Un glaçon....... dégelé

- Par l'auteur HDS Bitrock -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Un glaçon....... dégelé Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-11-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Un glaçon....... dégelé
Je reprends le travail mais sans me presser car cette petite matinée m’a bien plu.
Christine réapparait après un bon quart d’heure.
Elle porte maintenant une petite robe moulante et très courte. Elle ferait bander un
mort.
« Je vais faire des courses pour préparer à manger, dit-elle, car tu mériteras un
repas après ton travail ». Et elle s’en va.
Une fois seul, j’ouvre son frigo pour voir ce qu’il y a à boire, je me sers un grand
Coca, puis vais au salon pour trouver une radio et mettre un peu de musique. C’est
plus agréable pour travailler.
Je prends tout mon temps pour fixer deux –trois plaques. Je fignole mais voilà j’ai
fini et elle n’est toujours pas rentrée. Je range donc tout mon matériel et je nettoie
le plan de travail.
Je me ressers un verre et vais m’installer dehors. Enfin j’entends sa voiture, la
portière claque puis le coffre, et voilà Christine qui réapparait les bras chargés, je
vais pour l’aider ce qui a l’air de l’étonner.
«Whouah super, tu as fini !!!! Je vais faire de pâtes, je suppose que tu aimes ça ?
Bon, attends-moi, j’en ai pour dix minutes  »
En effet, après dix minutes, elle arrive avec un verre et s’installe « La sauce
chauffe, l’eau pour les pâtes aussi, on pourra manger dans dix minutes »
Et dix minutes plus tard, nous mangeons ; ces pâtes sont très bonnes, super sauce et
elle a servi un super petit vin. Nous débarrassons la table, puis nous nous
réinstallons dehors pour finir la bouteille. Le soleil chauffe et l’effet du vin nous
assomme un peu. Quoique la vue que j’ai sur ses jambes m’émoustille gentiment.
« Alors, Pierre t’as dit que j’étais un glaçon, lâche-t-elle, ou c’est mon ex-mari ? »
Je ne réponds pas.
« Mais mon ex oublie de dire qu’en trois ans de mariage, il ne m’a jamais fait jouir….
Je crois que la fois où il a tenu le plus longtemps, il a éjaculé après 3 minutes et
il lui fallait 2 jours pour récupérer….. Et Pierre, sa queue est minuscule, je me
demande si elle fait 10 centimètres ???? »
« Sorry, je ne connais pas ton ex et je ne savais pas que tu avais couché avec
Pierre »
« Oui, juste après ma séparation, il a bien essayé d’en profiter, mais après 2 fois,
je n’ai plus voulu, c’était pire qu’avec José »
« Et tu en as connu d’autres ? » fais-je curieux.
Elle décroise les jambes, ce qui me fait voir qu’elle porte maintenant un string noir
très sexy…
«Oui, mon premier copain, il y a 15 ans, j’en avais 17, lui 18, on a couché ensemble 3
ou 4 fois, la première fois, il a tout lâché dans son slip quand j’y ai mis la main,
dit-elle en riant. Et puis, un collègue de bureau, bien sur, il y a au moins 3 ans,
c’était un peu mieux, il était marié et très chiant. Avec José et Pierre, c’est
tout…..  Et maintenant toi»
« Et, c’était mieux ? »
« Ah ça, je peux le dire, je ne sais plus combien de fois tu m’as fait jouir »
« Et je suis prêt à remettre ça quand tu veux », dis-je en passant une main sur ma
queue à travers mon short, pour lui montrer combien ces petites révélations m’ont bien
excité.
« Après notre séance de tout à l’heure, tu pourrais déjà recommencer ???? »
« Comme tu m’excites là, bien sur, et je tiendrai bien plus longtemps, justement !!!
Regardes comme tu me fais bander », dis-je tout en sortant ma queue hors de mon short.
Sur ce, je me lève et m’approche d’elle pour lui mettre mon sexe devant la bouche.
Elle s’en saisit d’une main.
« Qu’elle est grosse et longue, je ne pourrais pas sucer un truc aussi gros !!! »
« Faut pas dire ça, faut essayer d’abord »
Elle ouvre la bouche et commence à me lécher le gland, le frein, puis toute la
longueur avant de tenter de l’entourer de ses lèvres, et elle y parvient. Puis
doucement, elle enfonce le plus qu’elle peut ; et je peux dire qu’elle en gobe un beau
morceau !!!.
Elle fait tourner sa langue puis entame un lent va et vient le long de ma hampe. Je
soupire de bonheur
« Tu vois que tu peux et en plus tu es très douée…. »
Elle se retire : « Mais je ne pourrais jamais tout prendre, elle est trop longue…. Je
parie qu’elle fait plus de 20 cm ???? »
« J’en sais rien, je ne l’ai jamais mesurée, mais personne ne s’en est jamais plaint »
Elle se lève et va vers ma boite à outil, d’où elle sort un mètre : « Bien, on va
vérifier…. Tu vois…. 21 cm et demi, presque 22… et 4 et demi de diamètre !!!»
« Viens, on va rentrer, je n’ai pas envie que les voisins nous voient ». Je la suis,
elle m’emmène dans sa chambre. Elle fait passer sa robe par-dessus sa tête et enlève
son string en moins de deux.
« Pour une femme seule, tu ne t’embêtes pas, il est fameux ton lit », dis-je en
enlevant mon t-shirt, mes baskets et mon short.
A peine couché, elle a déjà repris mon sexe en bouche et reprend ses jeux buccaux là
où elle les avait laissés.
Comme elle n’est pas très lourde, je la soulève pour la faire tourner et me glisser
sous elle afin d’avoir son sexe au dessus de mon visage. Je la caresse gentiment en
écartant les lèvres de son sexe avant de lui titiller le clito de petits coups de
