Un si délicieux amant (1)
Récit érotique écrit par Véro85 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-07-2010 dans la catégorie Plus on est
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Un si délicieux amant (1)
Je suis en couple depuis 3 ans avec Thomas, 23 ans, très sportif, grand brun, toujours prêt à plaisanter et attentionné. Et ce qui est important il me fait l’amour souvent, divinement bien. J’ai 21 ans et je me suis parfois demandé si c’était la baise qui m’avait incité à rester avec lui car j’ai toujours eu et j’ai encore un appétit sexuel difficile à contrôler. Au lycée je multipliais les aventures avec les garçons et parfois avec les copines, d’où ma réputation d’une fille facile. Je me cherchais, j’avais du mal à satisfaire ma libido. Mais non, on s’aime. Nous avions tant de points communs et de plaisir à être ensemble que je n’avais jamais pensé le tromper avec un mec.
Jusqu’à l’été dernier.
Je sais que je plais aux garçons et aux filles. Thomas n’est au courant que de mes relations féminines épisodiques. Il me dit régulièrement, quand on se promène dans la rue ou sur la plage, « non mais tu as vu comment les gens te regardent, ils te déshabillent des yeux ! tu ne passes pas inaperçue ma chérie, etc. » Bon c’est vrai que sur la plage avec mes bikini taille basse avec attaches latérales et mes seins nus je ne cachais pas grand-chose.
Cette nuit Thomas a honoré mon abricot et ma rosette, me rappelant au passage que j’avais un joli petit cul à damner un saint et que mes seins fermes très réactifs lui faisaient penser au physique d’Audrey Tautou, son actrice fétiche. Soit, mais je ne suis quand même pas une top modèle.
Cette après-midi je vais retrouver après ses cours mon jeune amant Romain que je revois deux fois par semaine depuis ce dernier été à Lacanau il y a 8 mois, plage où j’allais chaque année avant de connaître Thomas et où nous allons toujours en été. Mon père et celui de Romain sont des amis d’enfance. Ils se sont connus à Bordeaux où nous vivons le reste de l’année.
Bien que de 5 ans mon cadet on a toujours chahuté, comme un gamin blagueur et farceur qu’il était et moi une grande copine. Au fil du temps je suis devenue sa confidente et, sa métamorphose d’ado aidant, moi aussi je me suis surprise à lui confier des secrets sur ma vie amoureuse, qu’il ne se gênait pas de critiquer si mes relations ne lui plaisaient pas.
Il a eu son premier baiser à 12 ans avec une fille, sur la plage le soir, à côté de moi qui était en compagnie de plusieurs copines. Il savait les choisir ce galopin. Faut dire que Romain ne les laissait pas indifférentes : un beau gosse blond comme il y en a peu, gentil, amusant et intelligent, des yeux bleus captivants et un charme fou, oui du charme c’est le mot. Chaque année, depuis cet âge, il passait beaucoup de temps avec des filles surfeuses comme lui, rarement moins âgées. Quelques aventures de vacances, des baisers, des caresses de moins en moins innocentes, en fait le besoin d’une présence féminine, la découverte du corps féminin et de sensations.
Il y a 2 ans, il est devenu plus câlin et attentionné avec moi. Thomas s’en est d’abord étonné, pour finalement reconnaître qu’il mûrissait.
Il ne pensait pas si bien dire. Nous l’avions emmené non loin, sur une plage de nudistes. Après un long bain que Thomas termina seul, je suis revenue avec Romain pour nous sécher au soleil. On s’est regardés sans rien dire, détaillant nos corps. Je l’avais vu nu souvent jusqu’à il y a quelques années, s’il prenait sa douche ou s’habillait. Mais ce jour là je vis sa transformation quand mon regard se posa sur ses parties génitales.
- Tu es vraiment trop belle Véro, dit-il en souriant, me prenant en flagrant délit
- Toi aussi, répondis-je en éclatant de rire
Romain me confia l’année suivante avoir perdu son pucelage avec deux admiratrices du lycée, partenaires de flirts successifs d’ados, qui l’avaient rejoint par surprise en tenue d’Eve dans sa cabine de douche après un match de tennis.
Elles avaient pris soin de fermer à clé la porte du local, discrètement. Nu comme un vers, il put mettre ses mains devant ses attributs mais c’était sans compter sur leur détermination, leur expérience, l’exiguïté du lieu mais d’abord sur son fantasme de puceau : avoir une expérience sexuelle avec une fille. Alors en avoir deux pour une première fois a décuplé ses décharges d’adrénaline, d’autant qu’elles étaient vraiment très jolies.
