Un show qui devient chaud ! - histoire érotique

Nous sommes en début d'après-midi quand tu rentres à la maison, tu te sens moite, réfléchis à la veille, quand je t'ai prise en t'enfoncant le gode dans le cul pendant que, de ma bite, je te travaillais la chatte. Maintenant que tu t'y es habituée, ta seule peur serait de ne pas suffire a satisfaire les désirs de deux hommes. Tu relativises et fais ta route sans encombre. Quand tu arrives je viens te faire un bisou en te demandant comment était ta journée si tu n'es pas trop fatiguée, parce que j'ai envie de sortir...
"Pourquoi pas, me réponds tu, il y a l'Erospolis à Bordeaux."
Nous nous préparons donc à sortir. Tu prends une rapide douche et je viens te rejoindre pour un calin. Tu sens mon entrejambe se gonfler pendant que tu te tortilles, nue, dans mes bras. Je commence à vouloir te caresser mais tu m'arretes.
"Ça serait bien qu'on arrive à se retenir un peu plus, histoire de faire monter la pression."
Je te laisse donc finir ta douche pendant que je vais m'habiller, quand tu sors de la douche je suis sorti promener les chiens, tu en profites pour bien choisir tes vêtements. Tu te dis qu'il serait bien de marquer le coup.
Quand j'arrive, je te trouve sur le canapé, maquillée, coiffee et déjà en manteau. Quand je te demande de te dévoiler, tu refuses. Je verrai plus tard. Nous prenons donc la route, tous excités.
En arrivant, je suis toujours aussi émoustillé par ton secret. Nous payons nos billets et une dame a l'entrée prends vestes et manteaux, noms et numéros de téléphone. Sous mes yeux, je te découvre enfin. Tu portes un débardeur noir, ton soutien gorge rouge dépasse légèrement, une jupe courte rouge assortie et un porte jarretelle tout neuf, en dentelles. Parfait ! Tu me prends le bras et c'est une entrée des plus remarquée que nous produisons, les gens autour de nous restent immobiles une seconde ou deux, tu peux sentir les regards gourmands découvrir la beautée finement détaillée de ton corps ferme et halé... Nous affichons un sourire de circonstances et nous éloignons d'un pas léger et complice.
Nous flanons de stands en shows avec un regard ouvert et curieux. La foule est dense par moment et tu sens des mains se poser sur ton corps. Tu les chasses nerveusement mais cela ne te gâche pas le spectacle. Je t'enlace en te faisant sentir mon excitation sur ta hanche. Tu sens une main qui ne peut pas être une des miennes te frôler mais je t'empêche de bouger. Tu ne veux pas me le dire un peu honteuse, mais la "mainconnue" se balade sur le côté de ta cuisse en décrivant les tracés des nervures de tes dessous. La plupart voici qui passe sous ta fesse, jusqu'à la lisière de la tension de la jupe.... Je vois le rouge te monter aux joues. Tu te raidis, genée, et cherche mon aide du regard. A ton étonnement, je te regarde tout sourire. Je retire mes mains de tes hanches pour venir effleurer ta jupe. Quand je sens que tu te détends, je remonte ta jupe pour que la main puisse se frayer un passage... Tu me regardes, tu as mon accord, tu te laisses doucement aller à cette vague de caresses qui font frissonner tout ton corps de desir.
Après cette vague de frissons, tu reouvres les yeux pour voir mon grand sourire éclairer mon visage excité. Tu ne vois toujours pas à qui appartient cette main, elle te caresse l'entrée du vagin en formant un ovale jusqu'à ton clitoris. Malgré toi tu cambres légèrement, jambes tendues et je te soutiens contre moi.. Le visage dans mon cou, tu trembles de cette manière si caractéristique, d'avant en arrière, jusqu'à ce que tu te cramponnes a moi, haletante et hagarde.Tu me leches les lèvres du bout de la langue, discrètement, en mettant ton visage contre le mien. Tu ne sais pas si tu veux que ce soit un homme ou une femme, sa facon si douce de te caresser ne t'aide pas à faire ton choix.
