Un femme piégée partie 1
Récit érotique écrit par Dimoahoui [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-04-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un femme piégée partie 1
Il y avait plus de six mois que la chose couvait.
Ce soir, chacun s'empressait à la faire éclore.
Il y avait sous la tables des pressements de mains, des frôlements significatifs.
Pourtant, nul n'osait avouer franchement son désir.
Un désir purement animal qui, au cours du temps, n'avait cessé de grandir.
Peut-être ètait-ce le cap des cinq annèes de vie commune qui s'avèrait difficile à franchir.
Manifestement, le couple Barrel avait les mêmes problèmes que le couple Corbier.
Une deuxième bouteille de champagne aida Laurent Corbier à dire ce que personne n'osait exprimer:— Je croit que Françoise a très envie de faire l'amour avec toi, mon cher Jacques!
Il y eut une minute d'intense émotion. Françoise scruta son mari:— N'aurais-tu pas, toi même, le désir de coucher avec Cécile?
Jacques Barrel regarda sa femme qui argumerita:— Pourquoi ne regarderions-nous pas les choses en face? N'avons-nous pas abordé maintes fois le sujet?
Cécile conclut sa question en se rapprochant de Laurent qui la prit par la taille:— Me permettras-tu de faire l'amour avec ta femme?
— Pourquoi pas, si je fais l'amour avec la tienne! répliqua Jacques.
— Très bien! dit Françoise. Mais pas de partouze!
Je ne supporterais pas que Laurent me voie faire l'amour avec un autre homme!
— Mais tu me raconteras tout? questionna Laurent en esquissant un sourire pervers.
Dans les minutes qui suivirent, Laurent Corbier et Cécile Barrel se retrouvèrent dans la même chambre.
Françoise Corbier et Jacques Barrel n'étaient séparés de leur conjoint respectif que par une assez mince cloison.
Laurent, troublé jusqu'au fond des testicules, imaginait son ami Jacques en train de se ruer sur Françoise alors que lui-même embrassait Cécile en déboutonnant presque rageusement son chemisier.
La cloison laissa passer un premier gémissement qui le surexcita.
Françoise Corbier était étendue en travers du lit.
Jacques Barrel s'était effectivement rué sur elle.
Il avait retroussé sa robe, arraché sa culotte, et s'emplissait la bouche du sexe de la jeune femme.
Ses envies de langue et de lèvres faisaient frémir tout le corps de Françoise qui se mordait le poignet pour étouffer ses gémissements.
Jacques la suçait admirablement, bien mieux que son mari. Elle avait un peu honte mais elle dérivait vers des envies de plus en plus ardentes, d'autant que Jacques pimentait son action par un langage osé.
Il lui disait qu'elle avait une belle chatte, un cul superbe, des seins splendides qu'il dégageait du bustier sans cesser de lécher toute la longueur de sa fente.
Françoise sentit monter un fulgurant orgasme qui se déclencha dès qu'elle entendit grincer le lit dans la chambre à côté.
Laurent, d'un lent coup de reins, venait d'éperonner l'entre-cuisse de Cécile qui semblait heureuse de bénéficier d'un complice aussi conséquent.
En entendant jouir sa femme. Laurent ne put se maîtriser et son sperme fusa malgré lui.
Cécile perçut nettement les contractions de la verge importante qui demeura raide et poursuivit son lent va-et-vient.
On eût dit que Cécile accordait ses gémissements aux grincements du lit.
Dans l'autre chambre, Jacques et Françoise s'étaient dénudés.
L'homme avait posé les jambes de sa partenaire sur ses épaules et disposait de la sorte d'un bel écartèlement pour y glisser sa verge tendue.
Celle-ci était moins importante que celle de Laurent, c'était une longue queue opiniatre, mince, couronnée d'un gland dur, bouffi, chaud.
Françoise, soutenue par les fesses, s'envolait littéralement à la rencontre du pieu qui la butait durement.
C'était pour elle une sorte de révélation. Jusqu'alors, elle n'avait jamais partagé souffrance et plaisir.
Jacques la harcelait puissamment, sans la ménager.
Il empoignait ses fesses rageusement et Françoise s'animait dans le feu de l'action alors qu'avec son mari elle ne perdait jamais complètement son contrôle.
