Un médecin pervers

- Par l'auteur HDS Jean-Pierre -
Auteur homme.
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Récit libertin : Un médecin pervers Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-08-2015 dans la catégorie Plus on est
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(9.0 / 10)

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Un médecin pervers
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Mon mari m'avait téléphoné pour me confirmer que son retour de mission aurait lieu que dans trois semaines.
Encore trois semaines à attendre ! Cela fera 9 semaines sans le voir. J'étais dans le doute entre assouvir mes sens et aller à ce rendez-vous sans lui, chez mon gynéco pervers, ou bien rester sagement à la maison et oublier cette aventure avec lui et un autre médecin, à son cabinet.
Je ne comprenais pas ce qui m'arrivait, j'avais du mal à me contrôler. Je m'étais caressée plusieurs fois, chose que je n'avais jamais faite auparavant. Je crois que j'avais envie encore d'être soumise et prise par ces deux hommes. Penser à eux me faisait mouiller ma culotte. J'étais honteuse mais terriblement excitée.
Je décidais à contre cœur, d'être raisonnable et d'annuler le rendez-vous. Je pris mon courage à deux mains et téléphonai au secrétariat du gynéco. Une infirmière me demanda bien sûr, la raison de mon appel.
- C'est pour annuler mon rendez-vous !

- Ne quittez pas. Je vous passe le docteur.

- Allô, Brigitte, c'est le docteur à l'appareil alors comme cela on ne veut plus venir alors que l'on a préparé une petite réception rien que pour vous.

- Mais, mais, je, que dites-vous, je vous en prie n'insistez pas, cela suffit.

- Vous savez bien que nous avons un enregistrement filmé de l'autre jour dans mon cabinet où vous êtes formidable et vos propos sont clairs sur vos intentions d'être baisée ma belle. Ce serait dommage que votre mari découvre ce petit film intime n'est-ce pas ?

- Vous êtes un salaud, c'est du chantage, vous n'avez pas le droit !

- Allez, vous en mourrez d'envie, à demain ma jolie ! Préparez votre petit cul !

Je me mis à pleurer à chaudes larmes, j'avais été triplement baisée. Mon toubib abusait de la situation. J'étais persuadée qu'en gentleman, il ne montrerait rien à mon mari et je me calmais un peu. Au fond de moi, je sentais cette envie irrésistible d'y retourner. En plus je savais ce qui m'attendait cette fois j'aurai la totale. Mon mari ne m'avait jamais sodomisée mais mon premier petit ami m'avait fait découvrir de force ce plaisir et j'avoue que j'en gardais un excellent souvenir.

J'étais torturée, je n'en pouvais plus. Ma tête marchait à l'envers. Mon corps parlait plus fort qu'elle. Je me suis mise à me préparer soigneusement pour cette orgie programmée. J'en revenais pas moi-même d'être à ce point excitée à l'idée d'être de nouveau baisée comme une salope que j'étais. Si mon mari savait cela, le pauvre.
Cette idée me troubla encore plus et je ressentis comme une exaltation à l'idée de le tromper. En entrant au cabinet gynécologique, je m'aperçus que j'étais la dernière patiente. C'était prévisible, la soirée allait être plus longue. J'en frémis de crainte et d'envie. La porte de cabinet s'ouvrit et j'aperçus le regard radieux du toubib.
- Vous êtes venue, vous avez eu raison, ma belle.
J'étais rouge de confusion mais franchement ce mec très beau, me plaisait, j'avais du mal à lui résister. Il me fit entrer dans son bureau. A peine étais-je à l'intérieur, qu'il se précipita sur ma bouche et m'embrassa fougueusement. Ses mains me pelotaient partout et se faufilaient déjà entre mes cuisses. Je me sentais fondre comme une glace. Comment j'en étais arrivée là ? Le sexe prenait le dessus sur ma raison une fois de plus. Seulement je ne savais pas ce qui m'attendait, mon gynéco me demanda de m'installer sur la table de consultation. Il m'avait à moitié déshabillée, je retirais le reste en gardant ma culotte et mon soutien-gorge.
- Mais, Brigitte, vous êtes chez le Gynéco, ma petite, à poil et vite.

