Un nouveau chef de service.
Récit érotique écrit par Julie16 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-05-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un nouveau chef de service.
Un nouveau chef de service
Cette histoire a eu lieu à la fin du mois d’août dernier.
J'ai 36 ans, je suis mariée depuis 8 ans et je n'ai jamais eu d'aventure
extraconjugale même si, avant mon mariage j'avais bien profité de la vie. Je
travaille dans une boite d'informatique qui a fusionné cet été avec une société
concurrente et plus importante, de sorte que mon nouveau chef de service, issus des
rang de notre concurrent est arrivé à la rentrée apportant avec lui plusieurs boites
d'archives.
Il est grand, physiquement bien foutu, vraisemblablement très sportif, et je l'aurais
classé dans la catégorie "plutôt attirant, donc à tester" avant mon mariage.
Les boites d'archives avaient été stockées par terre dans son bureau et il était parti
en congé quelques jours juste après son arrivée. A son retour, j'étais seule au
bureau, rentrant moi-même de vacances et mes autres collègues en congé.
Au milieu de la semaine suivant son retour, il m'a appelé dans son bureau en début
d'après-midi car il souhaitait que je trie et classe dans les armoires le contenu des
différents dossiers qu'il avait apporté avec lui.
J'étais vêtue, ce jour là, d'une robe assez légère car il faisait chaud, boutonnée sur
le devant et légèrement décolletée qui m'arrivait un peu au dessus du genou. Je
portais, je m'en souviens bien, un ensemble tanga/soutien gorge à balconnets en
dentelle blanche. Je porte habituellement plutôt des slips (surtout sous des jupes)
mais je voulais faire une surprise à mon mari le soir (ses mains baladeuses me rendent
folles).
Je me suis donc rendue dans le bureau de Patrick (on s'appelle par nos prénoms puisque
Patrick le souhaite et qu'il est le chef) avec une feuille pour prendre quelques notes
sur ces fameuses archives.
Après quelques explications de Patrick, je me suis rapidement rendue compte qu'il
serait plus simple d'écrire directement sur les cartons la destination qu'il convenait
de leur donner.
Je me suis accroupie pour essayer d'écrire sur le couvercle des cartons mais entre le
ruban adhésif qui les fermait et les logos qui y figuraient, y écrire était quasiment
impossible, de sorte que le seul endroit accessible restait les cotés des cartons.
De la position accroupie dans laquelle j'étais, tournant le dos à Patrick, je suis
passée à quatre pattes relevant de fait les fesses pour écrire sur le flanc des
cartons. Initialement, je l'avais fait sans y penser mais au changement de position,
ma culotte s'était rappelée à mon bon souvenir en se tendant et en pénétrant entre mes
fesses et entre mes grandes lèvres. J'avais alors immédiatement pris conscience de la
position que j'offrais aux yeux de mon chef: j'étais en position de levrette et ma
robe légère un peu tendue devait mouler mon postérieur; avec un peu de chance, il
devait même pouvoir suivre du regard le contour de mon tanga, voire en deviner les
limites en dentelle car la robe était vraiment légère.
J’ai pris le parti de ne pas changer de position pour ne pas me faire remarquer mais
le coup d’œil jeté en biais en passant du premier carton à son voisin m’a
immédiatement fait comprendre que Patrick avait penouveau chef de servicercuté.
