Un simple après-midi.
Récit érotique écrit par lola75paris [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-04-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
Un simple après-midi.
J’essayée toujours de trouver un emploi mais sans diplôme n’y qualification, c’est plutôt dur pour moi, les seuls boulots que je trouve sont des postes de vendeuse en magasin ou caissière en supermarché en CDD de quelques mois, juste histoire de remplacée une employée malade ou en vacance.
D'autant plus que je préfère, consultée les annonces de rencontres que les offres d’emplois, je suis plus préoccupée par le sexe que par le boulot. J’ai donc essayée les propositions de modèle pour photos, dites rémunérées entre parenthèse. J’ai accrochée plusieurs annonceurs mais sans résultat mise à part le temps passé sur internet à tchatché avec l’annonceur et à lui envoyer quelques photos de moi, ça ne donner jamais rien de concret, jusqu’au jour où un annonceur me propose de le rencontrer afin de voir si je corresponds au profil qu’il recherche. Il souhaite un modèle féminin pour des poses de charme soft, j’accepte un rendez-vous avec lui.
Pantin, à deux pas du métro 4 chemins, comme il me l’a expliqué par téléphone, l’adresse qu’il m’a communiquée correspond à un petit atelier de menuiserie. Je me présente à l’interphone, M. Moutier m’invite à rentrer. Face à M. Moutier, homme de la quarantaine, 1.80 mètres, plutôt bien bâtit, mes premiers mots sont :
Bonjour, Monsieur.
Bonjour, c’est bien d’être venus.
J’entre dans l’atelier, M. Moutier derrière moi.
Met toi à poil.
Avec ce genre d’annonce, je mis attendais un peu et avec mon look de jeune salope, ça été plutôt direct, M. Moutier programme déjà la suite dans sa tête. Ce fut rapide, je ne porte qu’une minirobe sur moi. En l’espace de quelques minutes, toute nue, M Moutier est nu devant moi. Homme viril, poilus et bien monté, je dirais dans les 25 centimètres. Il tourne autour de moi en me plotant les fesses, les nichons, il finit son tour d’inspection avec l’intérieur de ma chatte ou il y glisse plusieurs doigts, pour lui faciliter la tâche, j’écarte légèrement mes jambes.
C’est bien, tu es obéissante, tu dois être une bonne salope soumise.
M. Moutier n’est pas loin de la vérité. Il me ligote mes deux mains dans le dos avec un genre de lien en plastique.
Met toi à genoux et suce.
Je m’exécutée, j’engloutis dans ma bouche, sa grosse queue qui commencée à se raidir, d’une main, il agrippe mes cheveux et cadence le vas et vient de ma bouche sur sa bite, je sens sa queue devenir de plus en plus raide et de plus en plus grosse, elle me remplit toute la bouche, je suce à fond comme on me l’a appris.
Après cette longue fellation, M. Moutier me redresse debout en me tirant toujours par mes cheveux, il m’expédie une paire de gifle en plein visage et m’ordonne de monter sur une pile de palettes en bois et de m’y agenouillée.
Là, M. Moutier m’attache chacune de mes jambes aux coins des palettes, je me retrouve à genoux, les jambes écartées et attachées, la hauteur des palettes empilées met mes fesses à hauteur de sexe. M. Moutier se replace devant moi, une nouvelle paire de gifle au travers du visage, m’agrippe par les cheveux et force ma tête à rencontrer son sexe, je le pompe à nouveau.
Sans pouvoir regarder autour de moi, j’entends une nouvelle personne qui entre dans l’atelier, le bruit de ces pas, des talons, c’est une femme que je ne vois pas. Quelques instant plus tard, la bite de M. Moutier en bouche, une mains toutes humide l’engouffre avec force dans mon anus. Cette deuxième personne me fiste le cul sans grand ménagement, heureusement pour moi que je suis habituée à me faire sodomiser. Sa main pénètre entièrement dans mon cul, je la sens tournée, droite, gauche, entrée et sortir de mon cul, je suis toute excitée, la queue de M. Moutier dans ma bouche m’empêche de gémir, je me sens jouir.