Afin de ne pas jouir trop rapidement, Jacques se désemboita.
Françoise exhala un soupir gonflé de regrets. Entre le pouce et l'index, elle prit l'extrémité de la verge ardente et voulut la remettre en place.
- Mets-là entre tes fesses! Chuchota Jacques a son oreille.
— Tu es fou! Tu vas me faire mal...
— J'aimerais que tu en juges par toi-même!
En faisant glisser la mince verge tendue entre le moelleux coussin de ses fesses, Françoise eut l'impression de commettre un abus de confiance.
Elle n'avait jamais accordé cette pénétration à Laurent.
Elle craignait de ne pouvoir supporter cette dure présence dans son anus, et pourtant, l'idée même l'excitait follement.
Elle empoignait la longue tige virile dont les pulsations la ravissaient.
Avec une certaine appréhension, elle se livrait à la tentative sodomite de son partenaire dont la boule du sexe tâtait la crispation anale.
Il appuya plus fermement, cherchant la pénétration.
Françoise grimaça mais Jacques eut le sentiment que cela ne lui déplaisait pas.
Elle s'affola un peu, tentant de freiner l'intrusion qui glissait presque naturellement dans l'étroitesse de la gaine.
Et puis, d'un seul élan, Jacques engloutit toute la longueur de sa verge bandée, faisant râler sa partenaire qui se déchaîna sous lui.
Il s'agita avec elle, savourant la pression des fesses fermes autour de son pieu bandé à se rompre.
Il profitait exceptionnellement de la situation.
Depuis six mois qu'il désirait Françoise, qu'elle le repoussait en lui laissant néanmoins de l'espoir, enfin il la farcissait(i1 pensait à ce terme!) en éprouvant un plaisir quelque peu méprisant.
Ce n'était plus madame Françoise Corbier, jeune, belle, hautaine, rigoureusement fidèle à son mari qu'elle n'avait jusqu'alors jamais physiquement trompé.
Mentalement, elle devait fantasmer comme une folle!
Six mois de joute, de luttes, pour arriver à vaincre ses timidités naturelles qui dissimulaient une âme de salope inavouée.
Bien décidé à la confondre jusque dans son égoïsme de jouisseuse tout crin, Jacques la plaça à quatre pattes sur le lit et sa verge partit en fond de course tandis qu'il passait une main entre ses cuisses pour lui masser le clitoris...
Cécile ouvrit largement la bouche et aspira le gros membre viril coloré d'envies.
Laurent tendit le ventre, ravi de l'accueil. Il se dit que la femme de Jacques aimait les grosses mentules, en tout cas, elle suçait la sienne admirablement.
Il bénéficiait du satiné de l'intérieur des cuisses qui, par a-coups, lui enserraient le visage.
Elle s'était placée sur lui et il se délectait de cette croupe charnue, mouvante, qu'il piquait d'un coup de langue appuyé avant de la faire glisser jusqu'au clitoris.
Cécile le pompait avec tant d'ardeur, qu'il ne craignait pas de jouir dans sa bouche, elle recherchait indubitatslement ce but.
Il la suçait avec la même intensité, accordant ses gémissements sur ceux de la fellatrice.
Elle se cramponnait à lui sans complexe, masturbant la base de sa verge qu'elle aspirait avidement.
Laurent s'agrippa aux fesses de la fille en râlant:— Tu vas me faire décharger!
Elle accentua ses succions passionnées et promena sa main libre sur les boules gonflées du rhale qui céda au déchaîne-ment coïtal.
Goulûment, Cécile déglutit la première gorgée chaude, salée,épaisse.
Elle grognait de plaisir. Laurent n'en finissait plus d'expirer son orgasme fabuleux.
Elle le dégagea de sa bouche qui demeura ouverte, comme si elle la liait encore à la verge luisante.
Elle anima la peau, entamant un lent mouvement du poignet pour prolonger l'érection.
Laurent possédait assez d'ardeur pour faire illusion pendant un certain temps.
De l'autre coté de la cloison, on ne s'ennuyait pas!
— Si nous allions jeter un coup d'oeil? proposa-t-il.
Cécile se retourna en lui lançant un sourire de connivence:— Allons-y! Sale voyeur...