Vite contraint de s’allonger sur un banc recouvert de leurs serviettes, elles admirèrent leur proie consentante, imberbe à part quelques poils sur le pubis, avec une peau très douce comme un bébé. Elles l’encadraient et souriaient, heureuses de l’avoir enfin à leur merci.
- Je crois qu’on va bien s’amuser ma Zoé, le flirt du moment de Romain, dit Célia en jouant avec le prépuce de leur favori pour faire sortir le gland. Tu vois beau gosse, comme elle l’appelait, on s’est épilé le minou exprès pour toi. Tâte comme c’est doux.
Il était sur un nuage. Il caressa d’une main chacun des deux sexes humides offerts sous ses yeux et devint plus entreprenant. Les deux filles n’en attendaient pas tant.
Célia, de deux ans son aînée, avait craqué la première pour ce garçon, s’attirant les jalousies d’autres filles de la classe de Romain, sauf de Zoé, qu’elle avait initié aux plaisirs lesbiens.
Elles se sont montré très douées, se partageant le haut et le bas alternativement de ce beau corps convoité, l’une d’entre elles s’asseyant sur le banc, les jambes de leur puceau posées bien ouvertes sur ses cuisses. Il ne savait plus quelle langue s’enroulait autour de la sienne, quels petits seins il massait, sur quels tétons dardés il tirait, ni quelles mains trituraient ses fesses relevées, astiquaient son membre prêt à éjaculer, quels doigts furetaient autour de son petit trou que l’un d’eux lubrifié de salive a visité.
Elles se relevèrent avant qu’il ne soit trop tard et l’ont regardé, satisfaites. Leur baguette magique au garde à vous ne les décevait pas et leur conviendrait parfaitement.
- Ouf il était temps, vous êtes pas bien les filles, j’allais jouir.
- On y compte bien mon trésor, dit Célia la plus grande, mais pas en te masturbant dans ton lit. Tu vas nous remplir de ton jus avec ta quéquette toute neuve, l’une après l’autre. Depuis le temps qu’on attendait l’occasion de t’avoir rien que pour nous, surtout Zoé…
- Ouais, en fait vous m’avez piégé. Alors pourquoi vous avez pas voulu baiser depuis qu’on sort ensemble ? Je sais avec qui vous l’avez fait. Eux aussi étaient puceaux.
- Ben justement Zoé et moi on se les est passés, c’était pas génial avec les trois en question. Ils étaient mignons mais ils ont joui trop vite. Tu nous as masturbé, tu as éjaculé dans nos mains et tu es toujours vierge, alors on a pensé à toi. Cà fait un mois qu’on prépare notre coup. On te voulait pour nous deux, en même temps, sans te prévenir, c’est plus marrant non ?
- Trop top tu veux dire oui. Mais j’ai pas de capotes moi.
- T’inquiète on prend la pilule. Maintenant on va passer aux choses sérieuses beau gosse, je vais t’apprendre ce que je sais faire d’autre avec mes lèvres et ma bouche pendant que toi tu apprendras à te servir de la tienne pour préparer la fleur de notre petite Zoé. L’idée de notre fête venant d’elle c’est normal qu’elle soit la première.
Célia reprit position, assise sous les cuisses béantes de Romain, prenant en mains le sexe pour le revigorer, et Zoé enjamba le banc pour offrir à son copain la vue imprenable de sa minette luisante.
Il a assuré ce coquin. De suite il prit Zoé aux hanches pour porter à ses lèvres le fruit jusque là défendu. Sa langue, au début maladroite, se révéla efficace pour ouvrir les grandes lèvres et se frayer un chemin vers le petit capuchon qu’il suça d’autant plus activement qu’il entendait gémir sa copine préférée et que le petit dard durcissait. Puis il redescendit plus bas investir de sa langue suivie d’un doigt l’entrée de sa grotte d’où suintait un liquide odorant, doux amer et délicieux me précisa-t-il.
