Un ouvrier très qualifié

- Par l'auteur HDS Charles Gasnier -
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Récit libertin : Un ouvrier très qualifié Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Un ouvrier très qualifié
J'avais 18 ans et je venais de réussir brillamment mon baccalauréat
Obtenu avec la mention bien mes parents m'autorisaient cette année à ne travailler qu'à temps partiel dans leur entreprise.

Mes parents possédaient depuis de nombreuses années une entreprise de BTP
Je passais régulièrement les voir et j'avais remarqué un très beau cheptel d'ouvriers virils, musclés, l'œil aguicheur. Mais affichant une triomphante hétérosexualité pour la plupart.

Installer depuis peu dans une très jolie maison à l'écart de la ville, mes parents avaient décidé de faire quelques travaux d'aménagement dans le jardin. Entre autres papa voulait faire construire quelques murets permettant de créer des zones d'ombre et des coupes vents.

Travaillant au bureau avec ma mère j'étais chargé de la coordination des plannings de tous ces beaux mâles. On me demanda de trouver un ouvrier maçon capable de prendre en charge ce travail à la maison. J'avais depuis l'année dernière remarqué un beau gars d'Europe de l'est dont la musculature ne me laissait pas indifférent.
Je le proposais donc tout de suite au planning, et le soir je me branlais en imaginant les scènes les plus torrides avec lui au soleil dans le jardin.

Il faut dire que je savais depuis quelques années à quel point j'aimais la queue, on peut dire même que je la vénérais. Mais depuis cette année mes séances de branle était innombrables, intenses, une véritable addiction !

Arriva enfin le premier matin où mon bel ouvrier devait commencer son chantier.
J'étais chargé de l'accueillir puisque je ne commençais mon boulot au bureau qu'à partir de 14h.
Quelle tenue allait-il porter : une combinaison ouverte, un t-shirt et un short court, des sous-vêtements ou rien en dessous ?

Lorsque j'ouvrais la porte à Andreï, il ne portait malheureusement pas les tenues les plus SEXY que j'avais imaginé dans mes doux rêves.
Cependant un beau jean moulait ses cuisses musclées et un paquet très prometteur.
Mon beau slave d'un blond un peu roux, cheveux en brosse, complétant sa tenue par un t-shirt blanc qui laissait deviner ses pecs et la pointe de ses tétons.

Il me demanda s'il pouvait se changer quelque part, me regardant avec un peu de dureté comme un homme qui parle à un gamin.
Dans la précipitation je lui dis qu'il pouvait utiliser ma chambre.
J'espérais que la porte resterait entrouverte mais bien sûr il la ferma.
Il ressortit équipé d'un short long et d'un sweat à fermeture éclair dégageant cette fois son torse merveilleux et légèrement poilu.

Le désir s'empara de moi et me tordait les boyaux, j'avais envie de cet homme !!!
Le reste de la matinée se passa à mater mon bel Apollon, les muscles bandés, la sueur perlant sur ses jolis poils dorés.
J'ai décidais immédiatement de mettre en place une stratégie pour le lendemain matin.
Et avant de partir je lui confiais les clés prétextant que le lendemain je me réveillerai beaucoup plus tard.

Avant de partir je fais un tour par ma chambre et je découvre une merveilleuse surprise.
L'animal avait laissé trainer sous le jeans et le T-shirt, un caleçon type américain en coton bleu.
Je le portais immédiatement à mes narines et découvrais le doux parfum enivrant de sa queue.
Cette odeur suave de mâle était étourdissante.
Il était trop tard pour me masturber, le travail m'attendait. Hors de question de remettre l'objet en place. Je décidais de le planquer dans ma petite sacoche d'écolier.

Le lendemain matin, tremblant d'excitation, entièrement nu, j'attendais mon bel Andreï.
La fenêtre de ma chambre grande ouverte, allongé sur le ventre, le visage enfoui dans le caleçon. Je faisais onduler ma croupe, creusant les reins au maximum, mes belles fesses musclées et rebondies par la pratique assidue d'heures de tennis. Mon petit anus humide de désir, je miaulais comme une petite chatte en rut quand Andreï arriva.

