Un merveilleux souvenir.
Récit érotique écrit par Carole M [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-06-2015 dans la catégorie Plus on est
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Couleur du fond :
Un merveilleux souvenir.
J'ai rencontré Paul lors d'une formation professionnelle, à Paris. Une session sur le management qui m'a été plus profitable que prévu. Enfin pas pour le boulot, mais pour une autre facette essentielle dans ma vie : le sexe. Je n'étais pourtant pas dans une période de forte gourmandise qui me caractérise parfois. Mon tailleur professionnel était strict là où d'autres participantes avaient optées pour une tenue plus décontractée. Paul aurait rapidement pu me classer dans la case bourgeoise coincée, mais il ne l'a pas fait et s'est au contraire arrangé pour que nous soyons dans le même atelier. Les pauses autour de la cafetière ont fait le reste. Elles ont été l'occasion de tisser un premier lien avant qu'il ose m'inviter à diner, le soir de la troisième journée. Visiblement une tentative sans trop y croire vu sa surprise devant mon acceptation, alors que de mon côté l'idée de ne pas finir une autre nuit seule à l'hôtel avait déjà fait son chemin.
Le diner se passe sans trop me draguer, et ses yeux parlent plus clairement que sa bouche malgré de nombreux indices de ma part sur mes dispositions. Puis en fin de repas il saisit l'énorme perche que je finis par lui tendre en demandant souriante s'il fallait toujours qu'un dîner avec un homme se termine dans son lit. Sa drague perfectible n´en était pas encore là, mais la seconde suivante il a risqué une main sur ma cuisse pour me répondre qu'il était normal de déclencher de telles envies avec de telles atouts. Mon absence de réaction a fait le reste. Il a forcé la chance plus haut, avant de changer immédiatement de comportement.
Depuis nous nous revoyons régulièrement. Ce qui m'a permis de découvrir son goût pour la domination, le caudalisme, et d'assouvir le mien pour la soumission. Contrairement à ce qu'on pourrait croire trouver un bon amant dominant n'est pas simple. Paul fait partie de ces perles et je suis heureuse de combler son faible pour les dociles qui n'ont pas froid aux yeux, de lui confirmer que sa femme idéale était une vraie salope, avec un grand S.
En quelques mois il est devenu mon maître en plus d'être mon amant. Nous ponctuons de temps à autres nos ébats de séances très intenses. Souvent seuls, parfois à trois, selon nos envies partagées. J'aime le rôle de la soumise offerte et je lui ai avoué en toute confiance les scénarios qui m'aident à jouir dans mon bain, sous mes caresses. Les décors changent, mais le fond a une constante : je suis livrée en pâture à plusieurs hommes, pour être leur jouet sexuel. Rien qui ne lui déplaise. Il aime pouvoir utiliser à ma guise mon corps, l'offrir. Pendant nos ébats il me susurre parfois à l'oreille la manière dont il m'imagine livrée aux clients d'un club libertin, ce qui me galvanise. Il nous manquait juste l'occasion de retourner à Paris, pour trouver un lieu adapté. C'est chose faite. Paul a pris plusieurs jours pour le choisir avec attention parmi les endroits les plus réputés de la capitale. Il m'a présenté les différentes possibilités et il y a de tout, des ambiances plus adaptées aux débutantes avec un masque obligatoire pour garantir l'anonymat, aux ambiances beaucoup plus chaudes pour les gourmandes confirmées. Sans trop de surprise Paul m'a finalement annoncé avoir retenu le plus réputé de cette dernière catégorie. Il m'a envoyé par mail toutes les informations glanées, avec le lien du site, des photos et des témoignages qui m'annoncent la couleur : la forte pluralité y est ouvertement à l'honneur et le profil des clientes est clairement décris avec des mots crus pour éviter toute erreur de casting. Je suis à la fois excitée d'être si proche de mon fantasme, et un peu paniquée. Je ne suis encore jamais allé aussi loin, ce sera la première fois que je me livre réellement entièrement.
