Un fantasme pas si éloigné de la réalité
Récit érotique écrit par Helene2010 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 38 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 10.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Helene2010 ont reçu un total de 840 295 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-08-2010 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 12 561 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Un fantasme pas si éloigné de la réalité
Un fantasme pas si éloigné de la réalité
J'avais toujours imaginé que je ferais comme tout le monde, comme mes parents, mes frères et soeur et que je
rencontrerais un amoureux et que je me marierais avec lui mais ça ne s'est pas passé comme j'avais toujours rêvé.
J'avais découvert la masturbation que je pratiquais avec honte, comme si j'en étais droguée et pas un soir avant de
m'endormir n'arrivait sans que je ne me masturbe.
Bien qu'éduquée à la sexualité, je veux dire qu'on m'avait appris et que j'avais appris comment j'étais faite et
comment ça devrait se passer plus tard quand je serais mariée, j'avais aussi écumé le dictionnaire médical de mes
parents et m'étais délectée à regarder des revues pornos que mes copains et copines se procuraient je ne savais où.
Je me masturbais donc en pensant à ces filles si belles et aux seins si gros, au pubis complètement rasé, ce qui me
permettait de voir à quoi ma vulve ressemblait bien mieux que quand je l'observais dans mon rond miroir. Je rêvais
aussi de leurs seins, moi qui étais un peu en retard sur ma soeur ou ma mère question poitrine car à dix-huit ans, je
me traînais encore lamentablement des bonnets B. Du 34B.
Je n'avais pas encore de petit ami parce qu'aucun d'entre mes connaissances ne me plaisait ni n'avait tenté de me
draguer et j'avais l'impression d'être la seule dans ce cas.
Après le bac, je suis entrée pour deux ans dans une école de secrétariat et je suis entrée dans une entreprise dès la
fin de mes études. J'étais alors sous les ordres d'une femme à la quarantaine conquérante et célibataire elle aussi. Je
la trouvais dure avec moi car elle ne passait aucune erreur tout en me disant que c'était pour mon bien.
Puis un jour, elle a fini par s'intéresser à moi et s'est étonnée qu'une jolie fille comme moi — c'est elle qui le disait —
n'ait pas de petit ami, ajoutant qu'elle ne connaissait pas d'homme qui n'aurait pas envie de moi. Ça m'a faite rougir
et par la suite, quand elle me posait des questions, je lui ai répondu sans mentir et sans la gêne que j'aurais eu à
répondre à ce genre de questions posées par ma mère.
En fait, j'étais bien avec cette femme élégante à la taille mince et à la forte poitrine comme ces Américaines des
années cinquante que l'on voyait partout dans les films et dans les pubs.
A peine huit jours plus tard, elle m'a demandé pourquoi je ne m'intéressait pas à elle et n'essayais pas d'en savoir
plus. J'ai encore rougi. Elle a continué :
- Ça ne t'intéresse pas de savoir que je suis lesbienne, que je préfère les femmes aux hommes ? Oh, j'aime bien les
hommes, avait-elle ajouté ! Ils sont parfois amusants, mais pour le sexe, je préfère les femmes !
Elle me regardait, amusée :
- Tu ne veux pas faire l'amour avec moi, m'a-t-elle proposé ? Tu ne l'as jamais fait ? Tu es vierge ? Je ne le crois pas,
a-t-elle conclu !
J'étais rouge comme une tomate mure. Ma chef a continué :
- Tu te masturbes ! Oui, c'est ça, a-t-elle jubilé, tu préfères te masturber !
Elle me souriait puis elle m'a dit qu'on pouvait s'amuser, que je n'avais qu'à choisir si c'était moi qui commençait ou
elle ou si on le faisait ensemble. Elle a regardé sa montre puis a fermé la porte du bureau et a tourné la clé dans la
serrure.
- Viens, m'a-t-elle dit ensuite ! Assied-toi sur le bureau ! je vais t'aider !
J'étais incapable de refuser. Je me suis levée de ma chaise et je me suis assise sur le bureau, comme elle me l'avait
suggéré puis ma chef m'a fait soulever les fesses et ma retiré ma culotte avant de faire tomber la sienne sur ses
chevilles et de la ramasser et la poser à côté de moi sur le bureau.
- Quand j'étais gamine, j'ai branlé mon cousin, a ajouté ma chef ! Ça m'a d'abord dégoûté puis je me suis dite que
c'était amusant mais pas au point de vouloir faire l'amour avec lui ! Ecarte les cuisses !
J'ai écarté les cuisses comme elle me le demandait mais elle m'a pris le poignet et a guidé ma main jusqu'entre ses
cuisses et j'ai commencé à la toucher du bout de mes doigts.
- Tu n'as jamais touché une autre chatte que la tienne, a ajouté ma chef ? Je suis une vieille femelle ! Touche-moi
bien et tu verras la différence !
Je touchais sans vraiment me rendre compte que ses petites lèvres étaient des lambeaux de chair. Ma chef me tenait
toujours le poignet mais sa main a glissé sur ma main et ses doigts sur mes doigts et elle me les a guidés là où elle
voulait que j'aille, ajoutant qu'elle n'était qu'une vieille salope et que je n'avais qu'à enfoncer mes doigts dans son
vagin.
- On est toutes sorties de là, a-t-elle ajouté ! Ça n'a rien d'extraordinaire que ta main y retourne !
A part le pouce, j'avais enfoncé presque tous mes doigts mais je n'avais pas envie d'aller plus loin et j'ai supplié ma
partenaire de me masturber. Elle a laissé tomber sa tête en arrière et a dit que j'étais une drôle de fille mais la
femme m'a lâché le bras et sa main s'est enfoncée entre mes cuisses.
- Tu n'en as pas besoin, m'a ensuite dit la femme et je suis sûre que rien que d'y penser tu dois arriver à jouir ! Je
sentais ses doigts sur ma vulve, sur mes petites lèvres et sur mon clitoris et aussitôt dans mon vagin, un doigt, puis
deux, puis trois.
- Tu vois, tu n'a pas à t'en cacher, a ajouté ma chef, tu aimes qu'une femme te touche ! Notre petite cochonne est
une vraie lesbienne !
Elle avait à peine fini de dire ça que j'ai eu un orgasme et il m'aurait été impossible de faire autrement tellement
j'avais eu envie de jouir. Elle avait laissé ses doigts dans mon vagin quand elle a ajouté que je pouvais venir chez elle
ce soir et que si ça se passait bien, on y passerait la nuit.
J'étais incapable de refuser et à la fermeture du bureau, je l'ai suivie dans le parking souterrain. Vogue la galère...
Une demi-heure plus tard j'étais dans la maison de ma chef et elle m'a d'abord fait visiter et une fois dans le salon,
elle m'a vanté le jardin, les hauts murs qui protégeaient des regards.
- Il fait beau ! On va se mettre toute nues ! Tu veux bien ?