Je découvre enfin Madame qui a pris la place de Monsieur, face à moi. Belle femme sexy, la quarantaine, cette fois-ci, c’est elle qui me gifle le visage en prononçant :
Arrête de rêvée, ne t’endort pas, on n’en a pas finis avec toi salope, tu es venu te faire baiser, on va bien s’occupés de toi.
Pendant ce temps-là, M. Moutier me sodomise avec rage, Madame en profite pour s’équipée d’un strapon, queue d’une quarantaine de centimètres et très grosse de diamètre, tout ça sous mes yeux pour mieux m’excitée.
Madame équipée, une paire de gifle.
Elle te plait ma grosse queue, je vais te la mettre entièrement dans le cul. Je sens une douleur sur mes fesses, M. Moutier me fouette les fesses avec une baguette en bois, il y va de bon cœur, les coûts son répétitifs, cela me fait très mal mais en même temps, cela m’excite encore plus.
Madame me pénètre le cul avec son gros gode strapon, sans ménagement et sans retenue, en de long vas et vient, elle me pénètre à fond, après une nouvelle série de gifles, M. Moutier repositionne sa bite dans ma bouche, Madame me lime le cul comme une malade pendant un long moment, je jouis en moi comme une folle, cela fait plusieurs heures que Monsieur et Madame s’occupe de moi, M. Moutier finis par jouir dans ma bouche, Madame me cravache les fesses avec férocité.
Ça t’a plu salope, à partir d'aujourd’hui, t’est notre pute, quand on t’appelle, tu débarque en vitesse, compris sale pute.
Une fois rhabillée, sans avoir pu me lavée, prête à sortir, Madame me donne une clé USB est me dit.
Tiens, c’est pour toi, une copie de cet après-midi, si t’a d’autres copines salope, fais-leur voir, on ne sait jamais, dés fois qu’ils voudraient t’accompagnée la prochaine fois, nous on aime bien les salopes dans ton genre et surtout n’oublie pas de répondre quand on t’appelle si tu ne veux pas que l’on envoie une copie à l’adresse de ta carte d’identité, Mlle …….
C’est vrai qu’ils avaient eu tout le temps de fouiller mon sac. J’avoue avoir passée un très bon moment, je répondrai à leur prochain appel.
D'autant plus que je préfère, consultée les annonces de rencontres que les offres d’emplois, je suis plus préoccupée par le sexe que par le boulot. J’ai donc essayée les propositions de modèle pour photos, dites rémunérées entre parenthèse. J’ai accrochée plusieurs annonceurs mais sans résultat mise à part le temps passé sur internet à tchatché avec l’annonceur et à lui envoyer quelques photos de moi, ça ne donner jamais rien de concret, jusqu’au jour où un annonceur me propose de le rencontrer afin de voir si je corresponds au profil qu’il recherche. Il souhaite un modèle féminin pour des poses de charme soft, j’accepte un rendez-vous avec lui.
Pantin, à deux pas du métro 4 chemins, comme il me l’a expliqué par téléphone, l’adresse qu’il m’a communiquée correspond à un petit atelier de menuiserie. Je me présente à l’interphone, M. Moutier m’invite à rentrer. Face à M. Moutier, homme de la quarantaine, 1.80 mètres, plutôt bien bâtit, mes premiers mots sont :
Bonjour, Monsieur.
Bonjour, c’est bien d’être venus.
J’entre dans l’atelier, M. Moutier derrière moi.
Met toi à poil.
Avec ce genre d’annonce, je mis attendais un peu et avec mon look de jeune salope, ça été plutôt direct, M. Moutier programme déjà la suite dans sa tête. Ce fut rapide, je ne porte qu’une minirobe sur moi. En l’espace de quelques minutes, toute nue, M Moutier est nu devant moi. Homme viril, poilus et bien monté, je dirais dans les 25 centimètres. Il tourne autour de moi en me plotant les fesses, les nichons, il finit son tour d’inspection avec l’intérieur de ma chatte ou il y glisse plusieurs doigts, pour lui faciliter la tâche, j’écarte légèrement mes jambes.
C’est bien, tu es obéissante, tu dois être une bonne salope soumise.
