Un samedi de villégiature et… d’exhibition
Récit érotique écrit par PlaisirAddict [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
- • 2 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.0
- • L'ensemble des récits érotiques de PlaisirAddict ont reçu un total de 17 126 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-09-2014 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 5 191 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Un samedi de villégiature et… d’exhibition
Ceci est le récit d’une histoire bien réelle vécue très récemment.
Libertins occasionnels et appréciant à nos heures les petits jeux d’exhibition, nous étions depuis quelques temps déjà, presque depuis notre inscription sur un site dédié, en contact assez réguliers avec l’un des inscrits qui nous avait proposé de venir faire une exhibition sur son lieu de travail. Un restaurant.
Il faut dire que Tom, notre voyeur, suivait attentivement nos pérégrinations au fil des différents sujets auxquels nous participions par nos récits, témoignages et clichés que nous publions. Lors des multiples échanges de mails que nous avions pu avoir, il nous avait fait part de sa réelle envie de nous rencontrer sans en attendre un quelconque retour si jamais rien ne se faisait. Ses propos étaient clairs et précis, rassurants.
Il nous avait expliqué lors de nos échanges par mail que nous pourrions profiter des lieux après le service pour nous prêter à un shooting lors duquel, s’il avait lieu, il saurait garder une place de voyeur, ne touchant qu’avec les yeux et profitant du spectacle s’il se produisait.
Mais il se trouve qu’entre publier des récits, des témoignages ou des clichés pris dans l’intimité (d’une voiture, dans la nature, dans un ascenseur ou dans une rue) et s’exhiber pour la première fois devant un voyeur bien réel assistant au spectacle et n’en perdant pas une miette, il existe un fossé à accepter de franchir et qu’il faut avoir finalement envie de franchir le moment venu… Nous avions été bien clair avec Tom dans nos échanges et il était tout à fait clair pour lui qu’il ne se passerait peut-être rien si ma sublime femme ne s’en sentait finalement pas capable ou ne s’en sentait pas prête…
Toujours est-il, qu’après une annulation involontaire de dernière minute, nous avions repoussé notre rendez-vous d’une semaine. Nous avions rendez-vous samedi à 14:00 afin d’arriver suffisamment tard pour être assurés d’être les derniers clients du service et donc si l’envie était là de profiter des lieux à notre guise.
Ce samedi matin, ma belle se pomponnait et se préparait donc comme d’habitude. Non pas qu’elle en ait besoin, mais comme toujours dans l’idée d’être la plus belle et la plus désirable à mes yeux, ce qu’elle est toujours ! Une bonne douche apaisante, un brushing, un soupçon de maquillage pour relever son visage radieux et rayonnant, un peu d’huile corporelle et elle était fin prête… A ceci près, qu’elle enfilait une robe noire de style Marilyn Monroe, sans mettre de dessous dans un premier temps. Cette robe offrant un décolleté sublime et profond mettant en valeur sa divine poitrine, comme une promesse de volupté. Robe ample est plissée sous la taille, fluide et aérienne, volante. Ensuite elle se glissait dans des escarpins à talons aiguilles. Cette fois ci, le top départ d’une journée sensuelle et voluptueuse était donné. J’attrapais alors les clés de notre coupé, mon sac de photo, la main de ma déesse adorée et fermais la porte derrière nous.
Nous primes la route tranquillement en ayant beaucoup de temps devant nous afin de ne pas être pressés en ce jour classé rouge en terme de circulation à cause du chassé croisé des vacanciers. Sur le trajet, je sentais sa tension légèrement palpable, mais je la rassurais en lui disant à nouveaux qu’elle n’était obligée de rien si jamais elle ne s’en sentait pas capable ou n’en n’avait pas totalement envie. Que ce qui était proposé était un jeu à prendre comme tel et que quoiqu’il se passe ou pas il n’y aurait ni gagnant ni perdant, ni frustration ni déception…
Nous avons ainsi roulé un moment en nous détendant, le temps passant tranquillement. Je profitais aussi de laisser défiler ce ruban de bitume pour effleurer, caresser les cuisses douces de ma femme remontant de temps en temps sur son magnifique petit abricot doux et parfaitement lisse pour en connaître le taux d’humidité. A son aise dans le cadre privé de la voiture, confortablement installée et à l’abri derrière les vitres teintées elle se sentait bien et malgré le stress, légèrement excitée rien qu’à l’idée de ce qui se produirait peut-être, de savoir que c’était possible, même si rien n’était écrit à l’avance.
Un peu plus loin sur la route, nous fîmes une halte dans un love shop que nous connaissons et apprécions. J’avais déjà échangé par mail avec les propriétaires pour savoir s’ils seraient réticents à l’idée que je fasse un shooting photo de ma femme dans diverses tenues dans leur établissement pour notre usage personnel. Ils nous avaient gentiment proposé de nous présenter la prochaine fois que nous passerions, ce que nous allions faire. Nous étions sur le point d’y arriver quand j’annonçais à ma chérie qu’elle pouvait se choisir la tenue de son choix.
Sur place, ma belle se rendit aux toilettes afin de soulager sa vessie et aussi de faire une toilette intime et d’enfiler un micro string puisque jusqu’à présent elle était totalement nue sous sa robe. En effet, par respect pour soi même et pour les autres, il n’était pas question d’essayer diverses tenues sans. Je profitais de ce moment pour discuter de photos avec les propriétaires. Ils étaient d’accord tant que cela ne gênait pas la clientèle, ou mieux si nous étions seuls à ce moment là… C’était parfait pour une première ! Hélas sur ces entre-faits, des clients franchissaient la porte et je préférais décider de ne pas faire de shooting et de le reporter à un autre passage.