Je retirais fébrilement mes sous-vêtements. Ce cochon voulait encore me posséder sur la table, mais pourquoi j'étais revenue ? Il m'aida à m'asseoir dessus.
- J'ai quelque chose à vous montrer qui va vous intéresser.
Il retira un paravent et derrière se trouvait un téléviseur.
- Je vais vous montrer le petit film que j'ai monté de depuis, notre dernier rendez-vous. Vous savez celui que je n'aimerais pas envoyer à votre mari. Il enclencha le magnétoscope.

- Docteur, non je ne veux pas me voir, je vous en supplie ce n'est pas la peine.

- Si, si j'y tiens, vous verrez pourquoi vous avez eu raison de venir et pourquoi vous allez être très conciliante ce soir ! Ce ne sera pas long, j'ai fait un montage !
Son ton légèrement sadique m'inquiétait. Je me vis à l'écran, on me reconnaissait bien. Le film commençait alors que j'étais déjà couverte par mon toubib et la première phrase de moi que l'on entendait; était : « - Oh oui j'aime ça, allez-y docteur, c'est bon encore, oui, encore ! ».

J'étais épouvantée, le film se déroulait et seules mes paroles subsistaient. L'autre docteur apparut pour prendre place entre mes jambes avec sa grosse queue et l'on m'entendait dire plusieurs fois encore : « Oh Oui, oui allez-y mettez-la-moi vite, vite ! ! ! !
Le salaud, il avait monté le film de façon à me faire passer pour une perverse sexuelle excitée de se faire prendre par ses toubibs. On me voyait proprement baisée et heureuse de l'être. Puis le film s'arrêta sur ma longue jouissance. Ce film m'avait chamboulé les sens mais je savais que maintenant ce docteur pouvait beaucoup exiger de moi et son ton du début me revint à l'oreille.
- Bon maintenant, Je veux partir, laissez-moi ! ! !

- Mais non, c'était juste pour vous rappeler de bons souvenirs, allez, on s'allonge on écarte les cuisses, et on oublie ce film.
Il avait dit cela avec tendresse et me prit de nouveau la bouche en me caressant les seins. Ses mains s'activaient de nouveau. J'avais du mal à résister, il savait y faire le salaud. Il m'allongea et attacha de nouveau mes jambes aux étriers.
- Vous êtes obligé de m'attacher, docteur ! !

- Oui cela m'excite et toi également j'en suis sûr ! Alors ! Puisque vous avez vu le petit film vous allez me rendre un petit service sinon !
J'avais peur de ses propositions.
- Voilà j'ai, avec l’autre docteur 4 jeunes stagiaires en charge cette semaine qui apprenne le métier. J'ai besoin d'une femme pour qu'il puisse opérer en réel. Ne vous inquiétez pas, ils sont des hommes mais, des spécialistes mais ils doivent parfaire leur hum ! leur doigté.

- Non docteur, faites de moi ce que vous voulez, faites-moi l'amour mais pas des étrangers, pitié.

- Comment cela, on a déjà oublié les exploits du film. Si vous ne voulez pas, c'est votre mari qui va être content !

- Docteur, non, je vous en supplie faites pas cela, pas mon mari !

- Alors on obéit à son docteur préféré, si vous voulez, je vous mets un bandeau sur les yeux, personne ne vous reconnaîtra !

- Ils vont juste m'ausculter n'est pas ? Bon ! Avec un bandeau je veux bien !

- Voilà qui est raisonnable, oui on va vous ausculter et ensuite, le docteur et moi on vous baisera le cul, comme promis !
Pendant tout ce temps, ses mains ne cessaient de caresser mon corps, mes seins, ma chatte. J'étais partagée entre mes sens et ma conscience. Cette phrase me fit tressaillir à l'idée de recevoir ces deux grosses queues, surtout celle de l’autre docteur, dans mon derrière quasiment vierge mais en même temps cela activait mon imagination.
Il me banda les yeux avec un cache comme dans les avions, je ne voyais plus rien ! Tant mieux j'appréhendais cette séance car j'avais la chatte en feu. Je n'aurais jamais pensé être chaude à ce point.
- Je vais chercher mes acolytes et le docteur et attention la moindre rebuffade, on arrête tout et la cassette arrivera à destination ! Compris !

