Un patron vicieux
Récit érotique écrit par MinetCoquin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-11-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Un patron vicieux
Je vais vous raconter l'histoire qui m'est arrivée il y a 3 ans, le jour ou j'ai découvert que j'étais une petite catin.
J'avais 18 ans à l'époque. Blond aux yeux bleus, des cheveux longs, plutôt svelte, je suis le prototype même du minet. J'étais encore puceau, malgré le succès relatif que je pouvais avoir auprès des filles de mon âge. Mais un fantasme me titillait régulièrement, je rêvais de satisfaire un homme mûr, je fantasmais à l'idée de sucer quelqu'un.
L'été qui a suivi mon bac, je me suis fait embaucher dans le supermarché de ma ville, il fallait que j'économise en vue de ma future vie d'étudiant.
Le patron était un homme d'une soixantaine d'année, plutôt rond, barbu, assez imposant. Je note déjà, des l'entretien d'embauche, des regards curieux, des allusions étranges. Je me dis que je me fais des idées mais tout de même, malgré mon jeune âge, je ne suis pas complètement naïf.
Les premiers jours se passent bien. Un après midi où je suis à la caisse, il me demande de le suivre dans son bureau. Il y aurait un souçi avec mon prélèvement de la veille. Je le suis, la peur au ventre, il referme la porte.
Sa main se pose sur mon épaule, il se veut rassurant. Il me dit que la chef caissière s'est peut être trompée dans le comptage, mais il tient à vérifier avec moi. Sa main est toujours sur mon épaule. Il voit que je n'en tiens pas rigueur. Des pensées malsaines me viennent à l'esprit et sans doute le lit-il dans mon regard.
Sa main descend le long de mon dos, j'ai un sourire entendu qui ne l'incite pas à la retirer. Elle se pose sur mes fesses, les malaxe, les pétrit. Mon souffle s'accélère. Je ferme les yeux et laisse ce vieux vicieux me tripoter, touchant mes fesses, mes cuisses à sa guise.
Puis il prend ma main et la pose sur la bosse qui commençait à se former au niveau de son entrejambe. Je ne la retire pas, l'excitation m'envahissant. Ce type n'est pas celui que j'aurais imaginé physiquement, mais c'est mon patron, et il a de l'autorité.
Je devine la forme de son sexe, j'en mesure les contours, il semble imposant. Sans qu'il n'ait besoin de prononcer un mot, je me mets à genoux, et fébrilement, défais la ceinture de cet homme.
Je descends son pantalon, aperçois nettement les contours de sa queue qui a déjà pris du volume. Je descends son caleçon, l'odeur est peu agréable, ça sent le mâle, peut être un peu la pisse mais je n'y prête que peu d'attention. Son glaive jaillit légèrement hors du tissu. Je suis comme hypnotisé devant cette bîte, elle est belle et grosse, j'ai la soudaine hésitation de partir, m'en aller, mais elle est vite balayée ! Je suis une petite pute et ma vocation est de m'occuper de ce gros morceau et de le faire jouir correctement, malgré mon manque cruel d'expérience !
"Tu peux la sucer, me dit-il, ne sois pas timide !". Et je ne me laisse pas prier, ma main saisit son gourdin docilement... Je passe son gland sur le contour de mes lèvres, quelques coups de langue dessus et je sens encore sa queue se durcir. Enfin, je la suce, docilement, sans arriver toutefois à descendre très bas car elle est énorme et je m'étouffe. Je m'arrête régulièrement pour le branler, en effet, j'ai lu quelque part que souvent les femmes oubliaient de faire ça, et que bien sucer c'est aussi bien masturber. Et la, je meurs d'envie d'être une bonne petite suceuse !