Après avoir arpenté ensemble les allées et cherché dans les présentoirs, son choix s’était porté sur plusieurs tenues. Il ne lui restait plus qu’à les passer une à une et à se glisser dedans pour avoir mon avis et choisir celle qui nous plairait le plus. Nous les éliminâmes une à une jusqu’à choisir celle qui lui allait à merveille, tout en jeux de transparence et par pans totalement asymétrique. Une robe avec laquelle il est impossible de sortir dans la vie civile, réservée à l’intimité de la vie privée… A moins que ce ne soit aussi lors de jeux d’exhibition ou en club… J’offrais cette robe à ma femme. Ce n’était pas la robe qui sublimait ma femme mais ma femme qui sublimerait la robe quand elle la porterait. Nous quittâmes les lieux et nous reprîmes l’autoroute en direction du restaurant.
A nouveau, je laissais quand je le pouvais mes mains vagabonder sur ses jambes, le long et à l’intérieur de ses cuisses et je constatais qu’elle avait gardé son string. Je lui fis remarquer et elle me dit dans un sourire que pour l’instant elle préférait. Ce que je comprenais fort bien… La circulation s’était fluidifiée à cette heure de repas et nous arrivâmes sur les lieux de notre rendez-vous avec Tom en ayant trois quarts d’heure d’avance. Ma douce était légèrement tendue et stressée, mais bien malgré tout. Je la rassurais à nouveau quand elle m’expliquait n’être sûre de rien quant à ce qu’elle serait capable, ou pas, de faire.
Nous franchîmes la porte de l’établissement. La terrasse était quasi pleine et il aurait été impossible d’y jouer et de s’y exhiber, pour nous en tout cas. Une serveuse s’avança vers nous. Nous lui demandons s’il était possible de manger à l’intérieur. Elle nous laissa un moment puis ce fut un serveur qui prit son relais. Ce n’était autre que Tom, qui nous installa confortablement dans un coin de la salle, à proximité des baies vitrées ouvertes afin que nous n’ayons pas trop chaud. Je laissais ma belle s’installer face à la salle et dos à la baie vitrée. Ainsi si elle décidait de jouer et de se dévoiler, elle serait plus à l’aise puisque nous étions les seuls en salle.
Tom revint nous voir en nous disant sans reproches que nous étions un peu en avance… Nous acquiescions dans un sourire et il nous proposait de prendre un apéritif. Ce que nous acceptâmes bien volontiers, demandant si pour l’apéro nous pouvions nous installer dans un des salons prévus à cet effet en terrasse afin de pouvoir fumer tout en sirotant nos verres. Tom nous répondit par l’affirmative et nous quittâmes la salle pour rejoindre l’un des salons.
Il revint peu de temps après avec nos verres et ne manquait pas de regarder ce qui lui était offert de voir, un décolleté généreux, magnifique et plein de promesse… Il savourait déjà cette vue plongeante qu’offrait cette tenue donnant un décolleté pigeonnant. Nous bûmes nos verres tout en discutant d’exhibition avec ma douce qui se demandait si elle en serait capable. De temps en temps Tom passait et nous adressait un mot gentil ou un sourire. Nous en profitions pour lui dire qu’à cet instant précis, rien n’était encore sûr ni garanti et il nous rassura nous disant qu’il ne serait pas déçu quoiqu’il arrive. Je sentais que pour ma femme la peur le disputait à l’excitation, ce que je comprenais fort bien. Nous avions fini nos verres depuis un petit moment tout en discutant lorsque Tom revint et nous proposa de nous en servir un autre. Nous nous regardâmes, complices comme toujours, et acceptâmes bien volontiers. Nous n’étions pas pressés, il faisait beau et chaud, nous nous sentions parfaitement bien, autant en profiter…
Il nous servit donc une seconde tournée, et continua son service non sans, à chaque fois qu’il passait à côté de nous pour s’occuper d’autres tables, nous adresser un sourire et regarder, admiratif, ma belle sans pour autant être prédateur. Son comportement était parfait, et permettait de se détendre et d’être naturels. Nous continuâmes à refaire le monde tout en rigolant et dans une détente des plus totales. Ma femme me disait de temps en temps qu’elle aimerait savoir et oser s’exhiber, comme d’autres semblent le faire quasi naturellement. Ce à quoi je lui rétorquais que peu importait les autres, seuls nous comptaient. Qu’elle n’avait pas à regretter de ne pas savoir être, ces autres, car c’est elle que j’aime. Le temps s’écoulait lentement et aussi bizarre que cela puisse paraître, de plus en plus rapidement. Lorsque nous finîmes ce second verre et que Tom nous proposa de passer à table, la terrasse s’était copieusement vidée. Seules trois tables étaient encore occupées. Toutes en fin de repas, dégustant soit leurs desserts soit leurs cafés. Il était presque 14:00…
Nous repassâmes en salle et nous installâmes à notre table. Quand nous fumes installés, ma beauté me fit part de son besoin de faire une escale technique, et prit la direction des sanitaires dont elle demanda la direction à Tom qui je suppose devait l’admirer déambulant dans le restaurant dans sa robe et sur ses talons. Puis il revint à notre table et me demanda si je savais ce que nous allions manger. Je passais donc commande. Echangeant quelques mots sur la suite des évènements, il me complimenta sur la beauté de ma femme. Ce à quoi je lui répondis que j’étais un homme chanceux et un homme heureux d’avoir une si belle et douce femme, qui plus est joueuse… Puis il partit pour aller envoyer la commande en cuisine.
Quand ma belle me rejoignit à table, en passant à côté de moi, elle m’embrassa puis déposa son micro string devant moi, à même la table entre les couverts tout en me regardant l’œil rieur et dans un sourire ravageur. A nouveau, elle était totalement nue, sublime, magnifique, sous cette robe sexy qui l’habillait sensuellement et parfaitement. Elle sait combien j’aime la savoir ainsi, nue sous ses tenues…
Avant que les plats ne nous soient servis, ma douce, subrepticement me dévoila l’un de ses divins seins sans le sortir totalement de son décolleté, mais suffisamment pour que son téton orné d’un piercing apparaisse. Je prenais alors mon iPhone et en faisait une photo souvenir. Agir ainsi, même si aucun client n’était en salle, mais alors que nous étions entourés de baies vitrées, et que l’équipe du restaurant déambulait était signe qu’elle se sentait bien. Et que même si, le spectacle n’était adressé qu’à moi, elle était tout à fait à l’aise et avait l’esprit joueur. Puis, dans un regard, elle me fit comprendre qu’elle avait remonté sa jupe et ouvert ses cuisses. Je prétextais de chercher quelque chose dans mon sac photo pour me baisser et admirer le point de vue.
