Un petit coup...de main (Histoires réelle)
Récit érotique écrit par PaulParis [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-06-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un petit coup...de main (Histoires réelle)
Phanie travaille depuis 8 ans pour une grande compagnie d’assurance. Elle a durement gagné sa place de manager dans un climat de changement de Direction permanent. C’est dans ce climat d’instabilité qu’elle eût, il y a 2 mois, un entretien pendant lequel sa boss actuelle lui fit comprendre que pour des raisons de restrictions budgétaires, les salariés souhaitant partir le pourraient et à conditions financières avantageuses.
Même si elle n’est pas du tout en phase avec la nouvelle organisation, le fait de savoir qu’elle fait partie des éléments dont l’entreprise ne rechignerait pas à se séparer a été un coup de massue pour elle.
Cet entretien n’a pas été sans conséquence sur sa motivation bien sûr, mais également sur son moral qui s’est écroulé soudain. Même nos relations en furent changées. Plus distante et préoccupée, nous nous disputons beaucoup et je déplore que nous en soyons arrivés à cela.
Un soir je lui dis : « pourquoi ne recontactes-tu pas ton ancien boss, Vincent ? »Le Vincent en question fut son patron pendant 3 ans. Il a quitté l’entreprise pour un poste de DG dans une autre société d’assurances, avant le début de la valse des dirigeants.
« J’y ai pensé » me répondit-elle « mais je n’aime pas quémander et je n’aime pas les gens qui t’appellent quand ils ont besoin de quelque chose »Je décidais de raffermir le ton, quelque peu excédé par cette situation et ses conséquences. « Tu ne dois rien à ta boite et le fait que nous nous engueulions sans cesse à cause d’eux est déjà un motif de départ ». « Tout le monde fait appel à son réseau lorsqu’il souhaite changer de poste ou de société, ça sert à ça le réseau et Vincent, je pense, a gardé un très bon souvenir de toi ».
« Oui c’est sûr » me répondit-elle « mais tu te souviens qu’il était aussi coureur et un peu lourd parfois »Effectivement, Phanie m’avait raconté qu’à plusieurs reprises mais sans jamais aller trop loin, il lui avait fait des remarques insidieuses sur son corps, sa joliesse, sa garde-robe très féminine etc…Et même un jour lors d’un déplacement en province et alors qu’ils rentraient à l’hôtel après un dîner quelque peu arrosé, il l’avait tenue par la taille en marchant et arrivés devant l’ascenseur avait déclaré qu’il était dommage qu’ils se quittent ainsi et qu’il aimait sa compagnie, leur discussions et son intelligence.
Phanie m’avait raconté cela et même parfois nous en jouions dans les scenarii érotiques qui agrémentaient nos ébats.
Cependant, elle trouvait cela toujours embarrassant qu’on puisse ne voir en elle qu’une jolie fille bien faite. Elle a toujours placé la séduction intellectuelle bien au-dessus de la séduction physique et bien souvent il lui faisait remarquer sans lui dire directement qu’il la trouvait très à son goût. Néanmoins elle reconnait qu’en marge de cela il n’était pas avare de compliments pour ce qui concernait son efficacité, son professionnalisme.
« Raison de plus » répondis-je « mais il serait dommage de ne pas l’utiliser pour te sortir de cette situation qui va finir pas avoir un impact retentissant sur notre couple ». C’était dit, je venais de lui rappeler que nous nous mettions en danger à force qu’elle s’enfonce sans réagir dans ce marasme professionnel.
Finalement l’idée fit son chemin et elle décida de lui envoyer un mail expliquant la situation dans laquelle elle était et le rappelant à leurs 3 années de collaboration fructueuse. Elle terminait son message en sollicitant un entretien avec son DRH et en ponctuant par le plaisir d’une nouvelle collaboration.
Il ne fallut que quelques heures à son ex boss pour répondre. Le ton de son mail était enjoué et très agréable. Il concluait par le fait que les ressources humaines prendraient contact avec elle dans les meilleurs délais mais qu’il n’était certain d’avoir un poste vacant répondant à ses aspirations.
Phanie prit ce mail et la formule de politesse qui le concluait comme une fin de non-recevoir et j’avoue que je n’étais pas plus positif dans mon interprétation.
Pourtant le lendemain de ce mail elle reçut un appel de Vincent, lui disant qu’il fallait qu’ils se voient. Il avait un poste de Manager en Communication à lui proposer mais ne pouvait pas l’officialiser car la personne en poste était en couple avec une autre assez bien placée aux ressources humaines.
Quand Phanie me relata leur appel, je vis dans ses yeux briller une petite flamme qui avait disparue depuis longtemps. Elle, d’un naturel si gai, était devenue si morose, que la voir enjouée de nouveau me fit beaucoup de bien.
Il lui avait donné rdv deux soirs plus tard dans le bar d’un hôtel de luxe rue de la Paix à Paris au motif de la confidentialité de leur échange.
Le matin du rdv Phanie s’appliqua à choisir des vêtements sobres et un peu stricts, comme ceux qu’on choisit par réflexe pour un entretien.
En sortant de la salle de bain, je la trouvais nue, si désirable, en train de choisir entre 2 ou 3 ensembles. Je profitais qu’elle fut baissée sur le lit pour venir, nu également, coller mon sexe entre ses fesses et la prendre dans mes bras. Je l’embrassais dans le cou en lui disant de ne pas s’inquiéter. Depuis que son travail la préoccupe nous n’avons eu que si peu l’occasion de faire l’amour que je sentais qu’il ne faudrait que peu de temps à mon sexe dans cette position pour monter dans les tours.
Voyant les tenues plutôt strictes qu’elle avait choisies, je lui dis : « chérie, ce n’est quand même pas comme un entretien de recrutement traditionnel. Vous vous connaissez depuis assez longtemps. Au contraire j’aurai tendance à penser que puisque tu sais quels genre de vêtements il aimait que tu portes, tu devrais utiliser cet atout ».
Elle me répondit que ce n’était pas son premier réflexe mais qu’après tout le but d’un entretien est d’être à son avantage. « Te souviens-tu des tenues qu’il aimait te voir porter ? » lui demandais-je.
« Oui je crois » répondit-elle « Souvent il me complimentait lorsque je portais des petites robes d’été fleuries, un peu champêtres ou quand je mettais un jean ajusté avec un chemisier ».
Il est vrai que ces 2 tenues lui vont particulièrement bien. Son corps gracile, ses petites fesses et ses seins menus si joliment dessinés dans un tissu léger sont un appel à l’amour.
« Au moins tu te souviens de ce qu’il aime » lui dis-je en plaisantant « c’est que tu n’y étais finalement pas si indifférente ». Rien que cette pensée vint faire enfler mon sexe entre ses deux globes fessiers et j’avoue que l’idée de la prendre ainsi debout m’a plus qu’effleuré l’esprit.
Elle me dit en souriant « pas le moment mon chéri mais je suis contente de te faire encore cet effet-là » « Pour la peine, tu as raison, je mets ma petite robe verte »Elle enfila un mini string et un soutien-gorge assorti et passa la robe.
« Comment me trouves-tu ? » demanda-t-elle« Je t’embauche immédiatement et installe ton bureau dans le mien » lui dis-je en riant.
Toute la journée durant je pensais à son entretien de ce soir. J’aurai aimé être une petite souris pour voir comment il se comporterait.