Je me colle contre toi pour te faire sentir la bosse formée dans mon pantalon. D'une main, tu caresses mon jean en plongeant ton regard dans le mien. Tu te sens de plus en plus excitée, tu sens que ton vagin crie famine et sans trop savoir ce que tu fais tu appliques ton cul sur cette mainconnue. Les doigts sont précis mais pas brutaux, l'une de tes mains descend mon torse, pour se loger comme une coquille autour de mon sexe. Ce sont des doigts fin qui te massent, mais le détail de cette carresse est très poussée, tu te sens défaillir et ton string ne peut plus aspirer. Tu succombes littéralement dans mes bras, deboutonnes mon pantalon pour en libérer mon sexe afin de ne pas etre la seule à fondre. Tu entreprends de me branler au rythme des doigts qui te pénètrent maintenant. La foule est compacte mais pas assez pour cacher tout cela. La mainconnue se transforme alors en poigne qui m'aggripa le bras, m'attirant dans une direction qui nous eloigne de la foulre.
Nous entrons dans une salle vide dont la porte était restée entreouverte. Tu mets alors un visage sur cette main. Il fait sombre mais pas suffisement pour nous cacher. L'homme, dune trentaine d'années, dallure ordinaire mais soignée et te dépasse d'une bonne tete. Mes caresses se font de plus en plus chaudes et tu relèves ta jupe pour plus de facilités. Nous sommes dans un bureau, la lumière est tamisée mais pas assez pour ne pas remarquer mon sexe qui se tend vers toi. Mon pantalon est à terre et je te plaque sur le bureau pour retirer ton string. Tu es bien cambrée sur le bureau, le vagin mouillé de désir. Je me place devant toi, le sexe bien tendu devant ta bouche ouverte. Sexe que tu t'empresses d'avaler.
Derrière toi, la langue vient explorer ton intimité. La table met ton bassin à l'équerre, poussant ton clitoris en avant. Je te baise la bouche de toute ma longueur et tu t'ecartes les fesses pour qu'il te leche mieux encore. Tu m'entends gémir, ce qui fait monter ton désir davantage. Il retire lentement sa langue pour, doucement, venir loger un doigt dans ta chatte. Tu tends les fesses pour t'offrir à son doigt toute entière. Je retire mon sexe de ta bouche et vient rencontrer tes seins avec mon membre bien dur. Tu te masses en me regardant, assoiffée de sexe. Ton sourire et ton regard en disent long. Un deuxième doigt vient explorer ta chatte et un autre vient rencontrer ton anus, qui s'ouvre à chacun de tes râles. Je bande fièrement au dessus de ton visage, et tu reprends alors mon sexe en bouche pour t'acharner dessus. Sur toute ma longueur tu aspires ma bite, la fait ressortir de ta bouche.
Derrière, je le vois sortir son sexe et le présenter à l'entrée de ta chatte. Tu tends les fesses et l'accueille en un rale.
Il t'empale furieusement pendant que tu me suces au rythme de ses coups de rein. Tu me suces toujours comme une acharnée et tu te demandes comment cela va finir pendant qu'il te met un doigt dans ton cul lubrifié par sa salive. Je me retire de ta bouche et passe dans ton dos avec cet autre, te relève, et l'homme passe devant toi pour te combler de nouveau pendant que je travaille ton anus pour pouvoir te prendre. Il s'allonge sur le bureau, les couilles sur le rebord et tu commences à le sucer, penchée en avant pendant que je te mange le cul en te calant des doigts. Tu te cambres autant que possible et j'entre un doigt de plus dans ton cul et m'active pour le travailler en profondeur.
Devant moi, ce complice inopportun gémit et se tend. Tu le suces comme je t'ai si bien appris et le branle rapidement pour le reprendre au chaud dans ta gorge. Tu baves sur sa queue et le branle avec...
Je sors alors de ton cul et tu grimpes sur lui à califourchon. La vision que tu m'offres de ta chatte bien logé sur sa bite me rend fou. Tu en rajoutes pour m'exciter davantage. Je m'approche de toi pour t'embrasser, te presse contre mon torse, tes seins dans les mains.