Je n'ai pas osé la contrarier et comme elle, je me suis déshabillée. Nous étions dans sa chambre. Je n'avais jamais vu
un lit aussi large. Au mur, des photos d'elle, nue, encadrées et nombreuses et sur la commode une photo d'elle,
encore, cuisses ouvertes, et en train de se masturber.
- On va faire une dînette et après, je te montrerai mes jouets, a ajouté ma chef !
Ses jouets, je me doutais de ce que c'était. Il y en avait un, bleu et énorme, en forme de tire-bouchon, sur la table de
nuit. Alors, les autres, je les ai imaginés d'après ce que j'en savais d'un catalogue que j'avais reçu sans le demander.
Je l'avais trouvé un soir en rentrant du travail, dans ma boîte à lettres et j'étais restée rouge encore et honteuse, de
la première page à la dernière, me demandant comment on pouvait se faire plaisir avec ces trucs-là.
- Tu es vraiment très jolie, m'a dit ma chef !
Une de ses mains était plaquée sur mes fesses et l'autre sur mon ventre. Elle passait ses doigts comme un peigne
dans mes poils et a ajouté qu'il serait bien que je m'épile complètement parce que ça ferait moins sale que des poils
!
- J'ai bien vu que tu te rase les aisselles ! Alors, le bas-ventre..., a-t-elle ajouté !
Je lui ai demandé si elle voulait que je le fasse maintenant et elle a trouvé l'idée excellente puisque ça lui donnerait le
temps de préparer notre dînette.
- Mais tu ne me dis rien, a-t-elle ajouté ! Tu n'aimes pas mes seins ?
J'avais été trop timide pour me retourner sur elle et quand j'ai tourné la tête, je les ai vus, énormes et pointus, des
seins de louve aux aréoles immenses et aux mamelons gros comme des dés à coudre.
- Ils sont beaux, ai-je bredouillé...
-Les femmes ont honte d'avoir une grosse poitrine, a répondu ma chef ! Pourtant, la poitrine, c'est la femme, encore
que pour moi, ça n'a pas beaucoup servi ! J'espère quand même que tu les apprécieras !
Elle s'était mise à rire. Nous étions maintenant face à face et elle a enfoncé ses mamelons dans ma poitrine comme
s'il s'était agi d'un défi.
- Va te raser, sinon je ne pourrais pas t'embrasser, a conclu ma chef !
C'était une phrase que disait ma mère à mon père le dimanche matin quand il se levait vers midi et venait nous
retrouver dans la cuisine. Savait-elle que ça pouvait concerner les femmes aussi ? Une fois dans la salle de bains, je
n'ai vu qu'un coupe-chou, ces vieux rasoirs et ma chef m'a dit qu'elle n'avait que ça. Je ne l'avais jamais utilisé
quand sa voix m'a dit de me savonner si je ne voulais pas me faire mal et j'ai pris la savonnette et je me suis rasé le
ventre. Ça n'était pas parfait comme me l'a plus tard fait remarquer ma chef. Nous avons fait dînette sur la terrasse
puis elle s'est occupée de moi plus sérieusement, me demandant de lui montrer comment je me masturbais puis
rectifiant mes gestes pour qu'ils soient efficaces et j'ai eu un orgasme devant elle.
- Si tu veux faire l'amour avec moi, a-t-elle ajouté, il faut que tu le veuille ! Tu le veux ?
Je le voulais même si je m'étonnais encore qu'une fille de vingt et un an comme moi soit avec une femme qui en
avait le double. Nous sommes rentrées et nous avons fait l'amour sur le lit, Thérèse me dévorant d'abord la chatte.
Elle voulait que je l'appelle par son prénom. Elle n'arrêtait pas de répéter que j'aimais ça puis elle m'a fait dévorer
ses mamelons, m'écrasant sa poitrine sur la bouche puis ce fut à son tour de me dévorer les miens avant que je ne
lui dévore la chatte avant que nous ne nous endormions, épuisées. Mon amie s'est allongée contre mon dos et m'a
serrée dans son bras.
- Maintenant, a-t-elle conclu, il faut t'habituer à ce que tu sois ma gouine !
Je lui ai répondu que ça ne me gênait pas et elle a insisté jusqu'à ce que je lui dise que j'étais heureuse d'être à elle.
Le lendemain matin, nous sommes passées chez moi pour que je me change et Thérèse a pris la photo de moi qui
trônait dans ma chambre. Rien de très sexy car j'étais habillée mais elle a dit qu'elle me prendrait en photo et que
c'était sa passion et lorsque je lui ai demandé qui avait fait toutes ces photos d'elle, elle m'a répondu que c'était une
ancienne de ses amies.
- C'était ton amoureuse, lui ai-je demandé ?
- Oui, m'a répondu Thérèse !
- Elle l'est encore, ai-je insisté ?
- Euh... non !
J'ai bien vu qu'elle avait hésité. Thérèse m'a demandé si j'étais jalouse et je l'étais vraiment et je n'en revenais pas.
En huit jours, ma vie avait basculé.
- Non, m'a fait mon amie ! Tu t'es simplement révélée à toi-même ce que tu es, ajoutant que si je le voulais, elle me
ferait prendre par un de ses amis ! Peut-être que tu préféreras un pénis ?
J'ai bien compris que je n'avais pas intérêt. Avant d'arriver au bureau, on s'est arrêtées dans une petite rue et nous
nous sommes embrassées avant de nous remaquiller. Thérèse m'a fait descendre un peu avant l'entrée du parking et
je suis entrée dans l'immeuble comme je l'avais toujours fait jusqu'ici. Je n'ai pas revu Thérèse de la matinée et
pendant tout ce temps, j'ai pu penser que j'avais bien le droit de dire à tout le monde que nous avions une relation
amoureuse toutes les deux. Je suis alors allée voir mon amie mais quand je lui ai dit, elle m'a fait jurer que jamais je
ne dirais rien et qu'elle ne voulait pas que ça fasse des histoires.
Je m'attendais à continuer à coucher avec elle mais pendant plusieurs soirs, je suis rentrée chez moi. Même pas un
coup de téléphone pour me souhaiter bonne nuit, puis le vendredi soir, je suis à nouveau partie avec Thérèse. Il
pleuvait et nous sommes restées dans la maison.
- Viens, je vais te coiffer, m'a-t-elle dit après le dîner !
Thérèse m'a coiffée et m'a mis quelques barrettes pendant qu'elle préparait son matériel. Ce fut l'appareil photo sur
son pied et tous les gadgets que j'avais déjà aperçus puis nous avons pris différentes poses pendant que mon amie
déclenchait l'appareil avec la télécommande et j'ai fini par poser toute seule, selon ses indications. Le flash crépitait
sans arrêt et j'étais morte de honte de m'offrir de cette façon comme cette fois où j'étais cuisses ouvertes et les
doigts disparus au fond de mon vagin.
- Viens, m'a ensuite dit Thérèse ! Je vais te montrer comment ça fait !