Ils glissèrent hors du lit et, sur la pointe des pieds, sortirent dans le couloir.
Laurent fut le premier à se pencher vers le trou de serrure.
Son champ de vision s'avéra au-delà de ses espérances.
— Qu'est-ce qu'ils font? murmura Cécile en observant la verge de Laurent qui reprenait du volume.
D'un mouvement de la main, il lui imposa silence et regarda le couple en action.
Il avait du mal à croire ce qu'il voyait.
A quatra pattes sur le lit, Françoise se faisait poignarder les fesses par le long nerf de boeuf de Jacques.
Il la possédait dans une attitude dominatrice, il s'agrippait à ses hanches et la tirait brutalement vers lui en faisant claquer son bas-ventre contre les fesses hautes de Françoise.
La salope se faisait sodomiser alors qu'elle lui avait toujours refusé de la prendre de cette manière.
Cécile le poussa pour obtenir sa part du spectacle.
Elle vit son mari et Françoise; dans le même instant, elle sentit battre la verge de Laurent dans sa raie fessière.
Elle se courba lentement non sans crainte.
Elle prit appui contre la porte, écarta les jambes, reins cambrés, hanches creusées par l'attente.
Tout d'abord, Laurent se caressa dans la raie culière, frôlant l'ombre craintive, savourant les crispations de l'autodéfense.
Puis, ployant les genoux, il s'abuta à la faille et s'ouvrit un difficile chemin.
Mâchoires serrées, l'oeil toujours collé à la serrure, Cécile se souleva sur la pointe des pieds et retomba sur la pine dressée qui s'engouffra jusqu'aux lombes.
Tous deux avaient émis le même gémissement couvert par les râles de Jacques et Françoise.
Laurent ceignit la taille de Cécile dont la croupe ondula sur l'axe rigoureux qui la perçait.
Il disjoignit les rondeurs fessières et considéra l'anus extraordinairement élargi qui baguait son gros membre.
Dans la chambre, Françoise lança une clameur sauvage et en entendant sa femme jouir, Laurent ferma les yeux, il n'eut qu'un très léger mouvement du bassin et, instantanément, éclata dans le faste d'un plaisir exceptionnel.
Cécile reçut son explosion avec une langueur admirative..
Ce soir, chacun s'empressait à la faire éclore.
Il y avait sous la tables des pressements de mains, des frôlements significatifs.
Pourtant, nul n'osait avouer franchement son désir.
Un désir purement animal qui, au cours du temps, n'avait cessé de grandir.
Peut-être ètait-ce le cap des cinq annèes de vie commune qui s'avèrait difficile à franchir.
Manifestement, le couple Barrel avait les mêmes problèmes que le couple Corbier.
Une deuxième bouteille de champagne aida Laurent Corbier à dire ce que personne n'osait exprimer:— Je croit que Françoise a très envie de faire l'amour avec toi, mon cher Jacques!
Il y eut une minute d'intense émotion. Françoise scruta son mari:— N'aurais-tu pas, toi même, le désir de coucher avec Cécile?
Jacques Barrel regarda sa femme qui argumerita:— Pourquoi ne regarderions-nous pas les choses en face? N'avons-nous pas abordé maintes fois le sujet?
Cécile conclut sa question en se rapprochant de Laurent qui la prit par la taille:— Me permettras-tu de faire l'amour avec ta femme?
— Pourquoi pas, si je fais l'amour avec la tienne! répliqua Jacques.
— Très bien! dit Françoise. Mais pas de partouze!
Je ne supporterais pas que Laurent me voie faire l'amour avec un autre homme!
— Mais tu me raconteras tout? questionna Laurent en esquissant un sourire pervers.
Dans les minutes qui suivirent, Laurent Corbier et Cécile Barrel se retrouvèrent dans la même chambre.
Françoise Corbier et Jacques Barrel n'étaient séparés de leur conjoint respectif que par une assez mince cloison.
Laurent, troublé jusqu'au fond des testicules, imaginait son ami Jacques en train de se ruer sur Françoise alors que lui-même embrassait Cécile en déboutonnant presque rageusement son chemisier.
La cloison laissa passer un premier gémissement qui le surexcita.
Françoise Corbier était étendue en travers du lit.