Mes yeux remontèrent le longs de ses jambes, à l’intérieur de ses cuisses et vinrent se poser admiratifs, captivés, sur son bel abricot doré par le soleil comme un fruit bien mur. Je me redressais et attrapais à nouveau mon iPhone et shootais. En visionnant les premières photos sous la table, nous nous apercevions qu’elles étaient trop sombres et ne nous plaisaient pas. Nous les supprimions et je recommençais en ayant pris soin de forcer le flash pour compenser la faible luminosité. Cette fois, les photos étaient réussies et nous plaisaient.
Tom vint nous apporter nos verres de vin puis nos assiettes et il nous demanda si tout se passait bien. Nous lui répondîmes par l’affirmative, tout allait pour le mieux ! Il en profita pour nous demander si nous avions pu jouer un peu et faire quelques photos volées… Dans un sourire, là encore nous répondîmes par l’affirmative et je demandais à ma belle si je pouvais les lui montrer les deux clichés. Elle accepta dans un sourire ravageur mais contenant son stress malgré tout. Je montrais donc les deux photos à Tom qui les regarda un sourire aux lèvres. Il apprécia et nous le fit savoir dans un mot gentil.
Nous dégustâmes notre repas et nos verres de vin laissant le temps s’écouler en douceur. J’avais en face de moi celle qui non contente d’être ma femme est aussi, ma muse, ma déesse, mon amour, mon trésor et comme chaque jour, chaque instant, je l’admirais. Et dans cette tenue je profitais de son décolleté profond et généreux pour laisser glisser mes yeux dans les abîmes de ses monts et merveilles, vallées gorgées de soleil. Quand nous eûmes terminé nos plats, Tom vint débarrasser nos assiettes et nous proposa un dessert que nous déclinâmes poliment. Il nous proposa alors un café que nous acceptâmes bien volontiers et il nous suggéra de nous installer à nouveau dans les fauteuils et canapés de la terrasse pour pouvoir être encore plus à l’aise et fumer si nous le souhaitions. Nous acceptâmes aussitôt.
Nous nous installâmes dans le même salon que lors de notre apéro. Ne se trouvait plus en terrasse que deux tables d’occupées, mais pour peu de temps les clients étant sur le point de terminer ou de régler leurs consommations. Tom nous apporta nos cafés et continua son travail. Ma belle était assise dans un fauteuil et moi dans un canapé placé perpendiculairement au fauteuil. Nous rigolions, discutions, je profitais de la divine beauté de ma femme à chaque seconde, je l’admirais. Elle me disait qu’elle ne savait pas ce dont elle serait capable et je la rassurais à nouveau. Tom vint nous proposer un digestif, mais nous déclinâmes et optâmes pour un second café. Nous le conviâmes également à boire quelque chose avec nous. La terrasse était vide et nous étions les derniers clients.
Tom ne pouvant malgré tout pas s’installer avec nous il se plaça derrière l’angle formé par le fauteuil et par le canapé. Peut-être ainsi avait-il aussi une superbe vue sur le rebondi des seins de ma femme, très discrètement. Nous discutâmes un moment dans une détente totale. Nous savions qu’il était bien tel qu’il s’était décrit. Un homme appréciant les plaisirs de la vie et que si quelque chose de supplémentaire se produisait ce serait sympa, mais que même sans cela, le moment le serait tout autant. Lors de notre discussion, dont l’un des thèmes était les jeux d’exhibition, à un moment donné, ma belle évoqua ses piercings. Nous lui expliquâmes pourquoi elle les avait faits. C’était suite à des photos montages qui lui avaient permis d’avoir une idée très précises du résultat que cela donnerait. Et elle les avait faits faire sans m’en en parler, m’en faisant la surprise. Ils étaient magnifiques et lui allaient divinement bien.
Lorsque ma beauté les énuméra, elle fit donc part à Tom qu’elle en avait sur les seins. Soudainement et presque naturellement mais très discrètement, sans sortir totalement un sein mais en écartant un peu le tissu de sa poitrine elle montra son téton gauche traversé de ce petit bijou à notre complice désormais voyeur actif. Elle commençait à s’exhiber sans toutefois en être totalement consciente, ni se l’avouer. Puis, l’un n’allant pas sans l’autre, elle fit de même avec le second. Tom appréciait et s’extasiait de sa beauté et de sa générosité. Il n’avait pas eu le plaisir ni le loisir d’admirer sa sublime poitrine dans sa totalité mais l’aperçu lui plaisait. Il l’avouait et même sans cela c’eut été indéniable. Nous discutâmes encore un moment dans la bonne humeur puis Tom proposa si nous le souhaitions de passer à l’intérieur et de faire quelques photos si nous le désirions, séance à laquelle il assisterait avec grand plaisir…
A ce moment là encore, ma chérie hésitait. Je lui dis alors que c’était à elle de voir et qui si elle ne voulait pas ce n’était pas grave. Qu’elle pouvait faire selon son envie… Après une brève réflexion elle me regarda le sourire aux lèvres et me lança : « Faisons… » !
Nous regagnâmes alors la salle du restaurant et Tom ferma les portes derrière nous. Les lumières du restaurant étant désormais éteintes, j’attrapais mon appareil photo équipé du flash pour la basse luminosité et gardais mon téléphone à portée de main pour pouvoir faire des photos avec les deux. Tom proposa de s’installer au bar pour commencer. Je sentais un frémissement de stress et d’inquiétude mêlé à un peu d’excitation parcourir l’épiderme de ma femme. Je posais le matériel photo sur le comptoir et aidais ma déesse à grimper sur l’un de ces tabourets de bar assez haut. Il était confortable, recouvert de cuir, matelassé, le pourtour clouté à l’ancienne dans un style moderne et baroque à la fois. Ma beauté était stressée ce que nous comprenions fort bien et je ne cessais de lui dire combien je l’aimais et combien elle était belle. Tom la complimentait aussi.
