Un samedi avec mon patron.

- Par l'auteur HDS Bilou5974 -
Récit érotique écrit par Bilou5974 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Un samedi avec mon patron. Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-05-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Un samedi avec mon patron.
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

Samedi après midi je suis allé à l'entreprise. Elle est fermée, mais j'avais rendez-vous avec mon patron pour me faire fister. Je n'ai jamais tenté ce genre d'expérience, je n'ai que 19 ans, mais mon patron y tient absolument. Il dit que j'ai un cul à fiste et que de toute façon, je n'ai pas d'autre choix que de lui obéir vu que je suis son branleur personnel.
J'ai un peu de crainte car prendre une main entière dans le cul c'est pas rien ! J'ai l'habitude de me faire sodomiser par lui le soir dans son bureau ou dans l'atelier et parfois il me trifouille l'anus de plusieurs doigts, jusqu'à quatre et je dois dire que ce n'est pas désagréable.
Il a 50 ans, il est marié, mais ça ne l'empêche pas de me baiser de temps en temps. Il parait que je suce mieux que sa femme et que je suis plus salope qu'elle. C'est certainement vrai car j'aime tellemnt ce qu'il me fait que je ne dis jamais non. Je prends du plaisir à me soumettre et j'ai remarqué que mes jouissances sont décuplées quand il commence à être très autoritaire.
Donc samedi je suis arrivé sur le parking, il était déjà là. Nous sommes entrés, il a refermé derrière nous et je me suis déshabillé. Il aime mon corps mince et imberbe, il me caresse, m"embrasse et me demande de m'agenouiller. Il enlève son pantalon, son slip pour me présenter son sexe. Il est encore mou quand je l'attrape et je le mets entièrement dans ma bouche. Je sais ce qu'il veut et je le laisse faire car je prends autant de plaisir que lui à me faire gaver. Les mains dans le dos je bande comme un taureau sous ses assauts. J'adore ça, ça m'excite au plus haut point de sentir sa queue au fond de mon gosier. Il le sait et n'hésite pas à m'embrocher totalement. Sa queue raide comme une barre de fer s'agite dans des mouvements de vas et viens à vitesse multiples, ses couilles viennent buter sur mon menton dégoulinant de bave, et parfois il me bloque contre lui en tenant ma tête fermement comme si il voulait m'étouffer.
Il se retire, se baisse à mon niveau, nos visages sont face à face, les yeux dans les yeux :
"- Tu aimes ça hein ?"
"- Oui patron, j'adore."
"- Alors continue, t'es un bon garçon."
Il se fait encore plaisir un moment, c'est vrai qu'il ne doit pas faire ça avec sa femme, puis il m'emmène dans l'atelier, c'est l'heure du fiste ! Au milieu du garage entre les voitures et les outils je me mets à quatre pattes J'ai toujours en moi cette angoisse qui me tenaille le ventre. Je le vois mettre un gant en latex, l'enduire de lubrifiant et deux doigts viennent m'ouvrir l'anus ;
"- Détends-toi, laisse-toi faire, ne te cripse pas et tout va bien se passer. Aujourd'hui tu es là pour te faire casser le cul. Tu es venu spécialement pour ça car tu en as envie et je vais te remplir comme une chienne, car au fond de toi c'est ce que tu es, je pense."
Je prends deux ou trois doigts, peut-être quatre sans bouger, je suis détendu. Il continue :
"- N'est-ce pas que t'es une chienne ? Tu aimes te comporter comme une salope pour ton patron, non ? Dis-moi que t'es une chienne."
C'est le moment qu'il choisit, ou je lui dis, qu'il introduit sa main. Je ne peux m'empêcher de lâcher un cri.
"- Tu vois que t'es une chienne, tu jappes comme une femelle. C'est bien, laisse-toi aller."
Ses mots me soulage, je suis un peu gêné de m'offrir ainsi, mais en même temps je suis excité. C'est un curieux sentiment. Ce n'est pas aussi douloureux que je le pensais, au contraire c'est très agréable. Une main me caresse le corps, me tripote mes parties génitales, me masturbe mon sexe mou, l'autre s'enfonce, revient doucement, je la sens en moi, c'est merveilleux, je roucoule.
"- Tu n'es peut-être pas encore une chienne, par contre t'es une belle cochonne ! Lève-toi !"
