Un mari pervers (fiction violente)
Récit érotique écrit par Chaudasse2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-12-2006 dans la catégorie Dominants et dominés
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Un mari pervers (fiction violente)
Valentine tourna la clé dans la serrure, entra et referma derrière elle. Puis poussa un cri.
Trois hommes l’attendaient, assis à sa table.
- Qui êtes-vous ? balbutia-t-elle.
- C’est pas important, répondit l’un d’eux en souriant méchamment.
- Ton mari nous envoie, expliqua un autre.
Les yeux de Valentine s’agrandirent de terreur. Affolée, elle recula jusqu’à la porte. Les trois hommes se levèrent et la rejoignirent en quelques pas.
- Top top, on part pas, fit l’un d’eux en saisissant la poignée.
Il arracha les clés de la main de Valentine et fit un tour de plus dans la serrure. Puis il jeta le trousseau sur le sol.
- Maintenant on va pouvoir s’amuser.
Ils commencèrent par détailler Valentine avec force commentaires.
- Une jeune, dis donc, on a de la chance.
- Et bien roulée, en plus.
A vingt-deux ans, Valentine portait très bien sa longue chevelure de jais, qui faisait ressortir ses pétillants yeux verts. 1 m 67 pour 49 kg, son tour de taille très mince faisait paraître encore plus énorme sa poitrine, qui mesurait un bon 85D. L’un des hommes, grand, blond et baraqué, plaça ses deux mains autour de sa taille.
- Regarde, je fais le tour de cette salope avec mes mains.
- Essaie plus haut, conseilla un autre.
Ils se mirent à ricaner. Valentine tenta de négocier.
- Je vous donnerai de l’argent, tout ce que vous voulez. Mais laissez-moi, je vous en prie.
- Tout ce qu’on veut ? C’est pas compatible avec le fait de te laisser tranquille.
Elle avait jusqu’alors refusé de comprendre, mais la phrase était on ne peut plus claire. Alors Valentine se mit à pleurer.
- Je vous en prie… S’il vous plaît, laissez-moi tranquille. Je vous jure que je ne dirai rien, je ne ferai rien, mais laissez-moi, s’il vous plaît, s’il vous plaît…
- Tais-toi, sale pute.
Ils se faisaient plus menaçants.
- On était de bonne humeur en arrivant, tu vas pas nous faire changer d’avis ?
- On peut être violents quand on veut, tu sais.
- De toute façon, c’est pour ça qu’on est payés.
- Et le fric, ton mari en a plus que toi, alors arrête d’en parler, ok ?
- Arrête de parler tout court !
- Tu fais chier, là.
- On va te la bourrer, ta gueule, si tu veux pas la fermer !
- T’auras du mal à parler avec ce qu’on va te foutre dedans, tu verras !
L’un d’eux, brun à la peau mate, arracha son pantalon et frappa Valentine pour la mettre à genoux.
- Allez, bouffe-moi ça !
Il lui enfourna violemment son engin dans la bouche. Valentine faillit s’étrangler, mais il lui maintenait la tête par les cheveux.
- Occupez-vous du reste, intima-t-il à ses complices.
Comme s’ils n’avaient attendu que cette phrase, les deux autres déshabillèrent Valentine avec rudesse, déchirant ses vêtements en en profitant pour la tripoter un peu partout.
- Elle mouille, cette salope, constata celui qui était le plus grand, brun aux yeux bleus.
- On va remédier à ça, déclara l’autre en se déshabillant à son tour.
Leurs trois bites étaient à présent sorties devant Valentine totalement nue.
- Branle-moi un peu, chiennasse, ordonna le blond en lui plaçant sa bite entre les seins.
Tout à coup, Valentine voulut pousser un cri de douleur qui ne put sortir à cause de la magistrale fellation que lui infligeait le brun. Celui aux yeux bleus, qui était le plus excité des trois, venait de la pénétrer pas en douceur et sans aucun préliminaire.
Il continua à la baiser de plus en plus violemment, ses couilles venant frapper le clitoris de Valentine à chaque coup de butoir qu’il lui infligeait. Pendant ce temps, le blond avait éjaculé sur son visage, la bite de son compère et les cheveux de Valentine.
Il la retourna et plaça son gland à l’orée de son cul.
