Un rêve bouleversant

- Par l'auteur HDS Couple-conquis -
Auteur couple.
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Récit libertin : Un rêve bouleversant Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-10-2021 dans la catégorie A dormir debout
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Un rêve bouleversant
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je voudrais vous raconter quelque chose qui m'est arrivé il y a quelques jours. Quand je dis ce qui m’est arrivé, c’est une façon de parler puisqu’il ne s’agit pas cette fois d’un événement bien réel mais d’un rêve que j’ai fait une nuit. Il arrive parfois dans la vie que l’on fasse des rêves qui nous marquent, qui nous bouleversent, dont on se souvient longtemps. Des rêves qui laissent une telle marque dans notre esprit qu’ils peuvent nous changer, réorienter le cours de notre existence. J’ai eu envie aujourd’hui de décrire celui que j’ai fait dans tous ses détails afin d’en garder une trace. Et je dois dire que l’exercice a été assez facile car, même si ce souvenir date déjà un peu, ce songe m’avait fait une telle impression qu’il m’est resté en tête de façon extrêmement précise. Pour être exact je dois avouer que j’y pense souvent : je dirais même qu’il me hante. Rien qu’en écrivant ces lignes, des images me reviennent, terriblement précises, et me donnent quasiment des palpitations…
Dans ce rêve je suis à la campagne avec mon épouse Lingling. Nous marchons sur un chemin en nous tenant par la main, nous portons les mêmes costumes que le jour de notre mariage : un complet noir pour moi, une longue robe blanche à froufrous pour elle. Je revois sa tenue comme si je l’avais face à moi car c’est exactement celle qu’elle portait lors du grand jour : très corsetée, avec un décolleté, une voilette tenue par un diadème et beaucoup de dentelle. Elle est aussi magnifique que lors de nos noces, rayonnante, un sourire éclatant sur les lèvres. Comme souvent lorsque je rêve d’elle, je me sens débordant d’affection. Nous marchons sur ce chemin tranquille, je la couve amoureusement du regard et régulièrement je m’arrête pour l’embrasser.

A un moment, nous passons devant un petit groupe de jeunes désœuvrés qui trainent au bord du chemin. Je leur jette un œil rapidement mais sans m’attarder : ça fait des années que j’ai l’habitude de faire attention, je sais que certains jeunes ont tendance à réagir agressivement à certains échanges de regards. Il s’agit de jeunes, tous noirs ou arabes. Nous passons à côté d’eux en regardant devant nous, mais ma femme a droit à quelques sifflets et quelques remarques grossières. « Trop bonne la petite Chinoise dans sa robe de mariée », « Je lui mettrais bien un petit coup en passant », etc. – vous voyez le genre de commentaires. Je ne fais semblant de rien, je préfère éviter les embrouilles, ils sont peut-être tout jeunes mais ils sont nombreux.

Malheureusement ceux-ci ont l’air du genre insistants car non contents de nous importuner par leurs paroles, ils ont décidé de nous emboiter le pas et je les entends cheminer juste derrière nous et continuer leurs remarques salaces. Je commence à être mal à l’aise. Je tiens la main de mon épouse plus fort, accélère légèrement le pas et lui fais comprendre qu’elle doit en faire de même. Les jeunes ont perçu ce changement de cadence, ils rigolent et décident de rattraper leur retard : en deux ou trois foulées ils se retrouvent juste derrière nous. « Faut pas être si pressés les amoureux, attendez-nous… » Deux d’entre eux nous dépassent et se postent devant nous pour nous empêcher d’avancer plus loin. « On veut juste embrasser la mariée et après on vous laisse partir, promis. »
On ne sait pas trop quoi faire, on dirait bien qu’on n’a pas le choix. Je regarde autour de nous, ils sont cinq, trois noirs et deux maghrébins, déjà très costauds malgré leur âge et ils font tous une à deux têtes de plus que moi. Je jette un œil à ma chérie, elle me souffle : « C’est bon, ça va aller » sur un ton qui se veut rassurant. L’un après l’autre les mecs viennent devant ma femme et l’embrassent sur la bouche. Les deux premiers se contentent d’un baiser appuyé sur les lèvres mais les trois autres se font plus hardis : il y en a un qui lui passe un grand coup de langue sur le visage sous les rires des autres, et les deux derniers lui roulent carrément un patin, rentrant leur langue dans sa bouche. Pendant que le dernier la galoche de cette façon obscène, un autre s’est plaqué derrière elle et lui a saisi les seins à travers son corsage. « Ça suffit les gars, dis-je la gorge nouée, vous aviez dit juste un baiser… » Ils se marrent. Lingling ne dit rien, même si je vois à son expression qu’elle a vraisemblablement moins peur que moi.

