Un mari défoncé par un éboueur bien monté
Récit érotique écrit par Hyperpoilu [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 5 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.4
- • L'ensemble des récits érotiques de Hyperpoilu ont reçu un total de 218 631 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-03-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 48 748 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Un mari défoncé par un éboueur bien monté
Je suis un homme marié de 37ans et j habite Marseille dans le 5e… … J’avouerais qu à 37ans, ma sexualité n était plus aussi débridée, me contentant de rapports conjugaux de moins en moins fréquents. Sportif, bien bati et très poilu, je suis l’archétype du bon père de famille sans histoire. Il m arrive parfois de rentrer déjeuner chez moi entre midi et 2. Je croisais à plusieurs reprises un éboueur qui avait l’habitude de garer sa 206 bleue dans ma rue.
Grand gaillard de 50 ans, 1m90 aux épaules larges avec une grosse moustache aussi chatain grisonnante que ses cheveux coupés courts…Le croisant souvent dans sa tenue bleue ciel aux bandes jaune fluo, nous avions pris l’habitude de nous dire bonjour. Un jour il avait assisté à une dispute entre moi et ma femme devant chez moi en faisant semblant de rien entendre.
Le lundi suivant, c’était au mois de mai, il faisait chaud je rentre chez moi entre midi et 2 et je le croise et le salue comme d’habitude. Il me salue et me dévisage de façon plus insistante. Je repense à la scène et je suis gêné qu’il m’ait vu me faire engueuler…
J’ouvre la porte qui donne à mon immeuble et troublé je le regarde son balais à la main me suivre du regard…J’envie ce macho bourru qui lui doit mener les meufs à la baguette…Je monte les escaliers qui mènent à mon appart, la porte de mon immeuble est ancienne et se referme parfois mal. Arrivé en haut je glisse ma clef dans la serrure d’entrée ouvre ma porte, entre et au moment de la refermer j’ai la surprise de me retrouver avec mon gaillard devant moi qui bloque la porte avec sa grosse grôle de chantier.
Là tout se passe très vite, sans que je l y ai invité il entre chez moi me saisis, me plaque contre lui et sans même refermer la porte, baisse son visage vers moi. Je sent sa grosse moustache sur mes lèvres… je tente de repousser ce baiser, rouge de surprise, de honte et de peur. Rien n’y fait au contraire le grand gaillard s’enhardit de plus belle et avance d’un pas pour refermer la porte . je me retrouve à la merci de cet homme que je ne connais pas, chez moi dans mon entrée ses lèvres contre les miennes m’empêchant de respirer. Insistant de plus belle, je sent alors une grosse langue forcer le passage entre mes lèvres et sa grosse moustache qui frotte sur mon visage…Mon cœur bat la chamade, je ne pense plus a rien et j’ouvre la bouche. C’est alors une explosion de plaisir qui m’électrise et me paralyse tout le corps. Je ne pense plus à rien et me laisse rouler une grosse galoche par cet mec qui fouille avec sa grosse langue divinement ma bouche. Je suis au 7e ciel, moi le mec marié .
Il desserre alors l’étreinte et je me surprend à vouloir prolonger sans fin ce baiser langoureux. Nos langues s’enroulent l’une à l’autre et je sents un plaisir immense irradier mon corps comme jamais auparavant je n’avais éprouvé un tel transportement.
Sa grosse main se glisse alors dans ma chemise et caresse mon torse poilu. Puis il se met à me lécher la le cou, descend sur ma pomme d’adam et ouvrant d’un coup sec ma chemise en faisant sauter les boutons par terre, il me lèche vigoureusement tout le torse, s’attardant sur mes tétons qui se dressent et le creux de mes aisselles.
Je gémis de plaisir, l’extase est trop forte, je suis le jouet de ce bucheron …Sa langue descend alors vers mon nombril, je tressaille de tout mon corps au contact de cette caresse buccale mais ne suis pas au bout de mes peines. Car il dégrafe avec autant de vigueur la braguette de mon jeans. Je me retrouve en boxer noir dans les bras de l’éboueur du quartier. Et là oh surprise le tissu de celui-ci est gonflé par une magistrale érection, j’ai honte de moi mais j’ai envie que cela dure encore. Là, il descend mon boxer qu’il fait glisser en même temps que mon jeans sur mes talons. En un clin d’œil il saisit ma queue gonflée, malaxe mes testicules, puis toujours dans cette entrée, descend sa bouche et me lèche le gland … je craque, et gémis de plaisir, il engloutit ma queue qui n est pas très grosse mais épaisse et courbée Cela fait une éternité que je n’avais pas été sucé ainsi…Puis lui toujours habillé, je me retrouve à même le sol de mon entrée , couché sur le dos et soulevant avec ses deux bras mes jambes , revient se positionner sur ma bite. Mon jeans et mon slip viennent sur son dos puissant en crissant bruyamment dans cette position peu confortable. Il prodigue alors à mes organes génitaux des soins que jamais auparavant je n’avais subis. il descend et lèche mon scrotum ce qui me fait littéralement crier de plaisir puis, oh extase des extases, sa langue se fraye un passage au travers de ma raie poilue de mâle déchu jusqu’à ma rosette serrée. Jamais je n’avait pu imaginer un tel bonheur ! je n’éprouve alors plus aucune honte, et au contraire n’ai plus qu’une seule envie : me faire baiser comme une meuf…Il en profita pour ôter mes basquets une à une puis mon jeans et mon slip. Puis il enlève mes chaussettes blanches et me léche avec délectation les pieds.