Je lèche également ses grosses couilles, mes mains parcourent ses fesses. Et puis soudain il dit "allez, je prends les choses en main !"Il me tient les cheveux, m'agrippe derrière la tête. Il présente son sexe à l'entrée de ma bouche, et d'un coup de rein soudain, me l'enfonce jusqu'a la garde. Je ne m'y attendais pas c'est la panique, je cherche de l'air. "Regarde moi", ordonne-t-il, alors toujours à genoux je m'éxécute, mes yeux croisent les siens, il veut sentir l'excitation et le désarroi dans mon regard.
Et puis en rythme, ses coups de reins s'intensifient, la baise de ma bouche commence ! Toujours en me fixant dans les yeux, me renvoyant à mon rôle de petite gobeuse soumise, il me défonce la mâchoire à grands coups de queue violents, ma bave coule sur le sol, j'ai l'impression qu'elle va me sortir par le nez. Il s'arrête, tapote sa queue sur ma joue, me traite de salope. Tout m'apparaît confus mais ce n'est pas désagréable. Et il réenfourne son chibre et la séance de pillonage continue, il pousse des cris de plaisir, me dit que je suis une bonne petite pute. Oh j'espère patron, je me plie en quatre !
Je sens des spasmes dans ses jambes, ma récompense arrive. A ce stade, je ne sais pas s'il veut tout me faire avaler ou m'enfoutrer le visage.
Ce sera la première option, il plaque ma tête contre son bas ventre, enfonce sa bite au maximum, je crie de surprise et me débats légèrement mais il est trop tard, il est en train de tout décharger dans ma gorge, dans un râle de soulagement. Sa semence arrive par flots, je m'étouffe, il faut que j'avale tout. Il maintient toujours fermement ma tête et attend que j'ai fini. Puis il se retire doucement, sa queue au niveau de mon visage et m'ordonne de lui nettoyer complètement, je m'éxécute. Je lèche une dernière fois cette queue a la faire briller !
"Très bien, me dit-il, cette histoire me semble réglée, vous pouvez reprendre votre poste !"Alors souillé et désorienté j'ai quitté son bureau, avec la satisfaction toutefois d'avoir bien rendu service.
Si cette histoire vous a plu, je vous raconterai la fois où il m'a invité chez lui et m'a sauté pour la première fois.
J'avais 18 ans à l'époque. Blond aux yeux bleus, des cheveux longs, plutôt svelte, je suis le prototype même du minet. J'étais encore puceau, malgré le succès relatif que je pouvais avoir auprès des filles de mon âge. Mais un fantasme me titillait régulièrement, je rêvais de satisfaire un homme mûr, je fantasmais à l'idée de sucer quelqu'un.
L'été qui a suivi mon bac, je me suis fait embaucher dans le supermarché de ma ville, il fallait que j'économise en vue de ma future vie d'étudiant.
Le patron était un homme d'une soixantaine d'année, plutôt rond, barbu, assez imposant. Je note déjà, des l'entretien d'embauche, des regards curieux, des allusions étranges. Je me dis que je me fais des idées mais tout de même, malgré mon jeune âge, je ne suis pas complètement naïf.
Les premiers jours se passent bien. Un après midi où je suis à la caisse, il me demande de le suivre dans son bureau. Il y aurait un souçi avec mon prélèvement de la veille. Je le suis, la peur au ventre, il referme la porte.
Sa main se pose sur mon épaule, il se veut rassurant. Il me dit que la chef caissière s'est peut être trompée dans le comptage, mais il tient à vérifier avec moi. Sa main est toujours sur mon épaule. Il voit que je n'en tiens pas rigueur. Des pensées malsaines me viennent à l'esprit et sans doute le lit-il dans mon regard.
Sa main descend le long de mon dos, j'ai un sourire entendu qui ne l'incite pas à la retirer. Elle se pose sur mes fesses, les malaxe, les pétrit. Mon souffle s'accélère. Je ferme les yeux et laisse ce vieux vicieux me tripoter, touchant mes fesses, mes cuisses à sa guise.