J'entendis le crissement des graviers sous ma fenêtre. L'appât avait fonctionné, il m'observait en pleine branle, m'enivrant de son odeur !

J'avais encore les fesses en mouvement, lorsque j'entendis gratter timidement à la porte de ma chambre.
Excité mais encore plus intimidé, je restais tétanisé, le caleçon de mon bel Andreï toujours sur mon visage.
Cette fois les coups sur la porte se faisaient plus fermes et sans attendre ma réponse, Andreï se précipita dans la chambre.
Son regard à la fois viril et tendre glissa sur mon corps nu en insistant sur ma croupe bombée et offerte.

Dans un français marqué par son fort accent, il me dit :
- Vilain petit garçon ! Il ne faut pas voler les vêtements d'Andreï. Ton papa devrait te punir !
Subjugué par son beau regard de fauve, je le provoquais en rapprochant son caleçon de mon nez et tout en sniffant le tissu, je me mis à gémir :
- hummm ça sent si bon la kekette !!
Il me répondit d'une voix tremblante d'excitation :
- Je vais te donner la fessée si tu continues !
Et sans attendre il commença à claquer mon beau petit cul. Oh mon Dieu ça me rendît encore plus dingue d'envie.

Mais la douceur de ma peau sous ses mains et le tressaillement de mes lobes eurent vite raison de la retenue. Il perdit tout contrôle et se jetant sur mon lit, il écarta mes cuisses pour se mettre à lécher de la manière la plus habile mon petit trou humide et serré. Je ne pus retenir un cri de plaisir immédiat. Andreï s'inquiéta
- Je te fais mal mon bébé ?
- Oh non tu es merveilleux, continue encore et encore, c'est si bon !!!
Et je cambrais au maximum mon petit cul de salope en chaleur.

Andreï lâcha un instant sa belle prise pour se mettre nu totalement. Le spectacle était sublime.
Son torse musclé couvert d'un poil court et doré comme ses cuisses puissantes, mais surtout je fus en extase devant sa verge lourde et délicieusement veinée, couronnée d'un énorme gland déjà décalotté et brillant de mouille.

Cette fois mon bel ouvrier passa ses bras solides sous mes cuisses pour attirer à sa bouche mon anus vibrant de désir. Il me "bosogna" en expert.
Je serrais son caleçon et étouffais mes cris de plaisir dans l'odeur si douce de sa bite.
Andreï était un maître en matière d'anulingus.
Sa langue vrillait ma petite chatte de mec avec fureur et sans fatigue.
Mais maintenant j'étais affamé et je voulais goûter à cette poutre extraordinaire qui ornait son entrecuisse.

Je me retournais et commençait à branler cette merveille. Le membre de cet animal de sexe était un chef-d'œuvre, si lourd et épais, veiné à la perfection, légèrement courbé vers le haut et doté d'un gland en forme de casque digne d'une sculpture.
J'apprécierais cette queue à la hauteur de sa beauté. Les deux mains accrochées à sa hampe, je commençais à flatter de la langue la couronne du gland avant de venir cueillir la savoureuse mouille sucrée dans sa fente ouverte.

Puis je me décidais à faire glisser ce somptueux gourdin dans ma bouche au plus profond que je puisse supporter. Me voilà en train de téter comme un petit veau, avalant ce zob en fond de gorge. Andreï dû me retirer ce divin objet au risque de jouir trop vite.
Mais plus rien ne m'arrêtait et me voilà maintenant embrassant ces grosses couilles rondes et dures, pleine d'une semence divine.

Andreï en profitait pour me doigté l'anus et remarqua bien vite à quel point je pouvais être sensible à cette caresse.
Je voulais être à lui, devenir sa femelle, qu'il me possède jusqu'à la garde !