langue. Elle est déjà légèrement humide, mais quand je lèche plus loin puis que
j’enfonce ma langue un maximum dans son vagin, je recueille un délicieux flot de
cyprine toute fraiche.
Vu que je suis beaucoup plus grand qu’elle, il m’est facile de pousser plus loin mon
léchage, ainsi après avoir bien ouvert son antre ruisselante ; la langue chargée de
son jus, je remonte vers son périnée, je la sens tressaillir puis quand j’arrive au
abord de son petit trou, elle sursaute de surprise. Je la calme très vite en la
maintenant fermement, sa fellation se fait moins précise car elle se concentre plus
sur ces nouvelles sensations inconnues pour elle.
Une fois calmée, je lui écarte les fesses et repars à l’assaut, je fais tourner ma
langue tout autour de son anus en m’approchant de plus en plus du centre. Christine
halète de plus en plus fort et ne s’occupe plus du tout de ma queue ; alors je reviens
prendre possession de vagin et de son clitoris complètement dressé.
Mais, maintenant ma main gauche n’a pas quitté son cul, elle est tellement partie
qu’elle ne se rend même pas compte que j’ai enfoncé mon pouce dans son anus.
Puis, elle se dresse et vient placer d’elle-même son vagin au-dessus de ma queue pour
se l’enfoncer de suite à fond, ce qui se fait sans difficulté vu le taux d’humidité
qui y règne.
Elle entame alors une chevauchée fantastique, elle monte et descend le long de ma
queue en se secouant en tous sens. Une vraie furie !!!!
Moi, je lui caresse les seins, les cuisses,…. les fesses que je lui écarte afin de lui
tripoter le petit trou.
A moment où elle crie pour la 3 ou 4ème fois qu’elle jouit, je lui enfonce un doigt
dans le cul ; il rentre tout seul et je commence à avoir vraiment envie d’y mettre
autre chose….. 
Elle se calme enfin, j’en profite pour la faire changer de position et prendre le
dessus, je peux ainsi la prendre à mon rythme et aussi en varier. Christine jouit de
nouveau rapidement et le fait savoir, heureusement les fenêtres sont fermées.
« C’est bon, crie-elle, continue, continue ….. » Ce que je fais avec plaisir, mais
j’ai quand même très envie de l’enculer.
Après deux nouveaux orgasmes de Christine, je la fais mettre à quatre pattes afin de
la prendre en levrette.
Avant de la repénétrer, je plonge bouche en avant pour lui lécher le clitoris et
récolter son jus que je redépose en abondance sur son anus.
Afin je la reprends d’un bon coup bien profond avant de la pistonner calmement car je
prépare la suite à laquelle elle ne s’attend pas, je pense.
Et donc en même temps, je lui caresse bien le bord de l’anus en étalant bien sa
mouille et ma salive car je n’avais pas prévu de lubrifiant.
Je lui enfonce un puis deux doigts sans que ça ai l’air de l’inquiéter.
Christine continue à de me faire savoir qu’elle jouit, que c’est bon et que comme ça
elle me sent encore plus loin.
Sans la prévenir, je me retire de son vagin, j’ai la queue bien lubrifiée par sa
cyprine, j’y rajoute une bonne dose de salive.
Je place mon gland bien contre son anus, légère poussée….. Christine se cabre car elle
vient de se rendre compte de mon intention et veux protester. Mais ma deuxième poussée
est plus puissante, je sens son sphincter résister mais ça passe quand même. Et voilà,
mon gland est passé. Je m’arrête immédiatement pour ne pas lui faire plus mal et lui
laisser le temps de s’adapter à cette intrusion.
« Haaa ! Salaud, dit-elle, je ne voulais pas là, ça fait trop mal… »
« Attends, dis-je, ça va aller, tu vas voir »
Je pousse encore un peu puis reviens, recommence 3 ou 4 fois avant de m’arrêter de
nouveau.
Christine s’est enfoncée la tête dans l’oreiller, mais ne proteste plus.
Je me retire alors doucement pour pouvoir recommencer ; après 5-6 aller retour son
anus n’offre plus beaucoup de résistance et je peux m’enfonce chaque fois un peu plus
loin.
Je me rends compte d’ailleurs que Christine vient maintenant à ma rencontre et
participe en bougeant d’avant en arrière afin de me faciliter le travail.
C’est ainsi que très vite, je me retrouve complètement planté en elle avec mes
couilles cognant son cul. J’accélère alors le rythme et y vais à grand mouvement ; et
Christine n’est pas en reste, elle remue maintenant du popotin et me crie d’y aller
plus fort. Elle y a vite pris goût et le fait savoir.
Mais soudain, elle se calme et arrête de bouger, je m’immobilise également bien planté
au fond de sa grotte.
« A toi de jouir, je vais t’avoir….» me dit-elle
Et je sens ses muscles se contracter autour de ma queue, je n’ai jamais ressenti une
telle sensation. Je ne fais plus rien.
J’essaye d’encore me retenir, mais l’étroitesse de sa grotte et les contractions
qu’elle me prodigue vont vite vaincre ma résistance. Je pars comme jamais, je sens mon
sperme monter le long de ma queue et gicler puisement au fond de ses entrailles. Je me
libère longuement en restant fiché bien au fond de son cul.
Ma queue commence doucement à se rétracter, je lui remets deux-trois aller-retour
avant de la laisser glisser et sortir.
Le trou de cul de Christine reste ouvert, béant et rempli de mon foutre qui commence à
s’en écouler doucement.
Quelle vue magnifique !!!!

Je ne regrette vraiment pas, ce petit travail de bricolage en valait vraiment la
peine.

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