Un premier trio assez ... chaud!
Récit érotique écrit par Blond balaise [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-02-2007 dans la catégorie Plus on est
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Un premier trio assez ... chaud!
Bonjour à tou(te)s… Je m’appelle Mark, j’ai 37a, et je vis à Liège, en Belgique. Je suis un grand costaud d’un mètre quatre-vingt quinze pour cent vingt-cinq kilos…
Ma compagne se prénomme Linda. C’est une petite ronde bandante, avec de beaux gros seins (qui aime d’ailleurs bien de les souligner par des blouses bien décolletées !) et de longs cheveux blonds foncés…
Elle a vingt-sept ans et un regard qui en dit long sur ses intentions. Parce que, quand dans sa famille on dit que c’est une petite fille modèle, intérieurement je ris…
Nous nous sommes rencontrés sur le Net, sur un site de rencontres tout à fait classique, ou il faut déposer un profil, que les personnes susceptibles d’être intéressées peuvent aller consulter.
Petit à petit, nous nous sommes plus, et avons décidés de nous mettre en ménage ensemble, dans un petit appartement du centre-ville…
Pour éviter que la monotonie ne s’installe petit à petit dans notre relation et ne vienne gangrener notre histoire, nous avons décidés, d’un commun accord, de nous adonner aux joies du libertinage.
Linda n’a pas mis longtemps a se trouver un … « copain » de jeux.
Il se prénomme Paul et est, lui, âgé de trente et un ans.
Pendant quelques semaines, voire quelques mois, je serai très discret quand a leur jeux. Je sais juste qu’il a déjà plusieurs expériences en matière de libertinage, qu’il est très doux, et apparemment très honnête.
Il habite pas très loin de notre appart’ et il vient chercher Linda le jeudi soir, le plus souvent. Vers les 20h, pour la ramener vers 22h, au moment ou je rentre du boulot. Et à mon grand étonnement, leurs petits jeux ne calment pas souvent Linda qui m’en fait voir le plus souvent encore de belles .
Je suis préparateur de commandes dans une société qui s’occupe du stockage et du transport de pièces électriques et électroniques. Toute la journée, je scanne, je compte et j’emballe des composants, allant des « microships » aux rouleaux de câbles …
Un soir, Linda me dit qu’elle est restée toute la soirée avec Paul sur msn, et qu’elle est toute excitée… Le salaud ;) l’a chauffée à blanc !
Après une bonne douche, afin d’évacuer le stress du boulot et la fatigue accumulée pendant la journée, je suis revenu la rejoindre à l’ordi. Elle avait décidé de m’exciter aussi, et elle était bien décidé à y arriver, la garce !
Ses mains sont allées se perdre du coté de la ceinture de mon pantalon de pyjama, parfois même dedans. Il a fallu un petit temps pour me mettre en érection, après huit heures de « picking » 1. , mais ses caresses étaient tellement douces et précises qu’elle est quand même arrivée a ses fins.
Mon membre s’est redressé imperturbablement entre ses doigts, qui caressaient, soupesaient, malaxaient. Elle faisait remonter ses petites mains sur toute la longueur de ma colonne de chair, avant de retourner s’enfoncer plus bas, pour faire rouler mes testicules gonflées entre ses doigts.
Je sentais le plaisir monter doucement, et je ne voulais pas que ça se termine aussi vite. Alors, je l’ai redressée d’un coup sec, relevant du même coup sa blouse de pyjama, pour empoigner ses seins. Avec l’autre main, j’ai abaissé son pantalon sous ses fesses, sentant craquer sa culotte du même coup.
Je l’ai retournée, face contre le bureau, abaissant aussi mon pantalon, pour venir coller ma queue dressée contre ses fesses. Je me suis plaqué contre elle, glissant ma queue entre ses cuisses. Elle soupirait, elle avait envie de sexe immédiat, et elle m’avait bien chauffée, pour l’avoir.
J’ai attrapé sur le bureau le flacon de lubrifiant, dans le panier en osier, tout en la maintenant plaquée contre le meuble. Elle commençait à gémir, se rendant compte de ce qu’il allait se passer…
Maintenant mon pantalon de pyjama à mi-cuisses d’une seule main, j’ai pressé le bec verseur du flacon de lubrifiant avec l’autre, et une fois la dose étalée sur mon gland dilaté et entre ses fesses, je l’ai saisie par les hanches.
J’ai plié légèrement les genoux, et je me suis insinué entre ses cuisses serrées, espérant entrer du premier coup dans sa chatte. Malheureusement, Linda est assez bien plus petite que moi, et j’ai du poser un coussin sur la chaise du bureau et la faire monter dessus.
