Un soir d'été
Récit érotique écrit par Elros [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-02-2003 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un soir d'été
Un soir alors que Jean sortait, assez tardivement il faut le reconnaître, son labrador « Gourou » il a rencontré dans le grand jardin derrière la résidence, une voisine qui sortait elle aussi son chien. Le jardin était suffisamment éclairé pour lui permettre de la reconnaître.Cette jeune voisine prénommée Valérie avait environ 25 ans, et habitait avec son mari, deux étages en dessous de chez lui. Ce soir là, elle était vêtue d’une robe légère et assez courte qui s'expliquait par la température élevée de cette nuit d'été. Il était avec Gourou dans un coin du jardin lorsqu’elle est arrivée.
Gourou s’est presque instantanément précipité vers elle, et Jean l’a donc suivi, marchant tranquillement entre les allées.
Sa voisine semblait tout particulièrement surveiller sa chienne labrador prénommé «Melba », qui d’ordinaire était sortie par son mari, ne la laissant pas se promener librement dans le parc, mais la gardant sagement en laisse.Sa voisine finit par lui expliquer que sa chienne était en chaleur en ce moment. Gourou le savait déjà car malgré les efforts de Valérie, il revenait systématiquement vers elle. Devant ce problème, et ne parvenant pas à calmer son chien, Jean décida qu'il valait mieux quitter le parc.Comme il s’excusait du comportement de son chien auprès de sa voisine, elle lui demanda de rester.
- « Non, ne partez pas. Je n’aime pas être seule dans ce parc. C’est pour cela que d’ordinaire c’est mon mari qui la sort. Mais ce soir il est à Paris. Restez, cela me tranquillise. Et, de toutes façons, c'est la nature. »
Il l'entendit également ajouter pour elle même, tout bas
"il faut bienqu’il y en ait une qui prenne son pied aujourd’hui".
Elle a retiré la laisse de sa chienne, qui s’est aussitôt précipitée vers Gourou. Ils se sont reniflés mutuellement. Comme Jean lui demandait pourquoi elle avait fait cela, elle lui a répondu :
- « Visiblement, ils en ont envie tous les deux alors pourquoi les priver ? Et puis cela me serait agréable d’avoir des petits chiots. Ne vous plaignez pas, comme cela, vous ferez un peu partie de notrefamille.»
Cette dernière phrase le laissa perplexe, et pour éviter le sujet, il s’est mis à regarder les animaux. C’était la première fois qu’il voyait son chien s’apprêter à ce genre d’activités et mine de rien, cela l’intéressait. Gourou ne se contentait plus de sentir Melba, mais il lui léchait allégrement l’arrière train. Valérie dit alors d’un ton badin :
- « Et bien dites donc, je ne sais pas comment il a été éduqué, mais au moins, lui, il s’occupe de sa partenaire.
- Que voulez-vous dire ?
- Oh, tout simplement, que votre chien pourrait apprendre certaines techniques à mon cher mari. »
Cette dernière remarque a particulièrement surpris Jean qui n’osait plus rien dire. Cela devait se voir car d’un air taquin elle lui dit :
- « Allez, ne soyez pas gêné, c’est la vérité. Ceci dit, vous, vous vous en occupez comment de votre copine ?
- Euh. Cela dépend. dit t’il pas très assuré et de plus en plus gêné
- De quoi ? A moins que cela ne dépende de quelle copine ?
- Cela varie selon la façon dont elle s’occupe de moi, voilà ! a-t’il lancé pour tenter de la déstabiliser mais aussi pour essayer de se sortir d’une conversation qui commençait à partir vers des sujets très personnels..
- Oh oh. Une caresse mutuelle. Comme celle qu’ils se font en ce moment d’ailleurs ! Je trouve pour l’instant que vous êtes bien en phase avec votre chien. »
Il n’avait pas fait attention aux animaux, mais en effet, Melba, le museau glissé sous le ventre de Gourou, lui léchait allégrement sa queue rosée qui gonflait petit à petit et sortait de son fourreau. Gourou haletait tout en gratifiant la vulve et l’anus de sa compagne de grandscoups de langue. Jean trouvait la pine de son chien plutôt imposante lorsqu’il la vit complètement sortie du fourreau.
- « Et bien, il semble bien membré comme animal. Melba a de la chance,elle. »
Cette fois-ci Jean ne releva pas l’allusion sur la taille de ce sexe qui s’érigeait fièrement, même si elle confortait son impression. Il se demandait cependant si cette dernière remarque concernait également son mari ou si elle se posait des questions sur la taille de son membre. Elle ne l’a pas laissé longtemps dans le doute.