Il gémissait à son tour, sous les succions de Célia qui avait fini par absorber toute sa hampe, la faisant entrer et ressortir de sa bouche à un rythme de plus en plus soutenu, la léchant sur toute sa longueur, jusqu’aux couilles qu’elle absorbait à leur tour. C’est lorsqu’elle insistait sur le gland de sa langue et de son ongle que Romain gémissait le plus fort alors qu’il aspirait avec ses lèvres en ventouse sur le sexe de sa copine son suc enivrant. Quand elle vit une goutte perler par le méat ouvert et entendit Zoé haleter elle cria « stop on y va ».
Célia positionna son amie au-dessus de son copain, face à lui, mit la verge tendue à l’entrée du vagin bien huilé. Très doucement Zoé s’empala sur ce membre préparé à souhait. Elle se savait étroite et voulait profiter au maximum de cette lente introduction, voir et sentir Romain l’investir au plus profond de son antre. Quand ses fesses touchèrent le bas ventre de son amant, elle s’arrêta, le regarda en souriant, puis ferma les yeux pour profiter de cet instant, avant d’entamer de lents allers et retours. Célia tapota le petit bouton de son amie d’une main et le masturba de ses doigts. Avec ceux de l’autre main elle se donna du plaisir, puis ils repartirent vers la brune rosette de Romain qui leva ses fesses instinctivement, permettant à un doigt de se positionner dans l’entrée de la rondelle plissée.
Les deux amants avaient des bouffées de chaleur, étaient en sueur. Zoé avait augmenté la cadence, faisant coulisser la verge dans son délicat conduit, alternant roulis et tangage pour mieux être possédée et lui il malmenait ses petits seins ronds et fermes en cadence. Il avait l’impression que le vagin se resserrait autour de sa verge alors que de son côté elle la sentait grossir, s’arquer et venir buter au fond du vagin aux dernières descentes de son corps.
Quand elle se douta de l’imminence de leur explosion, Célia branla vigoureusement le clito de son amie et fit tournoyer, coulisser son doigt dans l’anus du garçon.
- Vas-y Romain, viens, viens, viennnnns, je vais jouir, s’exclama Zoé
- Moi aussi je vais... Oooooohhhh, Zoé tu es fantastique, c’est troooop
- Oui, oui, ouiiiiiiiiiiiii, je jouis, oh mon Dieu que c’est boooooon, dit-elle en se cabrant pour mettre ses mains sur les cuisses de son amant qui libérait en elle toute sa semence, par saccades.
Ils eurent tous les deux quatre ou cinq spasmes ponctués des cris de Zoé, tétanisée par l’orgasme. Quand ils reprirent leurs esprits, Romain attira Zoé contre lui.
- Non, non ne bouge pas, reste en moi.
Elle profita un peu de son amant fiché en elle et se pencha doucement sur lui. Ils échangèrent un long, bruyant et très sensuel baiser. Ils se relevèrent tous deux, encore un peu groggy. Un long filet opaque coulait de la fente de Zoé sur ses cuisses, après avoir maculé la serviette.
- Hé bé ! j’ai jamais vu un truc pareil. C’est dingue de jouir comme çà, finit par dire Célia.
- C’est mon premier vrai orgasme. Je ne savais plus où j’étais, ajouta Zoé. Merci mon chéri c’était merveilleux.
- Pour moi pareil, je ne pensais pas pouvoir prendre tant de plaisir avec toi. Quand j’ai joui j’ai eu l’impression que ton vagin pressait ma verge comme un citron.
- Dis donc beau gosse, j’espère que tu as encore un peu de réserve pour moi là dedans dit Célia hilare en soupesant ses bourses. N’oublie pas notre marché.
Zoé entraîna son copain sous la douche, lui montrant comment rendre un peu de fraîcheur à sa vulve et à son fourreau imbibés de cyprine et de sperme.
Célia s’impatientait.
- Bon çà suffit les amoureux, à mon tour maintenant. Viens Romain, allonge toi, on va inverser les rôles.
Zoé s’installa face au pénis en berne, en tapotant les fesses relevées de leur amant comme pour lui dire « tu vas voir moi aussi je sais faire des pipes », Célia tout excitée donnant en cadeau à la bouche de l’ex-puceau ses parties les plus intimes.
Romain vit de suite que son clitoris était plus long et plus gros que celui de Zoé et le suça sans attendre, faisant haleter sa nouvelle amante puis s’occupa de l’entrée de son paradis, y introduisant sa langue puis un doigt, deux doigts qui s’agitèrent vivement.