- Quel mignon petit fion, constata-t-il. Je parie que t’es vierge de ce côté-là, pas vrai, poupée ?
Les grands yeux verts de Valentine, fixés sur le brun qui lui défonçait la bouche, disaient toute son horreur et son dégoût de la situation, ainsi que sa douleur et son humiliation, mais aucun des trois salauds n’en avait cure. Ou plutôt, ils s’en amusaient.
- Regarde-moi ça. Elle a mal, la pauvre petite pute.
Le brun lui cracha dessus.
- J’adore humilier les bourgeoises, surtout quand elles sont aussi bonnes que toi, salope.
- Et puis, faut pas exagérer. T’aimes ça, en fait, non ? Quand on voit comme tu mouilles…
Le blond cracha sur son anus et le frotta avec son doigt.
- Pourquoi tu la prépares ? demanda celui qui ramonait sa chatte. Une pute comme ça, c’est fait pour souffrir. Et ça lui plaît, regarde, elle est trempée.
- T’as raison.
Il l’enfonça d’un coup.
Valentine aurait vomi s’il elle l’avait pu. Au lieu de cela, elle fut obligée de rester immobile, plaquée contre ces trois corps de salauds qui la dégoûtaient et l’excitaient à la fois. Car le brun avait raison, elle était trempée et ne pouvait se retenir d’éprouver un certain plaisir à être ainsi humiliée, surtout par des inconnus.
Cependant, les assauts répétés dans sa chatte et son cul qu’elle se trouvait obligée de subir lui causaient une réelle douleur. Mais c’était, après tout, et elle le savait, le but recherché à la fois par les trois salauds, et également par son mari qui les avait payés.
Il l’avait pourtant prévenue. « Je veux te voir humiliée, Valentine. Je veux que tu souffres. » Elle avait refusé. Elle aurait bien dû se douter qu’il mettrait sa menace à exécution.
Elle ne pouvait cependant pas se douter qu’il suivait toute la scène en direct de son bureau, grâce à une caméra minuscule qu’il avait cachée dans l’entrée – là où il avait demandé aux trois mecs de ravager sa femme.
Ni que, ce soir, dès le retour de son connard de mari, lui et quelques collègues allaient se faire un plaisir de recommencer la fête pour son plus grand plaisir.
Je vous raconterai cela une prochaine fois…
Trois hommes l’attendaient, assis à sa table.
- Qui êtes-vous ? balbutia-t-elle.
- C’est pas important, répondit l’un d’eux en souriant méchamment.
- Ton mari nous envoie, expliqua un autre.
Les yeux de Valentine s’agrandirent de terreur. Affolée, elle recula jusqu’à la porte. Les trois hommes se levèrent et la rejoignirent en quelques pas.
- Top top, on part pas, fit l’un d’eux en saisissant la poignée.
Il arracha les clés de la main de Valentine et fit un tour de plus dans la serrure. Puis il jeta le trousseau sur le sol.
- Maintenant on va pouvoir s’amuser.
Ils commencèrent par détailler Valentine avec force commentaires.
- Une jeune, dis donc, on a de la chance.
- Et bien roulée, en plus.
A vingt-deux ans, Valentine portait très bien sa longue chevelure de jais, qui faisait ressortir ses pétillants yeux verts. 1 m 67 pour 49 kg, son tour de taille très mince faisait paraître encore plus énorme sa poitrine, qui mesurait un bon 85D. L’un des hommes, grand, blond et baraqué, plaça ses deux mains autour de sa taille.
- Regarde, je fais le tour de cette salope avec mes mains.
- Essaie plus haut, conseilla un autre.
Ils se mirent à ricaner. Valentine tenta de négocier.
- Je vous donnerai de l’argent, tout ce que vous voulez. Mais laissez-moi, je vous en prie.
- Tout ce qu’on veut ? C’est pas compatible avec le fait de te laisser tranquille.
Elle avait jusqu’alors refusé de comprendre, mais la phrase était on ne peut plus claire. Alors Valentine se mit à pleurer.
- Je vous en prie… S’il vous plaît, laissez-moi tranquille. Je vous jure que je ne dirai rien, je ne ferai rien, mais laissez-moi, s’il vous plaît, s’il vous plaît…
- Tais-toi, sale pute.
Ils se faisaient plus menaçants.
- On était de bonne humeur en arrivant, tu vas pas nous faire changer d’avis ?