Elle s'est équipée d'un gode muni de bretelles qu'elle s'est attachée autour de la taille et m'a fait pencher sur le lit,
les mains bien à plat avant de me pénétrer.
- Tu aimes ça, n'est-ce pas, me demandait Thérèse !
Je répondais que non parce que je me doutais que c'était ce qu'elle voulait et elle insistait :
- Tu aimes ça, quand c'est moi !
Je répondais oui.
- C'est bien, me disait alors Thérèse ! Souris !
Et le flash crépitait.
- Il y a une chose que tu vas sans doute aimer, a ensuite dit mon amie ! Ce n'est pas que pour les hommes !
Elle s'est retirée de mon vagin puis elle s'est enfoncée entre mes fesses avant de s'enfoncer dans mon anus. J'avais
mal mais j'étais fière de le faire parce que c'était mon amie qui l'avait demandé. Je n'avais jamais osé m'enfoncer
quoi que ce soit dans l'anus et j'étais enculée. Thérèse continuait à me sodomiser et me demandait de me caresser si
je voulais avoir un orgasme et là aussi, je l'ai voulu parce qu'elle le voulait.
- Petite cochonne ! Ma jolie gouine, m'a-t-elle dit à la fin ! Fais-moi goûter ton plaisir !
Elle a collé sa bouche à ma vulve et m'a léchée jusqu'à ce que je sois presque sèche puis elle m'a dit de choisir un
toy pour la faire jouir et j'ai choisi le plus gros. Thérèse n'a pas parue étonnée et c'est plutôt moi qui l'aie été quand
je le lui ai enfoncé dans le vagin.
- J'aime ça aussi, être ouverte, a commenté mon amie ! Je préfère un gode qu'un pénis d'autant plus qu'il n'y en aura
jamais d'aussi gros que ce gode !
Après, je n'ai eu de cesse de la faire copuler avec cet énorme truc puis j'ai cru qu'elle allait mourir tant elle gémissait
mais c'était juste avant d'avoir son plaisir. Après ça, elle s'est écroulée les deux bras en crois sur le lit et quand elle a
eu repris son souffle, elle a dit que nous étions deux belles salopes.
- J'ai toujours préféré les femmes, a ajouté Thérèse ! D'ailleurs, ce sont les seules avec qui j'ai fait l'amour !
- Tu en as connu beaucoup, lui ai-je demandé ?
- Attends, j'ai quarante-cinq ans... Parfois, ça changeait toutes les semaines et parfois ça durait plus longtemps,
deux ans, je me souviens... C'est curieux parce que c'est la situation inverse d'aujourd'hui ! Elle avait le double de m
on âge...
- Tu l'as revue, lui ai-je demandé ?
- Jalouse, m'a fait mon amie ? Je voudrais que tu sois comme j'étais à cette époque, toujours à quémander un baiser
et à vouloir faire l'amour avec elle ! Je ne pensais qu'à ça ! Moi aussi, je travaillais avec elle et c'était ma chef à moi
aussi !
Thérèse m'a fait lever du lit et a pris un gode dans le tiroir puis elle m'a demandé de la suivre dans la salle de bains.
Là, elle a planté le gode sur le coin de la baignoire. Il tenait grâce à une ventouse et quand mon amie m'a intimé de
m'en servir, je me suis enfoncée dessus et je me suis prise pendant qu'elle me regardait.
- Bien, a continué mon amie, tu vas me faire une promesse : tu t'en serviras si je ne m'en sers pas ! Il ne doit pas
rester une seule journée sans servir !
J'ai pris l'habitude. Pendant que mon amie préparait le repas, je m'empalais dessus et pendant que je faisais la
vaisselle, j'entendais ses cris de plaisir sur le gode. Parfois, c'était l'inverse. Je devenais de plus en plus amoureuse et
de plus en plus jalouse. Un soir que mon amie dormait, j'ai fouillé dans son carnet d'adresse dans l'espoir de trouver
cette femme qui l'avait séduite. Je n'ai jamais été détective mais c'est en voyant un nom à moitié effacé dans le carnet
que j'ai pensé que c'était elle. Il y avait une adresse. Un jour que j'ai pu, j'y suis allé et quand la femme à ouvert sa
porte, j'ai tout de suite su que c'était vraiment elle et quand je lui ai dit que j'étais l'amie de Thérèse, ça c'est
confirmé.
- Vous avez de la chance, m'a dit la femme ! Moi, je ne la vois plus souvent...
Pendant qu'elle me préparait un café, j'ai regardé les photos sur les murs et la cheminée. Il y en avait une. Cette
femme, à quatre pattes, en levrette, c'était cette femme et l'autre derrière elle, le visage enfoui dans les fesses, j'ai
pensé que c'était Thérèse.
- Oui, c'est Thérèse, m'a fait la femme en arrivant derrière moi !
Je n'avais même pas posé la question.
- Il y en a une autre, dans ma chambre, où c'est l'inverse ! C'est moi qui lui lèche la chatte ! Elle aime toujours ça ?
Pourquoi mentir ? Thérèse aimait toujours ça mais ce qui me fascinait, c'était les seins de la femme qui pendaient si
bas. Sur les deux photos, ils étaient aussi longs que ses cuisses ou le haut de ses bras.
- Vous devez avoir une belle poitrine, lui ai-je dit !
- Ah, m'a-t-elle fait ! Vous voulez la voir ?
Je n'ai pas eu le temps de répondre. La femme avait relevé son sweetshirt et m'avait tout montré, ces seins plantés si
bas et si longs qu'ils lui arrivaient sur le ventre.
- J'étais putain avant de rencontrer Thérèse, m'a précisé la femme ! Elle était jalouse de mon passé ! Sa prévention
pour les bites, je ne l'ai jamais comprise, comme si ça avait de l'importance qu'un homme m'ait pénétrée ! Je crois
qu'elle aurait bien aimé en avoir une, comme les hermaphrodites, a ajouté la femme en riant !
Elle voulait savoir depuis combien de temps ça durait nous deux puis elle a dit :
- Tu es lesbienne, toi aussi ! Ça ne t'a jamais tenté de faire l'amour avec un homme ?
- A vrai dire, je n'ai jamais imaginé aimer quelqu'un d'autre que Thérèse, lui ai-je répondu !
La femme s'est exclaffée puis a ajouté que j'avais bien tort. Elle était restée la poitrine à l'air et elle m'a dit que je
pouvais toucher ses seins, ce que j'ai fait, les pinçant entre mes doigts, les soulevant dans mes mains et les écrasant
l'un contre l'autre.
- Tu es amoureuse, a ajouté la femme, et si tu es sincère, tes seins aussi vont pousser ! Tu auras de très beaux seins
!
Après cette prophétie, je lui ai proposé que l'on se rencontre toutes les trois mais elle n'a pas voulu, ajoutant
qu'après les hommes et les femmes, elle ne désirait plus rien.