Zoé se mit en devoir de ramener ce beau sexe qui l’avait tant comblé à un état prêt à l’emploi pour son amie, une main l’astiquant de haut en bas, ses lèvres s’élargissant pour l’engloutir à chaque sortie du gland, un doigt de l’autre main, bien huilé de sa mouille, à moitié dans l’anus de son copain. Elle put bientôt sucer librement ce sucre d’orge dans un va-et-vient régulier, et pouvoir titiller son clitoris de nouveau en effervescence. Les trois amants râlaient de concert. Célia mit fin à ces préliminaires en se levant.
- Romain, tu vas me prendre en levrette, là, par terre. Tu verras c’est très jouissif. Zoé va t’aider.
Le jeune amant put aisément pénétrer Célia, sans l’aide de sa copine. Son vagin était moins étroit et tellement lubrifié que son pubis se heurta rapidement à ses fesses dodues. Autre position, autres sensations quand il lui prit ses hanches pour fourrager sa chatte. Il avait l’impression de la dominer.
- Arrête Romain, laisse moi faire, ne bouge plus. La prochaine fois tu feras comme tu voudras.
Célia démarra une danse langoureuse de son bassin, de bas en haut, de gauche à droite, d’avant en arrière. La danse devint effrénée, butant de plus en plus vite et plus fort sur le bas ventre de son amant. Zoé malaxa les seins de sa copine, tira sur les bouts durcis qui doublèrent de longueur.
Quelques minutes de frénésie et les deux amants émirent simultanément une longue plainte et partirent dans une série de soubresauts incontrôlables accompagnés de râles de plaisir, de bonheur intense. Par réflexe Romain reprit Célia par les hanches et la pénétra plus profondément par quelques mouvements bien orchestrés qui la firent hurler puis il s’immobilisa. Ils ne se séparèrent qu’après un bon moment, l’outil ramolli de Romain ayant quitté son logement. Debout, il contemplait ses deux copines. Ses yeux brillaient.
Les deux amies ont remercié leur amant tour à tour d’un baiser ardent où trois langues s’entremêlèrent profondément. Puis elles ont observé sa verge, leur chose. Elles se sont regardées, ont ri, se mirent à genoux et s’en saisirent pour lui prodiguer un nettoyage et massage buccal mérité. Elles suçaient avidement leur petit bijou, le léchaient, l’absorbant avec ses testicules douces comme du velours, leurs mains pétrissant ces fesses musclées, fouillant sa raie, caressant l’intérieur tendre des cuisses que Romain, debout, écarta docilement. Des ondes familières traversaient son corps, abandonné à ces deux filles affamées.
Elles y ont mis du temps et de l’énergie mais ont réussi à le refaire bander.
- Cà y est, s’exclama Célia, tu vas bientôt pouvoir nous faire goûter de ton sperme, beau gosse, je suis sûre qu’il y en a encore un peu. Tu as pu te régaler avec notre jus, alors à notre tour.
- Tu parlais de nous tout à l’heure, dit Zoé qui faisait glisser à grande vitesse son jouet dans sa main, mais toi aussi il t’a fait grimper et t’en as encore envie comme moi hein ?
- Oui, jamais pris un tel pied. Il sait attendre et nous faire jouir en même temps que lui ce petit cochon. Qu’est-ce qu’il m’a mis ! Je crois qu’on a déniché le gros lot.
- Je crois qu’il vient, coupa Zoé.
Romain ne put se retenir et lança un « oh, oooooooh ». Tenue par une main vigilante, sa verge libéra quelques jets de sperme dans les bouches ouvertes. Quand il eut fini, les deux amies déglutirent en fermant les yeux, puis Zoé fit une petite toilette à son amant.
- Super, dit Célia, on va faire de toi notre amant attitré du lycée, même si de temps en temps tu veux te faire une autre nana, comme ma pucelle de petite sœur Alexa qui me parle de toi presque tous les jours. Elle a quatorze ans comme toi. Tu la trouves à ton goût il paraît. Ce sera quand même mieux que des branlettes solitaires non ?
- Hé les filles, rétorqua l’intéressé, j’ai quand même mon mot à dire non ?
- Pourquoi, tu ne veux pas qu’on recommence dirent-elles ?
- Bien sûr que si mais un autre jour, je fatigue un peu là et mon bout devient sensible.
- Il paraît qu’avec l’expérience çà passe, le rassura Zoé.