- Oui docteur, je vous le promets, car mon mari ne doit rien savoir !

- Alors tu vas te laisser faire comme une belle petite vicieuse que tu es et tu verras comme se sera bon pour toi ! ! !
Cette dernière phrase ne me rassurait plus, mais avais- je le choix, non je me sentais piégée mais cette situation dégradante, jambes écartées devant des inconnus, sournoisement me troublait.
J'entendis s'ouvrir la porte, un peu d'air frais passa sur mon pubis. Je réalisais que j'exposais ma chatte à 6 hommes à la fois. Je sentis un frisson me parcourir l'échine.
- Voilà Messieurs, je vous présente votre patiente, elle est à vous. Vous l'ausculterez à fond et vous procéderez comme bon vous semble. Tout est autorisé. Imaginez-vous déjà docteur devant un si beau vagin. Nous vous guiderons si nécessaire !

- Madame, êtes-vous prête et êtes-vous toujours d'accord pour recevoir les assauts de ces jeunes gens. Vous pouvez, toujours refuser, mais, si vous n'êtes plus d'accord, vous connaissez la sanction.
Ce salaud m'avait bien eue, je ne pouvais rien faire pour refuser. Qu'allaient-ils me faire tous ensemble ?
- Alors vous répondez !
- Oui docteur, je suis d'accord ! Et je suis prête.

- Messieurs, elle est à vous ! !
Je sentis plusieurs présences sur mes côtés. Deux mains commencèrent à me caresser les seins. Puis deux autres mains se posaient à l'intérieur de mes cuisses et descendaient vers mon vagin. Ces contacts m'électrisèrent. Un doigt s'immisça dans mon vagin et une main écartait ma vulve. Un doigt commençait à titiller mon clitoris. L'autre s'activait dans ma chatte par de petits allers-retours rapides et rythmés pendant que mon clitoris subissait une langue. Mon ventre et mes seins étaient pelotaient par 4 mains en même temps. Avec ce traitement je ne fis pas long feu et j'eus mon premier orgasme.
- Bravo messieurs, vous l'avez proprement fait exploser en peu de temps, continuez vos recherches anatomiques, allez encore plus à fond !
A ces mots, l'équipage se répartit autour de moi et très vite je me trouvais avec une petite queue dans ma bouche. Une langue qui me pénétrait le vagin. Une deuxième queue surgit à côté de l'autre celle-ci était plus conséquente. Le jeune qui s'occupait de ma chatte savait y faire avec sa langue, c'était divin, il m'enfonça deux gros doigts dans ma chatte et me pistonna brutalement.
Je suçais avidement les deux jeunes queues bien bandées et je ne résistais pas longtemps à ce traitement et je jouis une nouvelle fois très vite. Ma chatte était en feu, je n'espérais plus que d'être pénétrée.
La délivrance arriva, je recevais simultanément deux belles bites près de ma bouche et je fus pénétrée. C'était une petite queue, je désirais plus, très vite il éjacula en moi. Le deuxième me pénétra de suite, il était plus conséquent. J'y trouvais plus de plaisir, ma bouche était envahie successivement par ces deux nouvelles bites gonflées. Mon baiseur me limait profondément, il faisait claquer ses bourses sur mes fesses. Je jouis fort quand il m'aspergea de son jus au fond de mon con.