Je prends mon courage à deux mains, lui tiens fermement la main et donne le signal du départ, démarrant d’un pas qui se veut ferme et assuré. Ils éclatent de rire devant mon mouvement de panique. « C’est bon mec, flippe pas, on va pas te la prendre ta chérie, on s’amuse un peu, c’est tout. » Ces paroles n’ont absolument pas de quoi nous rassurer, nous continuons d’un bon pas sans nous retourner et je constate avec soulagement que cette fois ils ne nous suivent plus et se contentent de rire en nous regardant disparaître de leur horizon. Ouf !

Le danger est passé mais j’ai de la peine à retrouver mon calme et je me sens mal, je m’en veux d’avoir laissé faire ça sans intervenir. Lingling n’a pas l’air traumatisée par cette mésaventure mais je n’ai pas été à la hauteur de la situation. Alors j’essaie de me justifier, un peu maladroitement, sans savoir vraiment où je veux en venir. Je parle, je me plains de la manière dont la situation évolue en France, du problème de tous ces immigrés que nous accueillons, de l’éducation des jeunes qui laisse à désirer, de la crise des valeurs, du manque de respect… Elle m’adresse un regard implorant : « S’il te plaît mon chéri, arrête un peu de parler de politique… » Bon bon d’accord, je me tais. Il n’empêche qu’on ne m’ôtera pas de l’idée que… enfin bref, je n’en pense pas moins.

Après avoir suivi ce chemin un long moment jusque dans la forêt, nous débouchons sur une petite clairière cachée dans les sous-bois, un endroit pittoresque à souhait. Entre deux arbres est tendu un grand hamac en lin blanc qui nous invite à folâtrer. Nous y prenons place et je soupire d’aise quand ma chérie vient s’étendre sur moi. Nous nous balançons doucement sous la ramure des arbres, je la serre contre moi et l’embrasse. Elle est irrésistible dans sa robe de mariée, je n’ai pas assez d’yeux pour l’admirer ni de mains pour la caresser, je voudrais que ce moment dure toujours.

Cet instant de grâce n’était hélas pas voué à durer éternellement et j’ai le cœur qui s’emballe lorsque j’entends, au loin, les voix des jeunes de tout à l’heure. Après quelques secondes je n’ai plus de doute : ils sont en train de marcher dans notre direction. Nous ont-ils suivis ? Je fais signe à Lingling de rentrer la tête dans le hamac, que je tente d’immobiliser pour qu’il cesse de se balancer. Nous nous calfeutrons dans l’étoffe et retenons notre souffle en espérant qu’ils passeront à côté de nous sans nous voir. Mais vous connaissez ce genre de rêves : plus on essaie désespérément d’échapper au danger et plus celui-ci se précipite sur nous et nous trouve désarmé face à lui. C’est exactement ce qui nous est arrivés.

