Un samedi pas ordinaire....
Récit érotique écrit par Journal [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-01-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un samedi pas ordinaire....
Ce samedi matin, j’ai un peu la flemme, je n’ai pas envie de quitter la maison, mais il faut à tout pris que je me rende au boulot pour terminer quelques rapports urgents. Habituellement ce jour-là il n’y a que ma femme qui reçoit des clients. On travaille ensemble, notre vie est organisée comme cela depuis des années et on s’en accommode bien ; surtout elle…
En arrivant je croise un couple dans la salle d’attente, je leur dis un bonjour discret et je m’engouffre dans mon bureau. Pensant à mon épouse qui travaille : « pas la peine de la déranger en plein taf me dis-je ». J’allume mon ordinateur et me mets au travail. La matinée se passe consciencieusement et pas vraiment folichonne. Le téléphone sonne plusieurs fois, je la laisse décrocher vu que je ne suis pas sensé être là. Je l’entends raccompagner plusieurs personnes en salle d’attente. Elle ne vient pas me voir et je finis même par me demander si elle s’est rendue compte que je suis là.
Vers midi, ses talons résonnent sur le carrelage. Leur bruit me distrait un peu de mon occupation et m’évoquent un trait de sa féminité qui m’attire toujours avec autant de passion. A ce moment je peste, et je me remémore quelque uns de nos ébats amoureux, ici dans nos locaux. Je me dis que j’aimerais bien la baiser là sur son bureau au lieu de me coltiner ces foutus compte-rendu. Bref j’essaie de me concentrer, mais à ce moment là j’entends la clé se tourner dans la serrure de la salle d’attente. Au clac de la clé succède le tintement du trousseau contre la serrure. Elle a fermé le cabinet de l’intérieur et a laissé la clé sur la porte. Je suis prêt à me lever pour voir ce qui se passe et à ce moment je l’entends dire « tu viens ? ».
Une voix masculine lui répond « tu m’as manqué, j’ai tellement envie de toi, j’en deviens dingue ». Puis plus rien. A cet instant, tout vacille autour de moi, je me dis « tu rêves, ce n’est pas possible ». J’ai du mal à respirer, mon cœur bat à tout rompre. J’entends ses coups sourds dans ma poitrine et je les ressens comme autant de coups de poignards. Je suis cloué sur mon fauteuil, abasourdi, mis KO. Ma femme me trompe. Je me dis : » cette salope baise avec un autre ». Tout se passe très vite dans ma tête, la colère monte, j’ai envie de me lever, de foncer dans son bureau et de sauter sur le gars. Une envie de meurtre me traverse l’esprit en même temps qu’un sentiment de profonde humiliation.
Tandis que j’essaie de reprendre mon souffle et mes esprits pour décider ce que je dois faire, A travers la cloison, j’entends leur « conversation ». « Tu reprends à quelle heure ? ». « A 1 heure, mais il faut j’aille faire une course. On n’a pas beaucoup de temps, viens ! ». Et je les entends rentrer dans son bureau. Manifestement elle ne sait pas que je suis là.
Nos bureaux sont séparés par une porte vitrée tendue d’un voile épais. Cette porte est toujours fermée à clé et devant, de son côté, il y a un meuble qui supporte un photocopieur qui en bloque l’accès.
J’entends des rires et des petits bruits. Comme un zombie, je me lève doucement de mon siège et je me dirige vers la porte vitrée. Je retiens ma respiration, je sens mon sang se glacer en moi, et délicatement j’écarte un peu le voile devant la vitre. Je les aperçois debout dans les bras l’un de l’autre. Ils s’embrassent passionnément. Elle a passé les bras autour de son cou, il la tient contre elle, par les fesses. Je le fixe froidement. C’est ce salaud qui baise ma femme me dis-je. Il est un peu plus jeune qu’elle dans les quarante ans par là, mince, de taille moyenne, brun un peu grisonnant. Je le trouve quelconque, bien moins athlétique que moi.