Elle n’a pas rechigné, et j’ai enfin pu la prendre, m’enfonçant, centimètres après centimètres dans sa chatte trempée, qui n’avait déjà plus besoin du lubrifiant.
L’image était très érotique : moi, avec le pyjama à mi-cuisses, enfonçant mon gros sexe dilaté entre les cuisses de Linda, en écartant sa culotte craquée qui ne tenait plus que grâce à l’élastique…
Elle gémissait, réagissait à chacun de mes coups de boutoirs par un cri étouffé. Et pour l’exciter encore un peu plus, j’ai commencé à lui claquer les fesses, qui sont bien vite devenues rouges. Je sentais mon gros gland décalotté entrer et ressortir de sa chatte, et je le voyais, avec en toile de fond mon pantalon de pyjama.
Il ne lui a pas fallu longtemps pour jouir. Elle a glissé sa main entre ses cuisses et s’est astiqué le clitoris à toute vitesse, déclenchant ainsi son orgasme, qu’elle a crié. Sentant son vagin se resserrer sur mon membre, j’ai accéléré la cadence pour la rejoindre dans le plaisir, mais elle m’a dit que la position devenait inconfortable pour elle et m’a demandé d’aller encore plus vite..
Je suis ressorti de sa chatte, et j’ai commencé à m’astiquer la queue de plus en plus vite, crispant et décrispant les muscles. Quelques minutes plus tard, sentant l’imminence de l’éjaculation, j’ai réintroduit ma queue entre ses cuisses serrées… juste à temps !
Je me suis vidé entièrement en elle, lui lâchant d’abondantes giclées de sperme épais et chaud au fond du ventre. Je ne suis ressorti qu’une fois ramolli, et elle est descendue de la chaise, soulageant la douleur naissante dans ses genoux.
Ô Ô Ô Ô Ô
Après cet épisode, je lui ai demandé si elle voyait un inconvénient a ce que je rencontre Paul. Je savais qu’elle avait envie d’un trio, et je voulais le lui offrir…
Je me suis rendu compte qu’elle se doutait du but de ma démarche, mais je ne pouvais plus reculer. Elle m’a donc donné l’adresse msn de Paul, et après quelques brèves discussions, le rendez-vous fût pris dans un café, hors de la ville…
Paul était effectivement un chic type, qui me précisa qu’il ne voyait Linda que pour le plaisir. Qu’il n’y avait rien d’autre entre eux.
Il travaillait dans une boîte d’informatique, du coté de Huy, et ma chère compagne avait le don de l’exciter considérablement, quand il avait le malheur de se connecter en même temps qu’elle. Je sût aussi que le préservatif était de rigueur, entre eux. Ils avaient néanmoins passés le test HIV tous les deux, négatifs des deux cotés, bien entendu …
Je lui ai glissé un mot pour le trio. Il n’avait pas l’air contre… que du contraire !
Je voulais lui offrir un trio, mais il fallait que ça se fasses avec quelqu’un de confiance. Je savais qu’entre eux deux, le courant passait bien, donc j’ai pensé a lui en premier. Il était d’accord, donc tout allait bien !
Nous nous sommes donc quittés en nous serrant la main, la tête pleine d’idées érotiques a assouvir avec Linda …
En rentrant, j’ai bien vu qu’elle se doutait de quelque chose, a son regard très expressif. Mais j’ai gardé le secret jusqu’au bout !
Ô Ô Ô Ô Ô
La date fut réservée pour le 23 décembre, le samedi avant le réveillon, de Noël. Une pierrade était au menu et Paul arriva vers 19h, avec une bonne bouteille de champagne (qu’on n’a même pas ouvert, tiens, après coup !)
Je lui avait donné quelques consignes via msn, mais je n’avais pas voulu élaborer de scénario bien précis, ne voulant pas que nous nous emmêlions les pinceaux. Il savait que Linda aurait bien voulu s’occuper de nos deux sexes en même temps, et qu’elle aurait bien voulu aussi que l’on s’occupe a deux de ses seins généreux … par exemple !
Le souper s’est bien passé, parlant de tout et de rien. J’avais prévu de regarder un film assez … hot : « Body of Evidence », avec Madonna et Willem Dafoe. Et si ce n’était pas encore chaud assez, j’avais également prévu un jeu de société pour adultes, nommé « Strip-Tease » …
A la fin du repas, après le café, j’ai proposé tout simplement de faire un petit jeu. Linda sentait venir l’oignon, et Paul, lui, marchait dans la combine avec moi. Ils ont acceptés tous les deux.