J'abandonnais mon amant un instant pour me précipiter dans la chambre de les parents où je savais, pour avoir compris quelques allusions, que je trouverais de quoi baiser dans le meilleur confort. Et en effet dans un tiroir de table de nuit se trouvait un tube de gel ultra lubrifiant.
De retour avec mon trésor, j'enduis mon étalon de cette substance et lui me travailla le trou de la même manière. Sa grosse queue luisante de gel me paraissait encore plus puissante !
Il me prit dans ces bras musclés et assis devant lui, il entreprit de me faire glisser sur sa verge.

Le gland eu un peu de difficulté à rentrer dans ma chatte toute neuve de presque ado et une légère douleur me fit débander. Mais avec beaucoup de tendresse Andreï réussie à s'introduire en moi et après quelques va et vient laborieux, je commençais à sentir que la place était conquise.
C'est alors que je ressentis en moi comme une vague incroyable de plaisir, presqu'à en perdre connaissance et je me mis à rebander si fort que cela devenait presque douloureux.

Je me retournais et arc-bouté à mon mec, je me mis à coulisser sur sa queue avec frénésie.
Je criais :
- Ahhhh que c'est bon mon amour, baise moi ! Baise-moi encore !!
Mon mâle se mis à la tâche avec passion dans des râles qui m'excitaient encore plus.

L'homme que j'avais tant désiré m'enculait comme un Dieu, mêlant fougue et tendresse.
Ses mains posées sur mes pecs pinçaient doucement mes tétons tandis que ses lèvres charnues dévoraient ma nuque.
Ses coups de pieux m'arrachaient des râles de bonheur. Je devais bien convenir que je me révélais être une vraie salope accro à la bite.
Ma nature ne tarda pas à m'en fournir la preuve. En effet la vague de plaisir qui submergeait tout mon corps se concentra bientôt sur ma verge qui battait la cadence de cette saillie en cognant mes abdos. Je criais :
- Ahhhhh, je jouis, je jouiiiiiis !!!

Les flots de sperme se mirent à m'arroser moi et mon amant dans tous les sens hors de tout contrôle.
Andreï en fût rempli de bonheur et de fierté :
- C'est dingue ce que tu aimes la bite ma petite salope ! C'est bien, prends ton pied mon bébé.
Arrivant au bout de sa retenue, mon homme arracha sa queue de ma petite chatte satisfaite.

Il passa au-dessus de moi et m'attrapa la nuque.
Dans cette position, Andreï m'exposa son braquemart sublime face au visage et m'inonda de foutre épais. Sa crème glissant sur mes lèvres j'en savourais le goût âpre et sucré à la fois. Saisissant l'objet de tous mes désirs, je nettoyais son gland d'une langue devenue experte.

Épuisés, nous restâmes allongés l'un contre l'autre.
Andreï plus gêné que moi. En même temps, il venait de baiser le fils de son patron.
J'avais le visage encore maculé de sperme, Andreï saisit le caleçon qui traînait encore sur le lit et m'essuya tendrement.
Je fus irrémédiablement attiré par sa bouche si sensuelle et nous avons échangé la plus fantastique des pelles, encore savoureuse du goût de son sperme.

Mais la réalité de la vie nous rattrapa et je devais courir à la douche pour partir travailler.

Le soir lorsque je rentrais à la maison, je me demandais si cette merveilleuse aventure était réelle, tout avait été si évident et magique !
Une petite attention d'Andreï me confirma que je n'avais pas rêvé : il avait glissé sous mon oreiller son caleçon encore odorant de son jus enivrant.
Quel amour !!!

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Scénario tres excitant ! J'espère qu'il ya aura une suite…

Vrai que les Slaves, blonds ou bruns, ont un charme particulier, et j'en connais peu de maigrichons, ils sont solides ^^ Le viril Andreï pourra toujours prétendre qu'il y a des choses qu'il faut se résoudre à faire pour s'assurer un CDI, qui le blâmerait?



Texte coquin : Un ouvrier très qualifié
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