M. Moutier n’est pas loin de la vérité. Il me ligote mes deux mains dans le dos avec un genre de lien en plastique.
Met toi à genoux et suce.
Je m’exécutée, j’engloutis dans ma bouche, sa grosse queue qui commencée à se raidir, d’une main, il agrippe mes cheveux et cadence le vas et vient de ma bouche sur sa bite, je sens sa queue devenir de plus en plus raide et de plus en plus grosse, elle me remplit toute la bouche, je suce à fond comme on me l’a appris.
Après cette longue fellation, M. Moutier me redresse debout en me tirant toujours par mes cheveux, il m’expédie une paire de gifle en plein visage et m’ordonne de monter sur une pile de palettes en bois et de m’y agenouillée.
Là, M. Moutier m’attache chacune de mes jambes aux coins des palettes, je me retrouve à genoux, les jambes écartées et attachées, la hauteur des palettes empilées met mes fesses à hauteur de sexe. M. Moutier se replace devant moi, une nouvelle paire de gifle au travers du visage, m’agrippe par les cheveux et force ma tête à rencontrer son sexe, je le pompe à nouveau.
Sans pouvoir regarder autour de moi, j’entends une nouvelle personne qui entre dans l’atelier, le bruit de ces pas, des talons, c’est une femme que je ne vois pas. Quelques instant plus tard, la bite de M. Moutier en bouche, une mains toutes humide l’engouffre avec force dans mon anus. Cette deuxième personne me fiste le cul sans grand ménagement, heureusement pour moi que je suis habituée à me faire sodomiser. Sa main pénètre entièrement dans mon cul, je la sens tournée, droite, gauche, entrée et sortir de mon cul, je suis toute excitée, la queue de M. Moutier dans ma bouche m’empêche de gémir, je me sens jouir.
Je découvre enfin Madame qui a pris la place de Monsieur, face à moi. Belle femme sexy, la quarantaine, cette fois-ci, c’est elle qui me gifle le visage en prononçant :
Arrête de rêvée, ne t’endort pas, on n’en a pas finis avec toi salope, tu es venu te faire baiser, on va bien s’occupés de toi.
Pendant ce temps-là, M. Moutier me sodomise avec rage, Madame en profite pour s’équipée d’un strapon, queue d’une quarantaine de centimètres et très grosse de diamètre, tout ça sous mes yeux pour mieux m’excitée.
Madame équipée, une paire de gifle.
Elle te plait ma grosse queue, je vais te la mettre entièrement dans le cul. Je sens une douleur sur mes fesses, M. Moutier me fouette les fesses avec une baguette en bois, il y va de bon cœur, les coûts son répétitifs, cela me fait très mal mais en même temps, cela m’excite encore plus.
Madame me pénètre le cul avec son gros gode strapon, sans ménagement et sans retenue, en de long vas et vient, elle me pénètre à fond, après une nouvelle série de gifles, M. Moutier repositionne sa bite dans ma bouche, Madame me lime le cul comme une malade pendant un long moment, je jouis en moi comme une folle, cela fait plusieurs heures que Monsieur et Madame s’occupe de moi, M. Moutier finis par jouir dans ma bouche, Madame me cravache les fesses avec férocité.
Ça t’a plu salope, à partir d'aujourd’hui, t’est notre pute, quand on t’appelle, tu débarque en vitesse, compris sale pute.
Une fois rhabillée, sans avoir pu me lavée, prête à sortir, Madame me donne une clé USB est me dit.
Tiens, c’est pour toi, une copie de cet après-midi, si t’a d’autres copines salope, fais-leur voir, on ne sait jamais, dés fois qu’ils voudraient t’accompagnée la prochaine fois, nous on aime bien les salopes dans ton genre et surtout n’oublie pas de répondre quand on t’appelle si tu ne veux pas que l’on envoie une copie à l’adresse de ta carte d’identité, Mlle …….
C’est vrai qu’ils avaient eu tout le temps de fouiller mon sac. J’avoue avoir passée un très bon moment, je répondrai à leur prochain appel.
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magnifique histoire, c'est vraiment bandant ! bravo et merci pour le partage !
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