Ma tenue est sobre, tout du moins en surface, mais lorsque nous arrivons au club, sans qu'il ce soit encore passé quoi que ce soit j'ai déjà le sentiment d'être la dernière des chiennes. Le videur nous laisse passer et m'honneur d'un grand sourire, puis après le vestiaire nous découvrons qu'il n'y a pas grand monde. Il est vrai que nous sommes en milieu de semaine, et qu'avoir l'espace presque rien que pour nous me ravit. La pièce centrale n'accueille actuellement que deux couples et une petite dizaine d'hommes seuls essentiellement concentrés au comptoir du bar. Un premier couple est sagement installé à une table discrète et la femme est simplement habillée sexy. En revanche la deuxième cliente affiche sans ambiguïté possible qu'elle n'est pas venue pour enfiler des perles, avec son collier de soumise, ses talons hauts, sa micro jupe qui ne cache plus rien, un haut symbolique. Celle-là ne restera pas longtemps installée au bar. Elle devait concentrer tous les regards avant notre arrivée, mais malgré une tenue loin d'être aussi provocante, pour l'instant je suis la nouvelle friandise de ces messieurs. Ils me dévorent des yeux, me déshabillent littéralement. Chacun semble essayer de déterminer ses chances de pouvoir me baiser. Quant à moi, si je suis encore en tailleur, intérieurement je suis bien plus raccord avec la tenue provocante de la deuxième cliente.
Contrairement aux deux autres couples, la phase d'observation en chien de faïence ne ressemble pas à Paul. Il nous emmène au milieu du bar, m'embrasse, me pelote copieusement le cul avant d'entrer dans le vif du sujet.
"Messieurs bonjour, je vous présente Chloé, qui vient assouvir son fantasme : être livrée à plusieurs hommes pour être baisée sans retenue. En l'occurrence par vous puisque le hasard nous a réuni ici.
Notre dame d'affaire vient de finir sa journée et ne vous fiez donc pas à son tailleur strict. Si elle peut actuellement passer pour une bourgeoise rangée, d'autres qualificatifs qui seront adaptés ce soir lui conviennent davantage. Nous allons donc vite mettre de côté la cadre manager pour sortir la gourmande avide de sensations fortes. Chloé connaît la réputation de ce club et nous sommes là pour lui offrir son grand frisson sans les risques d'un endroit moins encadré. Le temps d'une soirée elle est donc là pour vous servir et elle sait que la plupart d'entre vous se feront une joie d'en abuser. Maintenant si elle m'a demandé d'organiser cette sortie c'est qu'il y a entre nous la confiance et la complicité nécessaire. Les règles pour ce soir sont donc très simples. Pour vous messieurs, vous avez deux choses à bien surveiller. La première est le plaisir de Madame. La nature de son fantasme ne doit pas vous faire oublier qu'elle est ici pour son plaisir et vous devriez d'ailleurs très vite vous en rendre compte. La seconde, c'est moi. Je reste quoi qu'il arrive le chef d'orchestre. Si je vous fais signe de ralentir merci d'en tenir compte. Si je vous fais comprendre que vous pouvez y aller franchement, n'hésitez pas à vous lâcher selon vos désirs. Si je vous arrête, c'est terminé. Est-ce qu'il y a des questions ?
- On peut lui demander tout ce qu'on veut ?
- selon certains critères, mais ce soir sauf ajustement de ma part vous pouvez considérer qu'elle est votre jouet sexuel.
- Et il est possible d'en voir tout de suite un peu plus ?
- Vous avez raison, l'essentiel étant dit pourquoi attendre davantage. Chloé, je crois que notre assemblée de connaisseurs vient de faire sa première demande. A moins que le patron préfère que le début des hostilités se passe immédiatement au sous sol ?
- Du tout. Chez nous une fois la porte passée il n'y a aucun endroit interdit au plaisir. Madame peut s'offrir une tournante directement ici si ça vous tente.
- Parfait ! En d'autres circonstance j'aurais pû solliciter ton avis ma chérie, mais ce ne serait pas dans le thème de notre soirée. Il est donc temps de confirmer à ses messieurs que tu es bien celle qu'ils attendaient. Allez ma belle, commence déjà par bien relever sur tes hanches ta jupe trop sage. Montre nous ton joli petit cul, les jambes bien écartées, le buste penché en avant avec les mains à plat sur le comptoir.
Je m'exécute sans broncher, sans sourciller, sous le regard de Paul qui est de toute évidence surpris par ma décontraction. Ce n'est pas la première fois que mon aisance une fois lancée le surprend. Il m'a déjà fait part de cette particularité qu'il trouve parfois déroutante chez moi. Si je n'y suis pas préparée une demande bien moins indécente peu vite me déstabiliser quelques instants, ce qu'il adore. Mais sans l'effet de surprise il peut me mettre dans les situations les plus folles, je m'y plie aussi simplement que s'il me demande de lui passer les cacahuètes. Autour de moi les hommes se rapprochent et je prends la pose, regarde Paul avec un grand sourire.
