Un déménagement mouvementé 2 - histoire érotique

Marc se leva, et posa une main sur l’épaule d’Eva qui n’avait toujours pas prononcé un mot et lui dit :

« Je t’avais prévenu que ça allait arriver… maintenant retourne chez toi, je te le ramène à 22h00 d’accord ? »

Le visage d’Eva s’était durci mais elle acquiesça néanmoins. Elle reprit ses affaires et quitta l’appartement. Je me retrouvais de nouveau seul avec Marc, et commençais à reprendre mes esprits. Est-ce que je venais vraiment de faire ça ? Qu’est-ce que je devais faire ? partir ? m’excuser ?
Marc ne me laissa pas le temps de trouver des réponses… Il me releva avec une douceur surprenante et m’emmena jusque dans la salle de bain. Il me dit d’entrer dans la douche, ce que je fis sans hésiter. Marc soupira, mis les mains sur ses hanches et me dit :

« C’est malin il va falloir que je m’occupe de toi maintenant… »

Il prit des affaires dans son sac et me rejoins sous la douche, il se mit directement dans mon dos coupa l’eau, et commença à me malaxer les couilles avec de la crème. Il me murmura à l’oreille :

« A partir de maintenant t’es à moi et tu feras ça tous les jours. » et il commença à me raser de partout… Il en profitait pour faire balader ses mains sur mon corps et je fermais les yeux pour me laisser totalement aller sous son emprise. Finalement il ralluma la douche et posa sa bouche sur la mienne, sa langue fouillait chaque recoin de ma bouche pendant que ses doigts se faufilaient un chemin entre mes fesses. Cette sensation de lâcher-prise était nouvelle et très agréable, je cambrais un peu plus les fesses pour l’inviter à aller plus loin encore… Marc comprit immédiatement l’invitation, il me fit me retourner et plaça son gland sur mon petit trou... Il me pénétra avec une douceur surprenante. Tout en me limant la chatte, il m’entourait de ses bras puissants et me susurrant à l’oreille :

« J’ai tellement envie de toi…. T’es trop bonne… Oh oui vas y aspire ma bite… Prends la… T’es ma meuf maintenant… »

D’un coup il me serra avec force et soupira un râle de plaisir, je sentais son liquide chaud me remplir les entrailles et ça me donna un plaisir insoupçonné….

« Aller finis de jouer, on va se remettre au boulot » me dit-il en sortant de la cabine.

Je le rattrapais par la main et en mettant à ses genoux je lui gobais une dernière fois la bite en lui faisant les yeux doux, comme pour lui affirmer mon entière obéissance. Il me mit une petite claque tout en me souriant et sorti de la salle de bain pour aller se rhabiller.

Je le suivis quelques instants après, et ce fut comme si nos égarements n’avaient jamais eu lieu, j’étais de nouveau le copain de sa sœur et rien ne laissait plus paraitre ses envies à mon égard. On continua ainsi à déballer et ranger ses cartons jusqu’à ce que la journée touche à sa fin, lessiver je me pose dans le canapé, mais mon répit fut de courte durée… Marc me rejoins et me tends son téléphone, et je me rends alors compte qu’il m’avait filmé en train de le supplier comme une salope !

« Je l’ai envoyé à un pote, ça te dérange pas j’espère ? » me dit-il avec un regard vicieux « D’ailleurs tu ferais mieux de te préparer, il y en a un qui ne va pas tarder…

Je ne savais pas quoi répondre, avec Marc c’était une pulsion, mais là c’était différent, je ne savais pas si j’étais près à ce qu’il me fasse tourner avec ses potes, comme une pute…

« Ne me dit pas que tu as besoin d’encouragements ?! Aller déshabille toi je vais te préparer… »