Le temps de débarrasser la table et nous sommes passés au salon, à l’ambiance plus feutrée. Le jeu était sommes toutes assez simple. Il y avait trois sortes de cartes de couleur différentes. Si le joueur suivant ne mettait pas une carte semblable ou de même couleur, il devait déposer sa carte et ne pas en reprendre. Comme nous n’avions que quatre cartes chacun, lorsqu’un joueur se retrouvait sans ses cartes, il n’avait plus d’autre choix que d’enlever un vêtement.
Après trois tours, je me suis vu obligé d’ôter mon pantalon, bientôt suivi par ma blouse et mes chaussettes. Linda et Paul, eux, étaient toujours habillés. Moi, je me retrouvais comme un con, en slip, assis sur le pouf.
Les yeux de Linda brillaient déjà d’excitation, fixant sans arrêt mon entrejambe. Je ne sais pas si c’est le stress de la première fois avec un rival de même sexe que moi, mais je ne bandais qu’a moitié !
Au tour suivant, il me restait une carte en mains, et comme par hasard, je ne suis pas arrivé a suivre Paul. Je n’ai donc pas eu d’autre choix que de me lever et de baisser mon slip devant les deux autres concurrents.
Je fis glisser le sous-vêtement le long de mes cuisses, pour l’ôter complètement, et je remarquai le regard de Paul qui, discrètement, regardait mon membre en semi-érection. Je me rassis sur le pouf.
Linda fut condamnée, au tour suivant, à ôter sa blouse, sous laquelle (la petite salope !) n’avait mis aucun soutien-gorge. Elle dévoila ainsi, aux yeux excités des deux mâles qui la regardaient son opulente poitrine aux larges aréoles brunes et gonflées. Je pensais qu’elle ferait la difficile pour l’enlever… même pas !
Paul était encore le seul qui avait encore tous ses vêtements… mais le tour suivant en décida autrement, et Linda abattit une carte qui lui autorisait a enlever une pièce de vêtement a un des joueurs de son choix… elle lui ôta donc son pull.
Je la voyais de plus en plus excitée. Ses yeux brillaient et elle lorgnait tour à tour Paul, et mon membre décalotté, qui commençait a gonfler sérieusement. La chance avait apparemment fini de tourner, et Paul fut condamné au tour suivant de baisser le pantalon, révélant un caleçon américain bleu foncé, avec trois boutons sur le devant.
Pris d’un besoin urgent, j’abandonnai la partie quelques instants, pour me rendre à la salle de bains. Et c’est en revenant que Linda me surprit le plus !
Elle avait la main sur la cuisse de Paul, dont je voyais le regard briller aussi. Elle me dit avec son air coquin qu’elle n’avait plus envie de jouer, mais plutôt de mettre le film. Mon membre était redevenu flasque, mais je sentais un délicieux picotement me parcourir l’aine. Je me rassis aussitôt dans le canapé a la droite de Linda, alors que Paul était a sa gauche.
La cassette était déjà dans le magnétoscope, et je n’eûs plus qu’a attraper la télécommande, démarrant la bande. Je me suis installé confortablement dans le divan…
Au fur et à mesure que les images défilaient sur l ‘écran, je me remémorais le film, pour l’avoir vu à plusieurs reprises. La main droite de Linda me caressait la cuisse, et sa main gauche caressait la cuisse de Paul. Je savais qu’elle aurait bien voulu s’occuper de deux sexes gonflés en même temps, et je me laissais faire. J’ignore si c’était le stress de cette première rencontre en trio, mais je bandais pas trop !
Ma main gauche a commencé à lui caresser un sein, malaxant la pointe qui durcissait sous mes doigts. J’ai remarqué que mon homologue en faisait autant, et j’entendais Linda soupirer de plus en plus…
Sa main à elle avait empoigné mon membre, qui commençait a se gorger de sang sous ses doigts. Je devinais son autre main dans le caleçon américain de Paul. Ce genre de caresses a duré un certain temps. J’entendais gémir Paul, qui savourait les caresses de Linda. De mon coté, elle alternait les mouvements lents sur la hampe et les légères pressions, empaumant mes testicules…
Soudain, elle s’est penchée vers moi, me regardant encore avec son air de petite salope, pour me prendre dans sa bouche. Elle avait déboutonné le sous-vêtement de Paul avec son autre main et sorti sa queue. Il soupirait de plus en plus. Je commençais a bander sérieusement dans sa bouche, et je regardais sa tête aller de haut en bas de ma hampe. Sa langue me caressait le bout du gland à chaque passage.
Je me relevai comme je pus, car voir sa petite bouche engloutir mon sexe m’excitait comme un fou. De sa main libre, elle empaumait et malaxait mes couilles. Je n’arrêtais pas de lui pétrir les bouts de seins, qui devenaient durs comme du béton.