Le nouveau baiseur des deux amies fut mis régulièrement à contribution, lui permettant d’améliorer ses performances et sa connaissance du corps féminin. Il succomba volontiers aux avances d’Alexa et deux de ses camarades, informées par Zoé et Célia des orgasmes qu’elles avaient à chaque fois qu’elles faisaient l’amour avec lui.
Véro85
(A suivre)
Jusqu’à l’été dernier.
Je sais que je plais aux garçons et aux filles. Thomas n’est au courant que de mes relations féminines épisodiques. Il me dit régulièrement, quand on se promène dans la rue ou sur la plage, « non mais tu as vu comment les gens te regardent, ils te déshabillent des yeux ! tu ne passes pas inaperçue ma chérie, etc. » Bon c’est vrai que sur la plage avec mes bikini taille basse avec attaches latérales et mes seins nus je ne cachais pas grand-chose.
Cette nuit Thomas a honoré mon abricot et ma rosette, me rappelant au passage que j’avais un joli petit cul à damner un saint et que mes seins fermes très réactifs lui faisaient penser au physique d’Audrey Tautou, son actrice fétiche. Soit, mais je ne suis quand même pas une top modèle.
Cette après-midi je vais retrouver après ses cours mon jeune amant Romain que je revois deux fois par semaine depuis ce dernier été à Lacanau il y a 8 mois, plage où j’allais chaque année avant de connaître Thomas et où nous allons toujours en été. Mon père et celui de Romain sont des amis d’enfance. Ils se sont connus à Bordeaux où nous vivons le reste de l’année.
Bien que de 5 ans mon cadet on a toujours chahuté, comme un gamin blagueur et farceur qu’il était et moi une grande copine. Au fil du temps je suis devenue sa confidente et, sa métamorphose d’ado aidant, moi aussi je me suis surprise à lui confier des secrets sur ma vie amoureuse, qu’il ne se gênait pas de critiquer si mes relations ne lui plaisaient pas.
Il a eu son premier baiser à 12 ans avec une fille, sur la plage le soir, à côté de moi qui était en compagnie de plusieurs copines. Il savait les choisir ce galopin. Faut dire que Romain ne les laissait pas indifférentes : un beau gosse blond comme il y en a peu, gentil, amusant et intelligent, des yeux bleus captivants et un charme fou, oui du charme c’est le mot. Chaque année, depuis cet âge, il passait beaucoup de temps avec des filles surfeuses comme lui, rarement moins âgées. Quelques aventures de vacances, des baisers, des caresses de moins en moins innocentes, en fait le besoin d’une présence féminine, la découverte du corps féminin et de sensations.
Il y a 2 ans, il est devenu plus câlin et attentionné avec moi. Thomas s’en est d’abord étonné, pour finalement reconnaître qu’il mûrissait.
Il ne pensait pas si bien dire. Nous l’avions emmené non loin, sur une plage de nudistes. Après un long bain que Thomas termina seul, je suis revenue avec Romain pour nous sécher au soleil. On s’est regardés sans rien dire, détaillant nos corps. Je l’avais vu nu souvent jusqu’à il y a quelques années, s’il prenait sa douche ou s’habillait. Mais ce jour là je vis sa transformation quand mon regard se posa sur ses parties génitales.
- Tu es vraiment trop belle Véro, dit-il en souriant, me prenant en flagrant délit
- Toi aussi, répondis-je en éclatant de rire
Romain me confia l’année suivante avoir perdu son pucelage avec deux admiratrices du lycée, partenaires de flirts successifs d’ados, qui l’avaient rejoint par surprise en tenue d’Eve dans sa cabine de douche après un match de tennis.
Elles avaient pris soin de fermer à clé la porte du local, discrètement. Nu comme un vers, il put mettre ses mains devant ses attributs mais c’était sans compter sur leur détermination, leur expérience, l’exiguïté du lieu mais d’abord sur son fantasme de puceau : avoir une expérience sexuelle avec une fille. Alors en avoir deux pour une première fois a décuplé ses décharges d’adrénaline, d’autant qu’elles étaient vraiment très jolies.
Vite contraint de s’allonger sur un banc recouvert de leurs serviettes, elles admirèrent leur proie consentante, imberbe à part quelques poils sur le pubis, avec une peau très douce comme un bébé. Elles l’encadraient et souriaient, heureuses de l’avoir enfin à leur merci.