J’aperçois ma femme de trois quart, un peu de dos. Elle porte sont tailleur en cuir gris souris, jupe juste au dessus du genou. Elle a mis des collants noirs fins, doux, comme j’aime. Je sais qu’elle ne porte pas de petite culotte. Elle n’en met jamais lorsqu’elle porte ce genre de collants. Elle est chaussée d’escarpins noirs, fins à hauts talons. Et son tailleur en cuir se termine par un petit blouson moulant sa lourde poitrine qui d’habitude m’émeut bien.
Sa main est maintenant sur l’entrejambe du type qu’elle masse doucement et je la vois appuyer sur son sexe, faisant ressortir une belle proéminence dans son pantalon. Ils s’embrassent toujours langoureusement. Il fait glisser le zip du petit blouson de ma femme. Il le rejette en arrière lui dénudant les épaules. Je vois apparaître l’un de ses seins, rond et lourd, le téton proéminent pointant vers l’homme qui la tient dans ses bras. Elle n’a pas mis de soutien-gorge, elle se veut provocante, chaude, salope. Elle aime le contact du cuir directement sur sa peau, ça l’excite. Elle a dû mouiller toute la matinée avec son petit blouson qui lui comprime les seins. Elle fait glisser le blouson qui finit sur le sol. Le gars plonge son regard sur les seins magnifiques qu’elle lui tend. Bien vite il les attrape dans les paumes et commencent à jouer avec. Elle rejette la tête en arrière en lâchant un gémissement et lui dit : « presse – les, pince mes tétons, …. Pince les fort ». Il n’en faut pas plus au gars qui a saisi ses mamelles à pleines mains, qui les presse et les malaxe. Pendant ce temps, elle lui défait le pantalon, sort sa bite et entreprend de le branler doucement. Je ne peux m’empêcher tout en fixant ce sexe érigé en étendard, de le comparer avec le mien. Sa queue est aussi longue que la mienne, voire peut-être un peu plus longue, mais moins grosse apparemment. Sauf que moi en ce moment, je ne bande pas. Je suis tendu, prêt à exploser, j’ai envie d’hurler, d’insulter ma femme, de la traiter de pute, de tous les noms les plus ignominieux les uns que les autres et de buter ce type qui est en train de sauter cette salope. Mais aucun son ne sort de ma bouche et je suis inerte immobile, figé, comme subjugué par le spectacle qui s’offre à moi. Maintenant il lui a pris un sein en bouche et la tète goulument. Il lui happe littéralement le sein avec la bouche enfournant tout ce qu’il peut et elle gémit de plus en plus fort, ravie du traitement qu’il fait subir à ses mamelles et à ses tétons. De sa main experte, maintenant elle le branle plus énergiquement en l’enserrant bien. Elle alterne les allées venues sur sa queue et le massage de ses couilles. Gourmande je l’entends lui dire : « humm ! Elles sont bien pleines, comme j’aime. Oh oui j’en ai envie, je vais te les vider !
Sur ce, il entreprend de lui remonter la jupe. « Attends » lui dit-elle, fais attention de ne pas la craquer. Et à cet instant elle dégrafe sa jupe et la fait glisser sur le sol. Elle l’enjambe. Elle ne porte plus que ses collants fins et ses hauts talons. La couture des collants ajustée bien au milieu de sa raie fait ressortir les magnifiques courbes de ses fesses et le nylon souligne le galbe de ses jambes. Habituellement quand elle m’offre cette vision de son anatomie ça me fait bander comme une bête, me rendant fou de désir, comme l’autre type à qui elle est en train de se donner.
