Un couple formidable
Récit érotique écrit par Jean-Pierre [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-12-2009 dans la catégorie Fétichisme
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Un couple formidable
Un couple formidable
Un Samedi soir j’avais invité Adèle et Benoit un couple que je connais depuis maintenant 10 ans.
Ils sont arrivés vers 21 h 00. Nous avons pris un petit apéritif maison, très doux mais aussi bien alcoolisée.
J’avais eu le temps de préparer le repas : pas difficile j’avais acheter des plats chinois tout cuisiner accompagnés de pâte chinoise et de riz… comme boisson un bon petit rosé.
Et comme dessert des coupelles de glace à la fraise.
A la fin du repas j’ai sorti un objet que j’avais acheté le jour même "une aiguille à lacer les corsets".
J’ai demandé à mes invités s’ils avaient une idée de ce que c’était.
Devant l’originalité de l’objet ils ont rapidement donné leur langue au chat.
Et donc de l’aiguille la conversation est passée aux corsets et même si je savais que ce n’est pas le style à Adèle qui est une femme enfant, je lui ai proposé d’essayer une des pièces de ma collection, au choix ! Oui je collectionne les corsets.
Elle était un peu réticente mais les yeux brillants de Benoit et mon amicale insistance l’ont convaincu de se laisser faire.
Elle en a examiné plusieurs mais de peur de se sentir trop oppressée, son choix s’est porté sur un corset souple de couleur mauve s’arrêtant sous les seins.
Benoit et moi l’avons débarrassée de son tailleur pantalon de couleur noir.
Dessous elle portait un ensemble de lingerie blanche assez sage accompagné avec des bas couleurs chair et des chaussures plates montantes.
Le corset étant un modèle laissant la poitrine libre j’ai préféré, connaissant la sensibilité d’Adèle à ce genre de caresses, lui ôter moi-même son soutien gorge.
J’ai ensuite délacé le corset et l’ai aidée à le passer.
Un plus grand lui aurait sûrement mieux convenu, le corset qu’elle avait choisi était en effet juste, même très juste et d’autant plus difficile à fermer qu’il se lace par devant et par derrière et que les lacets fournis du corset sont particulièrement courts.
Cependant après quelques ajustements j’ai finalement pu le lacer convenablement.
Comme la culotte blanche jurait avec la couleur du corset elle est allée bien vite rejoindre le soutien gorge, Adèle nous offrant ainsi le spectacle de sa toison couleur feu.
Restait le problème des chaussures.
Les talons plats que portaient Adèle n’étaient pas idéals pour accompagner le corset j’ai fouillé dans mon placard et finalement trouvé dans ma collection de chaussures une paire de bottines vernies, noires.
Je la fis asseoir sur le lit et m’agenouillais à ses pieds pour les lui enfiler.
Ainsi vêtue, les seins pointant fièrement au dessus du satin violet, elle était très adorable et méconnaissable.
Pour lui montrer à quoi elle ressemblait ainsi vêtue j’ai du la guider par la main vers le salon dans lequel une grande glace surplombe la cheminée en marbre.
Je sentais Adèle à la fois intimidée et excitée de se voir ainsi.
Je n’ai pas pu résister à l’envie de lui voler enfin plusieurs photos à la va vite avec mon numérique.
On ne voit pas les chaussures, mais elles permettront de garder une trace de cette formidable soirée.
Nous sommes revenus ensuite dans la chambre et Benoit a commencé à embrasser le minou de sa femme et la caresser.
Elle s’est rapidement révélée complètement trempée.
Benoit et moi nous somme mis complètement nu, nous avons assise Adèle sur le lit et très vite elle s’est retrouvée allongée, le sexe de Benoit en bouche et moi entre ses jambes en train d’alterner petits coups de langue et caresses manuelles.
Adèle était trempée. Je la sentais à la limite du plaisir mais malgré tout elle n’arrivait pas à se laisser aller comme si quelle chose la retenait.
Elle a d’ailleurs lâché, dans un sanglot :
- Je n’y arrive pas.
Et ceci malgré ma langue et mes doigts qui investissaient toutes les cavités.
J’étais d’autant plus frustré de ne pas la voir jouir que je n’avais encore jamais vu Adèle dans cet état d’excitation.
Comprenant que je n’y arriverais pas ainsi je lui ai alors demandé de quoi elle avait envie.
D’une petite voix elle m’a laissé le choix et je lui ai dit que j’allais la manger toute cru.
J’ai remonté ses jambes, mis ses pieds en appui sur mes épaules et enfouis mon visage entre ses cuisses.
Ma bouche l’a littéralement mangée, ma langue se faufilant partout, du clitoris jusqu’à son petit trou que mes doigts avaient investi.
Je pense qu’elle a finalement joui sous l’action conjuguée de ma langue, mes doigts mais comme elle était très occupée à sucer Benoit nous ne l’avons pas entendue.
Seuls les soubresauts de son corps l’ont trahie.