- Elle serait allée bosser à poil sous son tailleur, avec un porte-jarretelles et un plug ?
- Le rosebud a été enfilé à ma demande dans les toilettes de sa société, avant que je passe la chercher. Pour le reste il en est jamais autrement, tous les jours de l'année où madame est disponible. Comme vous venez d'en avoir un aperçu à sa manière de répondre à ma demande, c'est une salope assumée. L'homme qui a le plaisir de passer la première barrière a ainsi un indice qui lui permet d'agir en conséquence.
- On pourra enlever le plug ?
- Ce joli bijou n'est là que pour préparer et montrer la voie. Non seulement vous pouvez le retirer, mais vous pouvez l'exposer sur le comptoir pour que chacun puisse en apprécier le diamètre. Qu'il n'y ait aucun client qui hésite à venir lui remplir le cul parce qu'il se croit trop bien monté. Pour être plus clair Chloé n'a pas fait le déplacement jusqu´ici simplement pour une petite baise à plusieurs, mais pour se rapprocher de son fantasme où elle est jetée en pâture à des hommes qui ne se refuseront rien. Mon désir est qu'elle sorte d'ici avec le cul au moins aussi dilaté et béant qu'en ce moment même, dégoulinante du sperme qu'elle n'aura eu l'opportunité d'avaler.
Le plug posé sur le bar les remarques fusent. Certains clients viennent même le toucher pendant que d'autres préfèrent balader leurs mains entre mes fesses offertes. L'étau se ressert et je ne bouge pas. Mon chemisier est rapidement ouvert, les mains s'affolent de toutes parts.
- Elle mouille à fond la salope... on y glisse les doigts comme dans du beurre.
La tête légèrement tournée vers l'arrière, je vois un premier client déjà déshabillé qui enfile un préservatif, d'autres qui ouvrent leur chemise. Les doigts dans ma chatte se dédoublent, disparaissent, avant d´être remplacés par une queue qui me prend sans sommation. La saillie commence avant que la sexy barman dépose nos coupes sur le comptoir. Elle s'installe devant moi, me regarde avec un grand sourire, avant d'annoncer à haute voix ce que chacun pense tout bas.
- Ce soir messieurs c'est vidage de couille à volonté et il va falloir ne pas décevoir madame sans oublier notre habituée derrière vous. Et toi ma belle à ta place je me mettrais rapidement à poils avant que le tailleur soit taché. Quelque chose me dit que tu n'en n'auras plus besoin de la soirée...
- La barman a raison Chloé. A ce stade ton porte-jarretelles et tes talons hauts sont des apparats suffisants pour le reste de ton séjour dans le club. Vire le reste.
Telle une automate j'obéis, me baisse pour retirer ma jupe. Gênée par mes chaussures, je me penche en avant pour libérer le tissu accroché à mon talon. Un geste anodin, mais aussitôt exploité par un client qui attrape ma tête pour la maintenir baisser avant de présenter sa queue devant ma bouche. Une colonne de chair que j'avale sans me faire prier.
- vas-y jusqu'au couille, n'est pas peur de bien montrer tous tes talents.
Je ne sais pas exactement combien ils sont maintenant autour de moi, mais ils sont nombreux à m'entourer, me solliciter. Autour je vois juste deux hommes qui se contentent de regarder le spectacle toujours au bar, le reste de la salle semble sans vie.
- mon amie peut-elle se joindre à la votre ?
- Pourquoi pas, mais en deuxième partie de soirée si ça ne vous dérange pas, Le fantasme que nous sommes venu réaliser se vit plutôt avec madame en solo, mais ensuite nous pouvons décliner sous d'autres formes si vous le souhaitez.
- volontiers. Puis-je dans ce cas vous emprunter deux clients pour patienter ? Le temps que le club laisse entrer suffisamment d'hommes pour nos besoins respectifs, - Ces messieurs sont libres de leur choix. Ils vont où le plaisir les guides.
- Merci. pour commencer deux volontaires suffiront. Rejoignez-nous au sous-sol lorsque vous le désirez. En attendant je vais préparer mon amie, la mettre en condition pour qu'elle accompagne dignement la votre en temps que chienne du club, à la totale disposition des clients.
L'ambiance un peu atone à notre arrivée se transforme du tout au tout en quelques minutes. Le couple incendiaire réveillé tout s'enchaîne. L'hôtesse fait sonner la cloche, s'excite gaiement derrière son bar.