- Même pas..., ai-je commencé ?
Elle m'avait bien compris et m'a répondu qu'elle savait très bien se débrouiller. Tant pis. C'était foutu, mais trois
jours plus tard, j'ai à nouveau sonné à la porte de la femme et quand je lui ai dit ce que je voulais, elle m'a répondu
que j'étais trop jeune pour elle mais j'ai insisté.
- J'ai presque honte de te dévoyer, m'a dit la femme !
Je lui ai dit que ça ne faisait rien. J'avais envie d'elle et je n'allais pas renoncer. Nous avons passé toute la nuit
ensemble et j'ai pu la fister et ce fut délicieux. Thérèse n'avait jamais voulu mais ça m'a donné la volonté de le lui
faire et dès que j'ai pu j'ai enfoncé mon poignet dans le vagin de mon amie. Après ça fut la meilleure période de ma
jeune existence. Thérèse et son amie se sont revues et j'étais là moi aussi. J'ai fait croire pendant toutes ces années
qu'elles étaient ma mère et ma grand-mère alors qu'elles étaient mes amantes.
J'étais amoureuse des deux et sans doute pour me récompenser, ma poitrine s'est remise à pousser et a poussé bien
plus que je ne l'avais espéré et c'est pour ça que mon futur mari m'a abordé, me disant qu'il aimait les jolies femmes
avec de gros seins. C'était ce qu'il pensait que j'étais et nous nous sommes mariés. J'avais quitté mon boulot et
déserté la maison de Thérèse. Une vraie désertion quand quelques années plus tard, j'ai croisé Thérèse alors que
j'étais avec mon mari. Elle s'est jetée sur moi et m'a serrée dans ses bras et j'ai compris tout de suite qu'elle voulait
se venger de mon abandon quand elle a répondu à mon mari qui demandait qui elle était :
- Vous allez être content de savoir que vous avez épousé une gouine, s'est-elle mise à déclamer au milieu de la rue !
Heureusement, il n'y avait que nous. Mon mari ne s'est pas démonté :
- Une gouine ! Je suis comblé car j'avais toujours rêvé de voir ma femme faire l'amour avec une autre femme !
J'ai pensé qu'il était inutile de nier. Après tout, ne m'avait-il pas déclaré qu'il se moquait bien de ma vie avant lui.
- Tu es sérieux, ai-je demandé à mon mari alors que Thérèse s'était éloignée ?
- Oui, m'a-t-il répondu ! La seule femme que je n'ai jamais eue avant toi, ça a été ma cousine et je sais qu'elle aime
les femme elle aussi ! Alors, si vous voulez bien toutes les deux... Ça ne changera rien pour nous deux ! Je t'en
aimerai tout autant !
- J'ai compris, lui ai-je dit ! Tu étais amoureux de ta cousine et tu l'es peut-être encore un peu...
- Mais non, tu es folle, a protesté mon mari !
Je lui ai répliqué que ça ne faisait rien et que le principal était que je sache qui c'était. Il a ajouté que si j'avais
accepté de feuilleter ses albums de photo comme il me l'avait suggéré, je saurais qui c'était. Une fois rentrés chez
nous, c'est la première chose que j'ai faite.
- Alors, elle est où, cette photo, lui ai-je demandé ?
Il a tourné les pages de l'album. Sur une photo de groupe, il y avait une fille sur la droite.
- C'est elle, m'a montré mon mari.
Bien que la photo soit datée de quelques années, la fille était particulièrement jolie et une fois encore j'ai été jalouse.
J'étais jalouse de cette cousine de mon mari et plusieurs fois, j'ai regardé cette photo puis j'ai dit à mon mari qu'il
allait lui téléphoner et l'inviter ce week-end.
- Si elle ne peut pas, a protesté mon mari ?
- Je sens bien qu'elle pourra, lui ai-je répondu !
Je souhaitais qu'elle puisse venir et heureusement, quand mon mari a raccroché, il m'a dit que sa cousine viendrait
nous rendre visite. J'ai attendu le week-end avec impatience. La cousine était bien plus jolie que Thérèse et je suis
tombée amoureuse toute de suite.
- Voilà, lui a dit mon mari alors que nous prenions l'apéritif, elle a envie de faire l'amour avec toi !
- Et pas toi, lui a répondu sa cousine ! J'ai toujours l'impression, quand je me couche, que tu vas me sauter !
- Vous avez quelqu'un, ai-je demandé à la cousine ?
J'étais vraiment angoissée à l'idée qu'elle put avoir quelqu'un.
- Oh, a répondu la cousine, je suis comme l'abeille butineuse, mais j'ai l'impression que je vais faire mon nid ici !
A-t-elle vu sur mon visage le bonheur qui m'envahissait ? Toujours est-il qu'elle nous a serrés dans ses bras. Il
faisait bon et nous étions sur la terrasse.
- C'est un jour à immortaliser, a dit mon mari ! Je vais chercher l'appareil !
- Qu'est-ce que tu fais, m'a demandé la cousine quand elle m'a vu me déshabiller ?
- La seule chose à faire, lui ai-je répondu ! Les seules photos que nous faisons sont du nu !
Voyant ça, elle s'est déshabillée elle aussi et comme elle s'est jetée sur mes seins, le flash a commencé à crépiter. En
quelques années, ma poitrine était devenue très lourde, à croire que le poids que je perdais sur les cuisses se
réfugiait dans mes seins et depuis quelques semaines, il était question que mon mari m'engrosse et nous ne
prenions plus de précautions.
- Tu ne serais pas, m'a dit la cousine pendant que mon mari continuait à prendre des photos...
- Je ne serais pas quoi, lui ai-je demandé ?
- Il me semble, a continué la cousine, qu'à voir tes aréoles...
J'ai baissé les yeux. Elle avait raison et mes aréoles avaient vraiment foncé. Pourtant, je n'avais jamais eu envie de
vomir.
- Tu crois que c'est possible, lui ai-je demandé ?
- Tu n'as pas envie, m'a dit la cousine de mon mari ?
- Si !
- Moi aussi, mais il me faudrait un homme pour ça, a continué la cousine !
- Et moi, je sers à quoi, lui a dit son cousin ?
J'ai tout de suite été d'accord et tout de suite nous nous sommes mis à la tâche tous les trois. La cousine était prête
et je les ai aidés et ce fut fait. Aujourd'hui, nous allons toutes les deux avec notre gros ventre et nos gros seins.
Quant à notre amant, il n'est pas oublié.
Hélène
J'avais toujours imaginé que je ferais comme tout le monde, comme mes parents, mes frères et soeur et que je
rencontrerais un amoureux et que je me marierais avec lui mais ça ne s'est pas passé comme j'avais toujours rêvé.
J'avais découvert la masturbation que je pratiquais avec honte, comme si j'en étais droguée et pas un soir avant de
m'endormir n'arrivait sans que je ne me masturbe.