Sur ce, il entreprend de se déshabiller et enlève veste et chemise. Ma femme se penche alors et enfourne son sexe tendu comme une trique. Elle lui lèche la queue de bas en haut, des couilles jusqu’au gland sur lequel elle s’attarde longuement. Elle le suce, le pompe, elle l’avale goulument avec gourmandise, tout en lui massant les couilles avec énergie. Elle a glissé son autre main entre les cuisses qu’elle a écartées et se doigte le minou à travers ses collants. Il lui malaxe toujours les seins et elle semble adorer ça. Au bout quelques minutes, elle l’astique tellement fort qu’il se rejette en arrière sortant sa longue bite de l’étreinte buccale de ma femme en lui disant « arrête tu vas me faire éjaculer ». « Viens-là « dit-elle en soupesant ses beaux seins ronds et lourds entre les mains et en faisant rouler ses tétons entre ses doigts. Maintenant elle veut sa bite entre ses mamelles et elle va le branler comme une salope. Le gars ne se fait pas prier, trique en avant il plonge entre ses deux seins ronds et pleins. Elle lui enserre la queue et commence un va et vient bien excitant sur cette bite dure et tendue. Elle semble apprécier la caresse de ce membre bien dur entre ses doux melons et sort la langue pour lui lécher le bout chaque fois qu’il monte entre ses beaux nibards. Elle se presse un peu plus fort les seins et je vois poindre une petite goutte au bout de l’un de ses tétons. Ce n’est pas vraiment du lait, c’est transparent. Et je sais que ça n’a pas de goût. C’est toujours comme ça lorsque qu’elle est excitée comme une dingue et qu’on s’occupe bien de ses seins. Il finissent par suinter et à ce moment elle jouit. Et à juger par les cris qu’elle se mit à pousser à ce moment elle a joui.
Libérant la bite de son amant de son étreinte mammaire, elle se redresse et viens s’asseoir sur le bord du bureau écartant tout grand les cuisses pour lui dévoiler sans pudeur sa chatte bien touffue au travers des collants. Dans un geste de provocation un peu obscène, elle se met à se masturber lascivement en se passant la pointe de la langue sur les lèvres. L’invitation est on ne peut plus claire, elle a envie de la bouche de cet homme. Elle veut qu’il la lèche et lui dit « bouffe la moi, broute mon minou ». En moins de deux, son amant est agenouillé, la tête entre les cuisses de ma femme. Et se tenant la queue par la main il entreprend de lui embrasser le minou à travers les collants. Après quelques instants, il se redresse et tout en déchirant les collants il lui dit : « tu sens la femelle en chaleur, ça me plait, je vais t’en donner un maximum, salope !». Là-dessus elle lui attrape la tête entre les mains et le plaque contre sa chatte en gémissant fortement. Il se met à la lécher furieusement. Elle se cambre, crie, ondule et ne relâche son étreinte qu’après avoir joui en ah ahanant puissamment .
Elle est là haletante, pantelante, sur son bureau les cuisses écartées à reprendre sa respiration après cet orgasme puissant. Elle se caresse doucement la chatte en attendant le prochain assaut qui va venir de ce mâle en rut. Il se redresse et s’approche d’elle la queue dressée. Elle écarte un peu plus les cuisses et tend les jambes en V, les appuyant sur les épaules de son amant en lui disant « prends-moi fort ». Il appuie sa bite sur sa vulve chaude et d’un coup la pénètre profondément jusqu’à la garde. Elle gémit. Il dit « tu veux plus fort ? ». Elle lui répond « tu peux ?, oui vas-y ! ». A ce moment il se met à lui donner de violents coups de reins et à la pilonner. A travers la vitre j’entends même ses couilles venir buter sur sa vulve qui couine. Elle doit se cramponner au bureau à deux mains pour ne pas reculer et elle se met à crier. Il la défonce tellement fort que j’entends plusieurs objets posés sur le bureau tomber sur le sol. Le bureau recule. Elle redresse un peu la tête et tend le cou. Entre ses gros seins qui ondulent sous les coups de buttoir du mâle qui la saute, elle mate la bite qui lui taraude puissamment la chatte jusqu’au fond. Il lui dit : « Ah tu en veux ma belle, tu aimes ça, hein ma salope !». Elle crie de plaisir et ne tarde pas à jouir comme une dingue. Vaincue par son amant, totalement à sa merci.
Je suis là, j’observe la scène sans bouger, mais maintenant je bande, ma queue est bien dure et me démange ; à voir comment ma salope de femme est chaude.