J’attendis la fin de l’après-midi pour lui envoyer un mail dans lequel je lui souhaitais bon courage et plaisantai en lui disant que s’il avait réservé une chambre, qu’il lui fasse signer sa promesse d’embauche avant de monter. Elle me répondit « Tu es bête mais merci du conseil ». A mon tour je lui dis « Tu oserais me raconter s’il te drague ? »« Je crois que oui « répondit-elleL’attente de son retour, je l’avoue, fut un peu longue et c’est le cœur battant que je l’entendis ouvrir la porte de l’appartement. J’accourais pour l’embrasser et prendre des nouvelles.
Elle me tendit la description du poste en souriant. Ça devenait concret. Le poste correspondait en tout point à ce qu’elle faisait et souhaitai continuer à faire. Il lui demanda de réfléchir et lui proposa de se revoir au même endroit 2 jours plus tard. Si elle était d’accord, il lui ferait envoyer sa promesse d’embauche et déclencherait le départ de la personne qui occupait le poste actuellement et ne donnait a priori pas du tout satisfaction.
Phanie était vraiment heureuse et radieuse, comme si cette description de fonction venait à elle seule régler tous ses maux.
Nous avons passé une partie de la soirée à prendre note des questions qu’elle lui poserait lors du prochain rdv et nous sommes couchés plus légers que d’ordinaire.
Au moment de se dire bonne nuit, je me collais contre elle et lui murmura à l’oreille « Tu crois que la petite robe verte a fait son effet ? »« J’en suis sûre » me répondit-elle. « Ses premières phrases ont été : je suis ravi de te revoir et tu es vraiment très en beauté, cette robe te va à merveille ».
Puis elle me dit qu’à plusieurs reprises lorsqu’elle se baissait pour prendre des mignardises qu’on leur avait servi, elle surprit son regard se perdre dans l’échancrure de sa robe lui laissant forcément voir son soutien-gorge transparent.
« Il t’a draguée ou flattée ? » demandais-je. « Pas vraiment draguée mais lorsque je lui ai dit que la proposition m’intéressait, il m’a tendu la main en me disant : affaire conclue ? Et tandis que je serrai la sienne, il la garda longuement en me regardant droit dans les yeux »« Il est impressionnant ? » lui dis-je« Oui il est grand, les yeux clairs, le regard direct, il est massif. Pas beau mais charmant ».
« Tu as aimé qu’il voit tes petits seins ? » « Il n’a rien vu nettement je pense et toi tu aurais aimé qu’il les voit ?» me demanda-t-elle.
La sentant joueuse, je continuai mon petit scénar et laissai mes mains courir le long de son corps dénudé. Je passai par-dessus elle, bloqua ses poignets et tandis que je lui racontai ce qu’il avait forcément pu voir et la façon dont ça l’avait excité, je frottais mon sexe contre son clitoris puis la pénétrai. Phanie jouit très vite sous ma queue, comme libérée d’un poids.
J’étais heureux de m’endormir à coté de ma chérie que je retrouvais enfin.
Le lendemain soir nous nous rejoignîmes pour un apéro en terrasse. Je la vis arrivée la mine plus fermée. A peine le temps d’un bisou qu’elle me dit que Vincent l’avait appelée pour lui dire qu’il avait touché un mot au Directeur de la salariée que Phanie devait remplacer et que le départ de cette dernière ne serait pas une mince affaire. Revêche et dotée d’un excellent réseau, elle pourrait leur donner du fil à retordre.
Phanie était désemparée, abasourdie. Nous avions déjà projeté beaucoup sur ce poste. Peut-être un peu trop rapidement du reste.
Je l’encourageais en lui disant que s’il voulait travailler avec elle, il se débrouillerait pour que ça arrive. C’est le Directeur General après tout. Egalement je lui rappelai qu’il avait maintenu le rdv du lendemain, ce qui était bon signe. Je lui dis que c’était à elle de lui donner la motivation suffisante pour affronter la fille en poste et pour l’embaucher.
Phanie me répondit qu’elle voulait vraiment ce poste, que c’était l’opportunité pour elle de sortir du panier de crabes dans lequel elle survivait depuis trop longtemps.
« Tu sais chérie, tu dois te donner les moyens de l’obtenir ce poste » lui dis-je. « Convaincs-le en lui expliquant ce que tu peux apporter en terme de structure, de vision, valorise ton expérience, ton sérieux » Et j’ajoutais «N’hésite pas à être charmante. Un entretien est aussi et avant tout un exercice de séduction. Un grand patron n’est jamais qu’un homme et tu as l’avantage de savoir déjà que tu lui plais beaucoup. Joues-en. Ne crains pas que je te blâme, je sais que tu m’aimes et j’ai autant envie que toi que tu obtiennes ce job »Elle resta pensive un instant puis se retourna et m’embrassa. Je l’avais senti rassurée par notre discussion.
Le lendemain matin, je dû partir tôt. Je lui laissais un petit mot dans la salle de bain : « Sors le grand jeu, ne crains rien. Je t’aime »Je savais au fond de moi qu’elle pouvait être très séduisante, sexy et charmeuse sans jamais être vulgaire. C’est ce que j’ai aimé chez elle. Je reconnais aussi que cette situation était très excitante pour moi et je n’avais qu’une hâte, être à ce soir pour qu’elle me raconte.
Un peu avant d’arriver à son rdv elle m’écrivit ; « J’arrive au rdv chéri, j’ai un peu peur mais je suis déterminée. Merci de ton soutien »Message auquel je répondis : « Je suis de tout cœur avec toi. Tu me raconteras tout ? J PS : comme il reluquera ton décolleté, ne met rien en dessous J»« Bien sûr J » écrivit-elleJe rentrais le soir pour cuisiner un peu et préparer son arrivée. Phanie fit son apparition à presque 21h30.
Elle se jeta dans mes bras et me dit « J’ai le poste ! » puis elle fondit en larmes.
« Des larmes de joie ? » lui demandais-je « Bien sûr, si tu savais comme je suis soulagée »Je lui demandai de me raconter l’entretien et seulement lorsqu’elle m’en faisait le récit, je remarquais qu’elle était vraiment très joliment habillée. Une petite robe bleue légère, boutonnée par le devant, arrivant à mi cuisses.
Elle lui dit d’entrée de jeu qu’elle a vraiment eu très peur après son appel et il s’en excusa. Il lui expliqua que la salariée en question mettait des bâtons dans les roues de tout le monde mais qu’elle avait un soutien important de 2 membres de la Direction. Et ajouta que l’un d’entre eux était son amant…Suite à quoi Phanie, lui expliqua par le menu l’envergure de son poste, ce qu’elle saurait apporter faisant la démonstration répétée et factuelle de ses qualités de manager et autre vision stratégique.
Vincent laissa un silence après cet argumentaire et lui dit « Tu le veux ce job dis-moi ! »Phanie lui demanda si c’était une question. Il répondit « Non, il est pour toi ». La prochaine fois que nous nous voyons c’est avec une promesse d’embauche ».
Phanie exulta de joie. Il lui dit qu’il était content pour elle et qu’il prendrait beaucoup de plaisir à travailler avec. Puis ajouta « Quelle chance de pouvoir te voir tous les jours » en souriant. Encore dans l’euphorie de la nouvelle elle répondit sans réfléchir « Merci c’est gentil ».