- Ce soir au menu gorge profonde, ramonage de cul, et vidage de couille à volonté.
Puis elle se rapproche de moi.
- la cloche ma belle c'était pour l'entrée. Jusqu'à nouvelle ordre elle vient de faire sauter la limite des hommes seuls acceptés. D'après toi tu vas être capable d'en essorer combien ce soir ?
A suivre..
Carole MMesdames, messieurs, si suite particulière vous plairait je suis tout ouie pour vous faire plaisir...
Le diner se passe sans trop me draguer, et ses yeux parlent plus clairement que sa bouche malgré de nombreux indices de ma part sur mes dispositions. Puis en fin de repas il saisit l'énorme perche que je finis par lui tendre en demandant souriante s'il fallait toujours qu'un dîner avec un homme se termine dans son lit. Sa drague perfectible n´en était pas encore là, mais la seconde suivante il a risqué une main sur ma cuisse pour me répondre qu'il était normal de déclencher de telles envies avec de telles atouts. Mon absence de réaction a fait le reste. Il a forcé la chance plus haut, avant de changer immédiatement de comportement.
Depuis nous nous revoyons régulièrement. Ce qui m'a permis de découvrir son goût pour la domination, le caudalisme, et d'assouvir le mien pour la soumission. Contrairement à ce qu'on pourrait croire trouver un bon amant dominant n'est pas simple. Paul fait partie de ces perles et je suis heureuse de combler son faible pour les dociles qui n'ont pas froid aux yeux, de lui confirmer que sa femme idéale était une vraie salope, avec un grand S.
En quelques mois il est devenu mon maître en plus d'être mon amant. Nous ponctuons de temps à autres nos ébats de séances très intenses. Souvent seuls, parfois à trois, selon nos envies partagées. J'aime le rôle de la soumise offerte et je lui ai avoué en toute confiance les scénarios qui m'aident à jouir dans mon bain, sous mes caresses. Les décors changent, mais le fond a une constante : je suis livrée en pâture à plusieurs hommes, pour être leur jouet sexuel. Rien qui ne lui déplaise. Il aime pouvoir utiliser à ma guise mon corps, l'offrir. Pendant nos ébats il me susurre parfois à l'oreille la manière dont il m'imagine livrée aux clients d'un club libertin, ce qui me galvanise. Il nous manquait juste l'occasion de retourner à Paris, pour trouver un lieu adapté. C'est chose faite. Paul a pris plusieurs jours pour le choisir avec attention parmi les endroits les plus réputés de la capitale. Il m'a présenté les différentes possibilités et il y a de tout, des ambiances plus adaptées aux débutantes avec un masque obligatoire pour garantir l'anonymat, aux ambiances beaucoup plus chaudes pour les gourmandes confirmées. Sans trop de surprise Paul m'a finalement annoncé avoir retenu le plus réputé de cette dernière catégorie. Il m'a envoyé par mail toutes les informations glanées, avec le lien du site, des photos et des témoignages qui m'annoncent la couleur : la forte pluralité y est ouvertement à l'honneur et le profil des clientes est clairement décris avec des mots crus pour éviter toute erreur de casting. Je suis à la fois excitée d'être si proche de mon fantasme, et un peu paniquée. Je ne suis encore jamais allé aussi loin, ce sera la première fois que je me livre réellement entièrement.
Ma tenue est sobre, tout du moins en surface, mais lorsque nous arrivons au club, sans qu'il ce soit encore passé quoi que ce soit j'ai déjà le sentiment d'être la dernière des chiennes. Le videur nous laisse passer et m'honneur d'un grand sourire, puis après le vestiaire nous découvrons qu'il n'y a pas grand monde. Il est vrai que nous sommes en milieu de semaine, et qu'avoir l'espace presque rien que pour nous me ravit. La pièce centrale n'accueille actuellement que deux couples et une petite dizaine d'hommes seuls essentiellement concentrés au comptoir du bar. Un premier couple est sagement installé à une table discrète et la femme est simplement habillée sexy. En revanche la deuxième cliente affiche sans ambiguïté possible qu'elle n'est pas venue pour enfiler des perles, avec son collier de soumise, ses talons hauts, sa micro jupe qui ne cache plus rien, un haut symbolique. Celle-là ne restera pas longtemps installée au bar. Elle devait concentrer tous les regards avant notre arrivée, mais malgré une tenue loin d'être aussi provocante, pour l'instant je suis la nouvelle friandise de ces messieurs. Ils me dévorent des yeux, me déshabillent littéralement. Chacun semble essayer de déterminer ses chances de pouvoir me baiser. Quant à moi, si je suis encore en tailleur, intérieurement je suis bien plus raccord avec la tenue provocante de la deuxième cliente.