Tu sens mon sexe contre tes fesses et cambre pour me laisser place. J'arrive à entrer jusqu'à la garde d'un seul coup et attend un peu pour que tu te relaches. Je me loge bien au fond de ton cul et nous commençons alors à trouver notre rythme pour te prendre en meme temps.
Tu sens les deux bites se frotter et te dilater. Ça te faisait peur mais avec l'excitation ça passe tout seul, tu lui plaques tes seins sur le visage pour les faire danser tout contre ses joues. Nous te remplissons de tout notre désir et te démontons à chaque coup de rein. Tes ongles s'enfoncent dans sa chair pendant que tu tends le cou pour que je vienne m'y enfoncer. Je t'embrasse aussi fort que je te sers en te chuchottant à l'oreille: "que je t'aime petite chienne, tu es incroyable. Je suis fou de ton corps."
Tu t'es habituée à nos coups de rein et même tu accentues par orientation du bassin. Tu relèves la tête, la bouche ouverte en gémissant longuement. Les mots que je te dis t'excitent de plus belle et tu cambres encore plus pour m'accueillir.
Je sens que mon excitation est à son comble, sors de ton cul, te soulève pour te mettre à genoux par terre. Ton cul et ta chatte sont béants. Dès posée au sol, tu te mets à te mastruber très vite. Une main passe par tes fesses et te cale des doigts dans les orifices. Tu mets ta poitrine en avant et tends les lèvres. Avec ta main libre, tu branles la bite de ce cher visiteur et attrape la mienne en bouche. J'entends les bruits de succion et te prend la tete entre les mains pour accélérer la cadence. Le troisième gémit en te caressant les seins, que tu tends. Tu me suces à fond en te branlant la chatte comme une folle. Tu t'enfonces la main dans le cul en t'asseyant dessus tellement on t'as bien ouverte. Tu arrêtes de me sucer pour le gober lui. Il te prend la tête pour te baiser la bouche et tes seins virevoltent au rythme de ses accoups. Tu gémis encore et encore et jouis quand je te reprends en bouche. L'inconnu continue de se branler au dessus de ton visage, et tu tends la langue sous nos deux sexes. Tu recommences à gemir quand il vient par de grands jets et tu continues de te masturber en laissant s'échapper de tes levres le sperme qui avait coulé dans ta bouche.
Le visage souillé, tu lèves les yeux pour les planter dans les miens en tendant la langue. Mes gémissements prenant de l'ampleur au tempo de ton nettoyage de sa bite alors que ton autre est main toujours en action sur ton clitoris, me lançant des regards de pute...
Une fois propre, le type remonte son pantalon et s'en va discrètement en laissant une carte professionnelle sur le bureau.
Nous nous retrouvons seuls, tu as le visage rempli de son sperme, tu l'étales sur les seins en me tendant ma langue. Je me branle rapidement au dessus de tes lèvres en te murmurant des mots bien crus: "J'ai adoré petite chienne, te sentir ouverte comme ça, et dire que tu avais peur ! Tu as le visage qui coule de son plaisir et bientôt du mien". Tu es à genoux, seins et lèvres tendus, attendant ma jouissance.
Je jouis de 4 gros jets qui finissent de te recouvrir le visage, mon sperme se mêlan au sien et tu viens à 4 pattes me nettoyer... Tu aspires mon sexe jusqu'au fond de ta gorge, je prends tes cheveux dans mes mains et te caresse le crâne pendant que tu te relèves. Tu t'essuie rapidement le visage, mais sens le sperme à plein nez, remet de l'ordre dans tes cheveux et te rhabille. Nous sortons de cette pièce, main dans la main, tous sourires.
Ce que tu n'avais pas vu, c'est qu'il t'en restait encore un peu sur une mèche de cheveux.
Nous ne le savions pas encore mais nous venions de passer un casting porno, avec un professionnel et il y avait plusieurs caméras dans la pièce. Ayant donné nos noms et numéros de téléphone à l'entrée ils leurs sera facile de nous retrouver mais ca sera pour une autre fois !