Un fantasme a porté de main. - histoire érotique

-Un fantasme a porté de main.

Clara est une belle et jeune fille, de longs cheveux bruns légèrement ondulés, une
peau blanche satinée, un visage doux et rieur. C'est aussi une excellente élève,
première dans presque toutes les matières et cela depuis la primaire. À ce moment elle
est au lycée et ses moyennes sont toujours au top, son avenir et ses projets de
carrière sont déjà tracé, elle a l'attitude et même le look "première de la classe".
Pourtant tout au fond d'elle se cachent des envies et des fantasmes secrets, enfoui
sous sa virginité, au fin fond de son imagination, alimenté par les vidéos et images
érotiques qu'elle regarde discrètement le soir dans son lit en se caressant. Toujours
concentrée sur ses études, elle n'a jamais songé à s'abandonner dans les bras d'un
garçon (ou d'une fille) pour vivre ses désirs cachés, uniquement en pensées et en
caresses puis elle redevenait la petite fille-modèle connue de tous.

Clara avait pourtant un fantasme plus fort que tous, un de ces fantasmes qui paraît si
réalisable qu'il vous trotte dans la tête continuellement. C'est depuis ce fameux soir
d'hiver, il y a quelques mois en arrière, ce soir-là où elle a regardé une vidéo
montrant une bourgeoise sucer un mec de banlieue. Ha! Oui qu'elle s'en souvient! Un de
ses plus beaux orgasmes en solitaire. Mais dans sa rêverie elle alla plus loin, en
imaginant qu'elle suce un garçon qu'elle connaît. Un dénommé Maxime, depuis des années
régulièrement dans la même classe, depuis des années ils se détestent, elle première,
lui plutôt dernier, turbulent, malpoli, surtout depuis son adolescence où il s'est mit
à fréquenter la racaille du coin, fumeur de chichons et j'en passe sur ses autres
vices et magouilles. Depuis ce certain soir d'hiver, elle n'ose plus le regarder tant
les images de la vidéo mêlées à celle de son imagination la trouble et lui rappelle
constamment que les toilettes du lycée seraient idéales et si facile d'accès.
Elle peut très bien se retenir, garder son envie en elle, ce n'est pas un souci,
mais...

Un jour ce Maxime lui chercha des ennuis en lui volant des stylos dont un que Clara
affectionnait tout particulièrement. Elle le poursuivit jusqu'au fond du couloir, le
priant de le lui rendre, au moins celui-là:

- " aller Maxime! S'il te plaît!
- Qu'est ce t'as? C'est ça que tu veux pétasse?
- Rend-le-moi connard!"

Il lui tend le stylo, mais au moment de l'attraper il le lui retire en se foutant
d'elle:

- "suce mon zobe!"

Lui se marrer, elle fut touchée. Elle rougit et baissa la tête:

- "d'accord, je vais te ... te sucer.
- Je disais ça pour te faire chier mais si t'insiste viens par là!"

Il l'agrippe par le bras, et la tire aux toilettes, ferme le verrou de la porte
derrière lui et lui dit : "Vas-y!". Elle se sent comme fiévreuse, tout son désir
éclate vers son ventre, sa poitrine, monte à la tête et explose à ses tempes. Comme la
bourgeoise du film, elle tombe à genoux et tire le survêtement et le boxer vers les
chevilles de son ô combien méprisant camarade. Clara fait face à un sexe d'homme en
érection et réalise à peine ce qu'elle est en train de faire et encore moins ce
qu'elle va faire par la suite.

Elle se met alors à le branler du bout des doigts, découvrant et recouvrant un gland
palpitant rosâtre. Quelques va-et-vient puis Maxime s'impatiente:

- "bon tu me suces!
- Attends je n'ai jamais..."

Il l'attrape par la gorge, débouchonne du pouce le stylo préférer de Clara et vient
lui marquer sur le front "Merdeuse".

- "Suce-moi comme tu as tellement envie où je prends une photo avec mon portable de
toi avec ma teub en face et le mot "merdeuse" sur le front et je l'envoie à tous mes
potes"

Clara ne cherche pas plus loin et gobe le gland comme si sa vie en dépendait. Le gout
et la texture la surprise et par découverte elle commença à tétouiller le bout de
chair rose et son prépuce. Mais ce n'est pas au gout de Maxime qui agrippe violemment
les beaux cheveux de Clara et imprime un mouvement plus profond, plus rapide. Sous ce
rythme, par réflexe, elle ferme en peu la bouche et ses dents viennent frotter sur la
verge sensible du jeune homme. Pour seule vengeance il pousse son chibre au fond de la
gorge de la délicate Clara qui manque de s'étouffer et vient rajouter à sa punition,
en lui pinçant le nez pour bloquer sa respiration. Les paupières de la jeune fille
forces et se plissent, son visage devient écarlate, puis il lâche son étreinte. La
respiration de Clara et rapide et profonde, elle est saccadée et accompagnée d'un
faible gémissement de douleur mêlée de peur. C'est par-dessus que se rajoute de
nouveau le coït buccal de Maxime.

Il finit par râler et désordonner ses mouvements, extrait sa bite de la bouche
meurtrie de la pucelle encore reliée à elle par des fils de bave. Sa jouissance est
abondante, bouillante et odorante pour Clara qui se retrouve le visage couvert de
sperme, matière jamais présente dans ses rêves érotiques. Ce moment la laisse inerte,
elle ne bouge plus, prise entre la satisfaction et la honte, l'excitation et le
regret. Seul vient la décrocher de cet instant, le bruit d'un portable qui prend une
photo. Horreur! Maxime tout sourire vient de figer ce moment qu'elle aurait préféré
gardé secret. Lui remonte son bas de survet', déverrouille la porte et lui lance un:

- "ben je sais maintenant qui chercher quand je voudrais me vider les couilles!"

Il referme la porte sur une Clara trempé de semence et de sueur et dont cette aventure
l'aura transformée...

Note: Je remercie Clara, la fille d'un ami, qui m'a fait part de son aventure, avec
qui j'ai coécrit ce récit et qui m'a donné tous ces petits détails croustillants.