« Tu pourras remettre cette robe ? » dit-il sur un ton amusé« Quand tu veux, si elle me porte chance ainsi à chaque fois que je la porte… » répondit-elle en riantJe la félicitais bien sûr et fini par lui dire « Et bien dis-moi, c’est une déclaration ouverte qu’il t’a faite ? »Phanie rit puis me dit qu’il avait souvent tenu ce genre de propos sur le ton de l’amusement quand ils bossaient ensemble.
A un moment je fis tomber un morceau d’échalote et Phanie se pencha pour le ramasser. Avec stupeur et en regardant dans le décolleté de sa robe j’aperçus ses petits seins libres. Mon cœur fit un bond. Je ne saurai dire si c’était de surprise ou d’excitation mais j’étais comme pétrifié. L’avait-elle enlevé avant l’entretien comme je lui avais conseillé en plaisantant ou n’en avait-elle pas mis délibérément ce matin, ce qui n’arrivait quasiment jamais au boulot.
Je décidais de lui poser directement la question. Je me rapprochais d’elle, l’entourai de mes bras et lui dis « Tu l’as enlevé juste avant l’entretien ? »Elle me regarda droit dans les yeux, un peu gênée et me dit « Oui juste avant, je suis passée par les toilettes. Ce n’est pas bien qu’en penses-tu ? »«S’en est-il aperçu ? » demandais-je «Oui » dit-elle.
Rien qu’à ce mots je senti mon sexe se tendre. « Comment le sais-tu ? »« Parce qu’à plusieurs reprises je me suis baissée sur la table pour prendre des petits gâteaux apéritif et en levant les yeux j’ai vu qu’il regardait dans mon décolleté. Et vu comment la robe baille, il n’a pas pu ne pas voir » « C’est d’ailleurs à ce moment qu’il m’a dit que ma robe était très belle et qu’elle m’allait très bien » « Puis il a ajouté en riant : tu ne devrais pas te pencher ainsi c’est un appel au crime ! Je fis mine d’être surprise et mis sitôt ma main pour cacher mon décolleté en m’excusant. Il ajouta : tu peux te le permettre et je te remercie pour cette vue magnifique. Tu sors souvent ainsi ou c’est juste pour moi ? Je lui répondis que l’été ça m’arrivait »Elle ajouta « je n’aurai pas dû répondre de la sorte mais dans l’euphorie du moment, une deuxième coupe de champagne et tes scenario érotiques, je me suis sentie le droit et l’envie de le faire »« Il devait être très excité » ajoutais-jePhanie ne répondit pas. Nous avons diné, regardé la télé sans trop parler mais en se câlinant beaucoup. Je ne cessais d’imaginer Vincent lorgnant sur ces jolis petits seins que j’aime tant.
Puis nous sommes allés nous coucher. J’étais assis sur le lit à régler mon réveil matin quand Phanie vint devant moi et s’assit sur mes genoux, toute douce. Elle se lova contre moi. Je pris ça pour une envie de câlins et passa ma main sous sa petit robe. Là 2eme choc, je ne sentis pas de string non plus. Je la reculais, la regardai. Elle me fixa et me dit : « Je ne t’ai pas tout raconté ».
Ma bouche s’assécha immédiatement. « Continue » lui dis-je. « N’ai pas peur de me parler »« Nous avons beaucoup discuté et je sentais que Vincent me draguait plus ouvertement. Il ne mentionna plus l’épisode du décolleté mais me posait des questions sur nous, sur ma vie et je sentais dans le ton de sa voix qu’il voulait me charmer »« Ca marchait ? » lui demandais-jeElle répondit « il est charmant oui mais je t’aime » « Laisse-moi finir chéri »Elle prit sa respiration comme avant une apnée et raconta « Nous avons beaucoup bu et beaucoup discuté. Je lui ai répété que j’étais enchantée de cette nouvelle et enfin que je devais partir. Je me suis levée et ai pris mon sac pour descendre aux toilettes. Je descendais un somptueux escalier quand j’entendis qu’il m’appela. Il m’avait emboité le pas. Il me dépassa, se positionna une marche plus bas que moi, me fit face et me dit : s’il te plait laisse-moi juste vérifier quelque chose, ne dis rien. Il était très proche de moi et me fixait. Soudain j’ai senti sa main remonter le long de ma cuisse vers ma fesse. Je n’ai pas réagi, j’étais comme pétrifiée. Je n’avais pas peur bizarrement. Sa main remonta jusqu’à ma fesse sur laquelle il exerça une légère pression puis continua vers le creux de mes reins. Arrivé à la lisière de mon string, il s’arrêta. Il ne lâchai pas mon regard et je sentais son souffle sur mon visage. Il me dit « Laisse-moi faire s’il te plait, c’est sans conséquence ». Avant que j’aie pu comprendre ce qu’il voulait dire, sa deuxième main vint se loger sur ma fesse gauche puis il tira mon string vers le bas. Il le descendit jusqu’à mes chevilles. J’aurai pu réagir mais je soulevais un pied, puis l’autre et le laissai le mettre dans sa poche de veste. »Mille questions se bousculaient dans ma tête. « Tu n’as pas cherché à l’en empêcher, pas à un seul instant ? Tu avais peur qu’il revienne sur sa décision de t’embaucher ou tu en avais envie simplement ? » demandais-je« Je ne sais te dire, je crois que le moment s’y prêtait, j’étais surement curieuse de ce qu’il voulait faire ou bien j’avais peur de lui refuser. C’est encore trop frais pour analyser. »« Et ensuite ? » lui dis-je« Il a repassé ses mains sous ma robe et à caressé mes fesses. J’ai senti qu’il tremblait, il semblait très impressionné. Il m’a dit : tu es plus belle et plus douce encore que je l’imaginais. Je n’ai pas osé répondre. Ses caresses étaient très sensuelles et ses grandes mains s’emparaient presque totalement de mes fesses. Ses doigts, timides s’insinuaient de temps en temps jusqu’à mes lèvres. Je crois malheureusement qu’il a dû sentir que je n’étais pas indifférente à ses caresses. Vraiment je ne sais pas ce qui m’a pris. Excuse-moi »Je ne su que répondre, j’étais abasourdi mais aussi très excité. Au fil de son récit je voyais les images de ce moment incroyable. J’émergeais de mes pensées et lui demandais « Il t’a embrassée ? » « Il a essayé mais j’ai tourné la tête »« Il a gardé ta culotte ? Comment ça s’est fini ? »« Oui il l’a gardée, je ne sais pas pourquoi. Peut-être a-t-il simplement oublié de me la rendre sous le coup de l’émotion » me dit PhaniePuis elle marqua un silence et me dit « Tu ne m’en veux pas ? Dis-moi que tu ne m’en veux pas »Je lui répondis que non, je me sentais un peu fautif de l’avoir poussée à le charmer pour obtenir gain de cause. J’ajoutais « Et puis tu sais si je veux être sincère avec toi, cette situation m’excite beaucoup. Je t’aime, tu es ma femme, mais c’est un peu un fantasme que tu réalises pour moi »« Tu es sûr mon amour ? » renchérit-elle. « Oui vraiment n’aie aucune crainte, sauf si tu me dis que tu as eu un coup de foudre… »« Absolument pas » répondit Phanie. « C’est vraiment inexpliqué. Entre pulsion et euphorie. Je pense que je n’aurai jamais laissé quoi que ce soit se passer si nous n’avions pas eu tous ces jeux, ces histoires érotiques entre nous. Peut-être voulais-je inconsciemment te faire plaisir »Je lui dis « Et toi tu t’es faite plaisir ? » Elle marqua un instant de silence et me dit « Je ne t’ai pas tout dit et je veux être honnête avec toi » Elle baissa les yeux. « Il me prit la main et m’emmena vers le bas de l’escalier. Je devais être dans un état second car je me souviens m’être dit que le parfum d’ambiance de cet hôtel était divin. Puis il s’arrêta devant les toilettes hommes, se tourna vers moi et me dit : ne réfléchis pas, ça n’arrivera qu’une fois, j’en rêve depuis si longtemps. Ça ne remettra rien en question entre nous et j’ai le sentiment que tu en as envie !