Elle se redresse et l’embrasse goulument. Il l’attire vers lui et elle se lève du bureau. Il la retourne. Elle lui dit « tu veux me prendre par derrière ». « Oui mais pas comme ça, mets toi à quatre pattes salope ». Elle s’exécute et se met en levrette écartant bien les fesses, exposant sa chatte chaude et luisante de désir. Il lui tape alors sur une fesse et lui dit : « plus haut ton cul ». Je la vois se cambrer au maximum, la croupe bien en l’air, les seins touchant presque le sol. Alors il s’accroupit derrière elle, fait glisser sa queue le long de la raie et lui pénètre le minou brutalement, profondément. Il reste là, planté en elle, bien au fond sans bouger, elle se met à osciller du cul. « Tu aimes ça hein ma pute, lui dit –t-il ?». Et elle lui répond »Avec toi, j’aime tout, baise-moi encore, fais-moi jouir ».
En entendant cela, j’ai du mal à avaler ma salive. La colère me serre la gorge, mais je bande de plus en plus.
Il n’en faut pas plus à son amant pour qu’il se remette à la tarauder brutalement. Elle se pousse au maximum su sa bite. Elle en veut toujours plus, elle glisse une main entre les cuisses et se masturbe le clito en gémissant de plaisir. Ces seins s’entrechoquent sous les coups de buttoir du mâle qui la défonce et qui lui donne bientôt un nouvel orgasme. Elle lui dit alors »vide-toi sur ma chatte, j’ai joui ». Le type tout à son affaire continue à la pilonner puis sort sa bite du fourreau de ma femme et lui applique son gland contre la chatte bien chaude et trempée, lui lâchant de longues giclées épaisses partout sur la vulve, sur la raie et dans sa sombre toison tout en poussant un râle profond de plaisir. Je la vis gémir et jouir à nouveau en disant « humm, c’est bon, c’est chaud. »
Il se redresse, elle se retourne et lui attrape la queue encore dégoulinante, enroulant sa langue sur le chibre qui vient de lui donner tant de plaisir, elle le lèche et le suce avec gourmandise. Son amant s’étire et se recule tellement la tension que lui procure ce plaisir est intenable. Il lui dit « tu es vraiment une belle salope ». Elle lève la tête et le fixe, puis se redresse à son tour et l’embrasse longuement puis elle lui dit : « tu aimes ça mon salaud, je suis ton jouet sexuel, tant que tu me donnes du plaisir ».
A ces mots, je sens que je vais m’étrangler. J’ai envie de prendre ma femme là devant ce type, de la baiser comme une chienne, de la traiter comme une pute, de la punir et de lui donner ce qu’elle mérite, mais je ne bouge pas, je suis comme pétrifié, la queue dressée et la colère à son paroxysme.
Je vois le type ramasser ses vêtements sur le sol et commencer à se rhabiller. Ma femme enlève ses collants déchirés et les jette dans la poubelle du bureau. Elle prend une nouvelle paire dans son sac, identique à la précédente, qu’elle enfile soigneusement ajustant parfaitement la couture à sa raie. La voyant faire son amant lui dit : » tu ne t’essuies pas la chatte ». Elle le regarde en souriant et lui dit, j’aime sentir ton sperme épais et collant sur ma chatte, ça m’excite. Je vais le garder ainsi tout l’après-midi. Après je me laverai. Elle enfile sa jupe, met son blouson remonte le zip en laissant voir la naissance de ses seins et attrape ses chaussures.
« Il est temps que tu y ailles maintenant, il faut que je file si je veux avoir le temps de faire mes courses ».
« Ok lui répond-t-il, » .Il s’approche d’elle et l’embrasse. elle lui rend son baiser. « A quand lui dit-il ? » - « Quand j’en aurai envie lui dit-elle ». « Pas trop longtemps j’espère ? lui répond –il. Tu me manques déjà ».
« Menteur va ! » lui répond –t-elle.
« Et ton mari, il ne se doute de rien ? »
« Laisse mon mari tranquille, il me fait confiance, je l’aime, c’est avec lui que je fais ma vie. Mais non il n’y a pas de raison qu’il se doute de quelque chose. »
« Allez, vas-y sors en premier, je te suis ».