J’étais gênée et je me demandais ce qui allait se passer. Patrick a commencé par
s’accroupir à coté de moi faisant sembler d’inventorier le contenu du 4ème carton mais
son regard tentait de plonger dans mon décolleté qui baillait largement vu ma
position. Je n'ai pas une poitrine très volumineuse (85b) mais je m’en voulais d’avoir
mis cette tenue ce matin et en même temps je commençais à ressentir au fond de moi,
cette chaleur que je connaissais bien, celle qui envahit lorsque l'on va succomber
pour la première fois à un nouvel amoureux, au moment où l'on sait qu'il va commencer
à nous caresser avant d'entamer l'effeuillage final. Mes seins ont donc réagi au quart
de tour et j'ai senti, malgré moi, mes tétons durcir (je savais que Patrick allait
forcément le voir car mes bouts de seins sont particulièrement gros et longs, ce qui a
souvent fait le bonheur de mes amants mais qui manque de discrétion) et l'humidité
envahir mon bas ventre (j'ai tendance à mouiller abondamment mais là, à cet instant,
je crois que j'ai battue tous mes records). J'ai essayé de me relever, j'ai vu mes
bouts de sein pointer à travers le tissu de ma robe, je me suis repenchée en avant et
à ce moment, j'ai senti la main de Patrick sur mes fesses et j'ai cessé de bouger. Sa
main était douce et ferme et elle passait tour à tour d'une fesse sur l'autre les
caressant à travers le tissu de ma robe. Je ne bougeais pas, et Patrick s'est alors
enhardi, passant la main sous ma robe et continuant à me caresser tout en commençant à
jouer avec les bords de mon tanga passant de temps en temps un doigt sous les bords de
ma culotte mais en restant au niveau de mes fesses. Devant mon absence de réaction, il
a continué son exploration et son doigt s'est aventuré vers mon intimité, commençant
par creuser le sillon de mes grandes lèvres à travers le fond de ma culotte. Je
mouillais comme une gamine et le fond de ma culotte était trempé ce qui n'a pas pu
échapper à Patrick qui manquait cependant de place pour poursuivre plus avant son
exploration. Sa main a forcé un peu sur la face interne de mes cuisses et au lieu de
resserrer mes cuisses ce qui aurait certainement mis fin à l’exploration et à la
situation, j'ai cédé à sa pression et j'ai légèrement entrouvert mes cuisses. Ses
doigts sont revenus à l'assaut de mon intimité mais cette fois sous ma culotte qu'il
avait écartée délicatement. Tantôt il caressait mon clitoris, tantôt il en faisait le
tour, introduisait un voir deux doigts dans mon vagin puis recommençait à me
masturber. Son autre main qui avait commencé par caresser ma poitrine à travers ma
robe et mon soutien-gorge avait fini par ouvrir deux boutons sur le haut de ma robe,
ce qui lui avait donné plus d'aisance et avait fait sortir mes seins du soutien-gorge
(les bonnets étant petits, ça n'avait pas été trop difficile). Il les caressait et les
malaxait tant qu'il pouvait, jouant avec leurs pointes qu'il faisait rouler entre ses
doigts et qu'il pinçait. Je n'en pouvais plus, mon bassin allait à la rencontre de sa
main et je n'attendais plus que sa pénétration d'autant que pour caresser ma poitrine,
il avait du se placer derrière moi et se rapprocher de mon postérieur. Sur un de mes
mouvements de bassin, alors qu'il se collait à moi, j'avais nettement perçu à travers
son pantalon, son sexe dur et tendu qui avait buté contre mes fesses. J'écartais alors
un peu plus mes cuisses et je pris l'initiative de caresser son sexe à travers son
pantalon. Je le sentais dur et tendu, avec des proportions particulièrement enviables
et subitement j'ai eu envie de le prendre en bouche. Je ne suis pas spécialement
amatrice de la fellation que je ne pratique que rarement avec mon conjoint et que je
n'ai jamais fait lors d'un premier rapport avec mes différents amants. Je me suis
retournée et j'ai vu dans le regard de Patrick une seconde d'hésitation; je pense
qu'il a cru que je voulais sortir de son bureau. J'ai ouvert la fermeture de son
pantalon et j'ai extrait de son boxer un sexe aux proportions effectivement plus que
généreuses (dans mon souvenir mes amants étaient moins membrés). Patrick était
circoncis et son gland épais et violet prolongeait une hampe turgescente, légèrement
coudée, aux veines saillantes (j'ai pris le temps de l'examiner un peu et Patrick
rassuré se laissait faire). Après l'avoir caressé, je l'ai pris en bouche et j'ai
commencé à le sucer, faisant glisser mes lèvres et ma langue le long du gland bien
ferme et caressant ses testicules de mon autre main.