- C'est bien Messieurs, regardez-moi cette belle pouliche comme elle jouit, elle avait peur d'être auscultée la mignonne. Allez du nerf, elle n'est pas encore rassasiée. Une femme mariée à besoin de queues Messieurs !
Ces mots me galvanisaient, j'étais bien une belle salope qui jouissait sous les coups de bites de 4 jeunes inconnus ! Pendant ce temps, ils avaient encore changé de place et je reçus un après l'autre les deux queues restantes et Ils me défonçaient surexcités par la situation. Je jouis encore à chaque flot de sperme que je reçus au fond de mon con. J'étais épuisée mais comblée et remplie de sperme. Petite bite m'avait joui de nouveau dans ma bouche. Dans sa fougue, il m'avait relevé mon bandeau et je pouvais les voir avec leurs yeux exorbités.
- Formidable, Messieurs à nous maintenant, détachez la et mettez là à califourchon sur table qu'on admire son petit cul de baiseuse ! Attachez-lui les mains aux pieds et en guise d'au revoir, je veux que vous lui léchiez l'anus chacun votre tour avant de sortir. Il faut nous la préparer ! Allez au boulot !
Je me retrouvais très vite en travers de la table, ventre à plat, fesses à l'air, mains ligotées, bouche et cul accessibles. Ils passèrent à tour de rôle derrière moi pour me lécher l'anus, avant de sortir. C'était divin, j'émettais des petits gloussements retenus. Je reconnus petite bite, avec sa langue habile, il m'enfonça son pouce dans mon petit trou.

Je sentais couler le sperme le long de mes cuisses. Il se retira et me lécha une dernière fois le cul. Il était doué celui-là. Un silence se fit mais très vite deux mains chaudes se promenèrent sur mon dos et mes fesses, mon toubib était là entre mes fesses. Une autre main retira complétement mon bandeau, mon gynéco me présentait son énorme queue à sucer. Quand je la vis, je frissonnais déjà à l'idée qu'il me pénètre avec ce monstre.
- Alors Brigitte, chose promise, chose due, tu as aimé te faire bourrer la chatte par 4 jeunes puceaux, maintenant que ta chatte est remplie de foutre, on va te remplir ton joli cul.
Il barbouilla mes fesses de sperme et se positionna son gland à l'entrée de mon anus. Je sentais la chaleur dégagée par sa queue. Il poussa d'un coup sec et je m'ouvris sans difficulté. Il laissa son gland comme cela. Je continuais à sucer une queue ma mâchoire avait des crampes.
Je reçus deux claques amicales sur les fesses. Ces bites fichées dans mon anus et ma bouche absorbaient ma pensée. Ces deux claques servirent de détonateur à mes pulsions.
- Oui, encule- moi, vas y mets ta queue à fond dans mon cul. Viens dans moi !
Mon corps tremblait de partout. La sensation provoquée par cette bite dans mon trou était nouvelle et unique. Je n'avais jamais ressenti ce type de jouissance. J'avais un peu mal également mais la jouissance était plus forte. Il se mit à me pistonner sans ménagement.
Je subissais ses assauts en jouissant sans arrêt. Un long moment s'écoula avant que celui en moi, se fiche au fond de mon cul et m'expédie sa crème onctueuse et chaude dans mes tripes. De longs jets brûlants m'inondaient les fesses.
Je n'avais pas arrêté de jouir tout le long. Un se retira pour laisser la place à son copain : - Allez-y, elle est bien ouverte maintenant, elle n'attend que votre mandrins. Elle est faite pour jouir du cul cette pouliche !
En me claquant sur les fesses cette fois, très fort : - Tu es notre belle salope notre petite pute adorée hein t'es une jolie cochonne !

- Oui je suis votre pute, à tous les deux, mais, ne me faite pas trop mal !
Je perdais tout contrôle, ils me rendaient folle, au fond de moi, je savais que je désirais être défoncée par ce pieu énorme, je l'attendais depuis le début. J'étais devenue une vraie salope prête à se faire enculer par des grosses bites.
Mon gynéco, plaça son gros gland à l'entrée de mon cul dilaté. Il devait forcer le passage vu sa grosseur, mon dieu j'allais déguster. Mon corps était tout en sueur et tremblait convulsivement. Il s'enfonça, cm par cm, j'aurais aimé voir ce mandrin me pénétrer. Je me remis à jouir par saccade. Il arrivait là où personne ne m'avait encore introduit. Une douleur lancinante et chaude m'envahit. Il se ficha enfin au fond de mes fesses largement écartelées par cet énorme bite. Un orgasme fulgurant se produit lorsqu'il bougea en moi, j'étais ivre de jouissance.
- Tu as dû frôler son point G, regarde dans quel état elle est. Allez ! finis la, elle n'en peut plus !