- Je crois qu’on va bien s’amuser ma Zoé, le flirt du moment de Romain, dit Célia en jouant avec le prépuce de leur favori pour faire sortir le gland. Tu vois beau gosse, comme elle l’appelait, on s’est épilé le minou exprès pour toi. Tâte comme c’est doux.
Il était sur un nuage. Il caressa d’une main chacun des deux sexes humides offerts sous ses yeux et devint plus entreprenant. Les deux filles n’en attendaient pas tant.
Célia, de deux ans son aînée, avait craqué la première pour ce garçon, s’attirant les jalousies d’autres filles de la classe de Romain, sauf de Zoé, qu’elle avait initié aux plaisirs lesbiens.
Elles se sont montré très douées, se partageant le haut et le bas alternativement de ce beau corps convoité, l’une d’entre elles s’asseyant sur le banc, les jambes de leur puceau posées bien ouvertes sur ses cuisses. Il ne savait plus quelle langue s’enroulait autour de la sienne, quels petits seins il massait, sur quels tétons dardés il tirait, ni quelles mains trituraient ses fesses relevées, astiquaient son membre prêt à éjaculer, quels doigts furetaient autour de son petit trou que l’un d’eux lubrifié de salive a visité.
Elles se relevèrent avant qu’il ne soit trop tard et l’ont regardé, satisfaites. Leur baguette magique au garde à vous ne les décevait pas et leur conviendrait parfaitement.
- Ouf il était temps, vous êtes pas bien les filles, j’allais jouir.
- On y compte bien mon trésor, dit Célia la plus grande, mais pas en te masturbant dans ton lit. Tu vas nous remplir de ton jus avec ta quéquette toute neuve, l’une après l’autre. Depuis le temps qu’on attendait l’occasion de t’avoir rien que pour nous, surtout Zoé…
- Ouais, en fait vous m’avez piégé. Alors pourquoi vous avez pas voulu baiser depuis qu’on sort ensemble ? Je sais avec qui vous l’avez fait. Eux aussi étaient puceaux.
- Ben justement Zoé et moi on se les est passés, c’était pas génial avec les trois en question. Ils étaient mignons mais ils ont joui trop vite. Tu nous as masturbé, tu as éjaculé dans nos mains et tu es toujours vierge, alors on a pensé à toi. Cà fait un mois qu’on prépare notre coup. On te voulait pour nous deux, en même temps, sans te prévenir, c’est plus marrant non ?
- Trop top tu veux dire oui. Mais j’ai pas de capotes moi.
- T’inquiète on prend la pilule. Maintenant on va passer aux choses sérieuses beau gosse, je vais t’apprendre ce que je sais faire d’autre avec mes lèvres et ma bouche pendant que toi tu apprendras à te servir de la tienne pour préparer la fleur de notre petite Zoé. L’idée de notre fête venant d’elle c’est normal qu’elle soit la première.
Célia reprit position, assise sous les cuisses béantes de Romain, prenant en mains le sexe pour le revigorer, et Zoé enjamba le banc pour offrir à son copain la vue imprenable de sa minette luisante.
Il a assuré ce coquin. De suite il prit Zoé aux hanches pour porter à ses lèvres le fruit jusque là défendu. Sa langue, au début maladroite, se révéla efficace pour ouvrir les grandes lèvres et se frayer un chemin vers le petit capuchon qu’il suça d’autant plus activement qu’il entendait gémir sa copine préférée et que le petit dard durcissait. Puis il redescendit plus bas investir de sa langue suivie d’un doigt l’entrée de sa grotte d’où suintait un liquide odorant, doux amer et délicieux me précisa-t-il.
Il gémissait à son tour, sous les succions de Célia qui avait fini par absorber toute sa hampe, la faisant entrer et ressortir de sa bouche à un rythme de plus en plus soutenu, la léchant sur toute sa longueur, jusqu’aux couilles qu’elle absorbait à leur tour. C’est lorsqu’elle insistait sur le gland de sa langue et de son ongle que Romain gémissait le plus fort alors qu’il aspirait avec ses lèvres en ventouse sur le sexe de sa copine son suc enivrant. Quand elle vit une goutte perler par le méat ouvert et entendit Zoé haleter elle cria « stop on y va ».