Bien qu'éduquée à la sexualité, je veux dire qu'on m'avait appris et que j'avais appris comment j'étais faite et
comment ça devrait se passer plus tard quand je serais mariée, j'avais aussi écumé le dictionnaire médical de mes
parents et m'étais délectée à regarder des revues pornos que mes copains et copines se procuraient je ne savais où.
Je me masturbais donc en pensant à ces filles si belles et aux seins si gros, au pubis complètement rasé, ce qui me
permettait de voir à quoi ma vulve ressemblait bien mieux que quand je l'observais dans mon rond miroir. Je rêvais
aussi de leurs seins, moi qui étais un peu en retard sur ma soeur ou ma mère question poitrine car à dix-huit ans, je
me traînais encore lamentablement des bonnets B. Du 34B.
Je n'avais pas encore de petit ami parce qu'aucun d'entre mes connaissances ne me plaisait ni n'avait tenté de me
draguer et j'avais l'impression d'être la seule dans ce cas.
Après le bac, je suis entrée pour deux ans dans une école de secrétariat et je suis entrée dans une entreprise dès la
fin de mes études. J'étais alors sous les ordres d'une femme à la quarantaine conquérante et célibataire elle aussi. Je
la trouvais dure avec moi car elle ne passait aucune erreur tout en me disant que c'était pour mon bien.
Puis un jour, elle a fini par s'intéresser à moi et s'est étonnée qu'une jolie fille comme moi — c'est elle qui le disait —
n'ait pas de petit ami, ajoutant qu'elle ne connaissait pas d'homme qui n'aurait pas envie de moi. Ça m'a faite rougir
et par la suite, quand elle me posait des questions, je lui ai répondu sans mentir et sans la gêne que j'aurais eu à
répondre à ce genre de questions posées par ma mère.
En fait, j'étais bien avec cette femme élégante à la taille mince et à la forte poitrine comme ces Américaines des
années cinquante que l'on voyait partout dans les films et dans les pubs.
A peine huit jours plus tard, elle m'a demandé pourquoi je ne m'intéressait pas à elle et n'essayais pas d'en savoir
plus. J'ai encore rougi. Elle a continué :
- Ça ne t'intéresse pas de savoir que je suis lesbienne, que je préfère les femmes aux hommes ? Oh, j'aime bien les
hommes, avait-elle ajouté ! Ils sont parfois amusants, mais pour le sexe, je préfère les femmes !
Elle me regardait, amusée :
- Tu ne veux pas faire l'amour avec moi, m'a-t-elle proposé ? Tu ne l'as jamais fait ? Tu es vierge ? Je ne le crois pas,
a-t-elle conclu !
J'étais rouge comme une tomate mure. Ma chef a continué :
- Tu te masturbes ! Oui, c'est ça, a-t-elle jubilé, tu préfères te masturber !
Elle me souriait puis elle m'a dit qu'on pouvait s'amuser, que je n'avais qu'à choisir si c'était moi qui commençait ou
elle ou si on le faisait ensemble. Elle a regardé sa montre puis a fermé la porte du bureau et a tourné la clé dans la
serrure.
- Viens, m'a-t-elle dit ensuite ! Assied-toi sur le bureau ! je vais t'aider !
J'étais incapable de refuser. Je me suis levée de ma chaise et je me suis assise sur le bureau, comme elle me l'avait
suggéré puis ma chef m'a fait soulever les fesses et ma retiré ma culotte avant de faire tomber la sienne sur ses
chevilles et de la ramasser et la poser à côté de moi sur le bureau.
- Quand j'étais gamine, j'ai branlé mon cousin, a ajouté ma chef ! Ça m'a d'abord dégoûté puis je me suis dite que
c'était amusant mais pas au point de vouloir faire l'amour avec lui ! Ecarte les cuisses !
J'ai écarté les cuisses comme elle me le demandait mais elle m'a pris le poignet et a guidé ma main jusqu'entre ses
cuisses et j'ai commencé à la toucher du bout de mes doigts.
- Tu n'as jamais touché une autre chatte que la tienne, a ajouté ma chef ? Je suis une vieille femelle ! Touche-moi
bien et tu verras la différence !
Je touchais sans vraiment me rendre compte que ses petites lèvres étaient des lambeaux de chair. Ma chef me tenait
toujours le poignet mais sa main a glissé sur ma main et ses doigts sur mes doigts et elle me les a guidés là où elle
voulait que j'aille, ajoutant qu'elle n'était qu'une vieille salope et que je n'avais qu'à enfoncer mes doigts dans son
vagin.
- On est toutes sorties de là, a-t-elle ajouté ! Ça n'a rien d'extraordinaire que ta main y retourne !
A part le pouce, j'avais enfoncé presque tous mes doigts mais je n'avais pas envie d'aller plus loin et j'ai supplié ma
partenaire de me masturber. Elle a laissé tomber sa tête en arrière et a dit que j'étais une drôle de fille mais la
femme m'a lâché le bras et sa main s'est enfoncée entre mes cuisses.
- Tu n'en as pas besoin, m'a ensuite dit la femme et je suis sûre que rien que d'y penser tu dois arriver à jouir ! Je
sentais ses doigts sur ma vulve, sur mes petites lèvres et sur mon clitoris et aussitôt dans mon vagin, un doigt, puis
deux, puis trois.
- Tu vois, tu n'a pas à t'en cacher, a ajouté ma chef, tu aimes qu'une femme te touche ! Notre petite cochonne est
une vraie lesbienne !
Elle avait à peine fini de dire ça que j'ai eu un orgasme et il m'aurait été impossible de faire autrement tellement
j'avais eu envie de jouir. Elle avait laissé ses doigts dans mon vagin quand elle a ajouté que je pouvais venir chez elle
ce soir et que si ça se passait bien, on y passerait la nuit.
J'étais incapable de refuser et à la fermeture du bureau, je l'ai suivie dans le parking souterrain. Vogue la galère...
Une demi-heure plus tard j'étais dans la maison de ma chef et elle m'a d'abord fait visiter et une fois dans le salon,
elle m'a vanté le jardin, les hauts murs qui protégeaient des regards.
- Il fait beau ! On va se mettre toute nues ! Tu veux bien ?
Je n'ai pas osé la contrarier et comme elle, je me suis déshabillée. Nous étions dans sa chambre. Je n'avais jamais vu
un lit aussi large. Au mur, des photos d'elle, nue, encadrées et nombreuses et sur la commode une photo d'elle,
encore, cuisses ouvertes, et en train de se masturber.
- On va faire une dînette et après, je te montrerai mes jouets, a ajouté ma chef !
Ses jouets, je me doutais de ce que c'était. Il y en avait un, bleu et énorme, en forme de tire-bouchon, sur la table de
nuit. Alors, les autres, je les ai imaginés d'après ce que j'en savais d'un catalogue que j'avais reçu sans le demander.