Je commençais à prendre des clichés sous différents angles en la regardant et en l’admirant. Elle me demanda ce qu’elle devait faire ensuite, quelle pose prendre. Je préférais qu’elle se laisse aller plutôt que de la guider. Je voulais qu’elle soit bien et que ce ne soit pas une contrainte. Je lui répondais donc de faire ce qu’elle avait envie et de surtout ne pas se forcer, ne pas faire ce dont elle n’avait pas envie ou ne se sentait pas capable de faire.
Elle prit alors différentes poses tout en sourire et en sensualité que je continuais à immortaliser puis se laissant porter par le moment, elle libéra sa poitrine sublime sans pour autant enlever sa robe. Ses seins magnifiques furent libérés de leur étreinte et s’exposèrent sous nos yeux ravis, la contemplant. Elle était tout sourire de jouer et d’oser ainsi se dévoiler devant un voyeur, sous mes yeux et devant mon objectif dont le diaphragme claquait quasiment en rafale afin d’immortaliser ces scènes. Ma beauté prenait différentes poses, sans se prendre au sérieux, exhibant fièrement sa sublime poitrine à Tom, notre voyeur du jour qui n’en perdait pas une miette et s’en mettait plein les mirettes tout en la complimentant pour sa plastique et en la remerciant d’avoir accepté de jouer. Il était subjugué par sa beauté, sa sensualité et son naturel. Elle était magnifique.
Au bout de quelques minutes, elle déclara alors à Tom qu’elle avait aussi un piercing sur le capuchon du clitoris et qu’elle allait le lui montrer. Petit à petit et sensuellement elle releva sa robe sur ses cuisses déjà ouvertes puisqu’elle avait les pieds en appui sur les barres transversales du tabouret. La robe fut ainsi remonté par ma douce jusqu’à son ventre et bloquée sous son avant-bras afin de ne pas retomber et gâcher la vue pour Tom ou pour mon objectif. Ses seins aux tétons délicatement piercés étaient toujours de la fête, libérés de cette robe qui les avait emprisonné jusqu’à peu de temps avant…
Se rendant compte que malgré la position son piercing intime, qui est très discret, n’apparaissait pas, dans un nouveau sourire elle baissa la tête et se pencha en avant pour de sa main gauche écarter et ouvrir légèrement les grandes et petites lèvres douces de son petit abricot afin que le cachottier apparaisse alors qu’elle était en même temps accoudée au bar le plus naturellement du monde. Tom était subjugué, admiratif de temps de sensualité, de charme, de beauté…
Moi j’étais heureux de voir ma belle gaie, détendue, joueuse et y prenant plaisir. Je m’enivrais de sa beauté et de sa spontanéité tout en continuant à shooter et à lui dire combien je la trouvais belle, sensuelle, sexy et désirable. Une fois que son piercing fut visible sans qu’elle n’ait eu besoin de poser ses mains sur sa belle petite chatte, elle s’installa plus naturellement, nous regardant, s’exhibant fièrement, nous offrant les trésors de son intimité et de son anatomie parfaite. Elle resta ainsi, offrant ses trésors à nos regards quelques minutes changeant de position plus ou moins légèrement. Le flash de l’appareil photo crépitait. Tom ne cessait de nous répéter qu’il était content d’être là et de n’avoir surtout pas raté cette séance. Ma douce avait abandonné ses barrières et s’était libéré de ses chaînes pour vivre pleinement cet instant. Désormais l’excitation le disputait et l’avait emporté face à l’incrédulité qui fait se dire, « Moi je fais ça, j’ose le faire… Je m’exhibe et cela m’amuse, j’y prends du plaisir »… La séance au bar dura encore quelques instants puis nous nous dirigeâmes vers l’un des murs du restaurant.
Tom proposa à Sylvie d’y faire face et de poser ses mains dessus, légèrement penchée en avant, sa superbe croupe tendue. Il se permit sans toucher la peau de ma femme de remonter sa robe totalement mais connaissant ma muse et mon modèle de femme je savais que les clichés ne lui plairaient pas. Alors tout en gardant l’idée, nous composâmes la même pose, dévoilant toujours ses superbes fesses. Caché tout au fond d’elles son abricot juteux que nous pouvions deviner selon les angles de vue. Le flash crépita à nouveau, non pas sous les applaudissements des spectateurs mais sous les compliments destinés à ma femme. Nous changeâmes à nouveau d’endroit et nous installâmes au niveau des sanitaires, devant les miroirs et les lavabos.
La configuration de la pièce permettait à ma belle de prendre la pose, debout, les bras en croix tendus d’un mur à l’autre. Là encore ma belle joua le jeu avec plaisir, le flash crépita, prenant des clichés sous tous les angles, de face, en contre plongée, resserrés sur son visage et ses seins, de plus loin et toujours sous toutes les coutures. Ma déesse joua aussi avec sa robe la remontant tout en ondulant du bassin et faisant rouler ses hanches jusqu’à de nouveau nous dévoiler sa belle petite chatte… Nous étions admiratifs et béats de sa beauté et de son laisser aller. Nous la complimentâmes encore alors qu’elle se rhabillait en laissant retomber sa robe et en replaçant ses seins à l’intérieur. Je continuais le shooting. Tom insistait sur sa beauté et lui répétait gentiment qu’elle n’avait aucun complexe à avoir loin de là.
Nous discutâmes encore un peu, Tom nous expliquant qu’il était prêt à renouveler l’expérience si nous le souhaitions et dans le même contexte, à savoir que jamais rien n’est acquis ou garanti à l’avance. Nous lui faisions donc savoir que nous étions partants, mais qu’il fallait nous organiser étant très pris et lui également. Puis après nous être dit au revoir nous nous éclipsâmes…
Nous regagnâmes notre coupé qui nous attendait au frais dans le parking souterrain. Je profitais de la descente d’escalier pour faire une photo dérobée de ma chérie qui était restée en haut des marches et avait relevé sa petite robe pour son excitation et mon plaisir. Nous montâmes en voiture et reprîmes la route en discutant et débriefant de notre petite aventure du jour. Stress, exhibition et excitation… Tels avaient été les thèmes liés de la journée.