Célia positionna son amie au-dessus de son copain, face à lui, mit la verge tendue à l’entrée du vagin bien huilé. Très doucement Zoé s’empala sur ce membre préparé à souhait. Elle se savait étroite et voulait profiter au maximum de cette lente introduction, voir et sentir Romain l’investir au plus profond de son antre. Quand ses fesses touchèrent le bas ventre de son amant, elle s’arrêta, le regarda en souriant, puis ferma les yeux pour profiter de cet instant, avant d’entamer de lents allers et retours. Célia tapota le petit bouton de son amie d’une main et le masturba de ses doigts. Avec ceux de l’autre main elle se donna du plaisir, puis ils repartirent vers la brune rosette de Romain qui leva ses fesses instinctivement, permettant à un doigt de se positionner dans l’entrée de la rondelle plissée.
Les deux amants avaient des bouffées de chaleur, étaient en sueur. Zoé avait augmenté la cadence, faisant coulisser la verge dans son délicat conduit, alternant roulis et tangage pour mieux être possédée et lui il malmenait ses petits seins ronds et fermes en cadence. Il avait l’impression que le vagin se resserrait autour de sa verge alors que de son côté elle la sentait grossir, s’arquer et venir buter au fond du vagin aux dernières descentes de son corps.
Quand elle se douta de l’imminence de leur explosion, Célia branla vigoureusement le clito de son amie et fit tournoyer, coulisser son doigt dans l’anus du garçon.
- Vas-y Romain, viens, viens, viennnnns, je vais jouir, s’exclama Zoé
- Moi aussi je vais... Oooooohhhh, Zoé tu es fantastique, c’est troooop
- Oui, oui, ouiiiiiiiiiiiii, je jouis, oh mon Dieu que c’est boooooon, dit-elle en se cabrant pour mettre ses mains sur les cuisses de son amant qui libérait en elle toute sa semence, par saccades.
Ils eurent tous les deux quatre ou cinq spasmes ponctués des cris de Zoé, tétanisée par l’orgasme. Quand ils reprirent leurs esprits, Romain attira Zoé contre lui.
- Non, non ne bouge pas, reste en moi.
Elle profita un peu de son amant fiché en elle et se pencha doucement sur lui. Ils échangèrent un long, bruyant et très sensuel baiser. Ils se relevèrent tous deux, encore un peu groggy. Un long filet opaque coulait de la fente de Zoé sur ses cuisses, après avoir maculé la serviette.
- Hé bé ! j’ai jamais vu un truc pareil. C’est dingue de jouir comme çà, finit par dire Célia.
- C’est mon premier vrai orgasme. Je ne savais plus où j’étais, ajouta Zoé. Merci mon chéri c’était merveilleux.
- Pour moi pareil, je ne pensais pas pouvoir prendre tant de plaisir avec toi. Quand j’ai joui j’ai eu l’impression que ton vagin pressait ma verge comme un citron.
- Dis donc beau gosse, j’espère que tu as encore un peu de réserve pour moi là dedans dit Célia hilare en soupesant ses bourses. N’oublie pas notre marché.
Zoé entraîna son copain sous la douche, lui montrant comment rendre un peu de fraîcheur à sa vulve et à son fourreau imbibés de cyprine et de sperme.
Célia s’impatientait.
- Bon çà suffit les amoureux, à mon tour maintenant. Viens Romain, allonge toi, on va inverser les rôles.
Zoé s’installa face au pénis en berne, en tapotant les fesses relevées de leur amant comme pour lui dire « tu vas voir moi aussi je sais faire des pipes », Célia tout excitée donnant en cadeau à la bouche de l’ex-puceau ses parties les plus intimes.
Romain vit de suite que son clitoris était plus long et plus gros que celui de Zoé et le suça sans attendre, faisant haleter sa nouvelle amante puis s’occupa de l’entrée de son paradis, y introduisant sa langue puis un doigt, deux doigts qui s’agitèrent vivement.
Zoé se mit en devoir de ramener ce beau sexe qui l’avait tant comblé à un état prêt à l’emploi pour son amie, une main l’astiquant de haut en bas, ses lèvres s’élargissant pour l’engloutir à chaque sortie du gland, un doigt de l’autre main, bien huilé de sa mouille, à moitié dans l’anus de son copain. Elle put bientôt sucer librement ce sucre d’orge dans un va-et-vient régulier, et pouvoir titiller son clitoris de nouveau en effervescence. Les trois amants râlaient de concert. Célia mit fin à ces préliminaires en se levant.
- Romain, tu vas me prendre en levrette, là, par terre. Tu verras c’est très jouissif. Zoé va t’aider.