Je l'avais trouvé un soir en rentrant du travail, dans ma boîte à lettres et j'étais restée rouge encore et honteuse, de
la première page à la dernière, me demandant comment on pouvait se faire plaisir avec ces trucs-là.
- Tu es vraiment très jolie, m'a dit ma chef !
Une de ses mains était plaquée sur mes fesses et l'autre sur mon ventre. Elle passait ses doigts comme un peigne
dans mes poils et a ajouté qu'il serait bien que je m'épile complètement parce que ça ferait moins sale que des poils
!
- J'ai bien vu que tu te rase les aisselles ! Alors, le bas-ventre..., a-t-elle ajouté !
Je lui ai demandé si elle voulait que je le fasse maintenant et elle a trouvé l'idée excellente puisque ça lui donnerait le
temps de préparer notre dînette.
- Mais tu ne me dis rien, a-t-elle ajouté ! Tu n'aimes pas mes seins ?
J'avais été trop timide pour me retourner sur elle et quand j'ai tourné la tête, je les ai vus, énormes et pointus, des
seins de louve aux aréoles immenses et aux mamelons gros comme des dés à coudre.
- Ils sont beaux, ai-je bredouillé...
-Les femmes ont honte d'avoir une grosse poitrine, a répondu ma chef ! Pourtant, la poitrine, c'est la femme, encore
que pour moi, ça n'a pas beaucoup servi ! J'espère quand même que tu les apprécieras !
Elle s'était mise à rire. Nous étions maintenant face à face et elle a enfoncé ses mamelons dans ma poitrine comme
s'il s'était agi d'un défi.
- Va te raser, sinon je ne pourrais pas t'embrasser, a conclu ma chef !
C'était une phrase que disait ma mère à mon père le dimanche matin quand il se levait vers midi et venait nous
retrouver dans la cuisine. Savait-elle que ça pouvait concerner les femmes aussi ? Une fois dans la salle de bains, je
n'ai vu qu'un coupe-chou, ces vieux rasoirs et ma chef m'a dit qu'elle n'avait que ça. Je ne l'avais jamais utilisé
quand sa voix m'a dit de me savonner si je ne voulais pas me faire mal et j'ai pris la savonnette et je me suis rasé le
ventre. Ça n'était pas parfait comme me l'a plus tard fait remarquer ma chef. Nous avons fait dînette sur la terrasse
puis elle s'est occupée de moi plus sérieusement, me demandant de lui montrer comment je me masturbais puis
rectifiant mes gestes pour qu'ils soient efficaces et j'ai eu un orgasme devant elle.
- Si tu veux faire l'amour avec moi, a-t-elle ajouté, il faut que tu le veuille ! Tu le veux ?
Je le voulais même si je m'étonnais encore qu'une fille de vingt et un an comme moi soit avec une femme qui en
avait le double. Nous sommes rentrées et nous avons fait l'amour sur le lit, Thérèse me dévorant d'abord la chatte.
Elle voulait que je l'appelle par son prénom. Elle n'arrêtait pas de répéter que j'aimais ça puis elle m'a fait dévorer
ses mamelons, m'écrasant sa poitrine sur la bouche puis ce fut à son tour de me dévorer les miens avant que je ne
lui dévore la chatte avant que nous ne nous endormions, épuisées. Mon amie s'est allongée contre mon dos et m'a
serrée dans son bras.
- Maintenant, a-t-elle conclu, il faut t'habituer à ce que tu sois ma gouine !
Je lui ai répondu que ça ne me gênait pas et elle a insisté jusqu'à ce que je lui dise que j'étais heureuse d'être à elle.
Le lendemain matin, nous sommes passées chez moi pour que je me change et Thérèse a pris la photo de moi qui
trônait dans ma chambre. Rien de très sexy car j'étais habillée mais elle a dit qu'elle me prendrait en photo et que
c'était sa passion et lorsque je lui ai demandé qui avait fait toutes ces photos d'elle, elle m'a répondu que c'était une
ancienne de ses amies.
- C'était ton amoureuse, lui ai-je demandé ?
- Oui, m'a répondu Thérèse !
- Elle l'est encore, ai-je insisté ?
- Euh... non !
J'ai bien vu qu'elle avait hésité. Thérèse m'a demandé si j'étais jalouse et je l'étais vraiment et je n'en revenais pas.
En huit jours, ma vie avait basculé.
- Non, m'a fait mon amie ! Tu t'es simplement révélée à toi-même ce que tu es, ajoutant que si je le voulais, elle me
ferait prendre par un de ses amis ! Peut-être que tu préféreras un pénis ?
J'ai bien compris que je n'avais pas intérêt. Avant d'arriver au bureau, on s'est arrêtées dans une petite rue et nous
nous sommes embrassées avant de nous remaquiller. Thérèse m'a fait descendre un peu avant l'entrée du parking et
je suis entrée dans l'immeuble comme je l'avais toujours fait jusqu'ici. Je n'ai pas revu Thérèse de la matinée et
pendant tout ce temps, j'ai pu penser que j'avais bien le droit de dire à tout le monde que nous avions une relation
amoureuse toutes les deux. Je suis alors allée voir mon amie mais quand je lui ai dit, elle m'a fait jurer que jamais je
ne dirais rien et qu'elle ne voulait pas que ça fasse des histoires.
Je m'attendais à continuer à coucher avec elle mais pendant plusieurs soirs, je suis rentrée chez moi. Même pas un
coup de téléphone pour me souhaiter bonne nuit, puis le vendredi soir, je suis à nouveau partie avec Thérèse. Il
pleuvait et nous sommes restées dans la maison.
- Viens, je vais te coiffer, m'a-t-elle dit après le dîner !
Thérèse m'a coiffée et m'a mis quelques barrettes pendant qu'elle préparait son matériel. Ce fut l'appareil photo sur
son pied et tous les gadgets que j'avais déjà aperçus puis nous avons pris différentes poses pendant que mon amie
déclenchait l'appareil avec la télécommande et j'ai fini par poser toute seule, selon ses indications. Le flash crépitait
sans arrêt et j'étais morte de honte de m'offrir de cette façon comme cette fois où j'étais cuisses ouvertes et les
doigts disparus au fond de mon vagin.
- Viens, m'a ensuite dit Thérèse ! Je vais te montrer comment ça fait !
Elle s'est équipée d'un gode muni de bretelles qu'elle s'est attachée autour de la taille et m'a fait pencher sur le lit,
les mains bien à plat avant de me pénétrer.
- Tu aimes ça, n'est-ce pas, me demandait Thérèse !
Je répondais que non parce que je me doutais que c'était ce qu'elle voulait et elle insistait :
- Tu aimes ça, quand c'est moi !
Je répondais oui.
- C'est bien, me disait alors Thérèse ! Souris !
Et le flash crépitait.
- Il y a une chose que tu vas sans doute aimer, a ensuite dit mon amie ! Ce n'est pas que pour les hommes !