« Ah vous êtes là les amoureux ? Vous étiez en train de faire des câlins ? » On relève la tête et on se trouve face à cinq visages hilares qui nous observent. Ils se sont placés autour de nous, de part et d’autre du hamac. Allongés comme nous le sommes je ne vois pas trop comment nous pourrions nous relever et partir sans leur laisser le temps de réagir. Je ne suis pas du tout tranquille, je passe mes bras autour de ma femme et la tient serrée contre moi. « C’est bon, dis-je d’une voix qui se voudrait assurée, vous nous avez vus, maintenant laissez-nous tranquilles et poursuivez votre chemin. » Ils se marrent : on comprend que telle n’est pas du tout leur intention.

Je n’ai pas le temps de comprendre ce qui se passe. Deux des jeunes me saisissent à bras le corps et me tirent sans ménagement hors du hamac. Jeté au sol je me relève aussitôt mais déjà je vois les mecs se déshabiller de façon expéditive, comme s’ils s’étaient mis d’accord sur la suite (ce qui était sans doute le cas). Ils ôtent leurs t-shirts et retirent leurs pantalons, dévoilant des corps athlétiques. Malgré l’urgence qu’il y a à réagir, ne peux m’empêcher de songer : « C’est dingue, moi je n’étais pas comme ça à leur âge… » Le premier à être nu, un grand black, bondit aussitôt dans le hamac et se retrouve aux côtés de ma femme, qu’il embrasse et palpe de partout. Loin de la nervosité qui m’habite elle semble sans volonté, alanguie, se laissant faire sans véritable réaction de défense. Lorsqu’il fait jaillir ses seins de son corsage ses copains applaudissent et poussent des exclamations de joie. A nouveau sur pied, je tente de m’approcher mais les jeunes semblent l’avoir compris et leurs dos nus se dressent devant moi comme une palissade. J’essaie de les écarter mais ils tiennent bon : le fait est qu’ils sont beaucoup plus costauds que moi. J’arrive à voir ce qui se passe dans le hamac mais je n’arrive pas à y accéder.

Lingling, avec sa robe pleine de dentelles et de volutes, ressemble à une petite poupée chinoise dans les bras de ce grand black nu et musculeux. Le salaud a passé une de ses grandes mains sous la dentelle et il a dû trouver le chemin de son minou car elle se pâme sous ses attouchements. « Je vous en supplie les gars, arrêtez ça… » Ce n’est pas elle qui le dit sur un ton misérable, c’est moi… Mais ils se foutent bien de ce que je peux éprouver à ce moment-là.
Un des garçons s’est approché, à saisi le bas de la robe et l’a remonté sur les cuisses de Lingling et jusque par-dessus ses fesses. Il a ensuite eu tôt fait de lui retirer sa culotte, avec une dextérité telle que je me dis que ce n’était sûrement pas la première fois qu’il fait ça. J’en suis même quasiment sûr : ce qu’ils sont en train de faire là, ils l’ont déjà fait de nombreuses fois. Les jeunes ont applaudi à nouveau lorsqu’ils ont vu apparaître les fesses et la chatte de mon épouse surmontée de sa petite touffe de poils noirs. A peine ai-je le temps de la voir ainsi exhibée que la vue de son intimité m’est cachée par l’énorme bite sombre de l’homme couché à ses côtés, qu’il pousse avec un grognement vers le sexe de ma belle. « Non, là ça va trop loin ! Tout mais pas ça ! » Je n’ai pas terminé ma phrase qu’il l’a déjà pénétrée sous les hourras de ses copains. Il lui donne maintenant des grands coups de reins et elle gémit avec cette voie aigüe que je lui connais bien dans ces moments-là. Il la baise comme un affamé, en faisant aller et venir sa grosse queue dans ce vagin si adoré. Ses copains doivent stabiliser le hamac pour qu’il ne soit pas renversé par les mouvements de reins vigoureux qu’il donne en besognant ma femme. Cet adolescent noir tout droit sorti d’une salle de fitness défonce la femme de ma vie comme jamais je ne pourrai le faire. A son visage submergé par l’émotion je vois qu’elle est aux anges.