J’entends la clé tourner dans la serrure, la porte se refermer et de nouveau la clé.
Je reste là quelques instants, puis j’éteins l’ordinateur , je sors du bureau et je rentre chez moi. Va falloir que je me défoule…. (à suivre).
En arrivant je croise un couple dans la salle d’attente, je leur dis un bonjour discret et je m’engouffre dans mon bureau. Pensant à mon épouse qui travaille : « pas la peine de la déranger en plein taf me dis-je ». J’allume mon ordinateur et me mets au travail. La matinée se passe consciencieusement et pas vraiment folichonne. Le téléphone sonne plusieurs fois, je la laisse décrocher vu que je ne suis pas sensé être là. Je l’entends raccompagner plusieurs personnes en salle d’attente. Elle ne vient pas me voir et je finis même par me demander si elle s’est rendue compte que je suis là.
Vers midi, ses talons résonnent sur le carrelage. Leur bruit me distrait un peu de mon occupation et m’évoquent un trait de sa féminité qui m’attire toujours avec autant de passion. A ce moment je peste, et je me remémore quelque uns de nos ébats amoureux, ici dans nos locaux. Je me dis que j’aimerais bien la baiser là sur son bureau au lieu de me coltiner ces foutus compte-rendu. Bref j’essaie de me concentrer, mais à ce moment là j’entends la clé se tourner dans la serrure de la salle d’attente. Au clac de la clé succède le tintement du trousseau contre la serrure. Elle a fermé le cabinet de l’intérieur et a laissé la clé sur la porte. Je suis prêt à me lever pour voir ce qui se passe et à ce moment je l’entends dire « tu viens ? ».
Une voix masculine lui répond « tu m’as manqué, j’ai tellement envie de toi, j’en deviens dingue ». Puis plus rien. A cet instant, tout vacille autour de moi, je me dis « tu rêves, ce n’est pas possible ». J’ai du mal à respirer, mon cœur bat à tout rompre. J’entends ses coups sourds dans ma poitrine et je les ressens comme autant de coups de poignards. Je suis cloué sur mon fauteuil, abasourdi, mis KO. Ma femme me trompe. Je me dis : » cette salope baise avec un autre ». Tout se passe très vite dans ma tête, la colère monte, j’ai envie de me lever, de foncer dans son bureau et de sauter sur le gars. Une envie de meurtre me traverse l’esprit en même temps qu’un sentiment de profonde humiliation.
Tandis que j’essaie de reprendre mon souffle et mes esprits pour décider ce que je dois faire, A travers la cloison, j’entends leur « conversation ». « Tu reprends à quelle heure ? ». « A 1 heure, mais il faut j’aille faire une course. On n’a pas beaucoup de temps, viens ! ». Et je les entends rentrer dans son bureau. Manifestement elle ne sait pas que je suis là.
Nos bureaux sont séparés par une porte vitrée tendue d’un voile épais. Cette porte est toujours fermée à clé et devant, de son côté, il y a un meuble qui supporte un photocopieur qui en bloque l’accès.
J’entends des rires et des petits bruits. Comme un zombie, je me lève doucement de mon siège et je me dirige vers la porte vitrée. Je retiens ma respiration, je sens mon sang se glacer en moi, et délicatement j’écarte un peu le voile devant la vitre. Je les aperçois debout dans les bras l’un de l’autre. Ils s’embrassent passionnément. Elle a passé les bras autour de son cou, il la tient contre elle, par les fesses. Je le fixe froidement. C’est ce salaud qui baise ma femme me dis-je. Il est un peu plus jeune qu’elle dans les quarante ans par là, mince, de taille moyenne, brun un peu grisonnant. Je le trouve quelconque, bien moins athlétique que moi.
J’aperçois ma femme de trois quart, un peu de dos. Elle porte sont tailleur en cuir gris souris, jupe juste au dessus du genou. Elle a mis des collants noirs fins, doux, comme j’aime. Je sais qu’elle ne porte pas de petite culotte. Elle n’en met jamais lorsqu’elle porte ce genre de collants. Elle est chaussée d’escarpins noirs, fins à hauts talons. Et son tailleur en cuir se termine par un petit blouson moulant sa lourde poitrine qui d’habitude m’émeut bien.