Il ne me laissa pas le temps de répondre, ouvrit la porte des toilettes et choisit la cabine la plus éloignée de l’entrée. Il me guida vers l’intérieur et ferma la porte derrière lui. Il enleva sa veste de costume et l’accrocha au porte manteau derrière la porte. Puis il me fixa, longuement, attendant peut-être de ma part une remarque, un refus, un assentiment. Il me dit : « je veux te voir, laisse-moi te voir Stéphanie » et joignant le geste à la parole il défit un à un les boutons sur le devant de ma robe. Arrivé au dernier, il me fit me retourner. J’obéissais, consciente mais comme guidée par une curiosité aussi hypnotisante qu’excitante. Lorsque je fus tournée, il mit ses mains sur mes épaules et fit glisser ma robe jusqu’à mes pieds. Il la ramassa et l’accrocha sur le porte manteau »Phanie me racontait cette scène incroyable avec tant de précision qu’on aurait dit un récit érotique. Ses yeux baissés, elle revivait la scène. Mes mains machinalement étaient posées sur ses fesses et je ne pus m’empêcher de penser qu’une heure avant les mains de Vincent étaient au même endroit.
« Lorsque je fus nue devant lui, il dit dans un souffle : magnifique, tu es magnifique. Il me fit pivoter pour être face à lui et son regard parcouru l’entièreté de mon corps s’attardant sur mes seins, je le vis surpris par mon sexe rasé, et descendit sur mes jambes. Le sourire accroché à son visage décrivait le plaisir qu’il prenait à me voir et je trouvais cela incroyablement charmant et excitant. Puis il me dit simplement en murmurant dans mon oreille : « j’ai envie de toi, je vais te faire l’amour » Je crois que j’en avais très envie à ce moment précis, chéri, je m’en veux terriblement mais je sentais que je le voulais. Je ne lui ai rien répondu, je me suis tournée, légèrement penchée. J’ai entendu le bruit de sa boucle de ceinture, j’ai vu en regardant au sol qu’il avait enlevé son pantalon puis son caleçon qu’il a méthodiquement accroché au porte manteau. Puis j’ai senti soudain sa raideur dans le creux de mes reins et ses mains qui s’emparaient de mes seins. Jusque-là j’étais restée extrêmement passive mais là j’ai juste eu envie de prendre son sexe dans ma main. Toujours de dos j’ai cherché son sexe et j’ai alors senti qu’il était à la mesure de la masse corporelle de Vincent, long et épais. Je l’ai trouvé incroyablement dur et imposant.
Puis sans dire un mot je l’ai guidé entre mes fesses. Je sentais son souffle sur moi, fébrile et dans le même temps le bout de sa bite qui venait se poser sur mes lèvres tellement glissantes qu’il vint frotter mon clitoris. A ce moment une décharge électrique parcouru mon corps, il dû le sentir car il réitéra ce frottement tellement excitant. J’avais très envie qu’il me pénètre mais cette caresse me faisait tellement de bien que j’ondulais mon bassin pour sentir son gland frotter encore contre mon clitoris. Il écartait mes fesses de ses mains puissantes pour faciliter le passage.
Je remis sa bite devant l’entrée de mon sexe et senti que Vincent exerça une poussée qui eut pour effet de le faire coulisser en moi. Il me semblait vraiment très gros, comme quand nous n’avons pas fait l’amour depuis longtemps. Il poussa un peu plus et un peu plus encore. Ces gestes si délicats et mal assurés tranchaient avec l’aspect massif de Vincent et l’assurance en lui que je lui connais. Ses mains revenues sur mes seins, les abandonnèrent pour prendre possession de mes hanches.
Bien logé, il commença à imprimer un va et vient et je dois te dire que je savais dès ses premiers mouvements que mon orgasme ne tarderait pas. En effet au bout de quelques minutes je mordais mes lèvres pour ne pas crier mon plaisir. Surement encouragé par ce qu’il sentait dans mon ventre, il m’a tournée pour m’appuyer sur le mur et ainsi imprimer des mouvements plus rapides ce qui eut pour effet de me procurer un deuxième orgasme très rapide. A un moment il s’arrêta, mon corps tremblait encore du plaisir qui venait de le traverser. Il se décolla de moi, me tourna et me dit : je veux te voir. Il me porta de ses bras puissants, instinctivement je passais mes jambes autour de sa taille et je sentis immédiatement son sexe appuyer contre le mien et enfin entrer en moi. Il me baisait comme si je ne pesais que quelques grammes et me faisait aller et venir sur son sexe. Ses mains soutenaient mes fesses et son doigt appuya sur mon cul pour le pénétrer. Me sentir prise ainsi me procurait des sensations incroyables. Il me regardait toujours très fixement et approcha sa bouche de la mienne. Dans le feu de l’action et sentant que j’allais bientôt jouir de nouveau, j’acceptai sa bouche et laissai sa langue caresser la mienne.
« Il me dit dans un souffle qu’il avait envie de jouir, ce à quoi je répondis que je ne voulais pas qu’il vienne dans mon sexe. Il recula son bassin pour s’extraire de moi avec difficultés au regard de sa longueur, puis de sa main guida le bout de sa bite vers mes fesses. Je le regardais interrogative mais l’état d’excitation dans lequel j’étais m’empêcha tout refus. Son sexe appuya sur mes fesses puis il coulissa en moi tandis que j’avais toujours mes jambes autour de sa taille. Il imprima un mouvement lent et puissant pour le faire glisser en moi. Je me sentais possédée comme jamais. Il me souleva puis me laissa retomber de nouveau sur sa bite, ce qui eut pour effet de l’enfoncer presque entièrement dans mon cul. Je sentais à la puissance de ses coups qu’il était au bord de l’explosion et pour la première fois, que je pouvais jouir de cette façon. Il m’embrassa de nouveau avec beaucoup de fougue et ce baiser jumelé à la sensation d’être prise ainsi acheva mes dernières résistances et nous avons joui simultanément. »Elle s’arrêta puis me dit « voilà mon amour je t’ai tout dit. Il s’est agenouillé, a ramassé ma robe, puis m’a rhabillée en remontant très doucement le long de mon corps et posant un baiser tantôt sur mes jambes mais aussi passa sa langue sur mon clitoris, mon ventre et sur mes seins. Il m’a assuré que ça ne se reproduirait plus mais qu’il était émerveillé de ce qu’il venait de vivre. Avant de partir, il me dit qu’il m’écrivait pour un prochain rdv lors duquel nous signerions ma promesse d’embauche ».
Je mis un certain temps à me remettre de ce récit. Je restais perplexe et Phanie scrutait chacune de mes réactions. Elle prit l’initiative de m’embrasser à pleine bouche et me dit « ça ne doit rien changer entre nous mon amour, je t’aime »« Je t’aime » lui répondis-je « Ne t’en fais pas »Je devais maintenant m’habituer à cette idée mais surtout à ne pas craindre l’avenir et plus précisément ce prochain rdv.