Puis il prend ma main et la pose sur la bosse qui commençait à se former au niveau de son entrejambe. Je ne la retire pas, l'excitation m'envahissant. Ce type n'est pas celui que j'aurais imaginé physiquement, mais c'est mon patron, et il a de l'autorité.
Je devine la forme de son sexe, j'en mesure les contours, il semble imposant. Sans qu'il n'ait besoin de prononcer un mot, je me mets à genoux, et fébrilement, défais la ceinture de cet homme.
Je descends son pantalon, aperçois nettement les contours de sa queue qui a déjà pris du volume. Je descends son caleçon, l'odeur est peu agréable, ça sent le mâle, peut être un peu la pisse mais je n'y prête que peu d'attention. Son glaive jaillit légèrement hors du tissu. Je suis comme hypnotisé devant cette bîte, elle est belle et grosse, j'ai la soudaine hésitation de partir, m'en aller, mais elle est vite balayée ! Je suis une petite pute et ma vocation est de m'occuper de ce gros morceau et de le faire jouir correctement, malgré mon manque cruel d'expérience !
"Tu peux la sucer, me dit-il, ne sois pas timide !". Et je ne me laisse pas prier, ma main saisit son gourdin docilement... Je passe son gland sur le contour de mes lèvres, quelques coups de langue dessus et je sens encore sa queue se durcir. Enfin, je la suce, docilement, sans arriver toutefois à descendre très bas car elle est énorme et je m'étouffe. Je m'arrête régulièrement pour le branler, en effet, j'ai lu quelque part que souvent les femmes oubliaient de faire ça, et que bien sucer c'est aussi bien masturber. Et la, je meurs d'envie d'être une bonne petite suceuse !
Je lèche également ses grosses couilles, mes mains parcourent ses fesses. Et puis soudain il dit "allez, je prends les choses en main !"Il me tient les cheveux, m'agrippe derrière la tête. Il présente son sexe à l'entrée de ma bouche, et d'un coup de rein soudain, me l'enfonce jusqu'a la garde. Je ne m'y attendais pas c'est la panique, je cherche de l'air. "Regarde moi", ordonne-t-il, alors toujours à genoux je m'éxécute, mes yeux croisent les siens, il veut sentir l'excitation et le désarroi dans mon regard.
Et puis en rythme, ses coups de reins s'intensifient, la baise de ma bouche commence ! Toujours en me fixant dans les yeux, me renvoyant à mon rôle de petite gobeuse soumise, il me défonce la mâchoire à grands coups de queue violents, ma bave coule sur le sol, j'ai l'impression qu'elle va me sortir par le nez. Il s'arrête, tapote sa queue sur ma joue, me traite de salope. Tout m'apparaît confus mais ce n'est pas désagréable. Et il réenfourne son chibre et la séance de pillonage continue, il pousse des cris de plaisir, me dit que je suis une bonne petite pute. Oh j'espère patron, je me plie en quatre !
Je sens des spasmes dans ses jambes, ma récompense arrive. A ce stade, je ne sais pas s'il veut tout me faire avaler ou m'enfoutrer le visage.
Ce sera la première option, il plaque ma tête contre son bas ventre, enfonce sa bite au maximum, je crie de surprise et me débats légèrement mais il est trop tard, il est en train de tout décharger dans ma gorge, dans un râle de soulagement. Sa semence arrive par flots, je m'étouffe, il faut que j'avale tout. Il maintient toujours fermement ma tête et attend que j'ai fini. Puis il se retire doucement, sa queue au niveau de mon visage et m'ordonne de lui nettoyer complètement, je m'éxécute. Je lèche une dernière fois cette queue a la faire briller !
"Très bien, me dit-il, cette histoire me semble réglée, vous pouvez reprendre votre poste !"Alors souillé et désorienté j'ai quitté son bureau, avec la satisfaction toutefois d'avoir bien rendu service.
Si cette histoire vous a plu, je vous raconterai la fois où il m'a invité chez lui et m'a sauté pour la première fois.
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