Un divorce pour du bonheur - 5 - histoire érotique

Mon stagiaire Antonin

Cela fait maintenant quelques semaines que je vis chez Baptiste et ma vie a radicalement changée. D’épouse fidèle et mal baisée, je suis devenu la maitresse régulière de Baptiste… enfin l’un de ses maitresses sans oublier ses plans culs. Je suis devenue une cougar obsédée par le sexe. Je suis devenue bisexuelle et mon look a aussi beaucoup évolué. Je suis maintenant ultra sexy tous les jours et en toutes circonstances et cela même au boulot. Mon divorce est vraiment la meilleure chose qui me soit arrivé. Baptiste me fait prendre mon pied comme jamais mais il n’est pas disponible tous les jours et même si je me masturbe les jours où il ne me baise pas, je pense de plus en plus à baiser avec d’autres hommes. D’ailleurs, j’ai de plus en plus de me prendre d’autres bites.

Tout en me caressant la chatte au fond de mon lit, je cherche avec qui je veux baiser. Je décide que ce sera Antonin. C’est un stagiaire de 18 ans qui est dans mon entreprise pour l’été. Il est blond, les yeux bleu et si mignon qu’on a envi de le croquer. Il est à peine plus grand que moi et il est mince. J’ai remarqué que depuis mon changement de look, il ne se prive pas pour mater mes seins ou mon cul. Le lendemain je vais faire de mon mieux pour baiser avec lui. Je travaille dans un petit open space mais plusieurs de mes collègues sont en vacances cette semaine ou en RTT aujourd’hui et du coup je suis seule avec Antonin. Cela va me faciliter la tache !

Je porte une robe qui arrive mi-cuisse et qui cache à peine mes seins. Le vigile frôle la crise cardiaque lorsque je passe la porte d’entrée. J’entre dans mon bureau et Antonin est déjà là. Il manque de se décrocher la mâchoire lorsqu’il me voit. Je lui fais la bise et j’en profite pour poser ma main sur son bras et le caresser un peu. Je commence à travailler mais je vois bien que mon petit stagiaire a du mal à se concentrer. Il me pose une question et pour lui répondre je dois voir son écran. Je me lève donc et je me place derrière lui. Je me penche pour voir son écran et je fais exprès de caler sa tête entre mes gros seins. Je le vois devenir tout rouge. Je prends tout mon temps pour répondre à sa question. J’en profite pour me coller à lui au maximum et pour frotter mes seins contre sa tête et son cou. Je vois son pantalon se tendre au niveau de l’entre jambe.

Je lui demande s’il a chaud car il est tout rouge. Il bafouille mais ne sait pas vraiment quoi répondre. Je pose alors ma main sur la bosse de son pantalon. Tout son corps se raidi. A l’oreille, en murmurant, je lui demande s’il a envie de me baiser. Evidement il répond que oui. Je lui mordille l’oreille tout en appuyant fort sur sa bite. Mais nous ne pouvons pas aller plus loin dans l’open space, nous pourrions être surpris. Je lui dis que nous avons besoin d’aller voir quelques choses aux archives. Je prends la clé de cette salle et nous nous y rendons. Nous entrons dans les archives et je verrouille la porte. Je lui demande s’il est puceau. Il répond qu’il a déjà couché avec une fille de sa classe au lycée. Je m’approche de lui et je l’embrasse. Nos corps sont collés et je sens son cœur battre à cent à l’heure. Je sens aussi sa bite qui est toute dure.

Je m’accroupi devant lui. Il a une vue imprenable sur mes seins et au bout d’un moment, il ose venir les touches avec sa main. Pendant ce temps, j’ai défait sa ceinture et je baisse maintenant son pantalon puis son boxer. Sa bite surgit devant moi. Elle est plus courte et moins épaisse que celle de mon Baptiste mais tellement plus grosse que celle de mon ex mari. J’enfonce sa bite dans ma bouche et Antonin gémit. Je caresse ses couilles pendant que ma langue joue avec son gland tout chaud. Je le suce depuis même pas deux minutes lorsque je sens son sperme envahir ma bouche. L’orgasme d’Antonin lui coupe les jambes et il s’assoit en catastrophe. Puis il s’excuse d’avoir jouit dans ma bouche. Mais je trouve cela hyper mignon et j’avale tout son sperme. Je trouve cela gratifiant pour moi la quinquagénaire d’avoir excité ce gamin au point qu’il jouisse dans ma bouche en moins de deux minutes. Je me relève et fait glisser ma robe le long de mon corps. Puis je viens m’assoir sur les genoux d’Antonin, face à lui. Je l’embrasse et passe mes bras autour de sa tête. Puis j’appuis fort sur sa tête pout venir l’écraser contre mes seins.