En fait et malgré cela, j’avais confiance en elle. En nous.
Même si elle n’est pas du tout en phase avec la nouvelle organisation, le fait de savoir qu’elle fait partie des éléments dont l’entreprise ne rechignerait pas à se séparer a été un coup de massue pour elle.
Cet entretien n’a pas été sans conséquence sur sa motivation bien sûr, mais également sur son moral qui s’est écroulé soudain. Même nos relations en furent changées. Plus distante et préoccupée, nous nous disputons beaucoup et je déplore que nous en soyons arrivés à cela.
Un soir je lui dis : « pourquoi ne recontactes-tu pas ton ancien boss, Vincent ? »Le Vincent en question fut son patron pendant 3 ans. Il a quitté l’entreprise pour un poste de DG dans une autre société d’assurances, avant le début de la valse des dirigeants.
« J’y ai pensé » me répondit-elle « mais je n’aime pas quémander et je n’aime pas les gens qui t’appellent quand ils ont besoin de quelque chose »Je décidais de raffermir le ton, quelque peu excédé par cette situation et ses conséquences. « Tu ne dois rien à ta boite et le fait que nous nous engueulions sans cesse à cause d’eux est déjà un motif de départ ». « Tout le monde fait appel à son réseau lorsqu’il souhaite changer de poste ou de société, ça sert à ça le réseau et Vincent, je pense, a gardé un très bon souvenir de toi ».
« Oui c’est sûr » me répondit-elle « mais tu te souviens qu’il était aussi coureur et un peu lourd parfois »Effectivement, Phanie m’avait raconté qu’à plusieurs reprises mais sans jamais aller trop loin, il lui avait fait des remarques insidieuses sur son corps, sa joliesse, sa garde-robe très féminine etc…Et même un jour lors d’un déplacement en province et alors qu’ils rentraient à l’hôtel après un dîner quelque peu arrosé, il l’avait tenue par la taille en marchant et arrivés devant l’ascenseur avait déclaré qu’il était dommage qu’ils se quittent ainsi et qu’il aimait sa compagnie, leur discussions et son intelligence.
Phanie m’avait raconté cela et même parfois nous en jouions dans les scenarii érotiques qui agrémentaient nos ébats.
Cependant, elle trouvait cela toujours embarrassant qu’on puisse ne voir en elle qu’une jolie fille bien faite. Elle a toujours placé la séduction intellectuelle bien au-dessus de la séduction physique et bien souvent il lui faisait remarquer sans lui dire directement qu’il la trouvait très à son goût. Néanmoins elle reconnait qu’en marge de cela il n’était pas avare de compliments pour ce qui concernait son efficacité, son professionnalisme.
« Raison de plus » répondis-je « mais il serait dommage de ne pas l’utiliser pour te sortir de cette situation qui va finir pas avoir un impact retentissant sur notre couple ». C’était dit, je venais de lui rappeler que nous nous mettions en danger à force qu’elle s’enfonce sans réagir dans ce marasme professionnel.
Finalement l’idée fit son chemin et elle décida de lui envoyer un mail expliquant la situation dans laquelle elle était et le rappelant à leurs 3 années de collaboration fructueuse. Elle terminait son message en sollicitant un entretien avec son DRH et en ponctuant par le plaisir d’une nouvelle collaboration.
Il ne fallut que quelques heures à son ex boss pour répondre. Le ton de son mail était enjoué et très agréable. Il concluait par le fait que les ressources humaines prendraient contact avec elle dans les meilleurs délais mais qu’il n’était certain d’avoir un poste vacant répondant à ses aspirations.
Phanie prit ce mail et la formule de politesse qui le concluait comme une fin de non-recevoir et j’avoue que je n’étais pas plus positif dans mon interprétation.
Pourtant le lendemain de ce mail elle reçut un appel de Vincent, lui disant qu’il fallait qu’ils se voient. Il avait un poste de Manager en Communication à lui proposer mais ne pouvait pas l’officialiser car la personne en poste était en couple avec une autre assez bien placée aux ressources humaines.
Quand Phanie me relata leur appel, je vis dans ses yeux briller une petite flamme qui avait disparue depuis longtemps. Elle, d’un naturel si gai, était devenue si morose, que la voir enjouée de nouveau me fit beaucoup de bien.
Il lui avait donné rdv deux soirs plus tard dans le bar d’un hôtel de luxe rue de la Paix à Paris au motif de la confidentialité de leur échange.
Le matin du rdv Phanie s’appliqua à choisir des vêtements sobres et un peu stricts, comme ceux qu’on choisit par réflexe pour un entretien.
En sortant de la salle de bain, je la trouvais nue, si désirable, en train de choisir entre 2 ou 3 ensembles. Je profitais qu’elle fut baissée sur le lit pour venir, nu également, coller mon sexe entre ses fesses et la prendre dans mes bras. Je l’embrassais dans le cou en lui disant de ne pas s’inquiéter. Depuis que son travail la préoccupe nous n’avons eu que si peu l’occasion de faire l’amour que je sentais qu’il ne faudrait que peu de temps à mon sexe dans cette position pour monter dans les tours.
Voyant les tenues plutôt strictes qu’elle avait choisies, je lui dis : « chérie, ce n’est quand même pas comme un entretien de recrutement traditionnel. Vous vous connaissez depuis assez longtemps. Au contraire j’aurai tendance à penser que puisque tu sais quels genre de vêtements il aimait que tu portes, tu devrais utiliser cet atout ».
Elle me répondit que ce n’était pas son premier réflexe mais qu’après tout le but d’un entretien est d’être à son avantage. « Te souviens-tu des tenues qu’il aimait te voir porter ? » lui demandais-je.
« Oui je crois » répondit-elle « Souvent il me complimentait lorsque je portais des petites robes d’été fleuries, un peu champêtres ou quand je mettais un jean ajusté avec un chemisier ».
Il est vrai que ces 2 tenues lui vont particulièrement bien. Son corps gracile, ses petites fesses et ses seins menus si joliment dessinés dans un tissu léger sont un appel à l’amour.
« Au moins tu te souviens de ce qu’il aime » lui dis-je en plaisantant « c’est que tu n’y étais finalement pas si indifférente ». Rien que cette pensée vint faire enfler mon sexe entre ses deux globes fessiers et j’avoue que l’idée de la prendre ainsi debout m’a plus qu’effleuré l’esprit.
Elle me dit en souriant « pas le moment mon chéri mais je suis contente de te faire encore cet effet-là » « Pour la peine, tu as raison, je mets ma petite robe verte »Elle enfila un mini string et un soutien-gorge assorti et passa la robe.
« Comment me trouves-tu ? » demanda-t-elle« Je t’embauche immédiatement et installe ton bureau dans le mien » lui dis-je en riant.
Toute la journée durant je pensais à son entretien de ce soir. J’aurai aimé être une petite souris pour voir comment il se comporterait.
J’attendis la fin de l’après-midi pour lui envoyer un mail dans lequel je lui souhaitais bon courage et plaisantai en lui disant que s’il avait réservé une chambre, qu’il lui fasse signer sa promesse d’embauche avant de monter. Elle me répondit « Tu es bête mais merci du conseil ». A mon tour je lui dis « Tu oserais me raconter s’il te drague ? »« Je crois que oui « répondit-elleL’attente de son retour, je l’avoue, fut un peu longue et c’est le cœur battant que je l’entendis ouvrir la porte de l’appartement. J’accourais pour l’embrasser et prendre des nouvelles.