Libertins occasionnels et appréciant à nos heures les petits jeux d’exhibition, nous étions depuis quelques temps déjà, presque depuis notre inscription sur un site dédié, en contact assez réguliers avec l’un des inscrits qui nous avait proposé de venir faire une exhibition sur son lieu de travail. Un restaurant.
Il faut dire que Tom, notre voyeur, suivait attentivement nos pérégrinations au fil des différents sujets auxquels nous participions par nos récits, témoignages et clichés que nous publions. Lors des multiples échanges de mails que nous avions pu avoir, il nous avait fait part de sa réelle envie de nous rencontrer sans en attendre un quelconque retour si jamais rien ne se faisait. Ses propos étaient clairs et précis, rassurants.
Il nous avait expliqué lors de nos échanges par mail que nous pourrions profiter des lieux après le service pour nous prêter à un shooting lors duquel, s’il avait lieu, il saurait garder une place de voyeur, ne touchant qu’avec les yeux et profitant du spectacle s’il se produisait.
Mais il se trouve qu’entre publier des récits, des témoignages ou des clichés pris dans l’intimité (d’une voiture, dans la nature, dans un ascenseur ou dans une rue) et s’exhiber pour la première fois devant un voyeur bien réel assistant au spectacle et n’en perdant pas une miette, il existe un fossé à accepter de franchir et qu’il faut avoir finalement envie de franchir le moment venu… Nous avions été bien clair avec Tom dans nos échanges et il était tout à fait clair pour lui qu’il ne se passerait peut-être rien si ma sublime femme ne s’en sentait finalement pas capable ou ne s’en sentait pas prête…
Toujours est-il, qu’après une annulation involontaire de dernière minute, nous avions repoussé notre rendez-vous d’une semaine. Nous avions rendez-vous samedi à 14:00 afin d’arriver suffisamment tard pour être assurés d’être les derniers clients du service et donc si l’envie était là de profiter des lieux à notre guise.
Ce samedi matin, ma belle se pomponnait et se préparait donc comme d’habitude. Non pas qu’elle en ait besoin, mais comme toujours dans l’idée d’être la plus belle et la plus désirable à mes yeux, ce qu’elle est toujours ! Une bonne douche apaisante, un brushing, un soupçon de maquillage pour relever son visage radieux et rayonnant, un peu d’huile corporelle et elle était fin prête… A ceci près, qu’elle enfilait une robe noire de style Marilyn Monroe, sans mettre de dessous dans un premier temps. Cette robe offrant un décolleté sublime et profond mettant en valeur sa divine poitrine, comme une promesse de volupté. Robe ample est plissée sous la taille, fluide et aérienne, volante. Ensuite elle se glissait dans des escarpins à talons aiguilles. Cette fois ci, le top départ d’une journée sensuelle et voluptueuse était donné. J’attrapais alors les clés de notre coupé, mon sac de photo, la main de ma déesse adorée et fermais la porte derrière nous.
Nous primes la route tranquillement en ayant beaucoup de temps devant nous afin de ne pas être pressés en ce jour classé rouge en terme de circulation à cause du chassé croisé des vacanciers. Sur le trajet, je sentais sa tension légèrement palpable, mais je la rassurais en lui disant à nouveaux qu’elle n’était obligée de rien si jamais elle ne s’en sentait pas capable ou n’en n’avait pas totalement envie. Que ce qui était proposé était un jeu à prendre comme tel et que quoiqu’il se passe ou pas il n’y aurait ni gagnant ni perdant, ni frustration ni déception…
Nous avons ainsi roulé un moment en nous détendant, le temps passant tranquillement. Je profitais aussi de laisser défiler ce ruban de bitume pour effleurer, caresser les cuisses douces de ma femme remontant de temps en temps sur son magnifique petit abricot doux et parfaitement lisse pour en connaître le taux d’humidité. A son aise dans le cadre privé de la voiture, confortablement installée et à l’abri derrière les vitres teintées elle se sentait bien et malgré le stress, légèrement excitée rien qu’à l’idée de ce qui se produirait peut-être, de savoir que c’était possible, même si rien n’était écrit à l’avance.
Un peu plus loin sur la route, nous fîmes une halte dans un love shop que nous connaissons et apprécions. J’avais déjà échangé par mail avec les propriétaires pour savoir s’ils seraient réticents à l’idée que je fasse un shooting photo de ma femme dans diverses tenues dans leur établissement pour notre usage personnel. Ils nous avaient gentiment proposé de nous présenter la prochaine fois que nous passerions, ce que nous allions faire. Nous étions sur le point d’y arriver quand j’annonçais à ma chérie qu’elle pouvait se choisir la tenue de son choix.
Sur place, ma belle se rendit aux toilettes afin de soulager sa vessie et aussi de faire une toilette intime et d’enfiler un micro string puisque jusqu’à présent elle était totalement nue sous sa robe. En effet, par respect pour soi même et pour les autres, il n’était pas question d’essayer diverses tenues sans. Je profitais de ce moment pour discuter de photos avec les propriétaires. Ils étaient d’accord tant que cela ne gênait pas la clientèle, ou mieux si nous étions seuls à ce moment là… C’était parfait pour une première ! Hélas sur ces entre-faits, des clients franchissaient la porte et je préférais décider de ne pas faire de shooting et de le reporter à un autre passage.
Après avoir arpenté ensemble les allées et cherché dans les présentoirs, son choix s’était porté sur plusieurs tenues. Il ne lui restait plus qu’à les passer une à une et à se glisser dedans pour avoir mon avis et choisir celle qui nous plairait le plus. Nous les éliminâmes une à une jusqu’à choisir celle qui lui allait à merveille, tout en jeux de transparence et par pans totalement asymétrique. Une robe avec laquelle il est impossible de sortir dans la vie civile, réservée à l’intimité de la vie privée… A moins que ce ne soit aussi lors de jeux d’exhibition ou en club… J’offrais cette robe à ma femme. Ce n’était pas la robe qui sublimait ma femme mais ma femme qui sublimerait la robe quand elle la porterait. Nous quittâmes les lieux et nous reprîmes l’autoroute en direction du restaurant.