il se relève alors et revient m’embrasser fougueusement. Sans mot dire on se relève et le prenant par la main je l’entraine vers la chambre à coucher. Je le fais assoir sur le lit conjugal et j’ôte fébrilement sa veste bleue puis son t shirt blanc.
Quelle carrure ! Un torse puissant le double du mien , couvert de poils longs et luisant châtains grisonnants par endroits, des pectoraux de gladiateur avec des auréoles larges.
Je descends les bretelles de sa combinaison et j’ouvre nerveusement sa braguette.
Quelle stupeur, quand j’aperçoit le bout de son slip blanc immaculé qui laisse deviner un gros sexe énorme moulé dans ce tissu au point de craquer!! Il fut amusé par mon expression et se baissât pour ôter ses grosses chaussures. Il se relève et fait descendre d un trait pantalon de combi et slip et se dégagea pour offrir à ma vue son gros dard. Je me retrouve ainsi face a une queue d’au moins 23 cm, plus épaisse encore que la mienne droite et aux larges veines apparentes avec un gland énorme en forme de ballon de rugby. Un peu affolé mais terriblement attiré je me penche pour soupeser cet énorme saucisse et je suis tout aussi surpris de soupeser d’énormes couilles très pendantes . Son pubis était lui aussi couvert d’une épaisse toison mais d’un châtain plus vénitien que son corps . Je commence maladroitement à le branler quand il s’assoit sur le lit et écartant les cuisses il me dit : suce moi la bite mec !!!
j’en frissonnais d’envie, et dirigeant mes lèvres vers son sexe je fus agréablement surpris par l’odeur enivrante qui se dégageait de cette superbe queue..un doux parfum de propre à laquelle on se s’attendait pas. M’agrippant par les cheveux il imprime a ma tete des mouvements qui ont pour conséquence de faire pénétrer son organe viril au plus profond de ma bouche et de ma gorge. C’est l’extase ! Puis il me couche sur le dos et viens sur moi fourrer à nouveau son sexe dans ma bouche. Puis il vient écraser ses larges fesses rebondies sur ma figure .Je me hasarde à sortir ma langue et à lui lécher d’abord de façon hésitante puis de façon plus approfondie sa belle rondelle plissée.
Je bande comme un taureau et lui aussi… je n en peux plus et il le comprend, il se dégage alors et ses yeux dans les miens il écarte mes cuisses pose mes jambes sur ses épaules et me demande si j’ai un préservatif . Je lui en tend un qui se trouve dans la table de chevet. Il l’enfile, puis crachant dans sa main il lubrifie son sexe se penche et vient m’embrasser fougueusement comme pour obtenir mon approbation puis doucement pousse sur mon sphincter…j ai mal, mais peu a peu il rentre sa queue dans mon intimité la plus profonde. Il s’arrête de pousser et se saisit de ma queue et commence une douce branlette … Puis constatant mon extase, il commence à me besogner d’abord en douceur puis sentant que mon cul s’ouvre en douceur il accentue ses coups de reins virils et puissants comme s’il niquait une femme ! C est l’extase, je me surprend a l encourager en lui disant :Oui vas y défonce moi ! oui je suis ta meuf ! prend moi ! casse moi le cul !met moi ton manche a balais dans la chatte !
Il accentue ses mouvements comme un forcené tout en me branlant vigoureusement …Puis dans un ultime assaut il se contracte et me donne un violent coup de rein et expulse sa semence virile dans mes entrailles meurtries mais protégées. A cet instant sentant son sexe tressaillir en moi en plusieurs saccades, je décharge à mon tour.
Inondé de foutre et de sueur il s’écroule sur moi et me mordille les lobes des oreilles tout en restant en moi comme pour mieux me féconder.Au bout de quelque seconde il retire sa queue de mon petit trou de balle béant et viens m’embrasser.
Puis il se rhabille à la hâte, jette la capote dans les wc apres avoir l’avoir rempli d eau et disparait sans un mot.