- « Non non, ne vous inquiétez pas, je parle encore une fois de mon époux. Ce n’est pas qu’il ait un petit sexe, mais j’aimerais qu’il soit un peu plus gros.
- Vous savez, on en dit beaucoup, mais il me semble que la taille ne fait pas forcément tout.
- Certes. Mais si en plus il y a la taille, alors je pense que cela doit être super. En tous les cas, votre chien semble aux anges. »
Les coups de langue de Melba semblaient mettre Gourou en grande forme. Sa queue enflait presque à chaque fois que la langue de Melba venait s’enrouler autour. Gourou tirait la langue et avait de plus en plus de mal à lui lécher l’arrière train.
- « Dites donc, il apprécie vraiment cette caresse. Le mimétisme entre le maître et le chien irait t’il jusque là ?
- Je le pense. Et concernant votre chienne, le mimétisme est t’il aussi poussé ?
- Ah ah ! Bien joué. Me voilà prise à mon propre piège. Et bien oui, je dois avouer que j'adore ces caresses.
- Pardonnez-moi si je vous ai choqué. » dit-il un peu penaud pours’excuser.
Elle a éclaté de rire. Après de longues secondes nécessaire pour reprendre son souffle, elle lui a caressé la joue en disant :
- « Qu’il est mignon ! Je le taquine depuis tout à l’heure avec des questions très personnelles et lui s’excuse à la première qu’il ose me poser. »
Un peu vexé par ce qu’il prenait vraiment pour une moquerie, il s’apprêtait à lui répondre sèchement quand elle ajouta :
- « Allons, ne boudez pas. Je vous taquine, mais vous me plaisez bien. Pour vous donner la preuve que je vous aime bien, est-ce que l’on peut se tutoyer ? Cela nous rendrait les choses plus agréables.
- Euh… Oui, d’accord. On se tutoie.
- Alors pas trop fâché ? J’espère car au stade où en sont nos animaux, je crois que cela va être dur de les séparer. Vous allez devoir me supporter encore un bon moment. » dit-elle en souriant et en me gratifiant d’un superbe clin d’œil.
Jean n’avait plus prêté attention aux deux chiens, mais ceux-ci ne s’étaient pas arrêtés aux préliminaires. Gourou était perché sur la croupe de Melba et s’activait en elle. D’où il était, on pouvait voir la queue rose entrer et sortir de la vulve sombre de sa partenaire. Les coups de reins étaient vigoureux et il pilonnait la chienne avec une fréquence impressionnante. Comme subjugués par le spectacle, ils sont restés là, sans bouger, en train de regarder les deux chiens en plein accouplement. Jean ne parvenait pas à détacher son regard de ces deux sexes mêlés.
Comme deux bons spectateurs, ils se sont assis sur un banc tout proche, éclairés par une lampe disposée juste en face, entre deux buissons du jardin. Il a prêté un peu plus attention à sa voisine. Elle était plutôt mignonne avec ses cheveux châtains courts et bouclés. Son petit nez en trompette lui donnait un air plutôt fripon et espiègle. Au bout de quelques instants, alors qu’il s’était de nouveau concentré sur les animaux, un mouvement perçu du coin de l’œil, lui a fait tourner la tête vers Valérie. Il a alors vu qu’elle avait défait deux boutons du bas de sa robe et glissé une main entre ses cuisses.
Elle se caressait l’entrejambe. Poussé par la curiosité, il s’est penché en avant, pourtenter de savoir si elle portait une culotte. Se rendant compte de sacuriosité, elle a écarté un peu plus ses cuisses, lui a sourit en disant:
- « Approches toi au lieu de te pencher. »
Et elle a défait deux autres boutons. Il a pu ainsi découvrir sa culotte de dentelle bleue. Lorsqu’il s’est approché d’elle, elle lui a pris la main pour la plaquer entre ses cuisses.
- « Caresses-moi » a t’elle soufflée à son oreille.
Il entendait Gourou qui haletait de plus en plus fort prés d’eux. Sentir cette culotte soyeuse sous ses doigts ainsi que les quelques poils qui avaient réussi à se glisser entre les trames du tissu le mettait complètement en émoi. Il l’a doucement caressée, tout en gardant le visage penché sur son entrejambe. Au bout de quelques instants, elle lui a relevé le visage en disant :
- «Regarde les aussi, tout en continuant à me caresser. Il ne faut pasque tu rates le grand moment. Je suis sure que c’est la première foisque tu vois ton chien baiser. Je me trompe ?