Sa main est maintenant sur l’entrejambe du type qu’elle masse doucement et je la vois appuyer sur son sexe, faisant ressortir une belle proéminence dans son pantalon. Ils s’embrassent toujours langoureusement. Il fait glisser le zip du petit blouson de ma femme. Il le rejette en arrière lui dénudant les épaules. Je vois apparaître l’un de ses seins, rond et lourd, le téton proéminent pointant vers l’homme qui la tient dans ses bras. Elle n’a pas mis de soutien-gorge, elle se veut provocante, chaude, salope. Elle aime le contact du cuir directement sur sa peau, ça l’excite. Elle a dû mouiller toute la matinée avec son petit blouson qui lui comprime les seins. Elle fait glisser le blouson qui finit sur le sol. Le gars plonge son regard sur les seins magnifiques qu’elle lui tend. Bien vite il les attrape dans les paumes et commencent à jouer avec. Elle rejette la tête en arrière en lâchant un gémissement et lui dit : « presse – les, pince mes tétons, …. Pince les fort ». Il n’en faut pas plus au gars qui a saisi ses mamelles à pleines mains, qui les presse et les malaxe. Pendant ce temps, elle lui défait le pantalon, sort sa bite et entreprend de le branler doucement. Je ne peux m’empêcher tout en fixant ce sexe érigé en étendard, de le comparer avec le mien. Sa queue est aussi longue que la mienne, voire peut-être un peu plus longue, mais moins grosse apparemment. Sauf que moi en ce moment, je ne bande pas. Je suis tendu, prêt à exploser, j’ai envie d’hurler, d’insulter ma femme, de la traiter de pute, de tous les noms les plus ignominieux les uns que les autres et de buter ce type qui est en train de sauter cette salope. Mais aucun son ne sort de ma bouche et je suis inerte immobile, figé, comme subjugué par le spectacle qui s’offre à moi. Maintenant il lui a pris un sein en bouche et la tète goulument. Il lui happe littéralement le sein avec la bouche enfournant tout ce qu’il peut et elle gémit de plus en plus fort, ravie du traitement qu’il fait subir à ses mamelles et à ses tétons. De sa main experte, maintenant elle le branle plus énergiquement en l’enserrant bien. Elle alterne les allées venues sur sa queue et le massage de ses couilles. Gourmande je l’entends lui dire : « humm ! Elles sont bien pleines, comme j’aime. Oh oui j’en ai envie, je vais te les vider !
Sur ce, il entreprend de lui remonter la jupe. « Attends » lui dit-elle, fais attention de ne pas la craquer. Et à cet instant elle dégrafe sa jupe et la fait glisser sur le sol. Elle l’enjambe. Elle ne porte plus que ses collants fins et ses hauts talons. La couture des collants ajustée bien au milieu de sa raie fait ressortir les magnifiques courbes de ses fesses et le nylon souligne le galbe de ses jambes. Habituellement quand elle m’offre cette vision de son anatomie ça me fait bander comme une bête, me rendant fou de désir, comme l’autre type à qui elle est en train de se donner.