Je me retrouve couché et extenué sur le lit conjugal le bas ventre gluant de ma semence me sentant honteux, souillé mais formidablement saillie par mon bel éboueur.
Je retourne au bureau comme sur un nuage. Et le soir, venu j’honore ma femme comme jamais en pensant à mon étalon.
Le revairais je ? C est une autre histoire !
Grand gaillard de 50 ans, 1m90 aux épaules larges avec une grosse moustache aussi chatain grisonnante que ses cheveux coupés courts…Le croisant souvent dans sa tenue bleue ciel aux bandes jaune fluo, nous avions pris l’habitude de nous dire bonjour. Un jour il avait assisté à une dispute entre moi et ma femme devant chez moi en faisant semblant de rien entendre.
Le lundi suivant, c’était au mois de mai, il faisait chaud je rentre chez moi entre midi et 2 et je le croise et le salue comme d’habitude. Il me salue et me dévisage de façon plus insistante. Je repense à la scène et je suis gêné qu’il m’ait vu me faire engueuler…
J’ouvre la porte qui donne à mon immeuble et troublé je le regarde son balais à la main me suivre du regard…J’envie ce macho bourru qui lui doit mener les meufs à la baguette…Je monte les escaliers qui mènent à mon appart, la porte de mon immeuble est ancienne et se referme parfois mal. Arrivé en haut je glisse ma clef dans la serrure d’entrée ouvre ma porte, entre et au moment de la refermer j’ai la surprise de me retrouver avec mon gaillard devant moi qui bloque la porte avec sa grosse grôle de chantier.
Là tout se passe très vite, sans que je l y ai invité il entre chez moi me saisis, me plaque contre lui et sans même refermer la porte, baisse son visage vers moi. Je sent sa grosse moustache sur mes lèvres… je tente de repousser ce baiser, rouge de surprise, de honte et de peur. Rien n’y fait au contraire le grand gaillard s’enhardit de plus belle et avance d’un pas pour refermer la porte . je me retrouve à la merci de cet homme que je ne connais pas, chez moi dans mon entrée ses lèvres contre les miennes m’empêchant de respirer. Insistant de plus belle, je sent alors une grosse langue forcer le passage entre mes lèvres et sa grosse moustache qui frotte sur mon visage…Mon cœur bat la chamade, je ne pense plus a rien et j’ouvre la bouche. C’est alors une explosion de plaisir qui m’électrise et me paralyse tout le corps. Je ne pense plus à rien et me laisse rouler une grosse galoche par cet mec qui fouille avec sa grosse langue divinement ma bouche. Je suis au 7e ciel, moi le mec marié .
Il desserre alors l’étreinte et je me surprend à vouloir prolonger sans fin ce baiser langoureux. Nos langues s’enroulent l’une à l’autre et je sents un plaisir immense irradier mon corps comme jamais auparavant je n’avais éprouvé un tel transportement.
Sa grosse main se glisse alors dans ma chemise et caresse mon torse poilu. Puis il se met à me lécher la le cou, descend sur ma pomme d’adam et ouvrant d’un coup sec ma chemise en faisant sauter les boutons par terre, il me lèche vigoureusement tout le torse, s’attardant sur mes tétons qui se dressent et le creux de mes aisselles.
Je gémis de plaisir, l’extase est trop forte, je suis le jouet de ce bucheron …Sa langue descend alors vers mon nombril, je tressaille de tout mon corps au contact de cette caresse buccale mais ne suis pas au bout de mes peines. Car il dégrafe avec autant de vigueur la braguette de mon jeans. Je me retrouve en boxer noir dans les bras de l’éboueur du quartier. Et là oh surprise le tissu de celui-ci est gonflé par une magistrale érection, j’ai honte de moi mais j’ai envie que cela dure encore. Là, il descend mon boxer qu’il fait glisser en même temps que mon jeans sur mes talons. En un clin d’œil il saisit ma queue gonflée, malaxe mes testicules, puis toujours dans cette entrée, descend sa bouche et me lèche le gland … je craque, et gémis de plaisir, il engloutit ma queue qui n est pas très grosse mais épaisse et courbée Cela fait une éternité que je n’avais pas été sucé ainsi…Puis lui toujours habillé, je me retrouve à même le sol de mon entrée , couché sur le dos et soulevant avec ses deux bras mes jambes , revient se positionner sur ma bite. Mon jeans et mon slip viennent sur son dos puissant en crissant bruyamment dans cette position peu confortable. Il prodigue alors à mes organes génitaux des soins que jamais auparavant je n’avais subis. il descend et lèche mon scrotum ce qui me fait littéralement crier de plaisir puis, oh extase des extases, sa langue se fraye un passage au travers de ma raie poilue de mâle déchu jusqu’à ma rosette serrée. Jamais je n’avait pu imaginer un tel bonheur ! je n’éprouve alors plus aucune honte, et au contraire n’ai plus qu’une seule envie : me faire baiser comme une meuf…Il en profita pour ôter mes basquets une à une puis mon jeans et mon slip. Puis il enlève mes chaussettes blanches et me léche avec délectation les pieds.
il se relève alors et revient m’embrasser fougueusement. Sans mot dire on se relève et le prenant par la main je l’entraine vers la chambre à coucher. Je le fais assoir sur le lit conjugal et j’ôte fébrilement sa veste bleue puis son t shirt blanc.