Jacques Barrel s'était effectivement rué sur elle.
Il avait retroussé sa robe, arraché sa culotte, et s'emplissait la bouche du sexe de la jeune femme.
Ses envies de langue et de lèvres faisaient frémir tout le corps de Françoise qui se mordait le poignet pour étouffer ses gémissements.
Jacques la suçait admirablement, bien mieux que son mari. Elle avait un peu honte mais elle dérivait vers des envies de plus en plus ardentes, d'autant que Jacques pimentait son action par un langage osé.
Il lui disait qu'elle avait une belle chatte, un cul superbe, des seins splendides qu'il dégageait du bustier sans cesser de lécher toute la longueur de sa fente.
Françoise sentit monter un fulgurant orgasme qui se déclencha dès qu'elle entendit grincer le lit dans la chambre à côté.
Laurent, d'un lent coup de reins, venait d'éperonner l'entre-cuisse de Cécile qui semblait heureuse de bénéficier d'un complice aussi conséquent.
En entendant jouir sa femme. Laurent ne put se maîtriser et son sperme fusa malgré lui.
Cécile perçut nettement les contractions de la verge importante qui demeura raide et poursuivit son lent va-et-vient.
On eût dit que Cécile accordait ses gémissements aux grincements du lit.
Dans l'autre chambre, Jacques et Françoise s'étaient dénudés.
L'homme avait posé les jambes de sa partenaire sur ses épaules et disposait de la sorte d'un bel écartèlement pour y glisser sa verge tendue.
Celle-ci était moins importante que celle de Laurent, c'était une longue queue opiniatre, mince, couronnée d'un gland dur, bouffi, chaud.
Françoise, soutenue par les fesses, s'envolait littéralement à la rencontre du pieu qui la butait durement.
C'était pour elle une sorte de révélation. Jusqu'alors, elle n'avait jamais partagé souffrance et plaisir.
Jacques la harcelait puissamment, sans la ménager.
Il empoignait ses fesses rageusement et Françoise s'animait dans le feu de l'action alors qu'avec son mari elle ne perdait jamais complètement son contrôle.
Afin de ne pas jouir trop rapidement, Jacques se désemboita.
Françoise exhala un soupir gonflé de regrets. Entre le pouce et l'index, elle prit l'extrémité de la verge ardente et voulut la remettre en place.
- Mets-là entre tes fesses! Chuchota Jacques a son oreille.
— Tu es fou! Tu vas me faire mal...
— J'aimerais que tu en juges par toi-même!
En faisant glisser la mince verge tendue entre le moelleux coussin de ses fesses, Françoise eut l'impression de commettre un abus de confiance.
Elle n'avait jamais accordé cette pénétration à Laurent.
Elle craignait de ne pouvoir supporter cette dure présence dans son anus, et pourtant, l'idée même l'excitait follement.
Elle empoignait la longue tige virile dont les pulsations la ravissaient.
Avec une certaine appréhension, elle se livrait à la tentative sodomite de son partenaire dont la boule du sexe tâtait la crispation anale.
Il appuya plus fermement, cherchant la pénétration.
Françoise grimaça mais Jacques eut le sentiment que cela ne lui déplaisait pas.
Elle s'affola un peu, tentant de freiner l'intrusion qui glissait presque naturellement dans l'étroitesse de la gaine.
Et puis, d'un seul élan, Jacques engloutit toute la longueur de sa verge bandée, faisant râler sa partenaire qui se déchaîna sous lui.
Il s'agita avec elle, savourant la pression des fesses fermes autour de son pieu bandé à se rompre.
Il profitait exceptionnellement de la situation.
Depuis six mois qu'il désirait Françoise, qu'elle le repoussait en lui laissant néanmoins de l'espoir, enfin il la farcissait(i1 pensait à ce terme!) en éprouvant un plaisir quelque peu méprisant.
Ce n'était plus madame Françoise Corbier, jeune, belle, hautaine, rigoureusement fidèle à son mari qu'elle n'avait jusqu'alors jamais physiquement trompé.
Mentalement, elle devait fantasmer comme une folle!
Six mois de joute, de luttes, pour arriver à vaincre ses timidités naturelles qui dissimulaient une âme de salope inavouée.