Les autres jeunes ne veulent pas demeurer en reste. Le spectacle de cette jolie Chinoise offerte à leur copain juste devant eux leur a inspiré des érections imposantes qui demandent maintenant à être soulagées. C’est tout naturellement qu’ils se rapprochent du visage de ma chérie, leurs grosses queues dressées dans la direction de sa petite figure convulsée par le plaisir. L’un d’eux soulève sa voilette, cette bande de gaze accrochée à son diadème et qui fait partie intégrante de se tenue de mariée et, cette ultime barrière ôtée, il appuie tout simplement son gland contre la bouche de ma femme qui s’ouvre doucement sous la pression. La place tant convoitée étant occupée (et bien occupée vu le calibre du garçon !) les autres prennent leur mal en patience en frottant leurs bites où ils peuvent, sur les joues de mon épouse, sur sa gorge, le long de ses bras pâles, entre ses seins. Leurs gémissements rauques et leurs râles se mêlent aux cris de plaisir de Lingling. Le hamac tressaute en tous sens, comme agité de convulsions. De ma femme ainsi entourée je n’aperçois, alternativement, que des pans de sa robe, des fragments de dentelle froissée, un bras blanc qui émerge de la mêlée, un sein pressé par une main noire, une fesse qui se soulève, une cuisse qui s’écarte…
Tétanisé par cette scène je parviens néanmoins à reprendre mes esprits et je me précipite vers le hamac. Je ne peux pas les laisser faire ça ! Je voudrais que celui-ci retire sa grosse queue du vagin de mon épouse, que celui-là sorte son énorme bite de la bouche de la femme que j’aime, que cet autre encore arrête de l’embrasser et de la peloter… Mais à peine ai-je réussi à en écarter un qu’un autre immédiatement prend sa place. Ainsi, en y mettant toutes mes forces, je me précipite contre un des grands noirs, appuie violemment contre son torse et parvient à le faire reculer de quelques pas. Mais lorsque je me retourne vers ma femme, c’est pour voir que sa bouche a aussitôt été investie par une autre bite, encore plus massive que la précédente, qui va et vient de manière obscène entre ses lèvres roses. Pendant ce temps, un nouveau garçon, arabe celui-ci, a entrepris de la pénétrer et il la pilonne sauvagement.

Je comprends que j’ai perdu la partie. D’ici quelques minutes la femme de ma vie sera aspergée de sperme de tous côtés, sa robe de mariée déjà déchirée par endroits sera souillée, et je ne peux rien faire pour m’y opposer. Quand ils nous ont vus passer sur le chemin, ces jeunes ont tout de suite conçu le projet de nous rattraper pour sauter mon épouse. Ils n’avaient vraisemblablement aucun doute sur l’issue de leur petite chasse : ils la voulaient et ils l’auraient. Et de fait ils l’ont eue. Comme ils en ont sans doute eues beaucoup d’autres avant elle, et comment ils en auront beaucoup d’autres après. Ils sont jeunes, ils sont blacks ou arabes, ils plaisent aux femmes, ils passent leur temps libre à faire de la muscu, ils se moquent de notre romantisme et de notre morale. Que pouvons-nous faire contre eux ? Rien. Il ne nous reste que nos larmes pour pleurer.

Et c’est en effet en pleurs que je me réveille et que je m’extrais de ce songe. Les larmes aux yeux et une érection terrible dans le pyjama. Nous sommes dimanche matin, Lingling s’est déjà levée : heureusement, ainsi elle n’a pas pu m’entendre sangloter durant mon sommeil. Je ne peux pas me lever avant de m’être soulagé, le besoin que je ressens est impérieux. Tout en continuant à pleurer je me branle énergiquement en visualisant dans ma tête les images du rêve obsédant que je viens de faire. Je jouis douloureusement en m’imaginant Lingling, ravissante dans sa robe de mariée, saisie à pleines mains, embrassée, pelotée et pénétrée par cinq jeunes immigrés montés comme des étalons. Est-ce un rêve ? Pourtant je pleure. Est-ce un cauchemar ? Pourtant je bande…

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