Elle m’a ensuite repoussé doucement en arrière et je me suis relevé.
Je lui ai alors reposé la même question que quelques minutes auparavant :
- De quoi as tu envies ?
- De te manger, m’a t’elle répondu avec un petit sourire.
Adèle a joint le geste à la parole et, s’asseyant sur le lit, elle s’est emparée de mon sexe dressé.
Elle commencé à me sucer alors que j’étais debout devant elle et elle assise sur le lit.
Mais comme Benoit avait visiblement l’envie de prendre sa femme en levrette nous avons tous changé de position.
Je me suis assis sur le lit, dos contre le mur, Adèle à genoux entre mes jambes me suçant avec délectation et offrant ses fesses à Benoit qui l’a prise ainsi.
Les lèvres de la magnifique Adèle sont parmi les plus douces que j’ai connues. La sensation sur mon sexe était extraordinaire ! Sensation accentuée par ses mains jouant avec les autres parties sensibles de mon individu.
Pour que Benoit puisse profiter du spectacle de la bouche se sa femme sur mon sexe je relevais régulièrement les cheveux blonds de sa femme.
A chaque coup de boutoir de Benoit je sentais Adèle m’avaler un peu plus.
Benoit n’a d’ailleurs pas résisté longtemps au spectacle dans la glace de la chambre que nos trois corps lui offraient et il s’est laissé aller entre les reins de sa femme.
Pendant que Benoit reprenait son souffle et ses esprits j’ai demandé une dernière fois à Adèle ce qu’elle souhaitait.
Elle ne m’a pas répondu, a souri et m’a aspiré avec encore plus de gourmandise.
Je lui dit que je ne résisterai pas longtemps à ce genre de traitement et que j’allais jouir dans sa bouche si elle continuait, elle a alors levé la tête vers moi et a dit :
- J’adore te le faire...., en insistant sur le TE Comment voulez vous résister à cela ?
J’ai joui quelques instants plus tard entre ses lèvres et tout le temps de ma jouissance elle a joué avec mon sexe à petits coups de langue prolongeant ainsi mon plaisir presque jusqu’à la douleur.
Comme il était déjà assez tard et qu’ils avaient beaucoup de route à faire pour rentrer ils m’ont quitté assez vite après une petite toilette.
J’étais presque jaloux de les voir partir, Benoit aller certainement en arrivant chez eux recevoir seul les caresses de son adorable femme.
De mon côté j’ai eu un peu de mal à m’endormir ensuite dans les draps encore froissés de nos ébats.
Quelle formidable soirée nous avons passé.
Un Samedi soir j’avais invité Adèle et Benoit un couple que je connais depuis maintenant 10 ans.
Ils sont arrivés vers 21 h 00. Nous avons pris un petit apéritif maison, très doux mais aussi bien alcoolisée.
J’avais eu le temps de préparer le repas : pas difficile j’avais acheter des plats chinois tout cuisiner accompagnés de pâte chinoise et de riz… comme boisson un bon petit rosé.
Et comme dessert des coupelles de glace à la fraise.
A la fin du repas j’ai sorti un objet que j’avais acheté le jour même "une aiguille à lacer les corsets".
J’ai demandé à mes invités s’ils avaient une idée de ce que c’était.
Devant l’originalité de l’objet ils ont rapidement donné leur langue au chat.
Et donc de l’aiguille la conversation est passée aux corsets et même si je savais que ce n’est pas le style à Adèle qui est une femme enfant, je lui ai proposé d’essayer une des pièces de ma collection, au choix ! Oui je collectionne les corsets.
Elle était un peu réticente mais les yeux brillants de Benoit et mon amicale insistance l’ont convaincu de se laisser faire.
Elle en a examiné plusieurs mais de peur de se sentir trop oppressée, son choix s’est porté sur un corset souple de couleur mauve s’arrêtant sous les seins.
Benoit et moi l’avons débarrassée de son tailleur pantalon de couleur noir.
Dessous elle portait un ensemble de lingerie blanche assez sage accompagné avec des bas couleurs chair et des chaussures plates montantes.
Le corset étant un modèle laissant la poitrine libre j’ai préféré, connaissant la sensibilité d’Adèle à ce genre de caresses, lui ôter moi-même son soutien gorge.
J’ai ensuite délacé le corset et l’ai aidée à le passer.
Un plus grand lui aurait sûrement mieux convenu, le corset qu’elle avait choisi était en effet juste, même très juste et d’autant plus difficile à fermer qu’il se lace par devant et par derrière et que les lacets fournis du corset sont particulièrement courts.
Cependant après quelques ajustements j’ai finalement pu le lacer convenablement.
Comme la culotte blanche jurait avec la couleur du corset elle est allée bien vite rejoindre le soutien gorge, Adèle nous offrant ainsi le spectacle de sa toison couleur feu.
Restait le problème des chaussures.
