Un roubaisien dans le sud ouest... - histoire érotique

En septembre dernier, ma boite m’a muté dans le sud-ouest, j’acceptais ou je démissionnais. Moi le Roubaisien, j’étais top heureux d’aller vers le soleil, et j’ai accepté sans hésiter. L’appartement que je devais occuper subissant quelques réformes, je logeais dans un hôtel du centre-ville très confortable. Bon, je mangeais le midi et soir au resto, mais ce n’était que l’affaire de quelques semaines. Le réceptionniste de nuit était un mulâtre d’une quarantaine d’années très mignon et fort sympathique bien que les premiers soirs, c’était seulement ” bonsoir” et “bonne nuit”, lorsque je récupérais la clef de ma chambre.
Un soir, il était en conversation avec un couple de sud-américains et visiblement, ils avaient des difficultés de compréhension ; étant de famille espagnole je lui ai solutionné son probléme en quelques minutes. Il m’a remercié en me disant qu’il ne parlait que l’anglais et l’allemand et je l’ai fait sourire en lui disant que mon anglais se limitait à sandwich, parking et building…Le vendredi soir et ne travaillant pas jusqu’au lundi, je n’avais pas envie d’aller me coucher de bonne heure et je lui ai demandé de m’indiquer des endroits pas trop éloignés où ça bougeait le soir. Il a sorti un plan d’un tiroir et m’a montré des pubs et discotheques et me l’a remis mais juste au momento où j’allais le mettre dans ma poche il l’a maintenu avec sa main sur le comptoir et avec un petit sourire dissimule a ajouté .”Il y aussi cette boite, mais c’est une boite gay et je ne sais pas si ça vous plaira, je connais, c’est sympa.”. Je l’ai remercié sans répondre à sa remarque. En fait, ce mec me plaisait et le fait qu’il fréquente ce gendre d’endroit me donnait envie de passer un moment avec lui bien que je ne sache pas s’il était gay lui aussi..
Au bout de deux pubs, je me rendis compte qu'il était encore bien trop tôt et que la discothèque n'était peut-être même pas encore ouverte. Je retournais donc à l'hôtel en espérant que je m'étais pas trompé sur le réceptionniste. En me voyant, il s'écria: "Déjà?" Et je lui expliquais la raison de mon retour plus tôt que prévu.
Il me dit qu’à mon accent, il devinait que je n’étais pas du coin et je lui ai donc raconté le motif de ma venue dans cette région. On a ainsi parlé durant une quinzaine de minutes et je lui demandé s’il y avait moyen de boire un verre au bar ou si celui ci était fermé. Il m’a répondu en employant le tutoiement. : ”Pour toi, le bar est ouvert!”. À droite du comptoir du bar il y avait une salle obscure où on servait les petits déjeuners et il a depose nos deux verres sur une table basse et nous nous sommes assis dans un canapé. Un miroir en face lui indiquait si des clients entraient, j’avais une folle envie de ce mec et j’étais persuadé que je lui plaisais aussi. Ne sachant plus trop qui dire, je lui ai demandé comment était cette discothèque et s’il travaillait ou pas les week-ends ; il m’a répondu qu’il travaillait du lundi au vendredi et que donc il ne reprendrait son travail que lundi soir ce qui fait qu’on pouvait se voir demain là-bas… L’alcool aidant, je lui ai dit qu’il était dommage qu’il soit bloqué toute la nuit à la réception parce que j’aurais bien aimé passer un moment avec lui dans ma chambre. Il m’a aussitôt enlacé et nous nous sommes embrassés longuement, je passais ma main sur son bas-ventre et je sentais qu’ il bandait comme un taureau. Il me dit que ce n’était pas un problème et que vers 4 h du matin le peu de clients qu’il y a le week-end serait rentré, il n’aurait plus qu’à fermer les portes et mettre un écriteau “Complet”. Il bandait de plus en plus, il m’a pris par la main et m’a emmené jusqu’aux toilettes voisines puis a rabattu le couvercle d’un WC et m’a fait asseoir dessus. Il a sorti sa queue que j’ai aussitôt engloutie avidement, elle devait mesurer au moins 18 ou 20 cm. Je l’ai pompé aussi bien que je sais le faire et je sentais qu’il appréciait ma fellation ; au moment où il m’a envoyée des giclées chaudes de son foutre, il a gémi longuement et j’ai continué à le sucer jusqu’à