Contrairement aux deux autres couples, la phase d'observation en chien de faïence ne ressemble pas à Paul. Il nous emmène au milieu du bar, m'embrasse, me pelote copieusement le cul avant d'entrer dans le vif du sujet.
"Messieurs bonjour, je vous présente Chloé, qui vient assouvir son fantasme : être livrée à plusieurs hommes pour être baisée sans retenue. En l'occurrence par vous puisque le hasard nous a réuni ici.
Notre dame d'affaire vient de finir sa journée et ne vous fiez donc pas à son tailleur strict. Si elle peut actuellement passer pour une bourgeoise rangée, d'autres qualificatifs qui seront adaptés ce soir lui conviennent davantage. Nous allons donc vite mettre de côté la cadre manager pour sortir la gourmande avide de sensations fortes. Chloé connaît la réputation de ce club et nous sommes là pour lui offrir son grand frisson sans les risques d'un endroit moins encadré. Le temps d'une soirée elle est donc là pour vous servir et elle sait que la plupart d'entre vous se feront une joie d'en abuser. Maintenant si elle m'a demandé d'organiser cette sortie c'est qu'il y a entre nous la confiance et la complicité nécessaire. Les règles pour ce soir sont donc très simples. Pour vous messieurs, vous avez deux choses à bien surveiller. La première est le plaisir de Madame. La nature de son fantasme ne doit pas vous faire oublier qu'elle est ici pour son plaisir et vous devriez d'ailleurs très vite vous en rendre compte. La seconde, c'est moi. Je reste quoi qu'il arrive le chef d'orchestre. Si je vous fais signe de ralentir merci d'en tenir compte. Si je vous fais comprendre que vous pouvez y aller franchement, n'hésitez pas à vous lâcher selon vos désirs. Si je vous arrête, c'est terminé. Est-ce qu'il y a des questions ?
- On peut lui demander tout ce qu'on veut ?
- selon certains critères, mais ce soir sauf ajustement de ma part vous pouvez considérer qu'elle est votre jouet sexuel.
- Et il est possible d'en voir tout de suite un peu plus ?
- Vous avez raison, l'essentiel étant dit pourquoi attendre davantage. Chloé, je crois que notre assemblée de connaisseurs vient de faire sa première demande. A moins que le patron préfère que le début des hostilités se passe immédiatement au sous sol ?
- Du tout. Chez nous une fois la porte passée il n'y a aucun endroit interdit au plaisir. Madame peut s'offrir une tournante directement ici si ça vous tente.
- Parfait ! En d'autres circonstance j'aurais pû solliciter ton avis ma chérie, mais ce ne serait pas dans le thème de notre soirée. Il est donc temps de confirmer à ses messieurs que tu es bien celle qu'ils attendaient. Allez ma belle, commence déjà par bien relever sur tes hanches ta jupe trop sage. Montre nous ton joli petit cul, les jambes bien écartées, le buste penché en avant avec les mains à plat sur le comptoir.
Je m'exécute sans broncher, sans sourciller, sous le regard de Paul qui est de toute évidence surpris par ma décontraction. Ce n'est pas la première fois que mon aisance une fois lancée le surprend. Il m'a déjà fait part de cette particularité qu'il trouve parfois déroutante chez moi. Si je n'y suis pas préparée une demande bien moins indécente peu vite me déstabiliser quelques instants, ce qu'il adore. Mais sans l'effet de surprise il peut me mettre dans les situations les plus folles, je m'y plie aussi simplement que s'il me demande de lui passer les cacahuètes. Autour de moi les hommes se rapprochent et je prends la pose, regarde Paul avec un grand sourire.
- Elle serait allée bosser à poil sous son tailleur, avec un porte-jarretelles et un plug ?
- Le rosebud a été enfilé à ma demande dans les toilettes de sa société, avant que je passe la chercher. Pour le reste il en est jamais autrement, tous les jours de l'année où madame est disponible. Comme vous venez d'en avoir un aperçu à sa manière de répondre à ma demande, c'est une salope assumée. L'homme qui a le plaisir de passer la première barrière a ainsi un indice qui lui permet d'agir en conséquence.