Paul, lui, pendant qu’il se faisait caresser, mordillait l’autre sein, et j’entendais Linda soupirer de plus en plus aussi. Au bout d’un moment, elle a attrapé un coussin, qu’elle a mis par terre au pieds du sofa. Plus personne ne regardait le film, mais j’ai laissé aller la bande, pour avoir les gémissements et le fond sonore …
Linda s’est soudain mise à genoux entre nous deux. Elle tenait nos deux membres tendus en se léchant les babines, faisant aller et venir ses mains sur toute la longueur. Elle m’a regardé avec son air de coquine habituelle :
- Maintenant, je vais m’occuper un peu de lui … m’a t’elle soupiré.
J’entendais au son de sa voix que son excitation a elle commençait a bien se faire sentir aussi. Elle s’est penchée vers Paul et l’a embouché à son tour.
Sa langue s’est mise a courir sur le gland, dilaté au possible, pendant que sa main malaxait et faisait rouler ses burnes dans ses doigts, doucement.
Mais son autre main ne restait pas inactive. Elle reprenait les mouvements saccadés sur mon membre à moi, jouant du poignet. Paul soupirait de plus en plus, se laissant aller dans le fond du sofa.
Paul a mis un genou par terre, et je devinai qu’il la doigtait pendant qu’elle recommençait a me sucer à pleine bouche. Sa tête montait et descendait en cadence vers mon ventre. Il s’est penché et lui a enfoncé un doigt dans l’anus, pendant qu’il lui doigtait la chatte. Elle n’a pas tardé à jouir, mais moi j’étais encore un peu stressé, et je ne l’ai pas suivi tout de suite.
Notre invité s’est rassis dans le divan, pendant que Linda reprenait un peu ses esprits, après son orgasme. Nous n ‘avions pas encore joui, nous, et elle a recommencé a sucer Paul, en continuant a me masturber.
Soudain, d’un seul coup d’un seul, sa tête s’est relevée et elle m’a regardée, me jetant une œillade qui en disait long. J’en ai déduit qu’elle voulait qu’on la prenne en levrette, par terre… la petite vicieuse !
J’ai jeté un coup d’œil vers Paul, mais celui-ci savourait les caresses manuelles et buccales de Linda, et j’ai compris qu’il ne fallait plus trop lui en demander… le dénouement final approchait !
Je suis donc descendu du divan pour venir me placer derrière ma petite salope de compagne. Sa tête montait et descendait toujours en rythme sur le ventre de Paul, qui haletait de plus en plus …
C’est probablement le stress et la jalousie de voir ma compagne s’occuper d’un autre membre que le mien, mais j’ai débandé.
J’ai frotté mon membre sur et entre ses fesses, allant d’avant en arrière.
Elle m’avait tellement excité avec ses caresses qu’une goutte de pré-sperme a facilité le frottement sur et entre ses fesses, mais rien n’y a fait…pas moyen de rebander !
Frustré de perdre ma virilité comme ça, subitement, devant Paul, j’ai fait semblant de m’enfoncer entre ses cuisses.
Elle a gémi(heureusement, elle m’a suivi !), s’activant sur le membre de Paul. J’ai recommencé mes va-et-vient.
Paul, lui, haletait de plus en plus. J’ai bien compris qu’il ne tarderait plus à jouir, alors j’ai attrapé Linda par les hanches, lui donnant le rythme de mes assauts. Effectivement …
Elle a ressorti le membre de notre invité juste à temps. Il à lâché de longues giclées épaisses et blanches en l’air, retombant en lourdes gouttes sur son ventre et son torse. Au passage, il a attrapé son tee-shirt. Linda a continué a caresser son membre jusqu’à en extraire la dernière goutte, puis l’a laissé reprendre son souffle.
Moi, j’étais probablement trop stressé d’être en compétition avec lui, et j’ai glissé ma main entre ses cuisses jusqu'à son abricot tout lisse, pour lui redonner du plaisir… les doigts de son autre main étaient déjà là et s’activaient sur son bouton. Je suis rentré avec mon majeur au chaud dans son vagin juste à temps pour la sentir jouir et enserrer mon doigt entre ses muscles internes. Comme elle gémissait de plaisir en prenant son pied, j’ai du, moi aussi, faire semblant de me laisser aller. Elle ne m’a pas trahi… ouf !!!
Cinq minutes plus tard, nous étions tous les trois reculottés, assis dans le divan. Linda ramassait les verres dispersés sur la table du salon, pendant que je rangeais les cartes du jeu.
Nous n’avons rien évoqué sur le coup, et Paul a pris congé de nous simplement. Je l’ai raccompagné jusqu’à la porte d’entrée, au rez-de-chaussée.
