Un garage avec un service plus que parfait

- Par l'auteur HDS Bernie72 -
Récit érotique écrit par Bernie72 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Un garage avec un service plus que parfait Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-02-2022 dans la catégorie Plus on est
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Un garage avec un service plus que parfait
Un garage avec un service plus que parfait
Chapitre 1 : une vérification au garage
Adrien avait repris le garage de son père deux ans auparavant. Son père, 65 ans à l’époque, avait décidé d’arrêter ses activités après avoir créé lui-même ce garage indépendant spécialisé dans l’entretien et la réparation des véhicules de marques allemandes. Adrien avait suivi toutes les formations nécessaires et détenait plusieurs diplômes. Plusieurs fois, son père l’avait encouragé à répondre à des offres d’emplois très intéressantes mais, malgré son niveau de formation élevé, Adrien avait toujours refusé d’introduire sa candidature car ce qu’il voulait c’était la mécanique et les vieilles voitures, allemandes en particulier. Il voulait être son propre patron et se consacrer à sa passion, et rien d’autre.
Quand son père avait enfin compris la détermination de son fils et fait état de son souhait de cesser ses activités, Adrien n’avait pas hésité et avait immédiatement accepté le deal proposé par son père.
Depuis, il avait déjà modifié plusieurs choses dans le garage existant, et avait acheté le terrain voisin afin d’ajouter, lorsque ses finances le permettraient, une surface d’exposition pour entreposer les véhicules anciens qu’il comptait vendre, en plus de les réparer et de les entretenir.
Malgré ses finances peu élevées, Adrien avait réussi à tenir le coup, et s’était aussi adjoint l’aide d’un apprenti mécanicien. Sébastien, Seb pour ses amis mais aussi pour tout le monde, était, mis à part sa grande taille, tout l’inverse d’Adrien. Ce dernier en imposait par sa haute stature mais aussi par ses muscles saillants, sa carrure de bûcheron, ses larges mains et sa pilosité abondante tant dans son visage que sur ses bras et ses mains. Il avait aussi des traits bien dessinés et quand il souriait, ses dents d’une blancheur éclatante ajoutaient encore à sa beauté. Très viril, il savait qu’il pourrait user de son charme en cas de nécessité mais son naturel réservé et un peu timide l’en avaient jusqu’à présent empêché.
Seb, au contraire, était très maigre et semblait encore un enfant même si sa voix grave et sa taille plus grande que la moyenne surprenaient.

Ce soir-là, il devait être 18h45 quand une magnifique Mercedes SL 450 type 107 Cabriolet, la même que celle de Bobby Ewing dans la série « Dallas », conduite par une femme d’une quarantaine d’années, fit son entrée dans le garage. La cliente fut accueillie par Seb qui, suivant les recommandations très précises reçues d’Adrien, la salua très poliment et lui demanda la raison de sa visite.
La cliente expliqua qu’elle s’était installée récemment dans la région et qu’elle n’avait donc pas encore eu l’occasion de trouver un garage pour les entretiens de sa voiture. Et, une heure plus tôt, alors qu’elle circulait sur l’autoroute, le moteur avait fait entendre un bruit suspect. Elle avait donc préféré se rendre immédiatement au garage – qu’une amie lui avait chaleureusement recommandé- pour une vérification.
Seb lui fit remplir la fiche d’atelier en lui demandant de mentionner son nom, prénom, son adresse, son numéro de téléphone et de résumer en quelques mots le problème technique rencontré.

Ensuite il fit entrer la cliente dans une salle en pleine rénovation et qui deviendrait ultérieurement un espace d’accueil avec toilettes pour la clientèle. Pour le moment, les cloisons n’étaient pas encore placées et, en entrant, la cliente eut la surprise de voir un homme en train d’uriner dans un urinoir visiblement tout neuf et qui venait visiblement d’être placé. Celui-ci, placé perpendiculairement à la porte, permettait donc en l’absence de cloisons, de voir immédiatement le sexe de l’homme, en l’occurrence celui d’Adrien. Ce dernier, pensant que la porte s’ouvrait pour laisser entrer son apprenti, ne fit pas attention et eut donc la surprise lui-même de voir un regard féminin braqué – obnubilé serait le bon mot- sur ses parties génitales effectivement de grande dimension. Passé la première gêne- après tout Adrien était un professionnel qui tenait à son image de compétence et de professionnalisme- Adrien se dit qu’après tout il était chez lui et n’avait rien fait de mal. En outre, la cliente ne semblait pas lui en vouloir ; au contraire, ses joues s’étaient empourprées et ses yeux restaient fixés sur sa verge et ses testicules pendantes. Il lui sourit donc et termina tranquillement d’uriner pendant que Seb faisait asseoir la cliente de l’autre côté de la pièce en lui proposant une boisson rafraichissante.

Adrien, après s’être lavé les mains, s’approcha de la cliente, et s’excusa pour l’aménagement non encore terminé des locaux et se présenta. La cliente, encore sur un nuage, lui répondit qu’elle s’appelait Julie, habitait à environ 15 minutes du garage et qu’elle était propriétaire d’un ancêtre Mercedes auquel elle tenait beaucoup. Elle répéta brièvement ce qu’elle avait expliqué à Seb qui tendit à Adrien la fiche d’atelier. Adrien se rendit immédiatement à la voiture et demanda à Julie de faire démarrer le moteur. Adrien détecta le bruit suspect et demanda à Julie si la courroie avait été changée suivant les recommandations du constructeur.

La cliente essaya de se souvenir mais, comme elle avait cette voiture depuis un certain temps, elle préféra vérifier l’information dans le carnet d’entretien qu’elle tendit à Adrien. Celui-ci lui expliqua que le constructeur préconisait le changement de courroie pour ce modèle tous les 100.000 km. La voiture en avait 424.655 au compteur et le carnet précisait que la courroie avait été changée à 300.000 km. Adrien précisa donc à Julie qu’à son estime le bruit pouvait provenir de cette courroie et qu’en aucun cas il ne permettrait à Julie de continuer à rouler avec son véhicule vu que si la courroie cassait, c’était tout le moteur qu’il faudrait remplacer avec un cout beaucoup plus élevé. Julie dit qu’elle comprenait et qu’elle était désolée de ne pas avoir fait attention, car elle tenait plus que tout à sa voiture, mais qu’en même temps elle en avait besoin pour rentrer chez elle.
Adrien appela Seb et lui fit immédiatement commander une nouvelle courroie du type exact recommandé par la marque. Vu l’heure, il était évident que cette courroie ne pouvait, même avec le service exprès auquel le garage s’était abonné, être livrée que le lendemain matin.




Suite déjà rédigée.

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