Un pervers près de moi. - histoire érotique

Je m’appelle Lucie, j’ai 30 ans. Je suis blonde avec des yeux en amande et une bouche légèrement pulpeuse. Je mesure 157 cm pour 64 kg. J’ai une poitrine très généreuse, 95 D. Je suis vendeuse dans un magasin spécialisé en bricolage et je suis mariée depuis 1 an à Arnaud, qui a 34 ans. Il est agent municipal.

Il n’est pas très grand et un peu en sur poids et a le crâne rasé. Nous sommes très sociables et nous passons beaucoup de temps avec nos amis et notre famille. Je suis une personne très émotive, je pleure assez facilement, Renaud, lui, a un caractère assez fort, c’est lui le dominant du couple.

Je suis très proche de ma sœur, Fanny, ainsi que de ma mère, Marie. Chaque vendredi soir, nous nous retrouvons chez ma mère pour boire l’apéro et discuter de tout et de rien.

Ma sœur à 34 ans et elle est en couple depuis huit ans avec Steph. Fanny mesure 162 cm pour 84 kg, elle a une poitrine encore plus grosse que la mienne à peu près 110 d. Elle a les cheveux couleur auburn, assez long et les yeux marron.
Son compagnon, Steph, est très sportif. Il est de taille moyenne avec un corps musclé . Il est brun est barbu.

Ma mère, Marie, a 58 ans. Elle a les cheveux grisonnant, assez long, les yeux marron et une corpulence un peu forte. Elle mesure environ 156 cm pour 75 kg à peu près. Une poitrine généreuse aux alentours de 100 c.
Son Mari, Alain, à 52 ans et il est au chômage depuis cinq ans. C’est le fainéant de la famille. Il pèse 110 kg, a un ventre assez prononcé et il n’est pas très sympathique avec ma mère. Ils sont mariés depuis 15 ans. Ma sœur et ma mère sont aussi émotives que moi, elles pleurent très facilement.

Vendredi, quand nous avions bu l’apéro, j’ai proposé à ma sœur et ma mère de venir manger chez nous ce samedi soir et de passer aussi la nuit. Arnaud et moi nous avons une maison à étages et disposons de trois chambres.

Pour l’occasion, j’ai mis une robe à fleurs rouges, je me suis détachés les cheveux et réalisé un maquillage léger avec un rouge à lèvres assez prononcé de couleur rosée.
Je suis en train de terminer les préparatifs de la soirée en disposant des amuse-gueules sur la table basse du salon. Je regarde Arnaud et lui dis:
_ Mais qu’est-ce qu’ils font, ils vont être en retard.
_ Ne t’inquiète pas Lucie, Ils vont arriver. Ne sois pas impatiente me dit Arnaud en posant les verres à pied sur la table.
Au même moment, la sonnette retentit.
_ Tu vois Lucie, ils sont là, pas besoin de s’exciter me dit Arnaud tout en allant jusqu’à la porte pour ouvrir.
_ Salut Arnaud, salut Lulu disent Steph et Fanny
Ils arrivent tous les deux main dans la main avec un sac de sport remplies de vêtement.
_ On met nos affaires où ? Demande Fanny.

Ils rentrent dans la maison et posent leurs manteaux sur le haut du canapé.
N’ayant pas de réponse, ils posent leurs sacs de sport à côté de la porte d’entrée.
Arnaud et moi partons leur faire la bise.

Fanny est très belle ce soir. Elle a mit une robe longue noir et jaune, les cheveux détachés, légèrement ondulés avec un maquillage très léger . Steph, lui, est en jeans avec un t-shirt manche long blanc laissant apparaître ses pectoraux ainsi que ses gros bras.

Renaud ferme la porte et part en direction du frigo.
_ Vous voulez boire quelque chose en attendant Marie et Alain .
_ Moi je veux bien une bière dit Fanny.
_ Pour moi ce sera juste un coca si vous en avez, demande Steph.
_ Ok, je vous apporte ça. Lucie je te prends une bière aussi ?
_ Oui s’il te plaît Doudou.

Nous nous asseyons sur le canapé et nous commençons à discuter. Cinq minutes plus tard la porte s’ouvre. C’est Marie et Alain. Comme à son habitude, Alain ouvre la porte sans frapper ce qui m’agace particulièrement.
_ Hello, comment ça va ?
_ Et ben ça va bien, nous avons apporté le dessert répond Alain.

Je me lève et m’approche d’eux pour les accueillir. Je leur dis :
_ Où sont vos affaires ? vous ne dormez pas à la maison ?
Alain éclate de rire et il dit :
_ Si, on dort chez toi et les affaires sont dans le coffre, mais comme tu sais, moi avec mon épaule, je ne peux pas porter de poids. Du coup vu que Steph est très costaud, il va pouvoir aller chercher nos affaires.
Je regarde Alain d’un air dépité en me disant que c’est vraiment un fainéant. Steph, à peine surprit, se lève et lui dit:
_ Ok je vais y aller, mais bon Alain, arrête de me sortir ton excuse de l’épaule. Pour faire du tir à l’arc, ton épaule va bien. Steph reprend son manteau, le met et part chercher les valises.
Ma mère, qui a fait un effort physique en se maquillant ce soir, regarde son mari, dépitée et par s’asseoir à côté d’Arnaud et Fanny.
_ Tu es vraiment un fainéant Alain, lui dit Fanny.
L’air de rien, il vient s’asseoir et se sert un verre de whisky. Steph revient avec les valises et Alain le remercie et ne dit plus rien pendant une dizaine de minutes.