- Non, c’est vrai. C’est bien la première fois. »
Gourou s’activait toujours aussi fébrilement. Les efforts qu’il produisait faisaient presque peine à voir. Heureusement qu’il s’agissait pour lui de prendre son pied. Son sexe apparaissait encore plus rouge et plus gonflé qu’au début de leurs ébats. Jean n’en continuait pas moins de caresser Valérie. Il pouvait sentir désormais les lèvres de son sexe qui se gonflaient de désir. Alors qu’il tentait de glisser quelques doigts sous le fin tissu, elle dit :
- « Montres-la moi !
- Pardon ?
- Montres-la moi ! Je suis sure que tu bandes.
- Euh oui, comment ne pas bander dans de telles circonstances ?
- Alors sors là et montres-la moi ! Je veux voir la taille de ton désir.
- Mais là, ici ? Des gens peuvent nous voir ! N’importe qui, des fenêtres qui nous entourent peuvent nous voir.
- Et alors ? Cela ne te gêne pas quand tu me caresses. Alors !J’attends ? »
Que pouvait -il faire ? Ne pas lui obéir alors que les choses paraissaient si bien engagées et la nuit prometteuse ? Prendre le risque que l’un des voisins le voit ? Finalement, les promesses du plaisir ont eu raison de sa pudeur et de sa timidité.Toujours à coté d’elle, il a commencé à défaire, un par un, les boutonsde sa braguette, tout en essayant de garder un œil sur les deux animaux, toujours en train de forniquer.
Lorsqu’il a eu défait tous les boutons,tout en gardant la ceinture bouclée, il s’est attaqué à ceux de son caleçon. Valérie avait les yeux rivés sur son bas-ventre, attendant impatiemment de voir la taille de la verge qui allait en sortir. Inconsciemment, elle se passait la langue sur le bord des lèvres. Une fois les trois boutons défaits, Jean a extrait sa verge. Elle est alors apparue à l’air libre, tendue, gonflée de désir. Sans hésitation,Valérie a avancé sa main gauche et de son index, elle en a apprécié les contours.
- « Bel engin. Jusque là je ne suis pas déçue. » Dit-elle
Et elle a commencé à le caresser. Jean a alors timidement glissé un doigt sous sa culotte et il est parti à la rencontre de sa fente. Aubout de quelques secondes, elle s’est levée pour retirer sa culotte.
- « Comme cela tu ne seras plus gêné ! » lui dit-elle
Avant de se rasseoir, elle a ouvert un peu plus sa robe, en défaisant les boutons jusqu’au-dessus de son nombril. Jean pouvait admirer sa toison pubienne bien rasée. Elle s’est de nouveau installée à ses cotés et ils ont repris leurs caresses mutuelles. Ils en étaient là lorsque Gourou a éjaculé. Ils s’en sont aperçus car il a brutalement arrêté de s’activer frénétiquement pour ne plus donner que de longs coups de reins. De plus, son corps semblait secoué de spasmes. Melba, elle, ne bougeait pas, mais haletait. Valérie tenait toujours la bite dans sa main, mais ne la branlait plus. Gourou s’est finalement retiré, et a abandonné la croupe de Melba. De sa queue toujours en érection s’écoulait un peu de liquide blanchâtre.
- « On va pouvoir aller à la maison maintenant. Tu es d’accord ? ditelle
- Chez toi ? On peut aussi aller chez moi, mes parents sont absentsjusqu’à demain soir.
- Non, je préfère chez moi si cela ne t’ennuie pas trop.
- Pas du tout. Alors allons-y. dis-Jean en commençant à se rhabiller.
- Non, non, on y va comme cela. Ne te rhabille pas.
- Mais, mais … Si on croise quelqu’un. Je sais bien qu’il est tard, mais il va nous falloir marcher sous les arcades pour rejoindre l’entrée de l’immeuble.
- Et bien, voyons… Dans ce cas, je me jetterais dans tes bras. Et lesgens ne s’apercevront de rien.
- Hummm. Cela ne me plait pas trop, mais bon, d’accord. »
De toutes façons, ce soir elle pouvait faire ce qu’elle voulait, Jean ne pouvait plus lui résister. Chacun a remis la laisse à son chien et ils sont partis. Elle avait gardé sa robe ouverte sur le devant, ne cachant rien de sa toison à l'air libre. Quant à Jean, il avait la verge pointée hors de son pantalon. En sortant du jardin, ils ont débouché sous les arcades abritant de nombreux magasins. Cette allée, qu’ils devaient remonter sur une centaine de mètres, était largement éclairée par des tubes néons. Ils avaient franchi environ la moitié du parcours et il ne leur restait plus qu’à passer devant une entrée d’immeuble avant d’atteindre le leur quand un groupe de jeunes gens est apparu à une dizaine de mètres d’eux. Valérie s’est aussitôt jetée dans ses bras et elle l’a embrassé goulûment.
