec un plateau sur lequel sont posés quatre verres et une cruche de ponch fait maison. Émilie, Julien et moi sortons à notre tour de l’eau et nous dirigeons vers les transats, là où se trouve notre hôtesse. Nous prenons place Émilie et moi côte à côte sur deux transats pendant Virginie et Julien se placent en face de nous. Julien remplit alors les quatre verres et nous en tend deux.

- À la piscine ! s’exclame mon épouse en levant son verre.

Nous trinquons tous les quatre et buvons quelques gorgées de ce ponch, léger, mais qui laisse tout de même l’arôme du rhum ambré nous enivrer petit à petit. Les regards se posent de temps en temps sur les corps dénudés des uns et des autres. Les jambes des femmes, les torses des hommes, la poitrine des femmes, l’entrejambe des hommes. Bref, nous passons un bon après-midi. Une fois que la cruche de ponch vidée, nous nous allongeons sur les transats pour profiter du soleil sur nos peaux en discutant de tout et de rien. Allongé sur le ventre, la tête tournée vers Virginie, mes yeux la parcourent discrètement. La vision de son corps me procure une certaine excitation. Puis je me retourne pour m’allonger sur le dos, sans me préoccuper de mon boxer de bain. Émilie me regarde alors machinalement et dit :

- Ben ça va bébé, tu fais profiter tout le monde !

Elle pose alors sa main entre mes jambes, sur mon maillot de bain de moule mon sexe gonflé par un certain désir. Elle sourit et secoue sa main dessus en disant :

- C’est une brave bête ça, mais ce n’est pas le lieu pour te montrer.

Un peu gêné, je rougis, alors que Virginie et Julien rigolent en regardant la main d’Émilie secouer mon sexe.

- Oh ne t’inquiète pas, on en a vu d’autres ! dit Virginie en posant la main sur la cuisse de Julien.
- Oui enfin bon, ajoute Émilie en souriant, c’est quand-même la bite de mon mec !
- Et alors, ce n’est qu’une bite, renchérit Virginie.

La main d’Émilie sur mon sexe ne calme pas mon excitation qui monte au fur et à mesure d’entendre ces deux femmes parler entre elles.

- Et toi, tu ne bandes pas ? demande Virginie à Julien en posant sa main sur son entrejambe.

Ne sentant aucune tension dans son maillot de bain, elle commence à doucement caresser le sexe de Julien par-dessus le tissu. Je regarde sa main qui s’agite doucement, caresse qui a l’air agréable aux vues du visage réjoui de Julien. Émilie regarde elle aussi la caresse manuelle que Virginie procure à son mari. La main de ma femme suit alors le mouvement de celle de son amie. Une certaine atmosphère est palpable entre nous quatre. Julien et moi profitons des caresses que nos femmes nous font. Nos sexes s’en trouvent grandis tous les deux. Après quelques minutes, Virginie tire sur le maillot de bain de son mari et dévoile alors son sexe bandé à nos yeux. Émilie ne se cache pas de le regarder. Ses yeux sont rivés dessus. Mais bientôt, elle ne peut plus voir que la bouche de Virginie dévorant littéralement le sexe de Julien qui commence à gémir de plaisir. C’est comme si Émilie et moi regardions un film porno sauf que dans ce cas précis, les deux acteurs sont bel et bien en chair et en os juste devant nous.

Mes mains n’y tenant plus, je leur fais parcourir le dos de ma femme pour la caresser et la faire frissonner. De bas en haut, de haut en bas, tout en regardant nos amis effectuer une superbe fellation. Puis sans rien dire, je tire sur le nœud laçant le haut du bikini d’Émilie qui tombe alors sur ses cuisses. Julien tourne alors le regard vers les seins de ma femme que je viens de lui dévoiler. Il est aux anges et sourit à Émilie alors que sa femme est en train de le sucer. Émilie passe sa main sous mon maillot de bain et me masturbe sous le tissu pendant que je viens titiller ses tétons à l’aide de mon pouce et de mon index. Je caresse allègrement sa petite poitrine sous les yeux dévorant de Julien qui ne peut les détourner. Ma main suit les courbes du corps d’Émilie qui commence à respirer de plus en plus fort et à laisser échapper quelques petits gémissements furtifs. Puis mes doigts descendent sur son ventre et tournent autour de son nombril, sentant une petite contraction au niveau de ses abdominaux, ce qui ne m’empêche pas de les plonger sous son bas de bikini pour venir la caresser directement sur le sexe. Virginie tourne la tête vers nous tout en suçant toujours avidement son homme. Émilie ferme les yeux et profite de mes doigts qui commencent à la faire mouiller. Je tourne autour de son clitoris et joue avec les lèvres de son sexe entrant de temps en temps une phalange à l’intérieur pour enduire mon doigt de cyprine de façon à ce qu’il glisse au mieux sur son clitoris. Le corps d’Émilie ondule, elle prend plaisir.