la dernière goutte. On s’est encore embrassé longuement et il m’a dit : ne t’inquiète pas, je serai dans ton lit au plus tard vers 4 h 30. De toutes façons, j’ai le double de ta clef.”Je me suis douché puis endormi avec la télé allumée jusqu’à ce qu’il vienne se blottir contre moi. Nous nous sommes embrassés nos langues ne cessant de se croiser, puis je l’ai léché sur tout le corps avant de le prendre à nouveau dans ma bouche. Il bandait dur et j’avais une folle envie de lui. Il m’a fait mettre en position de 69 et pendant que je le suçais, il me léchait mon petit trou avec délicatesse ce qui m’excitait encore plus. Ensuite, il m’a dilaté avec un , puis deux doigts, il savait y faire le salaud, je mouillais comme une pute en chaleur. Ensuite, il m’a mis sur le dos, m’a relevé les jambes sur lui et m’a pénétré en douceur tellement, il m’avait lubrifié. Je sentais sa grosse queue au plus profond de mon intimité et je gémissais à chacun de ses assauts tellement c’était bon. Je le suppliais de continuer de ne pas s’arrêter, il m’a limé au moins 20 minutes et lorsqu’il déchargé en moi, je crois que j’ai joui comme jamais cela ne m’était encore arrivé. Pendant qu’il allait se laver, je reprenais mes esprits en me disant que j’aimerais bien passer tout le week-end avec lui dans le lit. Il est revenu s’allonger auprés de moi, m’a embrassé et m’a dit en souriant. “Je ne te demande pas si tu as aimé, car tes cris ont dû réveiller tout l’hôtel, moi, j’ai pris un pied pas possible avec toi, car tu es une belle salope et je suis prêt à recommencer quand tu voudras”. Je lui dis que je ne voulais pas attendre lundi pour ça et qu’ayant trouvé mon mec, je n’avais pas besoin d’aller en discothèque demain. Aussitôt, il me dit ;” Viens vers 14 h chez moi demain, je serai réveillé et on passera le week-end ensemble”.
J’étais aux anges..Il me dit qu’il allait mettre en place les petits déjeuners au salon et qu’il reviendrait d’ici demi-heure. Lorsqu’il revint, il se mit sur moi et me mit sa queue dans la bouche en commençant des va-et-vient qui m`etouffait tant son engin était volumineux. “Je vais te baiser par la bouche !” Mais j’avais du mal à tenir la cadence . Je le lui ai dit en me retournant et en me cambrant :“ Défonce moi plutôt comme ça!” Je lui offrais mon cul qu’il a possédé aussitôt, ses mains sur mes hanches me plaquant contre lui, ses couilles me fouettaient les fesses à chaque entrée, je mesurais la chance que j’avais d’avoir rencontre un mec si viril et endurant et je l’encourageais : “ Vas-y , régale toi, je suis toute à toi, elle est bonne ta queue!”. Et avant de jouir une nouvelle fois, j’entendais qu’il me disait. “T’es á moi à présent ! T’es ma petite pute! J’adore les chiennes comme toi”. Quel amant j’avais trouvé!!!
Le lendemain après midi comme prévu, je sonnais à sa porte et il m’ouvrit en robe de chambre, il m’embrassa fougueusement et je lui rendis son baiser en me collant à lui. Pendant qu’on buvait le café assis sur un canapé au salon on fit plus ample connaissance il faut dire qu’à part les parties de jambes en l’air de la veille on ne se connaissait pour ainsi dire pas. Il était martiniquais, avait été marié sans enfant, mais cocufié par sa femme et déçu pas les autres il s’était tourné vers le mecs est espérait bien avor trouvé en moi sa moitié car il en avait marre de chercher des bons coups. A mon tour je lui racontais un peu de moi, mes premières expériences avec des profs puis des rencontres suites à des petites annonces, quelques femmes au milieu mais mon choix était vers les mecs et surtout des mecs bien montés et actifs comme lui. Je lui disais que moi aussi, j’espérais rencontrer un mec et être à lui et que c’était bien parti entre nous deux. On s’est à nouveau embrassé longuement et je me suis mis à genoux pour le sucer, j’avais une folle envie de son foutre dans ma bouche et je savais depuis la veille qu’il aimait ça. Nous avons une différence d’age de 22 ans, mais on s’entend à merveille sur pas mal de points et au lit, c’est le top alors on est encore ensemble et j’espére que ça durera longtemps encore…