Le jeune amant put aisément pénétrer Célia, sans l’aide de sa copine. Son vagin était moins étroit et tellement lubrifié que son pubis se heurta rapidement à ses fesses dodues. Autre position, autres sensations quand il lui prit ses hanches pour fourrager sa chatte. Il avait l’impression de la dominer.
- Arrête Romain, laisse moi faire, ne bouge plus. La prochaine fois tu feras comme tu voudras.
Célia démarra une danse langoureuse de son bassin, de bas en haut, de gauche à droite, d’avant en arrière. La danse devint effrénée, butant de plus en plus vite et plus fort sur le bas ventre de son amant. Zoé malaxa les seins de sa copine, tira sur les bouts durcis qui doublèrent de longueur.
Quelques minutes de frénésie et les deux amants émirent simultanément une longue plainte et partirent dans une série de soubresauts incontrôlables accompagnés de râles de plaisir, de bonheur intense. Par réflexe Romain reprit Célia par les hanches et la pénétra plus profondément par quelques mouvements bien orchestrés qui la firent hurler puis il s’immobilisa. Ils ne se séparèrent qu’après un bon moment, l’outil ramolli de Romain ayant quitté son logement. Debout, il contemplait ses deux copines. Ses yeux brillaient.
Les deux amies ont remercié leur amant tour à tour d’un baiser ardent où trois langues s’entremêlèrent profondément. Puis elles ont observé sa verge, leur chose. Elles se sont regardées, ont ri, se mirent à genoux et s’en saisirent pour lui prodiguer un nettoyage et massage buccal mérité. Elles suçaient avidement leur petit bijou, le léchaient, l’absorbant avec ses testicules douces comme du velours, leurs mains pétrissant ces fesses musclées, fouillant sa raie, caressant l’intérieur tendre des cuisses que Romain, debout, écarta docilement. Des ondes familières traversaient son corps, abandonné à ces deux filles affamées.
Elles y ont mis du temps et de l’énergie mais ont réussi à le refaire bander.
- Cà y est, s’exclama Célia, tu vas bientôt pouvoir nous faire goûter de ton sperme, beau gosse, je suis sûre qu’il y en a encore un peu. Tu as pu te régaler avec notre jus, alors à notre tour.
- Tu parlais de nous tout à l’heure, dit Zoé qui faisait glisser à grande vitesse son jouet dans sa main, mais toi aussi il t’a fait grimper et t’en as encore envie comme moi hein ?
- Oui, jamais pris un tel pied. Il sait attendre et nous faire jouir en même temps que lui ce petit cochon. Qu’est-ce qu’il m’a mis ! Je crois qu’on a déniché le gros lot.
- Je crois qu’il vient, coupa Zoé.
Romain ne put se retenir et lança un « oh, oooooooh ». Tenue par une main vigilante, sa verge libéra quelques jets de sperme dans les bouches ouvertes. Quand il eut fini, les deux amies déglutirent en fermant les yeux, puis Zoé fit une petite toilette à son amant.
- Super, dit Célia, on va faire de toi notre amant attitré du lycée, même si de temps en temps tu veux te faire une autre nana, comme ma pucelle de petite sœur Alexa qui me parle de toi presque tous les jours. Elle a quatorze ans comme toi. Tu la trouves à ton goût il paraît. Ce sera quand même mieux que des branlettes solitaires non ?
- Hé les filles, rétorqua l’intéressé, j’ai quand même mon mot à dire non ?
- Pourquoi, tu ne veux pas qu’on recommence dirent-elles ?
- Bien sûr que si mais un autre jour, je fatigue un peu là et mon bout devient sensible.
- Il paraît qu’avec l’expérience çà passe, le rassura Zoé.
Le nouveau baiseur des deux amies fut mis régulièrement à contribution, lui permettant d’améliorer ses performances et sa connaissance du corps féminin. Il succomba volontiers aux avances d’Alexa et deux de ses camarades, informées par Zoé et Célia des orgasmes qu’elles avaient à chaque fois qu’elles faisaient l’amour avec lui.
Véro85
(A suivre)
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
trés trés bien.
trés exitant.
a bientot pour la suite j'espère.
MERCI
trés exitant.
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MERCI
cette histoire m'a fait bander comme un fou. j'aime trop ça grâce à cette histoire j'ai
découvert le merveilleux plaisir du sexe à 3.
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