Au début Patrick s'est laissé faire, puis il recommencé à caresser mes seins mais
rapidement il s'est arrêté et a retiré son sexe de ma bouche. "Je ne vais pas tenir
longtemps" m'a-t-il seulement dit "et je veux te prendre". Il m'a alors retourné, la
tête et les bras en appui sur le carton, a remonté ma robe sur mon dos et fait
descendre ma culotte sur mes cuisses. Ses doigts ont à nouveau caressé mon intimité
guidant son gland entre mes cuisses largement écartées cette fois. J'avais beau être
excitée et abondamment lubrifiée Patrick a du forcer un peu pour faire pénétrer son
gland qui avait du mal à franchir l'entrée de mon vagin. Il est allé très doucement et
la sensation de plénitude qui m'a envahi alors qu'il s'enfonçait en moi m'a quasiment
fait hurler de plaisir. Patrick s'est alors mis à accélérer tandis que ses mains
avaient recommencé à caresser ma poitrine. Sa verge allait et venait maintenant
facilement entre mes cuisses et au bout de quelques temps je l'ai senti se contracter
tandis que ses doigts pinçaient mes tétons. J'ai joui comme rarement et au même moment
j'ai senti Patrick se vider en moi en plusieurs jets puissants. Il a alors recommencé
à faire quelques mouvements de va et viens entre mes cuisses qui m'ont permis d'avoir
un autre orgasme et il s'est allongé sur moi tout en recommençant à caresser ma
poitrine. Je commençais à récupérer de mon orgasme et me suis alors aperçu que j'avais
un peu mal au bout des seins, Patrick les avait vraiment pincé très fort lorsqu'il
avait joui lui-même. Le sexe de Patrick toujours planté en moi a commencé à ramollir
puis Patrick s'est retiré libérant un paquet de sperme qui a commencé à s'écouler sur
la face interne de mes cuisses. Je me suis redressée, j'ai remonté ma culotte, j'ai
réajusté mon soutien-gorge sur ma poitrine aux tétons irrités et sensibles et j'ai
refermé ma robe. A part un ou deux grognements au moment de son orgasme, Patrick n'a
rien dit. Je suis alors partie dans les toilettes pour m'essuyer. J'ai encore joué un
peu avec mon petit bouton et avec mon vagin dont l'entrée restait encore largement
distendue par le sexe de Patrick. Ma culotte était souillée par le mélange de cyprine
et de sperme qui continuait à s'écouler doucement de mon vagin et j'ai hésité à la
remettre mais je n'en avais pas d'autre. J'ai fini par y glisser un morceau d'essuie-
main car je n'avais pas de protège-slip (juste un tampon de secours) et j'ai retiré
mon soutien-gorge car mes seins étaient trop sensibles. Je suis retournée à mon bureau
et pendant une partie de l'après midi j'ai continué à sentir le sperme de Patrick
s'écouler ce qui me rappelait ce moment très intense et surtout inattendu. J'avais
trompé mon mari mais je n'avais aucun regret. Patrick est passé plusieurs fois pendant
l'après-midi mais ne m'a jamais reparlé de ce qui s'était passé, il n'en a d'ailleurs
jamais reparlé depuis. Pour finir il a rangé lui-même les archives dans les armoires
du bureau.
Cette histoire a eu lieu à la fin du mois d’août dernier.
J'ai 36 ans, je suis mariée depuis 8 ans et je n'ai jamais eu d'aventure
extraconjugale même si, avant mon mariage j'avais bien profité de la vie. Je
travaille dans une boite d'informatique qui a fusionné cet été avec une société
concurrente et plus importante, de sorte que mon nouveau chef de service, issus des
rang de notre concurrent est arrivé à la rentrée apportant avec lui plusieurs boites
d'archives.
Il est grand, physiquement bien foutu, vraisemblablement très sportif, et je l'aurais
classé dans la catégorie "plutôt attirant, donc à tester" avant mon mariage.
Les boites d'archives avaient été stockées par terre dans son bureau et il était parti
en congé quelques jours juste après son arrivée. A son retour, j'étais seule au
bureau, rentrant moi-même de vacances et mes autres collègues en congé.
Au milieu de la semaine suivant son retour, il m'a appelé dans son bureau en début
d'après-midi car il souhaitait que je trie et classe dans les armoires le contenu des
différents dossiers qu'il avait apporté avec lui.
J'étais vêtue, ce jour là, d'une robe assez légère car il faisait chaud, boutonnée sur
le devant et légèrement décolletée qui m'arrivait un peu au dessus du genou. Je
portais, je m'en souviens bien, un ensemble tanga/soutien gorge à balconnets en
dentelle blanche. Je porte habituellement plutôt des slips (surtout sous des jupes)
mais je voulais faire une surprise à mon mari le soir (ses mains baladeuses me rendent
folles).
Je me suis donc rendue dans le bureau de Patrick (on s'appelle par nos prénoms puisque
Patrick le souhaite et qu'il est le chef) avec une feuille pour prendre quelques notes
sur ces fameuses archives.
Après quelques explications de Patrick, je me suis rapidement rendue compte qu'il
serait plus simple d'écrire directement sur les cartons la destination qu'il convenait
de leur donner.
Je me suis accroupie pour essayer d'écrire sur le couvercle des cartons mais entre le
ruban adhésif qui les fermait et les logos qui y figuraient, y écrire était quasiment
impossible, de sorte que le seul endroit accessible restait les cotés des cartons.