Elle me tendit la description du poste en souriant. Ça devenait concret. Le poste correspondait en tout point à ce qu’elle faisait et souhaitai continuer à faire. Il lui demanda de réfléchir et lui proposa de se revoir au même endroit 2 jours plus tard. Si elle était d’accord, il lui ferait envoyer sa promesse d’embauche et déclencherait le départ de la personne qui occupait le poste actuellement et ne donnait a priori pas du tout satisfaction.
Phanie était vraiment heureuse et radieuse, comme si cette description de fonction venait à elle seule régler tous ses maux.
Nous avons passé une partie de la soirée à prendre note des questions qu’elle lui poserait lors du prochain rdv et nous sommes couchés plus légers que d’ordinaire.
Au moment de se dire bonne nuit, je me collais contre elle et lui murmura à l’oreille « Tu crois que la petite robe verte a fait son effet ? »« J’en suis sûre » me répondit-elle. « Ses premières phrases ont été : je suis ravi de te revoir et tu es vraiment très en beauté, cette robe te va à merveille ».
Puis elle me dit qu’à plusieurs reprises lorsqu’elle se baissait pour prendre des mignardises qu’on leur avait servi, elle surprit son regard se perdre dans l’échancrure de sa robe lui laissant forcément voir son soutien-gorge transparent.
« Il t’a draguée ou flattée ? » demandais-je. « Pas vraiment draguée mais lorsque je lui ai dit que la proposition m’intéressait, il m’a tendu la main en me disant : affaire conclue ? Et tandis que je serrai la sienne, il la garda longuement en me regardant droit dans les yeux »« Il est impressionnant ? » lui dis-je« Oui il est grand, les yeux clairs, le regard direct, il est massif. Pas beau mais charmant ».
« Tu as aimé qu’il voit tes petits seins ? » « Il n’a rien vu nettement je pense et toi tu aurais aimé qu’il les voit ?» me demanda-t-elle.
La sentant joueuse, je continuai mon petit scénar et laissai mes mains courir le long de son corps dénudé. Je passai par-dessus elle, bloqua ses poignets et tandis que je lui racontai ce qu’il avait forcément pu voir et la façon dont ça l’avait excité, je frottais mon sexe contre son clitoris puis la pénétrai. Phanie jouit très vite sous ma queue, comme libérée d’un poids.
J’étais heureux de m’endormir à coté de ma chérie que je retrouvais enfin.
Le lendemain soir nous nous rejoignîmes pour un apéro en terrasse. Je la vis arrivée la mine plus fermée. A peine le temps d’un bisou qu’elle me dit que Vincent l’avait appelée pour lui dire qu’il avait touché un mot au Directeur de la salariée que Phanie devait remplacer et que le départ de cette dernière ne serait pas une mince affaire. Revêche et dotée d’un excellent réseau, elle pourrait leur donner du fil à retordre.
Phanie était désemparée, abasourdie. Nous avions déjà projeté beaucoup sur ce poste. Peut-être un peu trop rapidement du reste.
Je l’encourageais en lui disant que s’il voulait travailler avec elle, il se débrouillerait pour que ça arrive. C’est le Directeur General après tout. Egalement je lui rappelai qu’il avait maintenu le rdv du lendemain, ce qui était bon signe. Je lui dis que c’était à elle de lui donner la motivation suffisante pour affronter la fille en poste et pour l’embaucher.
Phanie me répondit qu’elle voulait vraiment ce poste, que c’était l’opportunité pour elle de sortir du panier de crabes dans lequel elle survivait depuis trop longtemps.
« Tu sais chérie, tu dois te donner les moyens de l’obtenir ce poste » lui dis-je. « Convaincs-le en lui expliquant ce que tu peux apporter en terme de structure, de vision, valorise ton expérience, ton sérieux » Et j’ajoutais «N’hésite pas à être charmante. Un entretien est aussi et avant tout un exercice de séduction. Un grand patron n’est jamais qu’un homme et tu as l’avantage de savoir déjà que tu lui plais beaucoup. Joues-en. Ne crains pas que je te blâme, je sais que tu m’aimes et j’ai autant envie que toi que tu obtiennes ce job »Elle resta pensive un instant puis se retourna et m’embrassa. Je l’avais senti rassurée par notre discussion.
Le lendemain matin, je dû partir tôt. Je lui laissais un petit mot dans la salle de bain : « Sors le grand jeu, ne crains rien. Je t’aime »Je savais au fond de moi qu’elle pouvait être très séduisante, sexy et charmeuse sans jamais être vulgaire. C’est ce que j’ai aimé chez elle. Je reconnais aussi que cette situation était très excitante pour moi et je n’avais qu’une hâte, être à ce soir pour qu’elle me raconte.
Un peu avant d’arriver à son rdv elle m’écrivit ; « J’arrive au rdv chéri, j’ai un peu peur mais je suis déterminée. Merci de ton soutien »Message auquel je répondis : « Je suis de tout cœur avec toi. Tu me raconteras tout ? J PS : comme il reluquera ton décolleté, ne met rien en dessous J»« Bien sûr J » écrivit-elleJe rentrais le soir pour cuisiner un peu et préparer son arrivée. Phanie fit son apparition à presque 21h30.
Elle se jeta dans mes bras et me dit « J’ai le poste ! » puis elle fondit en larmes.
« Des larmes de joie ? » lui demandais-je « Bien sûr, si tu savais comme je suis soulagée »Je lui demandai de me raconter l’entretien et seulement lorsqu’elle m’en faisait le récit, je remarquais qu’elle était vraiment très joliment habillée. Une petite robe bleue légère, boutonnée par le devant, arrivant à mi cuisses.
Elle lui dit d’entrée de jeu qu’elle a vraiment eu très peur après son appel et il s’en excusa. Il lui expliqua que la salariée en question mettait des bâtons dans les roues de tout le monde mais qu’elle avait un soutien important de 2 membres de la Direction. Et ajouta que l’un d’entre eux était son amant…Suite à quoi Phanie, lui expliqua par le menu l’envergure de son poste, ce qu’elle saurait apporter faisant la démonstration répétée et factuelle de ses qualités de manager et autre vision stratégique.
Vincent laissa un silence après cet argumentaire et lui dit « Tu le veux ce job dis-moi ! »Phanie lui demanda si c’était une question. Il répondit « Non, il est pour toi ». La prochaine fois que nous nous voyons c’est avec une promesse d’embauche ».
Phanie exulta de joie. Il lui dit qu’il était content pour elle et qu’il prendrait beaucoup de plaisir à travailler avec. Puis ajouta « Quelle chance de pouvoir te voir tous les jours » en souriant. Encore dans l’euphorie de la nouvelle elle répondit sans réfléchir « Merci c’est gentil ».
« Tu pourras remettre cette robe ? » dit-il sur un ton amusé« Quand tu veux, si elle me porte chance ainsi à chaque fois que je la porte… » répondit-elle en riantJe la félicitais bien sûr et fini par lui dire « Et bien dis-moi, c’est une déclaration ouverte qu’il t’a faite ? »Phanie rit puis me dit qu’il avait souvent tenu ce genre de propos sur le ton de l’amusement quand ils bossaient ensemble.