Alors qu’ils attendaient que ces 5 jeunes montent dans leur voiture, elle a, à sa grande surprise, de nouveau saisi la verge de Jean et s’est remise à le branler. La crainte d’être vu associée à l’incongruité de la situation ont mis ce dernier dans un bel émoi. Quand enfin ils sont partis, il avait à nouveau une superbe érection. Ils ont franchi les quelques mètres restants en courant et en riant. Elle a ouvert la porte d’entrée de l’immeuble et ils se sont précipités à l’intérieur. Ils ont pris les escaliers pour aller au second étage, et elle l’a fait entrer dans son appartement. Jean s’y est engouffré en soufflant.
L’appartement était meublé avec goût, les meubles étant de style ancien, mais sans être trop chargé.Elle a retiré le collier de Melba et il a fait de même avec Gourou.Melba s’est tout de suite dirigée vers une pièce sur la droite pour se précipiter vers son écuelle et se désaltérer, buvant sans doute pour se remettre de ses émotions. Gourou l’a suivi et a fini par l’imiter. Valérie avait pendant ce temps traversé tout le couloir et se tenait à l’entrée d’une pièce. Elle fit signe à Jean de la rejoindre.
- « Viens dans le salon. On sera plus à l’aise. Tu veux boire quelquechose ?
- Oui, je veux bien. Aurais-tu quelque chose de frais ?
- Un panaché cela t’irait ? Je dois en avoir au frigo.
- Cela ira très bien. Va pour un panaché »
Elle est partie vers la cuisine, a ouvert le frigo et elle est revenue avec deux cannettes bien fraîches. Ils ont commencé à boire, debout,l’un en face de l’autre.
- « Dis donc, il y a du laisser aller, lui dit-elle en regardant sa verge.
- Désolé.
- Ce n’est pas grave, je vais m’en occuper »
Elle s’est agenouillée devant lui, a posé sa cannette sur le sol et a saisi la verge dans sa main, glacée. Elle a commencé une caresse lente et douce, puis a approché son visage et elle a commencé à le sucer. Sa bouche s’est ouverte et elle a englouti la queue. Jean trouvait cela doux et bon. Elle a titillé son gland de sa langue experte puis a ressorti sa bite. Elle l’a caressée de nouveau, un peu, puis l’a reprise en bouche. Elle a recommencé ce manège, jusqu'à ce que cette tige de chair redevienne bien dure. Elle a alors bu une gorgée de panaché et sans l’avaler, a remis la verge dans sa bouche.
La sensation fut sans doute très étrange car Jean se raidit quelque peu. La sensation provoquée par la boisson froide et pétillante ne devait pas être si désagréable car il s’est rapidement détendu. Elle a eu quelque mouvementde va et vient, puis a avalé la gorgée de liquide. Elle a ensuite recommencé plusieurs fois, finissant son panaché de cette façon. Au cours de cette fellation, elle a débouclé la ceinture du pantalon de son partenaire, puis a défait le dernier bouton. Elle l’a fait glisser jusqu’aux chevilles, puis s’est attaquée au caleçon, qui n’a pas tardé à rejoindre le pantalon.
Jean était désormais debout devant elle, nu de la ceinture jusqu’au chevilles, la bite bien dressée. Elle avait répandu, volontairement ou non, une partie du liquide sur sa robe et notamment entre ses seins. Il a pu s’en rendre compte lorsqu’elle s’est relevée. Alors, sans lui demander son avis, Jean a commencé à retirer chacun des boutons de sa robe qui a fini par s’ouvrir. Ses seins étaient emprisonnés dans un mignon soutien-gorge bleu à balconnets, sans bretelle. Son ventre plat semblait une invitation aux caresses. Alorsqu’il voulait dégrafer l’attache de son soutien-gorge, elle l’a repoussé.
- « Tut tut tut. D’abord tu te déshabilles complètement !
- Oh non ! Tu es dure là.
- Sans doute, mais je veux d’abord te voir à poil. Après tu pourras disposer de moi.
- Promis ?