Quand je suis remonté, Linda m’a attrapé par le bras et m’a dit, avec son air de petite garce :
- Tu sais, la première fois… ça compte toujours pour du beurre !!!
Ca promet …
Ma compagne se prénomme Linda. C’est une petite ronde bandante, avec de beaux gros seins (qui aime d’ailleurs bien de les souligner par des blouses bien décolletées !) et de longs cheveux blonds foncés…
Elle a vingt-sept ans et un regard qui en dit long sur ses intentions. Parce que, quand dans sa famille on dit que c’est une petite fille modèle, intérieurement je ris…
Nous nous sommes rencontrés sur le Net, sur un site de rencontres tout à fait classique, ou il faut déposer un profil, que les personnes susceptibles d’être intéressées peuvent aller consulter.
Petit à petit, nous nous sommes plus, et avons décidés de nous mettre en ménage ensemble, dans un petit appartement du centre-ville…
Pour éviter que la monotonie ne s’installe petit à petit dans notre relation et ne vienne gangrener notre histoire, nous avons décidés, d’un commun accord, de nous adonner aux joies du libertinage.
Linda n’a pas mis longtemps a se trouver un … « copain » de jeux.
Il se prénomme Paul et est, lui, âgé de trente et un ans.
Pendant quelques semaines, voire quelques mois, je serai très discret quand a leur jeux. Je sais juste qu’il a déjà plusieurs expériences en matière de libertinage, qu’il est très doux, et apparemment très honnête.
Il habite pas très loin de notre appart’ et il vient chercher Linda le jeudi soir, le plus souvent. Vers les 20h, pour la ramener vers 22h, au moment ou je rentre du boulot. Et à mon grand étonnement, leurs petits jeux ne calment pas souvent Linda qui m’en fait voir le plus souvent encore de belles .
Je suis préparateur de commandes dans une société qui s’occupe du stockage et du transport de pièces électriques et électroniques. Toute la journée, je scanne, je compte et j’emballe des composants, allant des « microships » aux rouleaux de câbles …
Un soir, Linda me dit qu’elle est restée toute la soirée avec Paul sur msn, et qu’elle est toute excitée… Le salaud ;) l’a chauffée à blanc !
Après une bonne douche, afin d’évacuer le stress du boulot et la fatigue accumulée pendant la journée, je suis revenu la rejoindre à l’ordi. Elle avait décidé de m’exciter aussi, et elle était bien décidé à y arriver, la garce !
Ses mains sont allées se perdre du coté de la ceinture de mon pantalon de pyjama, parfois même dedans. Il a fallu un petit temps pour me mettre en érection, après huit heures de « picking » 1. , mais ses caresses étaient tellement douces et précises qu’elle est quand même arrivée a ses fins.
Mon membre s’est redressé imperturbablement entre ses doigts, qui caressaient, soupesaient, malaxaient. Elle faisait remonter ses petites mains sur toute la longueur de ma colonne de chair, avant de retourner s’enfoncer plus bas, pour faire rouler mes testicules gonflées entre ses doigts.
Je sentais le plaisir monter doucement, et je ne voulais pas que ça se termine aussi vite. Alors, je l’ai redressée d’un coup sec, relevant du même coup sa blouse de pyjama, pour empoigner ses seins. Avec l’autre main, j’ai abaissé son pantalon sous ses fesses, sentant craquer sa culotte du même coup.
Je l’ai retournée, face contre le bureau, abaissant aussi mon pantalon, pour venir coller ma queue dressée contre ses fesses. Je me suis plaqué contre elle, glissant ma queue entre ses cuisses. Elle soupirait, elle avait envie de sexe immédiat, et elle m’avait bien chauffée, pour l’avoir.
J’ai attrapé sur le bureau le flacon de lubrifiant, dans le panier en osier, tout en la maintenant plaquée contre le meuble. Elle commençait à gémir, se rendant compte de ce qu’il allait se passer…
Maintenant mon pantalon de pyjama à mi-cuisses d’une seule main, j’ai pressé le bec verseur du flacon de lubrifiant avec l’autre, et une fois la dose étalée sur mon gland dilaté et entre ses fesses, je l’ai saisie par les hanches.
J’ai plié légèrement les genoux, et je me suis insinué entre ses cuisses serrées, espérant entrer du premier coup dans sa chatte. Malheureusement, Linda est assez bien plus petite que moi, et j’ai du poser un coussin sur la chaise du bureau et la faire monter dessus.
Elle n’a pas rechigné, et j’ai enfin pu la prendre, m’enfonçant, centimètres après centimètres dans sa chatte trempée, qui n’avait déjà plus besoin du lubrifiant.