A un moment je fis tomber un morceau d’échalote et Phanie se pencha pour le ramasser. Avec stupeur et en regardant dans le décolleté de sa robe j’aperçus ses petits seins libres. Mon cœur fit un bond. Je ne saurai dire si c’était de surprise ou d’excitation mais j’étais comme pétrifié. L’avait-elle enlevé avant l’entretien comme je lui avais conseillé en plaisantant ou n’en avait-elle pas mis délibérément ce matin, ce qui n’arrivait quasiment jamais au boulot.
Je décidais de lui poser directement la question. Je me rapprochais d’elle, l’entourai de mes bras et lui dis « Tu l’as enlevé juste avant l’entretien ? »Elle me regarda droit dans les yeux, un peu gênée et me dit « Oui juste avant, je suis passée par les toilettes. Ce n’est pas bien qu’en penses-tu ? »«S’en est-il aperçu ? » demandais-je «Oui » dit-elle.
Rien qu’à ce mots je senti mon sexe se tendre. « Comment le sais-tu ? »« Parce qu’à plusieurs reprises je me suis baissée sur la table pour prendre des petits gâteaux apéritif et en levant les yeux j’ai vu qu’il regardait dans mon décolleté. Et vu comment la robe baille, il n’a pas pu ne pas voir » « C’est d’ailleurs à ce moment qu’il m’a dit que ma robe était très belle et qu’elle m’allait très bien » « Puis il a ajouté en riant : tu ne devrais pas te pencher ainsi c’est un appel au crime ! Je fis mine d’être surprise et mis sitôt ma main pour cacher mon décolleté en m’excusant. Il ajouta : tu peux te le permettre et je te remercie pour cette vue magnifique. Tu sors souvent ainsi ou c’est juste pour moi ? Je lui répondis que l’été ça m’arrivait »Elle ajouta « je n’aurai pas dû répondre de la sorte mais dans l’euphorie du moment, une deuxième coupe de champagne et tes scenario érotiques, je me suis sentie le droit et l’envie de le faire »« Il devait être très excité » ajoutais-jePhanie ne répondit pas. Nous avons diné, regardé la télé sans trop parler mais en se câlinant beaucoup. Je ne cessais d’imaginer Vincent lorgnant sur ces jolis petits seins que j’aime tant.
Puis nous sommes allés nous coucher. J’étais assis sur le lit à régler mon réveil matin quand Phanie vint devant moi et s’assit sur mes genoux, toute douce. Elle se lova contre moi. Je pris ça pour une envie de câlins et passa ma main sous sa petit robe. Là 2eme choc, je ne sentis pas de string non plus. Je la reculais, la regardai. Elle me fixa et me dit : « Je ne t’ai pas tout raconté ».
Ma bouche s’assécha immédiatement. « Continue » lui dis-je. « N’ai pas peur de me parler »« Nous avons beaucoup discuté et je sentais que Vincent me draguait plus ouvertement. Il ne mentionna plus l’épisode du décolleté mais me posait des questions sur nous, sur ma vie et je sentais dans le ton de sa voix qu’il voulait me charmer »« Ca marchait ? » lui demandais-jeElle répondit « il est charmant oui mais je t’aime » « Laisse-moi finir chéri »Elle prit sa respiration comme avant une apnée et raconta « Nous avons beaucoup bu et beaucoup discuté. Je lui ai répété que j’étais enchantée de cette nouvelle et enfin que je devais partir. Je me suis levée et ai pris mon sac pour descendre aux toilettes. Je descendais un somptueux escalier quand j’entendis qu’il m’appela. Il m’avait emboité le pas. Il me dépassa, se positionna une marche plus bas que moi, me fit face et me dit : s’il te plait laisse-moi juste vérifier quelque chose, ne dis rien. Il était très proche de moi et me fixait. Soudain j’ai senti sa main remonter le long de ma cuisse vers ma fesse. Je n’ai pas réagi, j’étais comme pétrifiée. Je n’avais pas peur bizarrement. Sa main remonta jusqu’à ma fesse sur laquelle il exerça une légère pression puis continua vers le creux de mes reins. Arrivé à la lisière de mon string, il s’arrêta. Il ne lâchai pas mon regard et je sentais son souffle sur mon visage. Il me dit « Laisse-moi faire s’il te plait, c’est sans conséquence ». Avant que j’aie pu comprendre ce qu’il voulait dire, sa deuxième main vint se loger sur ma fesse gauche puis il tira mon string vers le bas. Il le descendit jusqu’à mes chevilles. J’aurai pu réagir mais je soulevais un pied, puis l’autre et le laissai le mettre dans sa poche de veste. »Mille questions se bousculaient dans ma tête. « Tu n’as pas cherché à l’en empêcher, pas à un seul instant ? Tu avais peur qu’il revienne sur sa décision de t’embaucher ou tu en avais envie simplement ? » demandais-je« Je ne sais te dire, je crois que le moment s’y prêtait, j’étais surement curieuse de ce qu’il voulait faire ou bien j’avais peur de lui refuser. C’est encore trop frais pour analyser. »« Et ensuite ? » lui dis-je« Il a repassé ses mains sous ma robe et à caressé mes fesses. J’ai senti qu’il tremblait, il semblait très impressionné. Il m’a dit : tu es plus belle et plus douce encore que je l’imaginais. Je n’ai pas osé répondre. Ses caresses étaient très sensuelles et ses grandes mains s’emparaient presque totalement de mes fesses. Ses doigts, timides s’insinuaient de temps en temps jusqu’à mes lèvres. Je crois malheureusement qu’il a dû sentir que je n’étais pas indifférente à ses caresses. Vraiment je ne sais pas ce qui m’a pris. Excuse-moi »Je ne su que répondre, j’étais abasourdi mais aussi très excité. Au fil de son récit je voyais les images de ce moment incroyable. J’émergeais de mes pensées et lui demandais « Il t’a embrassée ? » « Il a essayé mais j’ai tourné la tête »« Il a gardé ta culotte ? Comment ça s’est fini ? »« Oui il l’a gardée, je ne sais pas pourquoi. Peut-être a-t-il simplement oublié de me la rendre sous le coup de l’émotion » me dit PhaniePuis elle marqua un silence et me dit « Tu ne m’en veux pas ? Dis-moi que tu ne m’en veux pas »Je lui répondis que non, je me sentais un peu fautif de l’avoir poussée à le charmer pour obtenir gain de cause. J’ajoutais « Et puis tu sais si je veux être sincère avec toi, cette situation m’excite beaucoup. Je t’aime, tu es ma femme, mais c’est un peu un fantasme que tu réalises pour moi »« Tu es sûr mon amour ? » renchérit-elle. « Oui vraiment n’aie aucune crainte, sauf si tu me dis que tu as eu un coup de foudre… »« Absolument pas » répondit Phanie. « C’est vraiment inexpliqué. Entre pulsion et euphorie. Je pense que je n’aurai jamais laissé quoi que ce soit se passer si nous n’avions pas eu tous ces jeux, ces histoires érotiques entre nous. Peut-être voulais-je inconsciemment te faire plaisir »Je lui dis « Et toi tu t’es faite plaisir ? » Elle marqua un instant de silence et me dit « Je ne t’ai pas tout dit et je veux être honnête avec toi » Elle baissa les yeux. « Il me prit la main et m’emmena vers le bas de l’escalier. Je devais être dans un état second car je me souviens m’être dit que le parfum d’ambiance de cet hôtel était divin. Puis il s’arrêta devant les toilettes hommes, se tourna vers moi et me dit : ne réfléchis pas, ça n’arrivera qu’une fois, j’en rêve depuis si longtemps. Ça ne remettra rien en question entre nous et j’ai le sentiment que tu en as envie !