- On peut être violents quand on veut, tu sais.
- De toute façon, c’est pour ça qu’on est payés.
- Et le fric, ton mari en a plus que toi, alors arrête d’en parler, ok ?
- Arrête de parler tout court !
- Tu fais chier, là.
- On va te la bourrer, ta gueule, si tu veux pas la fermer !
- T’auras du mal à parler avec ce qu’on va te foutre dedans, tu verras !
L’un d’eux, brun à la peau mate, arracha son pantalon et frappa Valentine pour la mettre à genoux.
- Allez, bouffe-moi ça !
Il lui enfourna violemment son engin dans la bouche. Valentine faillit s’étrangler, mais il lui maintenait la tête par les cheveux.
- Occupez-vous du reste, intima-t-il à ses complices.
Comme s’ils n’avaient attendu que cette phrase, les deux autres déshabillèrent Valentine avec rudesse, déchirant ses vêtements en en profitant pour la tripoter un peu partout.
- Elle mouille, cette salope, constata celui qui était le plus grand, brun aux yeux bleus.
- On va remédier à ça, déclara l’autre en se déshabillant à son tour.
Leurs trois bites étaient à présent sorties devant Valentine totalement nue.
- Branle-moi un peu, chiennasse, ordonna le blond en lui plaçant sa bite entre les seins.
Tout à coup, Valentine voulut pousser un cri de douleur qui ne put sortir à cause de la magistrale fellation que lui infligeait le brun. Celui aux yeux bleus, qui était le plus excité des trois, venait de la pénétrer pas en douceur et sans aucun préliminaire.
Il continua à la baiser de plus en plus violemment, ses couilles venant frapper le clitoris de Valentine à chaque coup de butoir qu’il lui infligeait. Pendant ce temps, le blond avait éjaculé sur son visage, la bite de son compère et les cheveux de Valentine.
Il la retourna et plaça son gland à l’orée de son cul.
- Quel mignon petit fion, constata-t-il. Je parie que t’es vierge de ce côté-là, pas vrai, poupée ?
Les grands yeux verts de Valentine, fixés sur le brun qui lui défonçait la bouche, disaient toute son horreur et son dégoût de la situation, ainsi que sa douleur et son humiliation, mais aucun des trois salauds n’en avait cure. Ou plutôt, ils s’en amusaient.
- Regarde-moi ça. Elle a mal, la pauvre petite pute.
Le brun lui cracha dessus.
- J’adore humilier les bourgeoises, surtout quand elles sont aussi bonnes que toi, salope.
- Et puis, faut pas exagérer. T’aimes ça, en fait, non ? Quand on voit comme tu mouilles…
Le blond cracha sur son anus et le frotta avec son doigt.
- Pourquoi tu la prépares ? demanda celui qui ramonait sa chatte. Une pute comme ça, c’est fait pour souffrir. Et ça lui plaît, regarde, elle est trempée.
- T’as raison.
Il l’enfonça d’un coup.
Valentine aurait vomi s’il elle l’avait pu. Au lieu de cela, elle fut obligée de rester immobile, plaquée contre ces trois corps de salauds qui la dégoûtaient et l’excitaient à la fois. Car le brun avait raison, elle était trempée et ne pouvait se retenir d’éprouver un certain plaisir à être ainsi humiliée, surtout par des inconnus.
Cependant, les assauts répétés dans sa chatte et son cul qu’elle se trouvait obligée de subir lui causaient une réelle douleur. Mais c’était, après tout, et elle le savait, le but recherché à la fois par les trois salauds, et également par son mari qui les avait payés.
Il l’avait pourtant prévenue. « Je veux te voir humiliée, Valentine. Je veux que tu souffres. » Elle avait refusé. Elle aurait bien dû se douter qu’il mettrait sa menace à exécution.
Elle ne pouvait cependant pas se douter qu’il suivait toute la scène en direct de son bureau, grâce à une caméra minuscule qu’il avait cachée dans l’entrée – là où il avait demandé aux trois mecs de ravager sa femme.
Ni que, ce soir, dès le retour de son connard de mari, lui et quelques collègues allaient se faire un plaisir de recommencer la fête pour son plus grand plaisir.
Je vous raconterai cela une prochaine fois…
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Je bande comme un fou des que j ai lut les premiers ligne
Jo
Jo