- On pourra enlever le plug ?
- Ce joli bijou n'est là que pour préparer et montrer la voie. Non seulement vous pouvez le retirer, mais vous pouvez l'exposer sur le comptoir pour que chacun puisse en apprécier le diamètre. Qu'il n'y ait aucun client qui hésite à venir lui remplir le cul parce qu'il se croit trop bien monté. Pour être plus clair Chloé n'a pas fait le déplacement jusqu´ici simplement pour une petite baise à plusieurs, mais pour se rapprocher de son fantasme où elle est jetée en pâture à des hommes qui ne se refuseront rien. Mon désir est qu'elle sorte d'ici avec le cul au moins aussi dilaté et béant qu'en ce moment même, dégoulinante du sperme qu'elle n'aura eu l'opportunité d'avaler.
Le plug posé sur le bar les remarques fusent. Certains clients viennent même le toucher pendant que d'autres préfèrent balader leurs mains entre mes fesses offertes. L'étau se ressert et je ne bouge pas. Mon chemisier est rapidement ouvert, les mains s'affolent de toutes parts.
- Elle mouille à fond la salope... on y glisse les doigts comme dans du beurre.
La tête légèrement tournée vers l'arrière, je vois un premier client déjà déshabillé qui enfile un préservatif, d'autres qui ouvrent leur chemise. Les doigts dans ma chatte se dédoublent, disparaissent, avant d´être remplacés par une queue qui me prend sans sommation. La saillie commence avant que la sexy barman dépose nos coupes sur le comptoir. Elle s'installe devant moi, me regarde avec un grand sourire, avant d'annoncer à haute voix ce que chacun pense tout bas.
- Ce soir messieurs c'est vidage de couille à volonté et il va falloir ne pas décevoir madame sans oublier notre habituée derrière vous. Et toi ma belle à ta place je me mettrais rapidement à poils avant que le tailleur soit taché. Quelque chose me dit que tu n'en n'auras plus besoin de la soirée...
- La barman a raison Chloé. A ce stade ton porte-jarretelles et tes talons hauts sont des apparats suffisants pour le reste de ton séjour dans le club. Vire le reste.
Telle une automate j'obéis, me baisse pour retirer ma jupe. Gênée par mes chaussures, je me penche en avant pour libérer le tissu accroché à mon talon. Un geste anodin, mais aussitôt exploité par un client qui attrape ma tête pour la maintenir baisser avant de présenter sa queue devant ma bouche. Une colonne de chair que j'avale sans me faire prier.
- vas-y jusqu'au couille, n'est pas peur de bien montrer tous tes talents.
Je ne sais pas exactement combien ils sont maintenant autour de moi, mais ils sont nombreux à m'entourer, me solliciter. Autour je vois juste deux hommes qui se contentent de regarder le spectacle toujours au bar, le reste de la salle semble sans vie.
- mon amie peut-elle se joindre à la votre ?
- Pourquoi pas, mais en deuxième partie de soirée si ça ne vous dérange pas, Le fantasme que nous sommes venu réaliser se vit plutôt avec madame en solo, mais ensuite nous pouvons décliner sous d'autres formes si vous le souhaitez.
- volontiers. Puis-je dans ce cas vous emprunter deux clients pour patienter ? Le temps que le club laisse entrer suffisamment d'hommes pour nos besoins respectifs, - Ces messieurs sont libres de leur choix. Ils vont où le plaisir les guides.
- Merci. pour commencer deux volontaires suffiront. Rejoignez-nous au sous-sol lorsque vous le désirez. En attendant je vais préparer mon amie, la mettre en condition pour qu'elle accompagne dignement la votre en temps que chienne du club, à la totale disposition des clients.
L'ambiance un peu atone à notre arrivée se transforme du tout au tout en quelques minutes. Le couple incendiaire réveillé tout s'enchaîne. L'hôtesse fait sonner la cloche, s'excite gaiement derrière son bar.
- Ce soir au menu gorge profonde, ramonage de cul, et vidage de couille à volonté.
Puis elle se rapproche de moi.
- la cloche ma belle c'était pour l'entrée. Jusqu'à nouvelle ordre elle vient de faire sauter la limite des hommes seuls acceptés. D'après toi tu vas être capable d'en essorer combien ce soir ?
A suivre..
Carole MMesdames, messieurs, si suite particulière vous plairait je suis tout ouie pour vous faire plaisir...
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