- Oui c'est vraiment une baiseuse du cul cette Brigitte, elle vient de le découvrir-elle aussi, je vais lui envoyer mon sperme tout au fond de son trou, elle va hurler, je te le dis !
Il parlait pour la première fois et sa voix suave me fit fondre, sa queue fichée en moi continuait à s'activer. Il faisait coulisser toute sa hampe de chair, du début de mon trou jusqu'au fond. Ce traitement était diaboliquement bon. Je la sentais me parcourir tout mon boyau.
Effectivement, je me mis à hurler très vite, un, me mit la main devant ma bouche pour atténuer le son, j'en profitais pour planter mes dents sur elle. Il me ramona très rapidement, je sentais ses couilles encore pleines de sperme me frapper la chatte. J'étais surexcité et j'hurlais de nouveau ma jouissance.
- Ah ! Oui, c'est trop bon, oui vas-y encule-moi à fond. Oui ! donne-moi tout ton sperme, j'en veux plein le cul vas-y oui défonce-moi !
Il s'arque bouta dans mon cul et je reçus un flot énorme de foutre brûlant qui me dévastait mes entrailles et j'hurlais comme une damnée folle de jouissance. J'étais transpercée, écartelée, bourrée de sperme. Il se retira progressivement entraînant encore des soubresauts de mon corps. J'étais anéantie, ils me portèrent tous les deux sur le divan. J'étais comme droguée de sexe et de jouissance. Mon gynéco vint me parler :- Tu es une vraie jouisseuse du cul, ma chérie, maintenant tu es notre petite pute et on en profitera à fond tous les trois. Tu es à nous et on se reverra pour jouir ensemble, tu verras comme tu vas vivre de belles baises avec nous ! Allez repose-toi.
Ils partirent et me laissèrent là dans les vaps. Je crois que j'avais ces deux mecs dans la peau, ils m'avaient révélé ma vraie personnalité de salope. J'aimais mon mari mais pour la baise ces deux-là pouvait faire de moi ce qu'ils voulaient. Je le sentais bien au fond de mon ventre en feu.
Quelques jours passèrent, je me remémorais mon aventure sans honte et avec une certaine forme de fierté. J'avais aimé être comblée par ces jeunes queues viriles et écartelées par deux médecins. Je sentais bien que d'ici que mon mari revienne, je risquais de découvrir de nouveau le plaisir d'être baisée par eux.
Un soir je reçus la visite d'un homme mûr d'environ 50 ans, il me remit un paquet en me précisant qu'il ne fallait le consulter qu'en étant seule. Je reconnus l'enveloppe du cabinet médical. L'homme me fit ses adieux et me dit à bientôt j’espère ! Surprenant ? Je trouvais une cassette vidéo à l'intérieur avec ce mot.
- « Après le visionnage de cette cassette tu ne pourras plus rien nous refuser, à moins d'accepter le divorce avec ton tendre mari. Mais nous sommes sûrs que tu souhaites nous suivre dans nos consultations spéciales. A Bientôt notre petite salope adorée ».
J'allais au magnétoscope pour visionner le film, je revis la première partie et la seconde était tellement bien montée qu'il n'y aurait plus aucun doute pour personne que j'étais une véritable excitée du cul qui en redemandait sans arrêt. Les salauds, ils avaient bien mené leur affaire, je ne devais pas être la seule à me faire piéger, mais moi je savais que j'en désirais encore. Ce film était la preuve accablante de ma débauche forcenée, les salauds. A la fin du film, j'avais ma main dans ma culotte, je me branlais et j'étais toute trempée. J'avais envie de queues une vraie pute, Quoi.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Bonne histoire,je pense souvent à un plan comme ça pour ma femme,ou chez le kiné,ou se faire arreter par des douaniers pour une foiulle complète....

Histoire Libertine
Moi aussi je suis une belle pouliche et j'ai un besoin urgent d'être palpée et doigtée par une équipe médicale masculine compétente

Histoire Erotique
tres bien ecrit, ca donne plein d'envies, j'aimerais etre là ..vite la suite ..il lui en faut à cette belle salope

Histoire Libertine
Quelle histoire excitante !!! Tout ce que j'aimerai vivre.... Toutes mes félicitations Jean-pierre



Texte coquin : Un médecin pervers
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