Les talons plats que portaient Adèle n’étaient pas idéals pour accompagner le corset j’ai fouillé dans mon placard et finalement trouvé dans ma collection de chaussures une paire de bottines vernies, noires.
Je la fis asseoir sur le lit et m’agenouillais à ses pieds pour les lui enfiler.
Ainsi vêtue, les seins pointant fièrement au dessus du satin violet, elle était très adorable et méconnaissable.
Pour lui montrer à quoi elle ressemblait ainsi vêtue j’ai du la guider par la main vers le salon dans lequel une grande glace surplombe la cheminée en marbre.
Je sentais Adèle à la fois intimidée et excitée de se voir ainsi.
Je n’ai pas pu résister à l’envie de lui voler enfin plusieurs photos à la va vite avec mon numérique.
On ne voit pas les chaussures, mais elles permettront de garder une trace de cette formidable soirée.
Nous sommes revenus ensuite dans la chambre et Benoit a commencé à embrasser le minou de sa femme et la caresser.
Elle s’est rapidement révélée complètement trempée.
Benoit et moi nous somme mis complètement nu, nous avons assise Adèle sur le lit et très vite elle s’est retrouvée allongée, le sexe de Benoit en bouche et moi entre ses jambes en train d’alterner petits coups de langue et caresses manuelles.
Adèle était trempée. Je la sentais à la limite du plaisir mais malgré tout elle n’arrivait pas à se laisser aller comme si quelle chose la retenait.
Elle a d’ailleurs lâché, dans un sanglot :
- Je n’y arrive pas.
Et ceci malgré ma langue et mes doigts qui investissaient toutes les cavités.
J’étais d’autant plus frustré de ne pas la voir jouir que je n’avais encore jamais vu Adèle dans cet état d’excitation.
Comprenant que je n’y arriverais pas ainsi je lui ai alors demandé de quoi elle avait envie.
D’une petite voix elle m’a laissé le choix et je lui ai dit que j’allais la manger toute cru.
J’ai remonté ses jambes, mis ses pieds en appui sur mes épaules et enfouis mon visage entre ses cuisses.
Ma bouche l’a littéralement mangée, ma langue se faufilant partout, du clitoris jusqu’à son petit trou que mes doigts avaient investi.
Je pense qu’elle a finalement joui sous l’action conjuguée de ma langue, mes doigts mais comme elle était très occupée à sucer Benoit nous ne l’avons pas entendue.
Seuls les soubresauts de son corps l’ont trahie.
Elle m’a ensuite repoussé doucement en arrière et je me suis relevé.
Je lui ai alors reposé la même question que quelques minutes auparavant :
- De quoi as tu envies ?
- De te manger, m’a t’elle répondu avec un petit sourire.
Adèle a joint le geste à la parole et, s’asseyant sur le lit, elle s’est emparée de mon sexe dressé.
Elle commencé à me sucer alors que j’étais debout devant elle et elle assise sur le lit.
Mais comme Benoit avait visiblement l’envie de prendre sa femme en levrette nous avons tous changé de position.
Je me suis assis sur le lit, dos contre le mur, Adèle à genoux entre mes jambes me suçant avec délectation et offrant ses fesses à Benoit qui l’a prise ainsi.
Les lèvres de la magnifique Adèle sont parmi les plus douces que j’ai connues. La sensation sur mon sexe était extraordinaire ! Sensation accentuée par ses mains jouant avec les autres parties sensibles de mon individu.
Pour que Benoit puisse profiter du spectacle de la bouche se sa femme sur mon sexe je relevais régulièrement les cheveux blonds de sa femme.
A chaque coup de boutoir de Benoit je sentais Adèle m’avaler un peu plus.
Benoit n’a d’ailleurs pas résisté longtemps au spectacle dans la glace de la chambre que nos trois corps lui offraient et il s’est laissé aller entre les reins de sa femme.
Pendant que Benoit reprenait son souffle et ses esprits j’ai demandé une dernière fois à Adèle ce qu’elle souhaitait.
Elle ne m’a pas répondu, a souri et m’a aspiré avec encore plus de gourmandise.
Je lui dit que je ne résisterai pas longtemps à ce genre de traitement et que j’allais jouir dans sa bouche si elle continuait, elle a alors levé la tête vers moi et a dit :
- J’adore te le faire...., en insistant sur le TE Comment voulez vous résister à cela ?
J’ai joui quelques instants plus tard entre ses lèvres et tout le temps de ma jouissance elle a joué avec mon sexe à petits coups de langue prolongeant ainsi mon plaisir presque jusqu’à la douleur.
Comme il était déjà assez tard et qu’ils avaient beaucoup de route à faire pour rentrer ils m’ont quitté assez vite après une petite toilette.
J’étais presque jaloux de les voir partir, Benoit aller certainement en arrivant chez eux recevoir seul les caresses de son adorable femme.
De mon côté j’ai eu un peu de mal à m’endormir ensuite dans les draps encore froissés de nos ébats.
Quelle formidable soirée nous avons passé.
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