Un joli cadeau d'anniversaire
Récit érotique écrit par Plaisirs54 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Un joli cadeau d'anniversaire
Bon Anniversaire
Mars 1993, 17h00, je viens de rentrer du travail.
Coup de sonnette à l’appart’ : il est bien tôt pour Agathe, mais bon...
Sur le palier, souriante, Agnès, une jeune participante au stage dont Agathe assure l’encadrement.
Donnant moi-même des cours de remise à niveau au groupe, le mercredi après-midi, je connais bien la demoiselle et j’avoue ne pas être indifférent à ses charmes : blonde mignonette aux cheveux courts, yeux très bleus, consciente de son pouvoir de séduction, sachant en abuser et le mettre en valeur avec des tenues très ‘’fille’’.
Ce point de vue très masculin est partagé avec Agathe : très rapidement, elle m’a avoué avoir eu, à plusieurs reprises, quelques moments ‘’d’égarement’’ fort peu professionnels avec Agnès : connaissant sa bisexualité assumée et au regard des atouts de la demoiselle, comment lui en faire grief ?
Ce soir là, la belle Agnès pousse le bouchon de la féminité plus loin qu’à l’accoutumée : mini en jean ultra courte, débardeur blanc hyper moulant sur des seins magnifiques, manifestement libres de toute entrave, perchée sur des sabots suédois blancs ; une véritable incitation au viol...
- Bonsoir… Agathe m’a demandée de passer pour vous déposer ça.
Elle me tend une jolie enveloppe rectangulaire, ornée d’un simple libellé ‘’Thibault’’.
Je fais entrer Agnès, l’invite à se diriger vers le salon, je lui suggère de s’assoir mais elle décline avec un sourire.
- Tu permets que j’ouvre ?
- Bien sûr… je vous en prie… Je crois que je dois même attendre cela…
Je découpe l’enveloppe et en sors un beau bristol blanc.
J’ai beau être habitué aux petits travers de ma femme, j’avoue que, ce soir là, elle s’est surpassée.
Dans l’angle supérieur gauche, un dessin représentant une jolie jeune demoiselle agenouillée devant une jeune femme, qu’elle honore consciencieusement : nul besoin d’être devin pour identifier les protagonistes de l’affaire, l’auteure ayant de vrais talents de dessinatrice. Si un doute pouvait subsister, la dédicace ‘’Agnès pour Agathe’’ l’invalide.
Au centre du carton, un second dessin : la même Agnès a changé de partenaire et prodigue ses ‘’soins’’ buccaux à un homme, en lequel je me reconnais sans peine . Nouvelle dédicace ‘‘à la demande d’Agathe’’…
Dans l’angle supérieur droit, un dernier dessin, bluffant de réalisme : Agathe y est représentée agenouillée en 69 au dessus d’Agnès, guidant de ses doigts mon sexe entre les lèvres intimes de la jeune femme, ouverte dans une totale indécence.
En bas du bristol, un court message manuscrit de ma tendre épouse :
‘’Je n’ai pas le talent d’Agnès pour l’illustration, mais elle a su mettre mes pensées en images. Tu connais mon côté partageur, je ne voulais pas être la seule à profiter de ses charmes. J’ai validé sa tenue du jour, je sais qu’elle va te plaire. Bon Anniversaire Thibault’’
Suivi d’un gros cœur rouge contenant un joli ‘’Je t’aime’’.
Je quitte le carton des yeux et mon regard croise celui d’Agnès : ce qu’elle y fait passer à cet instant est sans appel : la môme n’est pas venue juste pour jouer à la factrice…
Et pour que tout doute soit levé, elle s’assied lentement sur la chauffeuse derrière elle, en prenant bien soin de ne surtout pas joindre ses cuisses: la jolie demoiselle est nue sous sa jupe, son sexe totalement lisse bien ouvert en une invitation qui ne peut rester non honorée.
Agathe rentre quelques minutes plus tard et n’est, évidemment, aucunement surprise de la scène que nous lui offrons : aucun commentaire inutile, elle reste à nous observer durant l’acte, Agnès renversée sur la table de la salle à manger où je l’aie entraînée, moi debout entre ses cuisses, ses pieds posés sur mes épaules.
Je ne peux pas résister bien longtemps à une telle tension : Agnès est étroite au possible et je sens chaque réaction de son sexe de manière inouïe ; le fait que ma femme nous observe en se caressant n’arrange évidemment rien… J’inonde très vite le vagin brûlant de la belle stagiaire, cramponné à ses hanches.
Agathe me sourit et je vois ses doigts se crisper sur sa propre intimité : comme elle en est coutumière, elle s’abandonne à la fulgurance de son orgasme, aussi violent que rapide.
Puis elle s’approche de nous, me retire elle-même du fourreau brûlant, s’agenouille pour me prendre en bouche quelques instants, puis me délaisse pour prodiguer son art entre les lèvres intimes d’Agnès.
Elle se relève, s’empare de ma bouche et me murmure un ‘’Bon Anniversaire’’ …
Sans nul doute le cadeau d’anniversaire le plus mémorable dans mes souvenirs…
Mars 1993, 17h00, je viens de rentrer du travail.