De la position accroupie dans laquelle j'étais, tournant le dos à Patrick, je suis
passée à quatre pattes relevant de fait les fesses pour écrire sur le flanc des
cartons. Initialement, je l'avais fait sans y penser mais au changement de position,
ma culotte s'était rappelée à mon bon souvenir en se tendant et en pénétrant entre mes
fesses et entre mes grandes lèvres. J'avais alors immédiatement pris conscience de la
position que j'offrais aux yeux de mon chef: j'étais en position de levrette et ma
robe légère un peu tendue devait mouler mon postérieur; avec un peu de chance, il
devait même pouvoir suivre du regard le contour de mon tanga, voire en deviner les
limites en dentelle car la robe était vraiment légère.
J’ai pris le parti de ne pas changer de position pour ne pas me faire remarquer mais
le coup d’œil jeté en biais en passant du premier carton à son voisin m’a
immédiatement fait comprendre que Patrick avait penouveau chef de servicercuté.
J’étais gênée et je me demandais ce qui allait se passer. Patrick a commencé par
s’accroupir à coté de moi faisant sembler d’inventorier le contenu du 4ème carton mais
son regard tentait de plonger dans mon décolleté qui baillait largement vu ma
position. Je n'ai pas une poitrine très volumineuse (85b) mais je m’en voulais d’avoir
mis cette tenue ce matin et en même temps je commençais à ressentir au fond de moi,
cette chaleur que je connaissais bien, celle qui envahit lorsque l'on va succomber
pour la première fois à un nouvel amoureux, au moment où l'on sait qu'il va commencer
à nous caresser avant d'entamer l'effeuillage final. Mes seins ont donc réagi au quart
de tour et j'ai senti, malgré moi, mes tétons durcir (je savais que Patrick allait
forcément le voir car mes bouts de seins sont particulièrement gros et longs, ce qui a
souvent fait le bonheur de mes amants mais qui manque de discrétion) et l'humidité
envahir mon bas ventre (j'ai tendance à mouiller abondamment mais là, à cet instant,
je crois que j'ai battue tous mes records). J'ai essayé de me relever, j'ai vu mes
bouts de sein pointer à travers le tissu de ma robe, je me suis repenchée en avant et
à ce moment, j'ai senti la main de Patrick sur mes fesses et j'ai cessé de bouger. Sa
main était douce et ferme et elle passait tour à tour d'une fesse sur l'autre les
caressant à travers le tissu de ma robe. Je ne bougeais pas, et Patrick s'est alors
enhardi, passant la main sous ma robe et continuant à me caresser tout en commençant à
jouer avec les bords de mon tanga passant de temps en temps un doigt sous les bords de
ma culotte mais en restant au niveau de mes fesses. Devant mon absence de réaction, il
a continué son exploration et son doigt s'est aventuré vers mon intimité, commençant
par creuser le sillon de mes grandes lèvres à travers le fond de ma culotte. Je
mouillais comme une gamine et le fond de ma culotte était trempé ce qui n'a pas pu
échapper à Patrick qui manquait cependant de place pour poursuivre plus avant son
exploration. Sa main a forcé un peu sur la face interne de mes cuisses et au lieu de
resserrer mes cuisses ce qui aurait certainement mis fin à l’exploration et à la
situation, j'ai cédé à sa pression et j'ai légèrement entrouvert mes cuisses. Ses
doigts sont revenus à l'assaut de mon intimité mais cette fois sous ma culotte qu'il
avait écartée délicatement. Tantôt il caressait mon clitoris, tantôt il en faisait le
tour, introduisait un voir deux doigts dans mon vagin puis recommençait à me
masturber. Son autre main qui avait commencé par caresser ma poitrine à travers ma
robe et mon soutien-gorge avait fini par ouvrir deux boutons sur le haut de ma robe,
ce qui lui avait donné plus d'aisance et avait fait sortir mes seins du soutien-gorge
(les bonnets étant petits, ça n'avait pas été trop difficile). Il les caressait et les
malaxait tant qu'il pouvait, jouant avec leurs pointes qu'il faisait rouler entre ses
doigts et qu'il pinçait. Je n'en pouvais plus, mon bassin allait à la rencontre de sa
main et je n'attendais plus que sa pénétration d'autant que pour caresser ma poitrine,
il avait du se placer derrière moi et se rapprocher de mon postérieur. Sur un de mes
mouvements de bassin, alors qu'il se collait à moi, j'avais nettement perçu à travers
son pantalon, son sexe dur et tendu qui avait buté contre mes fesses. J'écartais alors
un peu plus mes cuisses et je pris l'initiative de caresser son sexe à travers son
pantalon. Je le sentais dur et tendu, avec des proportions particulièrement enviables
et subitement j'ai eu envie de le prendre en bouche. Je ne suis pas spécialement
amatrice de la fellation que je ne pratique que rarement avec mon conjoint et que je
n'ai jamais fait lors d'un premier rapport avec mes différents amants. Je me suis
retournée et j'ai vu dans le regard de Patrick une seconde d'hésitation; je pense
qu'il a cru que je voulais sortir de son bureau. J'ai ouvert la fermeture de son
pantalon et j'ai extrait de son boxer un sexe aux proportions effectivement plus que
généreuses (dans mon souvenir mes amants étaient moins membrés). Patrick était
circoncis et son gland épais et violet prolongeait une hampe turgescente, légèrement
coudée, aux veines saillantes (j'ai pris le temps de l'examiner un peu et Patrick
rassuré se laissait faire). Après l'avoir caressé, je l'ai pris en bouche et j'ai
commencé à le sucer, faisant glisser mes lèvres et ma langue le long du gland bien
ferme et caressant ses testicules de mon autre main.