Il ne me laissa pas le temps de répondre, ouvrit la porte des toilettes et choisit la cabine la plus éloignée de l’entrée. Il me guida vers l’intérieur et ferma la porte derrière lui. Il enleva sa veste de costume et l’accrocha au porte manteau derrière la porte. Puis il me fixa, longuement, attendant peut-être de ma part une remarque, un refus, un assentiment. Il me dit : « je veux te voir, laisse-moi te voir Stéphanie » et joignant le geste à la parole il défit un à un les boutons sur le devant de ma robe. Arrivé au dernier, il me fit me retourner. J’obéissais, consciente mais comme guidée par une curiosité aussi hypnotisante qu’excitante. Lorsque je fus tournée, il mit ses mains sur mes épaules et fit glisser ma robe jusqu’à mes pieds. Il la ramassa et l’accrocha sur le porte manteau »Phanie me racontait cette scène incroyable avec tant de précision qu’on aurait dit un récit érotique. Ses yeux baissés, elle revivait la scène. Mes mains machinalement étaient posées sur ses fesses et je ne pus m’empêcher de penser qu’une heure avant les mains de Vincent étaient au même endroit.
« Lorsque je fus nue devant lui, il dit dans un souffle : magnifique, tu es magnifique. Il me fit pivoter pour être face à lui et son regard parcouru l’entièreté de mon corps s’attardant sur mes seins, je le vis surpris par mon sexe rasé, et descendit sur mes jambes. Le sourire accroché à son visage décrivait le plaisir qu’il prenait à me voir et je trouvais cela incroyablement charmant et excitant. Puis il me dit simplement en murmurant dans mon oreille : « j’ai envie de toi, je vais te faire l’amour » Je crois que j’en avais très envie à ce moment précis, chéri, je m’en veux terriblement mais je sentais que je le voulais. Je ne lui ai rien répondu, je me suis tournée, légèrement penchée. J’ai entendu le bruit de sa boucle de ceinture, j’ai vu en regardant au sol qu’il avait enlevé son pantalon puis son caleçon qu’il a méthodiquement accroché au porte manteau. Puis j’ai senti soudain sa raideur dans le creux de mes reins et ses mains qui s’emparaient de mes seins. Jusque-là j’étais restée extrêmement passive mais là j’ai juste eu envie de prendre son sexe dans ma main. Toujours de dos j’ai cherché son sexe et j’ai alors senti qu’il était à la mesure de la masse corporelle de Vincent, long et épais. Je l’ai trouvé incroyablement dur et imposant.
Puis sans dire un mot je l’ai guidé entre mes fesses. Je sentais son souffle sur moi, fébrile et dans le même temps le bout de sa bite qui venait se poser sur mes lèvres tellement glissantes qu’il vint frotter mon clitoris. A ce moment une décharge électrique parcouru mon corps, il dû le sentir car il réitéra ce frottement tellement excitant. J’avais très envie qu’il me pénètre mais cette caresse me faisait tellement de bien que j’ondulais mon bassin pour sentir son gland frotter encore contre mon clitoris. Il écartait mes fesses de ses mains puissantes pour faciliter le passage.
Je remis sa bite devant l’entrée de mon sexe et senti que Vincent exerça une poussée qui eut pour effet de le faire coulisser en moi. Il me semblait vraiment très gros, comme quand nous n’avons pas fait l’amour depuis longtemps. Il poussa un peu plus et un peu plus encore. Ces gestes si délicats et mal assurés tranchaient avec l’aspect massif de Vincent et l’assurance en lui que je lui connais. Ses mains revenues sur mes seins, les abandonnèrent pour prendre possession de mes hanches.
Bien logé, il commença à imprimer un va et vient et je dois te dire que je savais dès ses premiers mouvements que mon orgasme ne tarderait pas. En effet au bout de quelques minutes je mordais mes lèvres pour ne pas crier mon plaisir. Surement encouragé par ce qu’il sentait dans mon ventre, il m’a tournée pour m’appuyer sur le mur et ainsi imprimer des mouvements plus rapides ce qui eut pour effet de me procurer un deuxième orgasme très rapide. A un moment il s’arrêta, mon corps tremblait encore du plaisir qui venait de le traverser. Il se décolla de moi, me tourna et me dit : je veux te voir. Il me porta de ses bras puissants, instinctivement je passais mes jambes autour de sa taille et je sentis immédiatement son sexe appuyer contre le mien et enfin entrer en moi. Il me baisait comme si je ne pesais que quelques grammes et me faisait aller et venir sur son sexe. Ses mains soutenaient mes fesses et son doigt appuya sur mon cul pour le pénétrer. Me sentir prise ainsi me procurait des sensations incroyables. Il me regardait toujours très fixement et approcha sa bouche de la mienne. Dans le feu de l’action et sentant que j’allais bientôt jouir de nouveau, j’acceptai sa bouche et laissai sa langue caresser la mienne.
« Il me dit dans un souffle qu’il avait envie de jouir, ce à quoi je répondis que je ne voulais pas qu’il vienne dans mon sexe. Il recula son bassin pour s’extraire de moi avec difficultés au regard de sa longueur, puis de sa main guida le bout de sa bite vers mes fesses. Je le regardais interrogative mais l’état d’excitation dans lequel j’étais m’empêcha tout refus. Son sexe appuya sur mes fesses puis il coulissa en moi tandis que j’avais toujours mes jambes autour de sa taille. Il imprima un mouvement lent et puissant pour le faire glisser en moi. Je me sentais possédée comme jamais. Il me souleva puis me laissa retomber de nouveau sur sa bite, ce qui eut pour effet de l’enfoncer presque entièrement dans mon cul. Je sentais à la puissance de ses coups qu’il était au bord de l’explosion et pour la première fois, que je pouvais jouir de cette façon. Il m’embrassa de nouveau avec beaucoup de fougue et ce baiser jumelé à la sensation d’être prise ainsi acheva mes dernières résistances et nous avons joui simultanément. »Elle s’arrêta puis me dit « voilà mon amour je t’ai tout dit. Il s’est agenouillé, a ramassé ma robe, puis m’a rhabillée en remontant très doucement le long de mon corps et posant un baiser tantôt sur mes jambes mais aussi passa sa langue sur mon clitoris, mon ventre et sur mes seins. Il m’a assuré que ça ne se reproduirait plus mais qu’il était émerveillé de ce qu’il venait de vivre. Avant de partir, il me dit qu’il m’écrivait pour un prochain rdv lors duquel nous signerions ma promesse d’embauche ».
Je mis un certain temps à me remettre de ce récit. Je restais perplexe et Phanie scrutait chacune de mes réactions. Elle prit l’initiative de m’embrasser à pleine bouche et me dit « ça ne doit rien changer entre nous mon amour, je t’aime »« Je t’aime » lui répondis-je « Ne t’en fais pas »Je devais maintenant m’habituer à cette idée mais surtout à ne pas craindre l’avenir et plus précisément ce prochain rdv.
En fait et malgré cela, j’avais confiance en elle. En nous.
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