A nouveau, je laissais quand je le pouvais mes mains vagabonder sur ses jambes, le long et à l’intérieur de ses cuisses et je constatais qu’elle avait gardé son string. Je lui fis remarquer et elle me dit dans un sourire que pour l’instant elle préférait. Ce que je comprenais fort bien… La circulation s’était fluidifiée à cette heure de repas et nous arrivâmes sur les lieux de notre rendez-vous avec Tom en ayant trois quarts d’heure d’avance. Ma douce était légèrement tendue et stressée, mais bien malgré tout. Je la rassurais à nouveau quand elle m’expliquait n’être sûre de rien quant à ce qu’elle serait capable, ou pas, de faire.
Nous franchîmes la porte de l’établissement. La terrasse était quasi pleine et il aurait été impossible d’y jouer et de s’y exhiber, pour nous en tout cas. Une serveuse s’avança vers nous. Nous lui demandons s’il était possible de manger à l’intérieur. Elle nous laissa un moment puis ce fut un serveur qui prit son relais. Ce n’était autre que Tom, qui nous installa confortablement dans un coin de la salle, à proximité des baies vitrées ouvertes afin que nous n’ayons pas trop chaud. Je laissais ma belle s’installer face à la salle et dos à la baie vitrée. Ainsi si elle décidait de jouer et de se dévoiler, elle serait plus à l’aise puisque nous étions les seuls en salle.
Tom revint nous voir en nous disant sans reproches que nous étions un peu en avance… Nous acquiescions dans un sourire et il nous proposait de prendre un apéritif. Ce que nous acceptâmes bien volontiers, demandant si pour l’apéro nous pouvions nous installer dans un des salons prévus à cet effet en terrasse afin de pouvoir fumer tout en sirotant nos verres. Tom nous répondit par l’affirmative et nous quittâmes la salle pour rejoindre l’un des salons.
Il revint peu de temps après avec nos verres et ne manquait pas de regarder ce qui lui était offert de voir, un décolleté généreux, magnifique et plein de promesse… Il savourait déjà cette vue plongeante qu’offrait cette tenue donnant un décolleté pigeonnant. Nous bûmes nos verres tout en discutant d’exhibition avec ma douce qui se demandait si elle en serait capable. De temps en temps Tom passait et nous adressait un mot gentil ou un sourire. Nous en profitions pour lui dire qu’à cet instant précis, rien n’était encore sûr ni garanti et il nous rassura nous disant qu’il ne serait pas déçu quoiqu’il arrive. Je sentais que pour ma femme la peur le disputait à l’excitation, ce que je comprenais fort bien. Nous avions fini nos verres depuis un petit moment tout en discutant lorsque Tom revint et nous proposa de nous en servir un autre. Nous nous regardâmes, complices comme toujours, et acceptâmes bien volontiers. Nous n’étions pas pressés, il faisait beau et chaud, nous nous sentions parfaitement bien, autant en profiter…
Il nous servit donc une seconde tournée, et continua son service non sans, à chaque fois qu’il passait à côté de nous pour s’occuper d’autres tables, nous adresser un sourire et regarder, admiratif, ma belle sans pour autant être prédateur. Son comportement était parfait, et permettait de se détendre et d’être naturels. Nous continuâmes à refaire le monde tout en rigolant et dans une détente des plus totales. Ma femme me disait de temps en temps qu’elle aimerait savoir et oser s’exhiber, comme d’autres semblent le faire quasi naturellement. Ce à quoi je lui rétorquais que peu importait les autres, seuls nous comptaient. Qu’elle n’avait pas à regretter de ne pas savoir être, ces autres, car c’est elle que j’aime. Le temps s’écoulait lentement et aussi bizarre que cela puisse paraître, de plus en plus rapidement. Lorsque nous finîmes ce second verre et que Tom nous proposa de passer à table, la terrasse s’était copieusement vidée. Seules trois tables étaient encore occupées. Toutes en fin de repas, dégustant soit leurs desserts soit leurs cafés. Il était presque 14:00…
Nous repassâmes en salle et nous installâmes à notre table. Quand nous fumes installés, ma beauté me fit part de son besoin de faire une escale technique, et prit la direction des sanitaires dont elle demanda la direction à Tom qui je suppose devait l’admirer déambulant dans le restaurant dans sa robe et sur ses talons. Puis il revint à notre table et me demanda si je savais ce que nous allions manger. Je passais donc commande. Echangeant quelques mots sur la suite des évènements, il me complimenta sur la beauté de ma femme. Ce à quoi je lui répondis que j’étais un homme chanceux et un homme heureux d’avoir une si belle et douce femme, qui plus est joueuse… Puis il partit pour aller envoyer la commande en cuisine.
Quand ma belle me rejoignit à table, en passant à côté de moi, elle m’embrassa puis déposa son micro string devant moi, à même la table entre les couverts tout en me regardant l’œil rieur et dans un sourire ravageur. A nouveau, elle était totalement nue, sublime, magnifique, sous cette robe sexy qui l’habillait sensuellement et parfaitement. Elle sait combien j’aime la savoir ainsi, nue sous ses tenues…
Avant que les plats ne nous soient servis, ma douce, subrepticement me dévoila l’un de ses divins seins sans le sortir totalement de son décolleté, mais suffisamment pour que son téton orné d’un piercing apparaisse. Je prenais alors mon iPhone et en faisait une photo souvenir. Agir ainsi, même si aucun client n’était en salle, mais alors que nous étions entourés de baies vitrées, et que l’équipe du restaurant déambulait était signe qu’elle se sentait bien. Et que même si, le spectacle n’était adressé qu’à moi, elle était tout à fait à l’aise et avait l’esprit joueur. Puis, dans un regard, elle me fit comprendre qu’elle avait remonté sa jupe et ouvert ses cuisses. Je prétextais de chercher quelque chose dans mon sac photo pour me baisser et admirer le point de vue.