Elle s'est retirée de mon vagin puis elle s'est enfoncée entre mes fesses avant de s'enfoncer dans mon anus. J'avais
mal mais j'étais fière de le faire parce que c'était mon amie qui l'avait demandé. Je n'avais jamais osé m'enfoncer
quoi que ce soit dans l'anus et j'étais enculée. Thérèse continuait à me sodomiser et me demandait de me caresser si
je voulais avoir un orgasme et là aussi, je l'ai voulu parce qu'elle le voulait.
- Petite cochonne ! Ma jolie gouine, m'a-t-elle dit à la fin ! Fais-moi goûter ton plaisir !
Elle a collé sa bouche à ma vulve et m'a léchée jusqu'à ce que je sois presque sèche puis elle m'a dit de choisir un
toy pour la faire jouir et j'ai choisi le plus gros. Thérèse n'a pas parue étonnée et c'est plutôt moi qui l'aie été quand
je le lui ai enfoncé dans le vagin.
- J'aime ça aussi, être ouverte, a commenté mon amie ! Je préfère un gode qu'un pénis d'autant plus qu'il n'y en aura
jamais d'aussi gros que ce gode !
Après, je n'ai eu de cesse de la faire copuler avec cet énorme truc puis j'ai cru qu'elle allait mourir tant elle gémissait
mais c'était juste avant d'avoir son plaisir. Après ça, elle s'est écroulée les deux bras en crois sur le lit et quand elle a
eu repris son souffle, elle a dit que nous étions deux belles salopes.
- J'ai toujours préféré les femmes, a ajouté Thérèse ! D'ailleurs, ce sont les seules avec qui j'ai fait l'amour !
- Tu en as connu beaucoup, lui ai-je demandé ?
- Attends, j'ai quarante-cinq ans... Parfois, ça changeait toutes les semaines et parfois ça durait plus longtemps,
deux ans, je me souviens... C'est curieux parce que c'est la situation inverse d'aujourd'hui ! Elle avait le double de m
on âge...
- Tu l'as revue, lui ai-je demandé ?
- Jalouse, m'a fait mon amie ? Je voudrais que tu sois comme j'étais à cette époque, toujours à quémander un baiser
et à vouloir faire l'amour avec elle ! Je ne pensais qu'à ça ! Moi aussi, je travaillais avec elle et c'était ma chef à moi
aussi !
Thérèse m'a fait lever du lit et a pris un gode dans le tiroir puis elle m'a demandé de la suivre dans la salle de bains.
Là, elle a planté le gode sur le coin de la baignoire. Il tenait grâce à une ventouse et quand mon amie m'a intimé de
m'en servir, je me suis enfoncée dessus et je me suis prise pendant qu'elle me regardait.
- Bien, a continué mon amie, tu vas me faire une promesse : tu t'en serviras si je ne m'en sers pas ! Il ne doit pas
rester une seule journée sans servir !
J'ai pris l'habitude. Pendant que mon amie préparait le repas, je m'empalais dessus et pendant que je faisais la
vaisselle, j'entendais ses cris de plaisir sur le gode. Parfois, c'était l'inverse. Je devenais de plus en plus amoureuse et
de plus en plus jalouse. Un soir que mon amie dormait, j'ai fouillé dans son carnet d'adresse dans l'espoir de trouver
cette femme qui l'avait séduite. Je n'ai jamais été détective mais c'est en voyant un nom à moitié effacé dans le carnet
que j'ai pensé que c'était elle. Il y avait une adresse. Un jour que j'ai pu, j'y suis allé et quand la femme à ouvert sa
porte, j'ai tout de suite su que c'était vraiment elle et quand je lui ai dit que j'étais l'amie de Thérèse, ça c'est
confirmé.
- Vous avez de la chance, m'a dit la femme ! Moi, je ne la vois plus souvent...
Pendant qu'elle me préparait un café, j'ai regardé les photos sur les murs et la cheminée. Il y en avait une. Cette
femme, à quatre pattes, en levrette, c'était cette femme et l'autre derrière elle, le visage enfoui dans les fesses, j'ai
pensé que c'était Thérèse.
- Oui, c'est Thérèse, m'a fait la femme en arrivant derrière moi !
Je n'avais même pas posé la question.
- Il y en a une autre, dans ma chambre, où c'est l'inverse ! C'est moi qui lui lèche la chatte ! Elle aime toujours ça ?
Pourquoi mentir ? Thérèse aimait toujours ça mais ce qui me fascinait, c'était les seins de la femme qui pendaient si
bas. Sur les deux photos, ils étaient aussi longs que ses cuisses ou le haut de ses bras.
- Vous devez avoir une belle poitrine, lui ai-je dit !
- Ah, m'a-t-elle fait ! Vous voulez la voir ?
Je n'ai pas eu le temps de répondre. La femme avait relevé son sweetshirt et m'avait tout montré, ces seins plantés si
bas et si longs qu'ils lui arrivaient sur le ventre.
- J'étais putain avant de rencontrer Thérèse, m'a précisé la femme ! Elle était jalouse de mon passé ! Sa prévention
pour les bites, je ne l'ai jamais comprise, comme si ça avait de l'importance qu'un homme m'ait pénétrée ! Je crois
qu'elle aurait bien aimé en avoir une, comme les hermaphrodites, a ajouté la femme en riant !
Elle voulait savoir depuis combien de temps ça durait nous deux puis elle a dit :
- Tu es lesbienne, toi aussi ! Ça ne t'a jamais tenté de faire l'amour avec un homme ?
- A vrai dire, je n'ai jamais imaginé aimer quelqu'un d'autre que Thérèse, lui ai-je répondu !
La femme s'est exclaffée puis a ajouté que j'avais bien tort. Elle était restée la poitrine à l'air et elle m'a dit que je
pouvais toucher ses seins, ce que j'ai fait, les pinçant entre mes doigts, les soulevant dans mes mains et les écrasant
l'un contre l'autre.
- Tu es amoureuse, a ajouté la femme, et si tu es sincère, tes seins aussi vont pousser ! Tu auras de très beaux seins
!
Après cette prophétie, je lui ai proposé que l'on se rencontre toutes les trois mais elle n'a pas voulu, ajoutant
qu'après les hommes et les femmes, elle ne désirait plus rien.
- Même pas..., ai-je commencé ?
Elle m'avait bien compris et m'a répondu qu'elle savait très bien se débrouiller. Tant pis. C'était foutu, mais trois
jours plus tard, j'ai à nouveau sonné à la porte de la femme et quand je lui ai dit ce que je voulais, elle m'a répondu
que j'étais trop jeune pour elle mais j'ai insisté.
- J'ai presque honte de te dévoyer, m'a dit la femme !