Sur ce, il entreprend de se déshabiller et enlève veste et chemise. Ma femme se penche alors et enfourne son sexe tendu comme une trique. Elle lui lèche la queue de bas en haut, des couilles jusqu’au gland sur lequel elle s’attarde longuement. Elle le suce, le pompe, elle l’avale goulument avec gourmandise, tout en lui massant les couilles avec énergie. Elle a glissé son autre main entre les cuisses qu’elle a écartées et se doigte le minou à travers ses collants. Il lui malaxe toujours les seins et elle semble adorer ça. Au bout quelques minutes, elle l’astique tellement fort qu’il se rejette en arrière sortant sa longue bite de l’étreinte buccale de ma femme en lui disant « arrête tu vas me faire éjaculer ». « Viens-là « dit-elle en soupesant ses beaux seins ronds et lourds entre les mains et en faisant rouler ses tétons entre ses doigts. Maintenant elle veut sa bite entre ses mamelles et elle va le branler comme une salope. Le gars ne se fait pas prier, trique en avant il plonge entre ses deux seins ronds et pleins. Elle lui enserre la queue et commence un va et vient bien excitant sur cette bite dure et tendue. Elle semble apprécier la caresse de ce membre bien dur entre ses doux melons et sort la langue pour lui lécher le bout chaque fois qu’il monte entre ses beaux nibards. Elle se presse un peu plus fort les seins et je vois poindre une petite goutte au bout de l’un de ses tétons. Ce n’est pas vraiment du lait, c’est transparent. Et je sais que ça n’a pas de goût. C’est toujours comme ça lorsque qu’elle est excitée comme une dingue et qu’on s’occupe bien de ses seins. Il finissent par suinter et à ce moment elle jouit. Et à juger par les cris qu’elle se mit à pousser à ce moment elle a joui.
Libérant la bite de son amant de son étreinte mammaire, elle se redresse et viens s’asseoir sur le bord du bureau écartant tout grand les cuisses pour lui dévoiler sans pudeur sa chatte bien touffue au travers des collants. Dans un geste de provocation un peu obscène, elle se met à se masturber lascivement en se passant la pointe de la langue sur les lèvres. L’invitation est on ne peut plus claire, elle a envie de la bouche de cet homme. Elle veut qu’il la lèche et lui dit « bouffe la moi, broute mon minou ». En moins de deux, son amant est agenouillé, la tête entre les cuisses de ma femme. Et se tenant la queue par la main il entreprend de lui embrasser le minou à travers les collants. Après quelques instants, il se redresse et tout en déchirant les collants il lui dit : « tu sens la femelle en chaleur, ça me plait, je vais t’en donner un maximum, salope !». Là-dessus elle lui attrape la tête entre les mains et le plaque contre sa chatte en gémissant fortement. Il se met à la lécher furieusement. Elle se cambre, crie, ondule et ne relâche son étreinte qu’après avoir joui en ah ahanant puissamment .
Elle est là haletante, pantelante, sur son bureau les cuisses écartées à reprendre sa respiration après cet orgasme puissant. Elle se caresse doucement la chatte en attendant le prochain assaut qui va venir de ce mâle en rut. Il se redresse et s’approche d’elle la queue dressée. Elle écarte un peu plus les cuisses et tend les jambes en V, les appuyant sur les épaules de son amant en lui disant « prends-moi fort ». Il appuie sa bite sur sa vulve chaude et d’un coup la pénètre profondément jusqu’à la garde. Elle gémit. Il dit « tu veux plus fort ? ». Elle lui répond « tu peux ?, oui vas-y ! ». A ce moment il se met à lui donner de violents coups de reins et à la pilonner. A travers la vitre j’entends même ses couilles venir buter sur sa vulve qui couine. Elle doit se cramponner au bureau à deux mains pour ne pas reculer et elle se met à crier. Il la défonce tellement fort que j’entends plusieurs objets posés sur le bureau tomber sur le sol. Le bureau recule. Elle redresse un peu la tête et tend le cou. Entre ses gros seins qui ondulent sous les coups de buttoir du mâle qui la saute, elle mate la bite qui lui taraude puissamment la chatte jusqu’au fond. Il lui dit : « Ah tu en veux ma belle, tu aimes ça, hein ma salope !». Elle crie de plaisir et ne tarde pas à jouir comme une dingue. Vaincue par son amant, totalement à sa merci.
Je suis là, j’observe la scène sans bouger, mais maintenant je bande, ma queue est bien dure et me démange ; à voir comment ma salope de femme est chaude.