Quelle carrure ! Un torse puissant le double du mien , couvert de poils longs et luisant châtains grisonnants par endroits, des pectoraux de gladiateur avec des auréoles larges.
Je descends les bretelles de sa combinaison et j’ouvre nerveusement sa braguette.
Quelle stupeur, quand j’aperçoit le bout de son slip blanc immaculé qui laisse deviner un gros sexe énorme moulé dans ce tissu au point de craquer!! Il fut amusé par mon expression et se baissât pour ôter ses grosses chaussures. Il se relève et fait descendre d un trait pantalon de combi et slip et se dégagea pour offrir à ma vue son gros dard. Je me retrouve ainsi face a une queue d’au moins 23 cm, plus épaisse encore que la mienne droite et aux larges veines apparentes avec un gland énorme en forme de ballon de rugby. Un peu affolé mais terriblement attiré je me penche pour soupeser cet énorme saucisse et je suis tout aussi surpris de soupeser d’énormes couilles très pendantes . Son pubis était lui aussi couvert d’une épaisse toison mais d’un châtain plus vénitien que son corps . Je commence maladroitement à le branler quand il s’assoit sur le lit et écartant les cuisses il me dit : suce moi la bite mec !!!
j’en frissonnais d’envie, et dirigeant mes lèvres vers son sexe je fus agréablement surpris par l’odeur enivrante qui se dégageait de cette superbe queue..un doux parfum de propre à laquelle on se s’attendait pas. M’agrippant par les cheveux il imprime a ma tete des mouvements qui ont pour conséquence de faire pénétrer son organe viril au plus profond de ma bouche et de ma gorge. C’est l’extase ! Puis il me couche sur le dos et viens sur moi fourrer à nouveau son sexe dans ma bouche. Puis il vient écraser ses larges fesses rebondies sur ma figure .Je me hasarde à sortir ma langue et à lui lécher d’abord de façon hésitante puis de façon plus approfondie sa belle rondelle plissée.
Je bande comme un taureau et lui aussi… je n en peux plus et il le comprend, il se dégage alors et ses yeux dans les miens il écarte mes cuisses pose mes jambes sur ses épaules et me demande si j’ai un préservatif . Je lui en tend un qui se trouve dans la table de chevet. Il l’enfile, puis crachant dans sa main il lubrifie son sexe se penche et vient m’embrasser fougueusement comme pour obtenir mon approbation puis doucement pousse sur mon sphincter…j ai mal, mais peu a peu il rentre sa queue dans mon intimité la plus profonde. Il s’arrête de pousser et se saisit de ma queue et commence une douce branlette … Puis constatant mon extase, il commence à me besogner d’abord en douceur puis sentant que mon cul s’ouvre en douceur il accentue ses coups de reins virils et puissants comme s’il niquait une femme ! C est l’extase, je me surprend a l encourager en lui disant :Oui vas y défonce moi ! oui je suis ta meuf ! prend moi ! casse moi le cul !met moi ton manche a balais dans la chatte !
Il accentue ses mouvements comme un forcené tout en me branlant vigoureusement …Puis dans un ultime assaut il se contracte et me donne un violent coup de rein et expulse sa semence virile dans mes entrailles meurtries mais protégées. A cet instant sentant son sexe tressaillir en moi en plusieurs saccades, je décharge à mon tour.
Inondé de foutre et de sueur il s’écroule sur moi et me mordille les lobes des oreilles tout en restant en moi comme pour mieux me féconder.Au bout de quelque seconde il retire sa queue de mon petit trou de balle béant et viens m’embrasser.
Puis il se rhabille à la hâte, jette la capote dans les wc apres avoir l’avoir rempli d eau et disparait sans un mot.
Je me retrouve couché et extenué sur le lit conjugal le bas ventre gluant de ma semence me sentant honteux, souillé mais formidablement saillie par mon bel éboueur.
Je retourne au bureau comme sur un nuage. Et le soir, venu j’honore ma femme comme jamais en pensant à mon étalon.
Le revairais je ? C est une autre histoire !
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Hyperpoilu
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...