Mes yeux remontèrent le longs de ses jambes, à l’intérieur de ses cuisses et vinrent se poser admiratifs, captivés, sur son bel abricot doré par le soleil comme un fruit bien mur. Je me redressais et attrapais à nouveau mon iPhone et shootais. En visionnant les premières photos sous la table, nous nous apercevions qu’elles étaient trop sombres et ne nous plaisaient pas. Nous les supprimions et je recommençais en ayant pris soin de forcer le flash pour compenser la faible luminosité. Cette fois, les photos étaient réussies et nous plaisaient.
Tom vint nous apporter nos verres de vin puis nos assiettes et il nous demanda si tout se passait bien. Nous lui répondîmes par l’affirmative, tout allait pour le mieux ! Il en profita pour nous demander si nous avions pu jouer un peu et faire quelques photos volées… Dans un sourire, là encore nous répondîmes par l’affirmative et je demandais à ma belle si je pouvais les lui montrer les deux clichés. Elle accepta dans un sourire ravageur mais contenant son stress malgré tout. Je montrais donc les deux photos à Tom qui les regarda un sourire aux lèvres. Il apprécia et nous le fit savoir dans un mot gentil.
Nous dégustâmes notre repas et nos verres de vin laissant le temps s’écouler en douceur. J’avais en face de moi celle qui non contente d’être ma femme est aussi, ma muse, ma déesse, mon amour, mon trésor et comme chaque jour, chaque instant, je l’admirais. Et dans cette tenue je profitais de son décolleté profond et généreux pour laisser glisser mes yeux dans les abîmes de ses monts et merveilles, vallées gorgées de soleil. Quand nous eûmes terminé nos plats, Tom vint débarrasser nos assiettes et nous proposa un dessert que nous déclinâmes poliment. Il nous proposa alors un café que nous acceptâmes bien volontiers et il nous suggéra de nous installer à nouveau dans les fauteuils et canapés de la terrasse pour pouvoir être encore plus à l’aise et fumer si nous le souhaitions. Nous acceptâmes aussitôt.
Nous nous installâmes dans le même salon que lors de notre apéro. Ne se trouvait plus en terrasse que deux tables d’occupées, mais pour peu de temps les clients étant sur le point de terminer ou de régler leurs consommations. Tom nous apporta nos cafés et continua son travail. Ma belle était assise dans un fauteuil et moi dans un canapé placé perpendiculairement au fauteuil. Nous rigolions, discutions, je profitais de la divine beauté de ma femme à chaque seconde, je l’admirais. Elle me disait qu’elle ne savait pas ce dont elle serait capable et je la rassurais à nouveau. Tom vint nous proposer un digestif, mais nous déclinâmes et optâmes pour un second café. Nous le conviâmes également à boire quelque chose avec nous. La terrasse était vide et nous étions les derniers clients.
Tom ne pouvant malgré tout pas s’installer avec nous il se plaça derrière l’angle formé par le fauteuil et par le canapé. Peut-être ainsi avait-il aussi une superbe vue sur le rebondi des seins de ma femme, très discrètement. Nous discutâmes un moment dans une détente totale. Nous savions qu’il était bien tel qu’il s’était décrit. Un homme appréciant les plaisirs de la vie et que si quelque chose de supplémentaire se produisait ce serait sympa, mais que même sans cela, le moment le serait tout autant. Lors de notre discussion, dont l’un des thèmes était les jeux d’exhibition, à un moment donné, ma belle évoqua ses piercings. Nous lui expliquâmes pourquoi elle les avait faits. C’était suite à des photos montages qui lui avaient permis d’avoir une idée très précises du résultat que cela donnerait. Et elle les avait faits faire sans m’en en parler, m’en faisant la surprise. Ils étaient magnifiques et lui allaient divinement bien.
Lorsque ma beauté les énuméra, elle fit donc part à Tom qu’elle en avait sur les seins. Soudainement et presque naturellement mais très discrètement, sans sortir totalement un sein mais en écartant un peu le tissu de sa poitrine elle montra son téton gauche traversé de ce petit bijou à notre complice désormais voyeur actif. Elle commençait à s’exhiber sans toutefois en être totalement consciente, ni se l’avouer. Puis, l’un n’allant pas sans l’autre, elle fit de même avec le second. Tom appréciait et s’extasiait de sa beauté et de sa générosité. Il n’avait pas eu le plaisir ni le loisir d’admirer sa sublime poitrine dans sa totalité mais l’aperçu lui plaisait. Il l’avouait et même sans cela c’eut été indéniable. Nous discutâmes encore un moment dans la bonne humeur puis Tom proposa si nous le souhaitions de passer à l’intérieur et de faire quelques photos si nous le désirions, séance à laquelle il assisterait avec grand plaisir…
A ce moment là encore, ma chérie hésitait. Je lui dis alors que c’était à elle de voir et qui si elle ne voulait pas ce n’était pas grave. Qu’elle pouvait faire selon son envie… Après une brève réflexion elle me regarda le sourire aux lèvres et me lança : « Faisons… » !
Nous regagnâmes alors la salle du restaurant et Tom ferma les portes derrière nous. Les lumières du restaurant étant désormais éteintes, j’attrapais mon appareil photo équipé du flash pour la basse luminosité et gardais mon téléphone à portée de main pour pouvoir faire des photos avec les deux. Tom proposa de s’installer au bar pour commencer. Je sentais un frémissement de stress et d’inquiétude mêlé à un peu d’excitation parcourir l’épiderme de ma femme. Je posais le matériel photo sur le comptoir et aidais ma déesse à grimper sur l’un de ces tabourets de bar assez haut. Il était confortable, recouvert de cuir, matelassé, le pourtour clouté à l’ancienne dans un style moderne et baroque à la fois. Ma beauté était stressée ce que nous comprenions fort bien et je ne cessais de lui dire combien je l’aimais et combien elle était belle. Tom la complimentait aussi.