Au début Patrick s'est laissé faire, puis il recommencé à caresser mes seins mais
rapidement il s'est arrêté et a retiré son sexe de ma bouche. "Je ne vais pas tenir
longtemps" m'a-t-il seulement dit "et je veux te prendre". Il m'a alors retourné, la
tête et les bras en appui sur le carton, a remonté ma robe sur mon dos et fait
descendre ma culotte sur mes cuisses. Ses doigts ont à nouveau caressé mon intimité
guidant son gland entre mes cuisses largement écartées cette fois. J'avais beau être
excitée et abondamment lubrifiée Patrick a du forcer un peu pour faire pénétrer son
gland qui avait du mal à franchir l'entrée de mon vagin. Il est allé très doucement et
la sensation de plénitude qui m'a envahi alors qu'il s'enfonçait en moi m'a quasiment
fait hurler de plaisir. Patrick s'est alors mis à accélérer tandis que ses mains
avaient recommencé à caresser ma poitrine. Sa verge allait et venait maintenant
facilement entre mes cuisses et au bout de quelques temps je l'ai senti se contracter
tandis que ses doigts pinçaient mes tétons. J'ai joui comme rarement et au même moment
j'ai senti Patrick se vider en moi en plusieurs jets puissants. Il a alors recommencé
à faire quelques mouvements de va et viens entre mes cuisses qui m'ont permis d'avoir
un autre orgasme et il s'est allongé sur moi tout en recommençant à caresser ma
poitrine. Je commençais à récupérer de mon orgasme et me suis alors aperçu que j'avais
un peu mal au bout des seins, Patrick les avait vraiment pincé très fort lorsqu'il
avait joui lui-même. Le sexe de Patrick toujours planté en moi a commencé à ramollir
puis Patrick s'est retiré libérant un paquet de sperme qui a commencé à s'écouler sur
la face interne de mes cuisses. Je me suis redressée, j'ai remonté ma culotte, j'ai
réajusté mon soutien-gorge sur ma poitrine aux tétons irrités et sensibles et j'ai
refermé ma robe. A part un ou deux grognements au moment de son orgasme, Patrick n'a
rien dit. Je suis alors partie dans les toilettes pour m'essuyer. J'ai encore joué un
peu avec mon petit bouton et avec mon vagin dont l'entrée restait encore largement
distendue par le sexe de Patrick. Ma culotte était souillée par le mélange de cyprine
et de sperme qui continuait à s'écouler doucement de mon vagin et j'ai hésité à la
remettre mais je n'en avais pas d'autre. J'ai fini par y glisser un morceau d'essuie-
main car je n'avais pas de protège-slip (juste un tampon de secours) et j'ai retiré
mon soutien-gorge car mes seins étaient trop sensibles. Je suis retournée à mon bureau
et pendant une partie de l'après midi j'ai continué à sentir le sperme de Patrick
s'écouler ce qui me rappelait ce moment très intense et surtout inattendu. J'avais
trompé mon mari mais je n'avais aucun regret. Patrick est passé plusieurs fois pendant
l'après-midi mais ne m'a jamais reparlé de ce qui s'était passé, il n'en a d'ailleurs
jamais reparlé depuis. Pour finir il a rangé lui-même les archives dans les armoires
du bureau.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Magnifique histoire ...
Belle histoire bandante !! Ecris moi si tu veux.
histoire agréable et excitante. Julie y a t il une suite?
Belle histoire, écrite en français correct, ce qui est plutôt rare...
Vite de nouvelles aventures!
Vite de nouvelles aventures!
Belle histoire excitante. De plus, bien rédigée. 9/10