Coup de sonnette à l’appart’ : il est bien tôt pour Agathe, mais bon...
Sur le palier, souriante, Agnès, une jeune participante au stage dont Agathe assure l’encadrement.
Donnant moi-même des cours de remise à niveau au groupe, le mercredi après-midi, je connais bien la demoiselle et j’avoue ne pas être indifférent à ses charmes : blonde mignonette aux cheveux courts, yeux très bleus, consciente de son pouvoir de séduction, sachant en abuser et le mettre en valeur avec des tenues très ‘’fille’’.
Ce point de vue très masculin est partagé avec Agathe : très rapidement, elle m’a avoué avoir eu, à plusieurs reprises, quelques moments ‘’d’égarement’’ fort peu professionnels avec Agnès : connaissant sa bisexualité assumée et au regard des atouts de la demoiselle, comment lui en faire grief ?
Ce soir là, la belle Agnès pousse le bouchon de la féminité plus loin qu’à l’accoutumée : mini en jean ultra courte, débardeur blanc hyper moulant sur des seins magnifiques, manifestement libres de toute entrave, perchée sur des sabots suédois blancs ; une véritable incitation au viol...
- Bonsoir… Agathe m’a demandée de passer pour vous déposer ça.
Elle me tend une jolie enveloppe rectangulaire, ornée d’un simple libellé ‘’Thibault’’.
Je fais entrer Agnès, l’invite à se diriger vers le salon, je lui suggère de s’assoir mais elle décline avec un sourire.
- Tu permets que j’ouvre ?
- Bien sûr… je vous en prie… Je crois que je dois même attendre cela…
Je découpe l’enveloppe et en sors un beau bristol blanc.
J’ai beau être habitué aux petits travers de ma femme, j’avoue que, ce soir là, elle s’est surpassée.
Dans l’angle supérieur gauche, un dessin représentant une jolie jeune demoiselle agenouillée devant une jeune femme, qu’elle honore consciencieusement : nul besoin d’être devin pour identifier les protagonistes de l’affaire, l’auteure ayant de vrais talents de dessinatrice. Si un doute pouvait subsister, la dédicace ‘’Agnès pour Agathe’’ l’invalide.
Au centre du carton, un second dessin : la même Agnès a changé de partenaire et prodigue ses ‘’soins’’ buccaux à un homme, en lequel je me reconnais sans peine . Nouvelle dédicace ‘‘à la demande d’Agathe’’…
Dans l’angle supérieur droit, un dernier dessin, bluffant de réalisme : Agathe y est représentée agenouillée en 69 au dessus d’Agnès, guidant de ses doigts mon sexe entre les lèvres intimes de la jeune femme, ouverte dans une totale indécence.
En bas du bristol, un court message manuscrit de ma tendre épouse :
‘’Je n’ai pas le talent d’Agnès pour l’illustration, mais elle a su mettre mes pensées en images. Tu connais mon côté partageur, je ne voulais pas être la seule à profiter de ses charmes. J’ai validé sa tenue du jour, je sais qu’elle va te plaire. Bon Anniversaire Thibault’’
Suivi d’un gros cœur rouge contenant un joli ‘’Je t’aime’’.
Je quitte le carton des yeux et mon regard croise celui d’Agnès : ce qu’elle y fait passer à cet instant est sans appel : la môme n’est pas venue juste pour jouer à la factrice…
Et pour que tout doute soit levé, elle s’assied lentement sur la chauffeuse derrière elle, en prenant bien soin de ne surtout pas joindre ses cuisses: la jolie demoiselle est nue sous sa jupe, son sexe totalement lisse bien ouvert en une invitation qui ne peut rester non honorée.
Agathe rentre quelques minutes plus tard et n’est, évidemment, aucunement surprise de la scène que nous lui offrons : aucun commentaire inutile, elle reste à nous observer durant l’acte, Agnès renversée sur la table de la salle à manger où je l’aie entraînée, moi debout entre ses cuisses, ses pieds posés sur mes épaules.
Je ne peux pas résister bien longtemps à une telle tension : Agnès est étroite au possible et je sens chaque réaction de son sexe de manière inouïe ; le fait que ma femme nous observe en se caressant n’arrange évidemment rien… J’inonde très vite le vagin brûlant de la belle stagiaire, cramponné à ses hanches.
Agathe me sourit et je vois ses doigts se crisper sur sa propre intimité : comme elle en est coutumière, elle s’abandonne à la fulgurance de son orgasme, aussi violent que rapide.
Puis elle s’approche de nous, me retire elle-même du fourreau brûlant, s’agenouille pour me prendre en bouche quelques instants, puis me délaisse pour prodiguer son art entre les lèvres intimes d’Agnès.
Elle se relève, s’empare de ma bouche et me murmure un ‘’Bon Anniversaire’’ …
Sans nul doute le cadeau d’anniversaire le plus mémorable dans mes souvenirs…
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Beaucoup trop court. Vite, vite, vite la suite