Bien décidé à la confondre jusque dans son égoïsme de jouisseuse tout crin, Jacques la plaça à quatre pattes sur le lit et sa verge partit en fond de course tandis qu'il passait une main entre ses cuisses pour lui masser le clitoris...
Cécile ouvrit largement la bouche et aspira le gros membre viril coloré d'envies.
Laurent tendit le ventre, ravi de l'accueil. Il se dit que la femme de Jacques aimait les grosses mentules, en tout cas, elle suçait la sienne admirablement.
Il bénéficiait du satiné de l'intérieur des cuisses qui, par a-coups, lui enserraient le visage.
Elle s'était placée sur lui et il se délectait de cette croupe charnue, mouvante, qu'il piquait d'un coup de langue appuyé avant de la faire glisser jusqu'au clitoris.
Cécile le pompait avec tant d'ardeur, qu'il ne craignait pas de jouir dans sa bouche, elle recherchait indubitatslement ce but.
Il la suçait avec la même intensité, accordant ses gémissements sur ceux de la fellatrice.
Elle se cramponnait à lui sans complexe, masturbant la base de sa verge qu'elle aspirait avidement.
Laurent s'agrippa aux fesses de la fille en râlant:— Tu vas me faire décharger!
Elle accentua ses succions passionnées et promena sa main libre sur les boules gonflées du rhale qui céda au déchaîne-ment coïtal.
Goulûment, Cécile déglutit la première gorgée chaude, salée,épaisse.
Elle grognait de plaisir. Laurent n'en finissait plus d'expirer son orgasme fabuleux.
Elle le dégagea de sa bouche qui demeura ouverte, comme si elle la liait encore à la verge luisante.
Elle anima la peau, entamant un lent mouvement du poignet pour prolonger l'érection.
Laurent possédait assez d'ardeur pour faire illusion pendant un certain temps.
De l'autre coté de la cloison, on ne s'ennuyait pas!
— Si nous allions jeter un coup d'oeil? proposa-t-il.
Cécile se retourna en lui lançant un sourire de connivence:— Allons-y! Sale voyeur...
Ils glissèrent hors du lit et, sur la pointe des pieds, sortirent dans le couloir.
Laurent fut le premier à se pencher vers le trou de serrure.
Son champ de vision s'avéra au-delà de ses espérances.
— Qu'est-ce qu'ils font? murmura Cécile en observant la verge de Laurent qui reprenait du volume.
D'un mouvement de la main, il lui imposa silence et regarda le couple en action.
Il avait du mal à croire ce qu'il voyait.
A quatra pattes sur le lit, Françoise se faisait poignarder les fesses par le long nerf de boeuf de Jacques.
Il la possédait dans une attitude dominatrice, il s'agrippait à ses hanches et la tirait brutalement vers lui en faisant claquer son bas-ventre contre les fesses hautes de Françoise.
La salope se faisait sodomiser alors qu'elle lui avait toujours refusé de la prendre de cette manière.
Cécile le poussa pour obtenir sa part du spectacle.
Elle vit son mari et Françoise; dans le même instant, elle sentit battre la verge de Laurent dans sa raie fessière.
Elle se courba lentement non sans crainte.
Elle prit appui contre la porte, écarta les jambes, reins cambrés, hanches creusées par l'attente.
Tout d'abord, Laurent se caressa dans la raie culière, frôlant l'ombre craintive, savourant les crispations de l'autodéfense.
Puis, ployant les genoux, il s'abuta à la faille et s'ouvrit un difficile chemin.
Mâchoires serrées, l'oeil toujours collé à la serrure, Cécile se souleva sur la pointe des pieds et retomba sur la pine dressée qui s'engouffra jusqu'aux lombes.
Tous deux avaient émis le même gémissement couvert par les râles de Jacques et Françoise.
Laurent ceignit la taille de Cécile dont la croupe ondula sur l'axe rigoureux qui la perçait.
Il disjoignit les rondeurs fessières et considéra l'anus extraordinairement élargi qui baguait son gros membre.
Dans la chambre, Françoise lança une clameur sauvage et en entendant sa femme jouir, Laurent ferma les yeux, il n'eut qu'un très léger mouvement du bassin et, instantanément, éclata dans le faste d'un plaisir exceptionnel.
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