L’image était très érotique : moi, avec le pyjama à mi-cuisses, enfonçant mon gros sexe dilaté entre les cuisses de Linda, en écartant sa culotte craquée qui ne tenait plus que grâce à l’élastique…
Elle gémissait, réagissait à chacun de mes coups de boutoirs par un cri étouffé. Et pour l’exciter encore un peu plus, j’ai commencé à lui claquer les fesses, qui sont bien vite devenues rouges. Je sentais mon gros gland décalotté entrer et ressortir de sa chatte, et je le voyais, avec en toile de fond mon pantalon de pyjama.
Il ne lui a pas fallu longtemps pour jouir. Elle a glissé sa main entre ses cuisses et s’est astiqué le clitoris à toute vitesse, déclenchant ainsi son orgasme, qu’elle a crié. Sentant son vagin se resserrer sur mon membre, j’ai accéléré la cadence pour la rejoindre dans le plaisir, mais elle m’a dit que la position devenait inconfortable pour elle et m’a demandé d’aller encore plus vite..
Je suis ressorti de sa chatte, et j’ai commencé à m’astiquer la queue de plus en plus vite, crispant et décrispant les muscles. Quelques minutes plus tard, sentant l’imminence de l’éjaculation, j’ai réintroduit ma queue entre ses cuisses serrées… juste à temps !
Je me suis vidé entièrement en elle, lui lâchant d’abondantes giclées de sperme épais et chaud au fond du ventre. Je ne suis ressorti qu’une fois ramolli, et elle est descendue de la chaise, soulageant la douleur naissante dans ses genoux.
Ô Ô Ô Ô Ô
Après cet épisode, je lui ai demandé si elle voyait un inconvénient a ce que je rencontre Paul. Je savais qu’elle avait envie d’un trio, et je voulais le lui offrir…
Je me suis rendu compte qu’elle se doutait du but de ma démarche, mais je ne pouvais plus reculer. Elle m’a donc donné l’adresse msn de Paul, et après quelques brèves discussions, le rendez-vous fût pris dans un café, hors de la ville…
Paul était effectivement un chic type, qui me précisa qu’il ne voyait Linda que pour le plaisir. Qu’il n’y avait rien d’autre entre eux.
Il travaillait dans une boîte d’informatique, du coté de Huy, et ma chère compagne avait le don de l’exciter considérablement, quand il avait le malheur de se connecter en même temps qu’elle. Je sût aussi que le préservatif était de rigueur, entre eux. Ils avaient néanmoins passés le test HIV tous les deux, négatifs des deux cotés, bien entendu …
Je lui ai glissé un mot pour le trio. Il n’avait pas l’air contre… que du contraire !
Je voulais lui offrir un trio, mais il fallait que ça se fasses avec quelqu’un de confiance. Je savais qu’entre eux deux, le courant passait bien, donc j’ai pensé a lui en premier. Il était d’accord, donc tout allait bien !
Nous nous sommes donc quittés en nous serrant la main, la tête pleine d’idées érotiques a assouvir avec Linda …
En rentrant, j’ai bien vu qu’elle se doutait de quelque chose, a son regard très expressif. Mais j’ai gardé le secret jusqu’au bout !
Ô Ô Ô Ô Ô
La date fut réservée pour le 23 décembre, le samedi avant le réveillon, de Noël. Une pierrade était au menu et Paul arriva vers 19h, avec une bonne bouteille de champagne (qu’on n’a même pas ouvert, tiens, après coup !)
Je lui avait donné quelques consignes via msn, mais je n’avais pas voulu élaborer de scénario bien précis, ne voulant pas que nous nous emmêlions les pinceaux. Il savait que Linda aurait bien voulu s’occuper de nos deux sexes en même temps, et qu’elle aurait bien voulu aussi que l’on s’occupe a deux de ses seins généreux … par exemple !
Le souper s’est bien passé, parlant de tout et de rien. J’avais prévu de regarder un film assez … hot : « Body of Evidence », avec Madonna et Willem Dafoe. Et si ce n’était pas encore chaud assez, j’avais également prévu un jeu de société pour adultes, nommé « Strip-Tease » …
A la fin du repas, après le café, j’ai proposé tout simplement de faire un petit jeu. Linda sentait venir l’oignon, et Paul, lui, marchait dans la combine avec moi. Ils ont acceptés tous les deux.
Le temps de débarrasser la table et nous sommes passés au salon, à l’ambiance plus feutrée. Le jeu était sommes toutes assez simple. Il y avait trois sortes de cartes de couleur différentes. Si le joueur suivant ne mettait pas une carte semblable ou de même couleur, il devait déposer sa carte et ne pas en reprendre. Comme nous n’avions que quatre cartes chacun, lorsqu’un joueur se retrouvait sans ses cartes, il n’avait plus d’autre choix que d’enlever un vêtement.