Puis elle se lève, tournant le dos à Virginie et Julien. Elle se penche en avant pour venir me retirer mon maillot de bain, me laissant complètement nu devant nos amis. Elle monte sur le transat avec moi, me chevauchant, et écarte son bas de bikini. Julien ne se prive pas pour regarder l’intimité d’Émilie qui prend mon sexe en main et le présente à l’entrée du sien. Elle se laisse doucement descendre sur moi. Je sens alors la chaleur de son vagin qui vient englober mon gland pour ensuite descendre sur toute la longueur de mon sexe. Nous sommes en train de baiser devant nos amis. C’est la première fois que nous faisons ce genre de chose. La situation nous procure à tous les deux une excitation importante. Émilie se déhanche de plus en plus sur moi, ses petits seins au soleil, alors que Virginie se relève pour retirer son bas de bikini et monter elle aussi sur le sexe de son mari. Les femmes s’activent sur nos sexes bandés, prenant plaisir et nous en donnant également. Les mains de Julien et les miennes parcourant le corps de nos femmes. Pour libérer totalement le corps d’Émilie, je commence à dénouer son bas de bikini qu’elle avait gardé et le lui retire, le laissant tomber à terre à côté de nous. Elle est nue, ce qui n’est pas pour déplaire à Julien qui la mate sans retenue. Virginie et Émilie se lancent quelques petits regards en se souriant. Nous sommes bien tous les quatre.

Julien se lève et place Virginie et levrette sur le transat pour pouvoir s’introduire en elle. Il se place derrière. Ma femme regarde le son sexe bandé qui ne la laisse pas indifférente. Puis il s’introduit dans sa femme qui grimace de plaisir. Ses seins, toujours prisonniers de son haut de bikini, se balancent au rythme des vas et viens de Julien. Ils sont beaux tous les deux dans cette position, agréables à regarder. Émilie se lève, me sourit, puis me dit :

- Allez bébé, à toi de bosser maintenant.

Elle s’allonge sur le transat, me regardant en se caressant avec ses doigts. Je retire alors mon maillot de bain pour me mettre à l’aise. Je sens bien le regard de Virginie sur ma turgescence. Je prends donc mon temps pour la laisser me regarder autant qu’elle le désire. Puis je me place entre les cuisses de me femme qu’elle a relevées et écartées pour me faciliter l’accès. Je pose mon gland luisant sur son vagin et pousse pour entrer en elle. Elle crie de plaisir.

- Aaaaaaaaahhhhhhhhhhh !

Nous prenons notre pied en missionnaire tous les deux à côté de nos amis en levrette. Nos deux couples s’en donnent à cœur joie, aussi bien en satisfaisant son partenaire qu’en matant l’autre couple qui baise à quelques tous petits mètres. Le regard de Julien sur ma femme est un accélérateur d’excitation tout comme le mien sur sa femme. C’est alors qu’on entend la voix de Virginie dire :

- Oh oui mon chéri, je vais jouir, continue, continue.

Julien s’affaire alors à faire plaisir à sa femme en la prenant en levrette. Puis Émilie tend sa main à Virginie en souriant. Virginie la saisit et la serre fort alors qu’elle l’orgasme la remplit.

- Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, peut-on l’entendre crier.

Au même moment, Julien se pince les lèvres et lui aussi pousse un râle de plaisir tout en se déversant dans sa femme. Ils sont tous les deux partis au septième ciel ensemble. Chose qui n’est pas pareil chez nous car je sens le sexe d’Émilie se contracter sur le mien, son regard se ferme, sa bouche s’ouvre :

- Aaaaaaaaahhhhhhhhhh !

Elle jouit bouche ouverte pour me faire profiter de son cri de plaisir. Je la regarde prendre son pied, tout comme Virginie et Julien qui se sont blottis l’un contre l’autre. Après plusieurs longues secondes de jouissance, Émilie ouvre à nouveau les yeux et me sourit. Elle me pousse un peu pour me faire sortir d’elle. Allongée sur le transat, elle commence à me masturber en me souriant.

- À ton tour bébé, me dit-elle.

Je me prélasse de sa caresse manuelle en matant ses petits seins. Sa main s’active sur mon sexe bandé. Quelques secondes suffisent à me faire venir. Le sperme sort de mon gland et vient s’écraser sur son ventre. Elle me sourit alors que les dernières gouttes coulent le long de sa main et de son avant-bras. Nous restons quelques instants comme ça, tous les quatre, ne sachant pas trop quoi dire. Puis Virginie se lance :

- Il va falloir prendre une douche avant de retourner dans la piscine car je ne ramasserai pas à l’épuisette !

Nous rions tous les quatre et nous dirigeons vers la salle de bains pour nous y laver. Rentrons-nous tous les quatre ou bien chacun son tour ? Ce sera peut-être pour une suite…