Tout le monde est assis à table, nous discutons pendant un long moment de tout et de rien. Depuis plus de vingt minutes, je me retiens d’aller aux toilettes. À ce moment-là, je ne peux plus tenir et décide d’y aller.

Je sais pertinemment que la porte ne ferme plus, mais étant pressée, je me dis que je vais faire attention. Me voilà arrivé au petit coin, la porte légèrement ouverte. Je vérifie constamment que personne n’arrive. Je lève ma robe à fleurs et baisse mon shorty dentelé bleu marine. Je me mets en position sur les toilettes. Comme à mon habitude, je sors mon téléphone et je commence à oublier que la porte est ouverte.

Pendant ce temps-là, une deuxième tournée est servie sur la table basse du salon.
Alain plonge sa main dans le bol pour attraper des glaçons, il remarque qu’il n’y en a plus:
_ Arnaud, est-ce que je peux aller chercher des glaçons s’il te plaît ?
_ Non mais ne t’embête pas Alain, je vais y aller.
_ Laisse-le y aller Arnaud, pour une fois qu’il fait quelque chose, lui dit Marie.
Alain se lève et demande à Arnaud où sont les glaçons. Il lui dit :
_ Il n’y en a plus dans le congélateur, va voir dans la buanderie à côté des toilettes, nous avons un petit congélateur où tu devrais trouver des glaçons.
Alain hoche la tête et part en direction de la buanderie. À l’approche de celle-ci, il remarque que la porte des toilettes légèrement ouverte.

Intrigué, il ne peut s’empêcher de jeter un œil discrètement. Il aperçoit Lucie concentré sur son portable, Assise les jambes écartées, le vagin dévoilé. Alain ne fait pas de bruit, il observe Lucie attentivement et ne peut plus s’empêcher de regarder son sexe bien rasé. Son pantalon commence à devenir trop petit, son pénis gonfle de plus en plus et forme une grosse bosse sur son entre jambes.
Il commence tout doucement à caresser son sexe à travers le pantalon avec sa main gauche. Le visage d’Alain devient tout rouge d’excitation mais également de honte. Ses lunettes de vue glissent petit à petit jusqu’à la pointe de son nez.

Il n’a qu’une envie, sortir son engin et se masturber. Ni une ni deux, il commence à défaire sa ceinture, mais à ce moment-là, Arnaud commence à crier :
_ Alors Alain ! Tu as trouvé les glaçons dans la buanderie ?
Alain panique et refait rapidement la boucle de la ceinture et répond alors qu’il se trouve à proximité la porte des toilettes:
_ Oui c’est bon j’arrive avec les glaçons.

Je comprends aussitôt qu’Alain est à côté de la porte. J'attrape la poignée et la pousse pour ne plus laisser passer le jour. Alain récupère les glaçons et retourne au salon.

Quelques instants plus tard, Je reviens, choquée et écœurée avec l’idée que mon beau-père est pu me regarder pendant que j’étais aux toilettes. Je n’ose plus le regarder dans les yeux.
La fin de l’apéro approche, Arnaud demande à tout le monde de passer à table. Fanny est assise à côté de moi et remarque qu’il y a quelque chose qui cloche. Elle me demande ce qui se passe. Je lui explique :
_ Écoute c’est compliqué à dire.
Mes yeux se remplissent de larmes et ma voix se met à trembler. J’essaye de ne pas craquer et de rester forte.
_ Quand j’étais aux toilettes, j’étais évidemment assise comme tu peux l’imaginer et là, j’ai entendu Arnaud appeler Alain au sujet des glaçons.
_ Et alors ? Intervient Fanny.
_ À ce moment-là, j’ai entendu un bruit métallique, comme une ceinture. J’ai ensuite remarqué qu’il y avait une présence à côté de la porte et c’était bien celle d’Alain.
_ Et alors ? Ou est le problème ?

Fanny me caresse le dos en me frictionnant légèrement pour me rassurer.

_ La porte des toilettes était légèrement ouverte et j’ai peur que...
Des larmes commence à couler sur mon visage. Fanny passe délicatement ses mains pour les enlever et me dit :
_ Non, tu ne penses pas qu’il était entrain de se... ?
_ Si, je pense que si.
Fanny grimace, comme si elle allait vomir. Je la regarde dans les yeux et je luis dis :
_ Maintenant je suis en panique parce que j’ai peur qu’il m’ait vue à moitié nue et qu’il se branlait en me regardant.
_ Écoute, je vais y aller à mon tour pour le prendre sur le fait. Comme ça, on pourra tout raconter à maman.

Je hoche la tête de nouveau. Je suis rassurée que ma sœur me soutienne.
_ Il faut que maman divorce de ce salopard.
_ C’est sur, me dit Fanny, a la fin du plat principal, je partirai aux toilettes.

A Suivre...