Après trois tours, je me suis vu obligé d’ôter mon pantalon, bientôt suivi par ma blouse et mes chaussettes. Linda et Paul, eux, étaient toujours habillés. Moi, je me retrouvais comme un con, en slip, assis sur le pouf.
Les yeux de Linda brillaient déjà d’excitation, fixant sans arrêt mon entrejambe. Je ne sais pas si c’est le stress de la première fois avec un rival de même sexe que moi, mais je ne bandais qu’a moitié !
Au tour suivant, il me restait une carte en mains, et comme par hasard, je ne suis pas arrivé a suivre Paul. Je n’ai donc pas eu d’autre choix que de me lever et de baisser mon slip devant les deux autres concurrents.
Je fis glisser le sous-vêtement le long de mes cuisses, pour l’ôter complètement, et je remarquai le regard de Paul qui, discrètement, regardait mon membre en semi-érection. Je me rassis sur le pouf.
Linda fut condamnée, au tour suivant, à ôter sa blouse, sous laquelle (la petite salope !) n’avait mis aucun soutien-gorge. Elle dévoila ainsi, aux yeux excités des deux mâles qui la regardaient son opulente poitrine aux larges aréoles brunes et gonflées. Je pensais qu’elle ferait la difficile pour l’enlever… même pas !
Paul était encore le seul qui avait encore tous ses vêtements… mais le tour suivant en décida autrement, et Linda abattit une carte qui lui autorisait a enlever une pièce de vêtement a un des joueurs de son choix… elle lui ôta donc son pull.
Je la voyais de plus en plus excitée. Ses yeux brillaient et elle lorgnait tour à tour Paul, et mon membre décalotté, qui commençait a gonfler sérieusement. La chance avait apparemment fini de tourner, et Paul fut condamné au tour suivant de baisser le pantalon, révélant un caleçon américain bleu foncé, avec trois boutons sur le devant.
Pris d’un besoin urgent, j’abandonnai la partie quelques instants, pour me rendre à la salle de bains. Et c’est en revenant que Linda me surprit le plus !
Elle avait la main sur la cuisse de Paul, dont je voyais le regard briller aussi. Elle me dit avec son air coquin qu’elle n’avait plus envie de jouer, mais plutôt de mettre le film. Mon membre était redevenu flasque, mais je sentais un délicieux picotement me parcourir l’aine. Je me rassis aussitôt dans le canapé a la droite de Linda, alors que Paul était a sa gauche.
La cassette était déjà dans le magnétoscope, et je n’eûs plus qu’a attraper la télécommande, démarrant la bande. Je me suis installé confortablement dans le divan…
Au fur et à mesure que les images défilaient sur l ‘écran, je me remémorais le film, pour l’avoir vu à plusieurs reprises. La main droite de Linda me caressait la cuisse, et sa main gauche caressait la cuisse de Paul. Je savais qu’elle aurait bien voulu s’occuper de deux sexes gonflés en même temps, et je me laissais faire. J’ignore si c’était le stress de cette première rencontre en trio, mais je bandais pas trop !
Ma main gauche a commencé à lui caresser un sein, malaxant la pointe qui durcissait sous mes doigts. J’ai remarqué que mon homologue en faisait autant, et j’entendais Linda soupirer de plus en plus…
Sa main à elle avait empoigné mon membre, qui commençait a se gorger de sang sous ses doigts. Je devinais son autre main dans le caleçon américain de Paul. Ce genre de caresses a duré un certain temps. J’entendais gémir Paul, qui savourait les caresses de Linda. De mon coté, elle alternait les mouvements lents sur la hampe et les légères pressions, empaumant mes testicules…
Soudain, elle s’est penchée vers moi, me regardant encore avec son air de petite salope, pour me prendre dans sa bouche. Elle avait déboutonné le sous-vêtement de Paul avec son autre main et sorti sa queue. Il soupirait de plus en plus. Je commençais a bander sérieusement dans sa bouche, et je regardais sa tête aller de haut en bas de ma hampe. Sa langue me caressait le bout du gland à chaque passage.
Je me relevai comme je pus, car voir sa petite bouche engloutir mon sexe m’excitait comme un fou. De sa main libre, elle empaumait et malaxait mes couilles. Je n’arrêtais pas de lui pétrir les bouts de seins, qui devenaient durs comme du béton.