Sur ce, je me suis levé et j’ai machinalement commencé à retirer mes vêtements d’abord rapidement, puis voyant mon nouveau maître se caresser la bosse qui déformait son pantalon, je me mis à faire des mouvement de plus en plus féminins… Je finissais par mon short, en lui offrant une pleine vue sur mon intimité… Marc a dû apprécier le fait que je n’ai pas pris la peine de remettre de sous-vêtements car il amena directement mon trou à sa bouche et entrepris de le détendre sous ses coups de langues. Il ne mit pas longtemps pour l’apprivoiser et lorsque ce fut finis il me fit me mettre à quatre pattes, cette fois ci dos à la porte d’entrée. Il avait plongé un doigt dans ma chatte et le leva, comme pour m’assouvir encore un peu plus et me mettre en position. Il en profita pour inscrire à nouveau un message sur mes fesses et poser dessus ce qui devait être un emballage de capote…

« Voilà t’as plus qu’à l’attendre, moi je vais chercher à manger. »

Sur ces mots je commençai à avoir un peu peur, il allait me laisser seul dans cette position avec un étranger ?!

« Et surtout je veux que tu le supplie comme tu sais si bien le faire petite salope »

Il partit, mais ne ferma pas la porte entièrement, surement pour l’inviter à rentrer

A peine 5 minutes plus tard j’entendis quelqu’un sonner à la porte, puis celle-ci s’ouvrir doucement.

« Bonjou… Euh… » Mon invité semblait perplexe, je n’étais peut-être pas à son goût… Toujours sans le voir je me mis à couiner et à dandiner mes fesses comme une chatte en chaleur…

« Viens te faire plaisir mon beau mâle… Remplis moi avec ta grosse bite… » Lui dis-je avec une voix si salope qu’elle m’étonna moi-même.

Mon invité semblait un peu plus convaincu, il ferma la porte et je l’entendis poser ses affaires… seulement il ne semblait toujours se décider à m’offrir son engin… Je pris alors les devants et me retourna, j’avais devant moi un garçon un poil plus vieux que moi, une belle bosse déformait son jean et c’est tout ce que je voyais ! j’entrepris de défaire sa ceinture et de déboutonner son pantalon mais il semblait retissant à l’idée de m’offrir l’objet de mes désirs… Cela me rappela les paroles de mon maître et je commençai à le supplier :

« Détends-toi mon ange… laisse-moi m’occuper de toi… j’en ai tellement envie…. Montre-moi ce que tu caches là-dessous »

Cela fonctionnait et il me laissa le champ libre pour continuer mon entreprise… Il avait une belle bite, moins grosse que celle de Marc mais elle était chaude et son gland ressortait comme un bonbon qu’il me tardait de prendre dans ma bouche. C’est ce que je fis après lui avoir lécher le filet de précum qui en ressortait. Après m’être appliquer pendant 5 bonnes minutes je sentais sa respiration haleter de plus en plus, il allait venir, mais je n’en avais pas encore fini avec lui…

« Pas comme ça mon chou, il va falloir que tu me prennes avant ! » lui dis-je tout en lui enfilant la capote que mon mettre avait pris soin de prendre en version « longue durée ».

Je vis ses yeux se remplir de désir et alors que je me positionnais en levrette pour qu’il fasse de moi sa chienne, mon amant d’un soir avait d’autre idées en tête ! Il me plaqua sur le canapé, et, après avoir enlever son t-shirt, commença à introduire son sexe dans mon trou en feu. Alors que nos regards se croisèrent, je vis le visage de mon bel étalon s’illuminer à mesure qu’il entrait en moi. Lorsque ses couilles touchèrent mes fesses il fut pris d’une fougue incroyable ! Alors qu’il commençait des vas et viens de plus en plus motivés, j’en profitais pour plonger ma bouche dans la sienne. Il ne tarda pas à me rendre la pareille…Il s’était bien foutu de moi à jouer les saintes-ni-touche, mon cul semblait bien l’attirer finalement ! Au bout d’une dizaine de minutes à me faire pilonner de la sorte, il prit ma bite dans sa main et me dis d’une voix hésitante…

« Tu veux que je te … » cela m’avait perturbé, n’avait-t-il pas reçu le message que je ne servais qu’à être baiser ?