Elle se redresse et l’embrasse goulument. Il l’attire vers lui et elle se lève du bureau. Il la retourne. Elle lui dit « tu veux me prendre par derrière ». « Oui mais pas comme ça, mets toi à quatre pattes salope ». Elle s’exécute et se met en levrette écartant bien les fesses, exposant sa chatte chaude et luisante de désir. Il lui tape alors sur une fesse et lui dit : « plus haut ton cul ». Je la vois se cambrer au maximum, la croupe bien en l’air, les seins touchant presque le sol. Alors il s’accroupit derrière elle, fait glisser sa queue le long de la raie et lui pénètre le minou brutalement, profondément. Il reste là, planté en elle, bien au fond sans bouger, elle se met à osciller du cul. « Tu aimes ça hein ma pute, lui dit –t-il ?». Et elle lui répond »Avec toi, j’aime tout, baise-moi encore, fais-moi jouir ».
En entendant cela, j’ai du mal à avaler ma salive. La colère me serre la gorge, mais je bande de plus en plus.
Il n’en faut pas plus à son amant pour qu’il se remette à la tarauder brutalement. Elle se pousse au maximum su sa bite. Elle en veut toujours plus, elle glisse une main entre les cuisses et se masturbe le clito en gémissant de plaisir. Ces seins s’entrechoquent sous les coups de buttoir du mâle qui la défonce et qui lui donne bientôt un nouvel orgasme. Elle lui dit alors »vide-toi sur ma chatte, j’ai joui ». Le type tout à son affaire continue à la pilonner puis sort sa bite du fourreau de ma femme et lui applique son gland contre la chatte bien chaude et trempée, lui lâchant de longues giclées épaisses partout sur la vulve, sur la raie et dans sa sombre toison tout en poussant un râle profond de plaisir. Je la vis gémir et jouir à nouveau en disant « humm, c’est bon, c’est chaud. »
Il se redresse, elle se retourne et lui attrape la queue encore dégoulinante, enroulant sa langue sur le chibre qui vient de lui donner tant de plaisir, elle le lèche et le suce avec gourmandise. Son amant s’étire et se recule tellement la tension que lui procure ce plaisir est intenable. Il lui dit « tu es vraiment une belle salope ». Elle lève la tête et le fixe, puis se redresse à son tour et l’embrasse longuement puis elle lui dit : « tu aimes ça mon salaud, je suis ton jouet sexuel, tant que tu me donnes du plaisir ».
A ces mots, je sens que je vais m’étrangler. J’ai envie de prendre ma femme là devant ce type, de la baiser comme une chienne, de la traiter comme une pute, de la punir et de lui donner ce qu’elle mérite, mais je ne bouge pas, je suis comme pétrifié, la queue dressée et la colère à son paroxysme.
Je vois le type ramasser ses vêtements sur le sol et commencer à se rhabiller. Ma femme enlève ses collants déchirés et les jette dans la poubelle du bureau. Elle prend une nouvelle paire dans son sac, identique à la précédente, qu’elle enfile soigneusement ajustant parfaitement la couture à sa raie. La voyant faire son amant lui dit : » tu ne t’essuies pas la chatte ». Elle le regarde en souriant et lui dit, j’aime sentir ton sperme épais et collant sur ma chatte, ça m’excite. Je vais le garder ainsi tout l’après-midi. Après je me laverai. Elle enfile sa jupe, met son blouson remonte le zip en laissant voir la naissance de ses seins et attrape ses chaussures.
« Il est temps que tu y ailles maintenant, il faut que je file si je veux avoir le temps de faire mes courses ».
« Ok lui répond-t-il, » .Il s’approche d’elle et l’embrasse. elle lui rend son baiser. « A quand lui dit-il ? » - « Quand j’en aurai envie lui dit-elle ». « Pas trop longtemps j’espère ? lui répond –il. Tu me manques déjà ».
« Menteur va ! » lui répond –t-elle.
« Et ton mari, il ne se doute de rien ? »
« Laisse mon mari tranquille, il me fait confiance, je l’aime, c’est avec lui que je fais ma vie. Mais non il n’y a pas de raison qu’il se doute de quelque chose. »
« Allez, vas-y sors en premier, je te suis ».
J’entends la clé tourner dans la serrure, la porte se refermer et de nouveau la clé.
Je reste là quelques instants, puis j’éteins l’ordinateur , je sors du bureau et je rentre chez moi. Va falloir que je me défoule…. (à suivre).
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