Paul, lui, pendant qu’il se faisait caresser, mordillait l’autre sein, et j’entendais Linda soupirer de plus en plus aussi. Au bout d’un moment, elle a attrapé un coussin, qu’elle a mis par terre au pieds du sofa. Plus personne ne regardait le film, mais j’ai laissé aller la bande, pour avoir les gémissements et le fond sonore …
Linda s’est soudain mise à genoux entre nous deux. Elle tenait nos deux membres tendus en se léchant les babines, faisant aller et venir ses mains sur toute la longueur. Elle m’a regardé avec son air de coquine habituelle :
- Maintenant, je vais m’occuper un peu de lui … m’a t’elle soupiré.
J’entendais au son de sa voix que son excitation a elle commençait a bien se faire sentir aussi. Elle s’est penchée vers Paul et l’a embouché à son tour.
Sa langue s’est mise a courir sur le gland, dilaté au possible, pendant que sa main malaxait et faisait rouler ses burnes dans ses doigts, doucement.
Mais son autre main ne restait pas inactive. Elle reprenait les mouvements saccadés sur mon membre à moi, jouant du poignet. Paul soupirait de plus en plus, se laissant aller dans le fond du sofa.
Paul a mis un genou par terre, et je devinai qu’il la doigtait pendant qu’elle recommençait a me sucer à pleine bouche. Sa tête montait et descendait en cadence vers mon ventre. Il s’est penché et lui a enfoncé un doigt dans l’anus, pendant qu’il lui doigtait la chatte. Elle n’a pas tardé à jouir, mais moi j’étais encore un peu stressé, et je ne l’ai pas suivi tout de suite.
Notre invité s’est rassis dans le divan, pendant que Linda reprenait un peu ses esprits, après son orgasme. Nous n ‘avions pas encore joui, nous, et elle a recommencé a sucer Paul, en continuant a me masturber.
Soudain, d’un seul coup d’un seul, sa tête s’est relevée et elle m’a regardée, me jetant une œillade qui en disait long. J’en ai déduit qu’elle voulait qu’on la prenne en levrette, par terre… la petite vicieuse !
J’ai jeté un coup d’œil vers Paul, mais celui-ci savourait les caresses manuelles et buccales de Linda, et j’ai compris qu’il ne fallait plus trop lui en demander… le dénouement final approchait !
Je suis donc descendu du divan pour venir me placer derrière ma petite salope de compagne. Sa tête montait et descendait toujours en rythme sur le ventre de Paul, qui haletait de plus en plus …
C’est probablement le stress et la jalousie de voir ma compagne s’occuper d’un autre membre que le mien, mais j’ai débandé.
J’ai frotté mon membre sur et entre ses fesses, allant d’avant en arrière.
Elle m’avait tellement excité avec ses caresses qu’une goutte de pré-sperme a facilité le frottement sur et entre ses fesses, mais rien n’y a fait…pas moyen de rebander !
Frustré de perdre ma virilité comme ça, subitement, devant Paul, j’ai fait semblant de m’enfoncer entre ses cuisses.
Elle a gémi(heureusement, elle m’a suivi !), s’activant sur le membre de Paul. J’ai recommencé mes va-et-vient.
Paul, lui, haletait de plus en plus. J’ai bien compris qu’il ne tarderait plus à jouir, alors j’ai attrapé Linda par les hanches, lui donnant le rythme de mes assauts. Effectivement …
Elle a ressorti le membre de notre invité juste à temps. Il à lâché de longues giclées épaisses et blanches en l’air, retombant en lourdes gouttes sur son ventre et son torse. Au passage, il a attrapé son tee-shirt. Linda a continué a caresser son membre jusqu’à en extraire la dernière goutte, puis l’a laissé reprendre son souffle.
Moi, j’étais probablement trop stressé d’être en compétition avec lui, et j’ai glissé ma main entre ses cuisses jusqu'à son abricot tout lisse, pour lui redonner du plaisir… les doigts de son autre main étaient déjà là et s’activaient sur son bouton. Je suis rentré avec mon majeur au chaud dans son vagin juste à temps pour la sentir jouir et enserrer mon doigt entre ses muscles internes. Comme elle gémissait de plaisir en prenant son pied, j’ai du, moi aussi, faire semblant de me laisser aller. Elle ne m’a pas trahi… ouf !!!
Cinq minutes plus tard, nous étions tous les trois reculottés, assis dans le divan. Linda ramassait les verres dispersés sur la table du salon, pendant que je rangeais les cartes du jeu.
Nous n’avons rien évoqué sur le coup, et Paul a pris congé de nous simplement. Je l’ai raccompagné jusqu’à la porte d’entrée, au rez-de-chaussée.
Quand je suis remonté, Linda m’a attrapé par le bras et m’a dit, avec son air de petite garce :
- Tu sais, la première fois… ça compte toujours pour du beurre !!!
Ca promet …
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