Tout en laissant sa main je me redresse. Il me fait mettre debout contre une voiture mes mains sur le capot. J'écarte les jambes, il pose une main sur mon épaule et reprend les mouvements d'aller retour. C'est divin comme sensation. Je creuse les reins naturellement, il me félicite ;
"- T'en veux on dirait, c'est bien ! "
Il commence à accélérer puis, de son bras libre il m'entoure la taille et me décolle les jambes du sol. Ma respiration est haletante, saccadée, rapide, je m'accroche sur le haut du capot pour ne pas perdre l'équilibre, sa main coulisse sur toute sa longueur, je suis aux anges. Il se lâche ;
"- Petite salope, tu prends ton pied on dirait. Tu deviens une vraie femelle. Je crois que je vais te finir en te pissant dessus. Tu veux que je te pisse dessus ?"
J'ai déjà vu ça sur des sites internet, j'ai toujours trouvé ça dégueulasse. Pourtant, sous le feu de l'action et de l'excitation j'ai bien envie de dire oui. Après tout au point ou j'en suis autant aller jusqu'au bout, j'accepte, il n'en doutait pas.
Il retire sa main, son gant latex, je me relève, j'attends qu'il me dirige. Il me laisse au milieu de l'atelier et va se rabhiller. Je me rends compte de ce que j'allais faire et je ne suis pas fier. J'ai même honte de faire ça. Moi qui dénigre les gens qui se font uriner sur le visage, j'allais faire la même chose ! Il doit avoir raison de me dire que je suis une cochonne, voir une salope.
Il revient.
"- Suis-moi on va aller dehors. Je ne vais quand même pas pisser dans mon atelier !"
On se dirige vers le hall, il ouvre la porte d'entrée, vérifie si la voie est libre puis m'emmène entre sa voiture et la mienne. Je suis toujours nu, mais toujours dans l'enceinte de l'entreprise. Une haie nous sépare du trottoir et de la rue. C'est une zone artisanal, pas de bâtiment autour, on ne risque pas d'être vu pourtant je ne suis pas tranquille. Franchissant le pas je m'agenouille entre les voitures, il sort son sexe à travers sa braguette, je le regarde un bon moment, puis trois gouttes s'en échappe suivit d'un jet. Il est puissant, éclaboussant et chaud. Je ferme les yeux.
"- Ouvre la bouche, j'ai envie de pisser dedans."
C'était ma crainte. Je ne suis pas mieux que les pédés d'internet, j'obtempère ! J'ai la bouche pleine d'urine que je recrache, mais il ne le voit pas du même oeil. Il me demande d'avaler !
"- Fait-moi plaisir, avale ! Vas y cochonne avale la pisse de ton patron, ça restera entre nous !"
Heureusement que ça restera entre nous ! J'essaye ! Je tente d'avaler et je m'aperçois que je bande. Je prends consience que cette humiliation m'excite. J'ai envie de m'agripper sur sa cuisse mais il est trop loin de moi pour ne pas que les éclaboussures viennent tâcher son pantalon. je me branle et j'avale. Son jet diminue d'intensité, il se raproche et pose le bout de son sexe sur mes lèvres entrouvertes laissant échapper les dernières goutes, puis l'introduit dans ma bouche. Je le suce de suite. Il ne met pas longtemps pour durcir. Je le pompe avec énergie tout en le branlant sans m'oublier et ne tarde pas pas à m'honorer. Un flot de sperme m'envahie la bouche, les jets de foutre viennent au fond de ma gorge, je m'empresse de tout avaler et je jouis à mon tour.
Reprenant mes esprits je m'aperçois que je suis dehors trempé d'urine et je panique. Je regarde aurour de moi, mais nous sommes seul. Ouf ! Je réalise ce que je viens de faire et je me dis que je suis une belle salope, mais je suis content. J'ai appris beaucoup de choses sur moi-même et j'ai pris un bon pied. On retourne dans les bureaux pour une mise au point:
"- Tu as étais au top aujourd'hui. Maintenent je sais ce que tu aimes. Tu te laisseras fister et pour te récompenser tu auras le droit de recevoir une douche de pisse. Tu es d'accord ?"
"- Oui patron, je ne savais pas que c'était aussi jouisssif de faire ça."
"- Tu as encore beaucoup de choses à apprendre, mais tu es sur la bonne voie. Si tu veux je t'éduquerais pour devenir une vraie chienne et peut-être qu'un jour tu le sera pour plusieurs hommes. En attendant continue comme ça."
Je suis rentrer chez mes parents prendre une douche, j'étais crevé mais comblé.

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