Je lui ai dit que ça ne faisait rien. J'avais envie d'elle et je n'allais pas renoncer. Nous avons passé toute la nuit
ensemble et j'ai pu la fister et ce fut délicieux. Thérèse n'avait jamais voulu mais ça m'a donné la volonté de le lui
faire et dès que j'ai pu j'ai enfoncé mon poignet dans le vagin de mon amie. Après ça fut la meilleure période de ma
jeune existence. Thérèse et son amie se sont revues et j'étais là moi aussi. J'ai fait croire pendant toutes ces années
qu'elles étaient ma mère et ma grand-mère alors qu'elles étaient mes amantes.
J'étais amoureuse des deux et sans doute pour me récompenser, ma poitrine s'est remise à pousser et a poussé bien
plus que je ne l'avais espéré et c'est pour ça que mon futur mari m'a abordé, me disant qu'il aimait les jolies femmes
avec de gros seins. C'était ce qu'il pensait que j'étais et nous nous sommes mariés. J'avais quitté mon boulot et
déserté la maison de Thérèse. Une vraie désertion quand quelques années plus tard, j'ai croisé Thérèse alors que
j'étais avec mon mari. Elle s'est jetée sur moi et m'a serrée dans ses bras et j'ai compris tout de suite qu'elle voulait
se venger de mon abandon quand elle a répondu à mon mari qui demandait qui elle était :
- Vous allez être content de savoir que vous avez épousé une gouine, s'est-elle mise à déclamer au milieu de la rue !
Heureusement, il n'y avait que nous. Mon mari ne s'est pas démonté :
- Une gouine ! Je suis comblé car j'avais toujours rêvé de voir ma femme faire l'amour avec une autre femme !
J'ai pensé qu'il était inutile de nier. Après tout, ne m'avait-il pas déclaré qu'il se moquait bien de ma vie avant lui.
- Tu es sérieux, ai-je demandé à mon mari alors que Thérèse s'était éloignée ?
- Oui, m'a-t-il répondu ! La seule femme que je n'ai jamais eue avant toi, ça a été ma cousine et je sais qu'elle aime
les femme elle aussi ! Alors, si vous voulez bien toutes les deux... Ça ne changera rien pour nous deux ! Je t'en
aimerai tout autant !
- J'ai compris, lui ai-je dit ! Tu étais amoureux de ta cousine et tu l'es peut-être encore un peu...
- Mais non, tu es folle, a protesté mon mari !
Je lui ai répliqué que ça ne faisait rien et que le principal était que je sache qui c'était. Il a ajouté que si j'avais
accepté de feuilleter ses albums de photo comme il me l'avait suggéré, je saurais qui c'était. Une fois rentrés chez
nous, c'est la première chose que j'ai faite.
- Alors, elle est où, cette photo, lui ai-je demandé ?
Il a tourné les pages de l'album. Sur une photo de groupe, il y avait une fille sur la droite.
- C'est elle, m'a montré mon mari.
Bien que la photo soit datée de quelques années, la fille était particulièrement jolie et une fois encore j'ai été jalouse.
J'étais jalouse de cette cousine de mon mari et plusieurs fois, j'ai regardé cette photo puis j'ai dit à mon mari qu'il
allait lui téléphoner et l'inviter ce week-end.
- Si elle ne peut pas, a protesté mon mari ?
- Je sens bien qu'elle pourra, lui ai-je répondu !
Je souhaitais qu'elle puisse venir et heureusement, quand mon mari a raccroché, il m'a dit que sa cousine viendrait
nous rendre visite. J'ai attendu le week-end avec impatience. La cousine était bien plus jolie que Thérèse et je suis
tombée amoureuse toute de suite.
- Voilà, lui a dit mon mari alors que nous prenions l'apéritif, elle a envie de faire l'amour avec toi !
- Et pas toi, lui a répondu sa cousine ! J'ai toujours l'impression, quand je me couche, que tu vas me sauter !
- Vous avez quelqu'un, ai-je demandé à la cousine ?
J'étais vraiment angoissée à l'idée qu'elle put avoir quelqu'un.
- Oh, a répondu la cousine, je suis comme l'abeille butineuse, mais j'ai l'impression que je vais faire mon nid ici !
A-t-elle vu sur mon visage le bonheur qui m'envahissait ? Toujours est-il qu'elle nous a serrés dans ses bras. Il
faisait bon et nous étions sur la terrasse.
- C'est un jour à immortaliser, a dit mon mari ! Je vais chercher l'appareil !
- Qu'est-ce que tu fais, m'a demandé la cousine quand elle m'a vu me déshabiller ?
- La seule chose à faire, lui ai-je répondu ! Les seules photos que nous faisons sont du nu !
Voyant ça, elle s'est déshabillée elle aussi et comme elle s'est jetée sur mes seins, le flash a commencé à crépiter. En
quelques années, ma poitrine était devenue très lourde, à croire que le poids que je perdais sur les cuisses se
réfugiait dans mes seins et depuis quelques semaines, il était question que mon mari m'engrosse et nous ne
prenions plus de précautions.
- Tu ne serais pas, m'a dit la cousine pendant que mon mari continuait à prendre des photos...
- Je ne serais pas quoi, lui ai-je demandé ?
- Il me semble, a continué la cousine, qu'à voir tes aréoles...
J'ai baissé les yeux. Elle avait raison et mes aréoles avaient vraiment foncé. Pourtant, je n'avais jamais eu envie de
vomir.
- Tu crois que c'est possible, lui ai-je demandé ?
- Tu n'as pas envie, m'a dit la cousine de mon mari ?
- Si !
- Moi aussi, mais il me faudrait un homme pour ça, a continué la cousine !
- Et moi, je sers à quoi, lui a dit son cousin ?
J'ai tout de suite été d'accord et tout de suite nous nous sommes mis à la tâche tous les trois. La cousine était prête
et je les ai aidés et ce fut fait. Aujourd'hui, nous allons toutes les deux avec notre gros ventre et nos gros seins.
Quant à notre amant, il n'est pas oublié.
Hélène
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Helene2010
5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Mais tu es une vrai petite cochonne Hélène, comme j'aimerais avoir une femme comme toi !
Belle histoire, vraiment ! Bises
Belle histoire, vraiment ! Bises
très belle histoire, je suis envieuse...
Hmm!!! Ça mexite !!!
Vraiment trés bien écrit. j'aimerai bien que ce fantasme soit pour moi une réalité. ton
style et la manière dont tu sais faire venir l'excitation me procurent beaucoup de
plaisir.
isabelle.
style et la manière dont tu sais faire venir l'excitation me procurent beaucoup de
plaisir.
isabelle.
Tu es bien compliquée aujourd'hui. Ma femme a aimé : elle se branle encore. Moi je la
baiserai tout à l'heure. Nous nous connaissons au moins par mail.
Pour une fois je suis sur toi, au moins pour les histoires : Tu ne m'as toujours pas dit
si ton mari te baisait bien.
Soulet dit baiserjouir
baiserai tout à l'heure. Nous nous connaissons au moins par mail.
Pour une fois je suis sur toi, au moins pour les histoires : Tu ne m'as toujours pas dit
si ton mari te baisait bien.
Soulet dit baiserjouir