Il ne me laissa pas le choix et se retira de mon cul, il plaça sa queue dans ma bouche et vint prendre la mienne. Il ne semblait pas très expérimenté et me faisais légèrement mal, mais cette position m’excitait tellement que je ne mis pas longtemps à lui remplir la bouche. Il gardait bizarrement mon sexe dans sa bouche ce qui était très agréable… Je m’activais alors pour ne pas le décevoir, je faisais tourner son gland dans ma bouche tout en alternant les gorges profondes, il ne mit pas longtemps à me tapisser la bouche de son sperme chaud que je gardais en bouche.

On se leva, et je compris que lui non plus n’avait pas avaler, cette vision m’a tellement excité que je ne pu que lui sauter dessus pour lier nos deux bouches remplies. Ce roulage de pelles durant encore cinq minutes jusqu’à ce que nos deux corps épuisés, dégoulinants de sueur et de spermes tombèrent l’un sur l’autre. On resta comme ça quelques instants, liés ensemble et nus…

« Merde, il faut que j’y aille ! » Me dit il en regardant sa montre. « Si jamais t’as encore besoin n’hésite pas à me faire demander, moi c’est Adrien »

Il commençait à se rhabiller, mais comme pour mon maître, je ne pouvais pas le laisser partir comme ça… Je lui gobai alors sa bite qui avait ramollis et en profita pour lui prendre les couilles … Après lui avoir roulé une dernière pelle, je lui susurrai à l’oreille :

« Enchanté Adrien, je te viderai les couilles quand tu veux »

Il me rendit mon baiser et parti en emportant ses affaires.

Mon maitre rentra juste après, comme s’il avait attendu dehors que j’en ai fini avec mon invité…

« A ben je vois que tu as donné un bon pourboire au livreur de pizza ! » je commençais à halluciner, il y avait effectivement un carton de pizza posé sur la table… J’étais trop obnubilé par le désir d’un sexe que je n’y avais pas fait attention… Alors je n’avais pas servi de chienne pour un amis de Marc, mais j’avais piégé un jeune livreur de pizzas, un inconnu… « Du coup c’est vrai que mon pote n’est pas venu… J’ai dû lui donner l’adresse de chez toi par erreur… Je me demande si Eva lui a ouvert… Bon aller je te ramène »

Je ne savais plus quoi pensais, je m’étais comporté comme le dernier des salops et en même temps j’aimais toujours Eva, et je sentais la jalousie monter en moi à mesure que nous approchions de notre appartement…

Marc me laissa en bas de chez moi, et je montais l’escalier avec appréhension, faisant tomber les clefs plusieurs fois. Une fois la porte ouverte il n’y avait plus aucuns doutes, son pote était bien là et dans mon Eva en plus… Elle était dans notre canapé, chevauchant une énorme bite noire, je tombai à genoux devant ce spectacle... Eva me fit signe de m’assoir dans le canapé à coté d’eux, ce que je fit péniblement… à mesure que je la voyais danser sur ce sexe incroyable, j’étais de plus en plus jaloux… d’elle ! je m’imaginais à sa place, donner du plaisir à ce beau mâle !

Il la malmenait sur le canapé et la pilonnait dans tous les sens à telle point qu’elle enchainait les orgasmes bruyants !

« Tu peux y aller » dit elle à son matraqueur.

Il sortit alors du corps exténué de ma copine et, sans que je puisse comprendre la situation, força l’entrée de ma bouche et enfonça son pieu jusqu’au fond de ma gorge, qu’il remplit d’un volume hallucinant de sperme. Il se retira avant que je ne m’étouffe totalement et me tapota la joue avec son engin….

Ma copine le raccompagna à la porte non sans échanger un baiser fougueux avant.

« On va voir qui est la plus salope des deux ! » me dit-elle avec une expression perverse que je ne lui connaissais pas…