Je commençais à prendre des clichés sous différents angles en la regardant et en l’admirant. Elle me demanda ce qu’elle devait faire ensuite, quelle pose prendre. Je préférais qu’elle se laisse aller plutôt que de la guider. Je voulais qu’elle soit bien et que ce ne soit pas une contrainte. Je lui répondais donc de faire ce qu’elle avait envie et de surtout ne pas se forcer, ne pas faire ce dont elle n’avait pas envie ou ne se sentait pas capable de faire.
Elle prit alors différentes poses tout en sourire et en sensualité que je continuais à immortaliser puis se laissant porter par le moment, elle libéra sa poitrine sublime sans pour autant enlever sa robe. Ses seins magnifiques furent libérés de leur étreinte et s’exposèrent sous nos yeux ravis, la contemplant. Elle était tout sourire de jouer et d’oser ainsi se dévoiler devant un voyeur, sous mes yeux et devant mon objectif dont le diaphragme claquait quasiment en rafale afin d’immortaliser ces scènes. Ma beauté prenait différentes poses, sans se prendre au sérieux, exhibant fièrement sa sublime poitrine à Tom, notre voyeur du jour qui n’en perdait pas une miette et s’en mettait plein les mirettes tout en la complimentant pour sa plastique et en la remerciant d’avoir accepté de jouer. Il était subjugué par sa beauté, sa sensualité et son naturel. Elle était magnifique.
Au bout de quelques minutes, elle déclara alors à Tom qu’elle avait aussi un piercing sur le capuchon du clitoris et qu’elle allait le lui montrer. Petit à petit et sensuellement elle releva sa robe sur ses cuisses déjà ouvertes puisqu’elle avait les pieds en appui sur les barres transversales du tabouret. La robe fut ainsi remonté par ma douce jusqu’à son ventre et bloquée sous son avant-bras afin de ne pas retomber et gâcher la vue pour Tom ou pour mon objectif. Ses seins aux tétons délicatement piercés étaient toujours de la fête, libérés de cette robe qui les avait emprisonné jusqu’à peu de temps avant…
Se rendant compte que malgré la position son piercing intime, qui est très discret, n’apparaissait pas, dans un nouveau sourire elle baissa la tête et se pencha en avant pour de sa main gauche écarter et ouvrir légèrement les grandes et petites lèvres douces de son petit abricot afin que le cachottier apparaisse alors qu’elle était en même temps accoudée au bar le plus naturellement du monde. Tom était subjugué, admiratif de temps de sensualité, de charme, de beauté…
Moi j’étais heureux de voir ma belle gaie, détendue, joueuse et y prenant plaisir. Je m’enivrais de sa beauté et de sa spontanéité tout en continuant à shooter et à lui dire combien je la trouvais belle, sensuelle, sexy et désirable. Une fois que son piercing fut visible sans qu’elle n’ait eu besoin de poser ses mains sur sa belle petite chatte, elle s’installa plus naturellement, nous regardant, s’exhibant fièrement, nous offrant les trésors de son intimité et de son anatomie parfaite. Elle resta ainsi, offrant ses trésors à nos regards quelques minutes changeant de position plus ou moins légèrement. Le flash de l’appareil photo crépitait. Tom ne cessait de nous répéter qu’il était content d’être là et de n’avoir surtout pas raté cette séance. Ma douce avait abandonné ses barrières et s’était libéré de ses chaînes pour vivre pleinement cet instant. Désormais l’excitation le disputait et l’avait emporté face à l’incrédulité qui fait se dire, « Moi je fais ça, j’ose le faire… Je m’exhibe et cela m’amuse, j’y prends du plaisir »… La séance au bar dura encore quelques instants puis nous nous dirigeâmes vers l’un des murs du restaurant.
Tom proposa à Sylvie d’y faire face et de poser ses mains dessus, légèrement penchée en avant, sa superbe croupe tendue. Il se permit sans toucher la peau de ma femme de remonter sa robe totalement mais connaissant ma muse et mon modèle de femme je savais que les clichés ne lui plairaient pas. Alors tout en gardant l’idée, nous composâmes la même pose, dévoilant toujours ses superbes fesses. Caché tout au fond d’elles son abricot juteux que nous pouvions deviner selon les angles de vue. Le flash crépita à nouveau, non pas sous les applaudissements des spectateurs mais sous les compliments destinés à ma femme. Nous changeâmes à nouveau d’endroit et nous installâmes au niveau des sanitaires, devant les miroirs et les lavabos.
La configuration de la pièce permettait à ma belle de prendre la pose, debout, les bras en croix tendus d’un mur à l’autre. Là encore ma belle joua le jeu avec plaisir, le flash crépita, prenant des clichés sous tous les angles, de face, en contre plongée, resserrés sur son visage et ses seins, de plus loin et toujours sous toutes les coutures. Ma déesse joua aussi avec sa robe la remontant tout en ondulant du bassin et faisant rouler ses hanches jusqu’à de nouveau nous dévoiler sa belle petite chatte… Nous étions admiratifs et béats de sa beauté et de son laisser aller. Nous la complimentâmes encore alors qu’elle se rhabillait en laissant retomber sa robe et en replaçant ses seins à l’intérieur. Je continuais le shooting. Tom insistait sur sa beauté et lui répétait gentiment qu’elle n’avait aucun complexe à avoir loin de là.
Nous discutâmes encore un peu, Tom nous expliquant qu’il était prêt à renouveler l’expérience si nous le souhaitions et dans le même contexte, à savoir que jamais rien n’est acquis ou garanti à l’avance. Nous lui faisions donc savoir que nous étions partants, mais qu’il fallait nous organiser étant très pris et lui également. Puis après nous être dit au revoir nous nous éclipsâmes…
Nous regagnâmes notre coupé qui nous attendait au frais dans le parking souterrain. Je profitais de la descente d’escalier pour faire une photo dérobée de ma chérie qui était restée en haut des marches et avait relevé sa petite robe pour son excitation et mon plaisir. Nous montâmes en voiture et reprîmes la route en discutant et débriefant de notre petite aventure du jour. Stress, exhibition et excitation… Tels avaient été les thèmes liés de la journée.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par PlaisirAddict
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
vite il faut recommancer et eput-etre toucher :)
Très belle exhibition, où le couple est en symbiose, elle le modèle et lui le photographe