Mon très jeune amant me lèche les seins. Cela l’excite beaucoup car je sens sa bite qui durcie contre mes fesses. Cela m’excite moi aussi et je mouille abondamment. Je m’assois sur une table qui est juste à coté et j’ordonne à mon stagiaire de venir me lécher la chatte. Il s’approche de moi et je vois son visage juvénile entre mes cuisses. Il entame un cunni mais il est assez maladroit. Il ne me fait pas jouir comme mon Baptiste mais le fait d’avoir la langue d’un garçon plus jeune que mon fils dans la chatte m’excite. Sa bite est maintenant bien dure et je vais pouvoir en profiter. Comme il n’a que très peu d’expérience, je décide de prendre les choses en mains. Je me relève et lui demande de s’allonger par terre. Il s’exécute pendant que je sors une capote de mon sac. Je la déroule sur la bite de mon jeune stagiaire qui est allongé sur le sol. Puis je me place au dessus de lui et je m’assois sur sa queue. Je me laisse descendre lentement sur sa bite. C’est si agréable. Je gémis et lui aussi. Avoir une nouvelle bite en moi m’excite et me procure du plaisir. Je saute sur sa bite de plus en plus vite et de plus en plus fort. Mes mains sont posées sur son torse et pendant que je vais et viens sur sa bite, Antonin agrippe mes gros seins qu’il tripote frénétiquement. Je me sers de lui comme un sextoy. Je saute dessus comme une folle et au bout de cinq minutes, Antonin jouit. Je retire sa bite de mon corps et j’avale tout le sperme qui est dans la capote. Je m’allonge par terre et je demande à Antonin de me doigter violement. Encore sous le coup de l’orgasme, il s’exécute. Je lui fais mettre trois doigts dans ma chatte. Il me doigte violement et je fini par jouir à mon tour. Je me rhabille. Il me remercie d’avoir faire l’amour avec lui. Je trouve cela très mignon et je l’embrasse tendrement.

La fin du contrat arrive malheureusement très vite et je n’ai pas eu l’opportunité de baiser avec lui depuis cette fameuse journée. Aujourd’hui, c’est le dernier jour d’Antonin et ma cheffe décide que nous allons tous aller boire un verre après le boulot. Nous passons donc le début de soirée dans un bar. Au fur et a mesure de la soirée, plusieurs collègues partent et finalement il ne reste plus que ma cheffe, Antonin et moi. Comme il n’a pas de voiture, ma cheffe propose de le ramener mais ce n’est pas sur sa route. En mentant, je réponds que c’est sur la mienne. Elle me dit que si cela ne me dérange pas, elle veut bien que je le ramène. Si elle savait comme je suis contente de le ramener. Et lui aussi d’ailleurs. Nous voilà donc dans ma voiture en direction de la maison des parents d’Antonin. Il ne peut s’empêcher de caresser mes cuisses. Je vois qu’il bande comme un porc. Je lui demande si ses parents sont là et il me répond que oui.

Je décide donc de prendre la direction d’une plage assez isolée avec un parking discret. Antonin parait surpris mais il est très vite ravi quand il me voit poser ma main sur la bosse qui déforme son pantalon juste après avoir coupé le contact. Je sors de la voiture et prends une serviette de plage dans mon coffre. Antonin sort de la voiture et je le plaque contre la carrosserie pour l’embrasser tendrement. Nos langues se mêlent ainsi que nos salives. Je caresse le corps de mon jeune amant pendant qu’il tripote mes seins et mon cul. Je lui prends la main et je l’entraine vers la plage. Juste au pied d’une dune, j’étends la serviette et je fais glisser ma robe le long de mon corps, dévoilant ainsi mes formes pulpeuses à Antonin qui se jette sur moi. Pendant que nos corps se frottent et que nous nous embrassons, je déshabille Antonin qui est maintenant allongé sur le dos. J’embrasse son torse tout en le branlant. Puis je pose mes lèvres sur ses couilles. Il gémit et ses gémissements augmentent lorsque j’avale sa bite.

Je le suce de longues minutes et lorsque je sens le point de non retour arriver, je stoppe net ma fellation. Je l’embrasse, on se câline et cette fois, c’est moi qui suis sur le dos. Antonin me lèche les seins de longs instants. Il me regarde parfois amoureusement puis repose sa langue sur mes seins. Il finit par entamer un cunni. Il ne s’est pas améliorer depuis la dernière fois mais je suis suffisamment excitée pour mouiller. Il est si mignon à faire tant d’efforts pour me faire jouir que je décide de simuler. Je me mets donc à gémir et cela excite beaucoup Antonin. Après dix bonnes minutes passées ainsi, Antonin se place au dessus de moi en missionnaire et il me demande s’il peut me pénétrer. Il est tellement mignon ! Il me regarde avec amour et il me sourit. Je réalise que j’ai laissé les capotes dans la voiture mais l’instant est tellement beau que je lui dis de me pénétrer ainsi.

Il me pénètre lentement et amoureusement. Il m’embrasse tendrement. J’ai passé mes bras autour de lui. Il fait de lents et longs mouvements de pénétration. Il me dit plusieurs fois qu’il m’aime. Cela me touche mais je ne veux pas qu’il s’attache à moi non plus. Mais pour la première fois depuis très très longtemps, je ne me fais pas baiser comme une vulgaire salope. Je suis avec un homme qui m’aime et qui me fait l’amour tendrement. Je décide de profiter de l’instant et de laisser Antonin profiter de mon corps. Il m’embrasse toujours tout en me pénétrant tendrement. L’instant est magique. Je ressens énormément de plaisir et cette fois, mes gémissements ne sont pas simulés. Je prends vraiment mon pied. Après quarante minutes de cette pénétration presque irréelle, Antonin éjacule en moi. Sentir son sperme chaud se répandre en moi déclenche mon orgasme et nous jouissons ensemble.

Je sers toujours mon jeune amant contre moi. Il pose sa tête contre mes seins. Sa bite est toujours en moi. Nous sommes si bien. Nous restons enlacés ainsi plus d’une heure avant que le portable d’Antonin ne nous ramène à la réalité. Sa mère commence à s’inquiéter. Nous reprenons donc la route. Nous arrivons devant chez les parents d’Antonin. Je l’embrasse tendrement puis il sort de la voiture en me souriant. Je sais déjà ce qu’il retiendra de son job d’été !