- Euh… Bon d’accord. Juré. Je serais à toi. »
Devant une telle promesse, il a rapidement entrepris de se dévêtir totalement. Valérie s’est assise dans un fauteuil lui faisant face, les jambes écartées, sa vulve rose offerte au regard. Une fois nu, il s’est approché d’elle et s’est penché pour lui retirer son soutien gorge. Elle n’a pas bougé, tournant seulement la tête pour suivre chacun des gestes. Il a retiré le morceau de tissu, dégageant sa poitrine.
Ses seins n’étaient pas très gros, mais d’une taille suffisante, avec une auréole fine et un téton bien dressé. Il a envoyé le soutien-gorge rejoindre ses affaires posées à même le sol. Saisissant ses seins à pleine main, il acommencé à la caresser. Elle a repris dans sa bouche la verge qui se situait juste à la bonne hauteur et s’est mise de nouveau à le sucer. Jean s'est dégagé, se souvenant de ses paroles dans le jardin, il s'est agenouillé et, sans attendre, il a plongé son visage vers son pubis, tandis que de ses mains, il lui écartait les cuisses.
Elle n’a absolument pas résisté. Il a tout d’abord senti son odeur, se remplissant les narines de ses senteurs intimes. Puis, avec sa langue,il est allé à la rencontre de sa chatte. Il a commencé à en écarter ses lèvres, glissant sa langue entre elles pour rechercher son petit bouton d’amour. Ses mains pétrissaient ses fesses, les passants entre les lobes, glissant vers son anus. Elle commençait à frissonner et à se raidir, puis repoussa sa tête avec ses mains en disant :
- « Allonges toi sur le dos. Je veux te sucer pendant que tu t’occupes si bien de moi. »
Presque à regret, il a abandonné cette chatte si douce et il s’est allongé à même la moquette. Elle s’est installée au-dessus de lui, lui offrant une vue superbe sur sa chatte et sur son cul. Il l’a amenée lentement vers sa bouche alors qu’il sentait la sienne prendre possession de sa bite. Il a senti sa chaleur envahir son membre alors qu’il lui écartait les lèvres de la chatte avec ses doigts avant d’y glisser la langue. Elle mouillait vraiment comme une folle et c’était autant d’indication sur le plaisir qu’il lui donnait. Elle le suçait divinement bien, lui pétrissant les couilles tout en lui mordillant le gland.
- « Viens, prends-moi maintenant. Mets-la-moi par derrière.
- J’ai vraiment envie de te sodomiser. Tu es d’accord ?
- Non, surtout pas de ça. Non, prends-moi comme ton chien a pris Melba. En levrette ! »
En disant cela, elle s’est relevée et s’est mise à quatre pattes, juste à coté de lui. Il voyait ses seins pendre dans le vide. Elle l’a regardé alors qu’il n’avait toujours pas bougé.
- « Tu ne veux pas me baiser ?
- Si bien sur. Mais tu ne crois pas que tu exiges beaucoup et demandes peu ? Je croyais que je pouvais faire de toi ce que je voulais. Ce n’est plus vrai ?
- Si bien sur, mais j’ai tellement envie de sentir ta bite en moi. S’il te plait !
- Ah, c’est déjà un grand pas de franchi. Mais dis-moi, avec les petites réflexions que tu me faisais sur ton mari, je suis à peu près sur que tu as des outils pour pallier ses défaillances non ?
- De… de quoi parles-tu ?
- Tu n’aurais pas un petit gode par ici ?
- Euh.. Si, j’en ai bien un dans mon sac. Mais pourquoi ?
- Vas le chercher, s’il te plait. J’ai envie de faire quelque chose avec toi ce soir. Et tu m’as bien dit que tu m’appartenais.
- Bon d’accord. Mais tu ne me fais rien de douloureux hein ?
- C’est juré. »
Elle est allé dans l’entrée et est revenue avec un objet d’aspect métallique dans les mains. Jean, pendant ce temps, s’était mis à genoux et elle lui a donné l’objet avec un petit air inquiet. Celui-ci, assez fin, devait bien faire dans les 25 centimètres de long. Elle s’est remise à quatre pattes.
- « Viens s’il te plait. Viens en moi maintenant.
- D’accord. Je ne vais pas te faire attendre plus longtemps. »
Il s’est présenté derrière elle et, en s’aidant de la main droite, il a posé son gland à l’entrée de sa chatte. Elle était bouillante et humide à souhait. D’une petite poussée il a fait entrer sa bite, sans forcer. En se cambrant légèrement, il regardait sa queue disparaître lentement dans cette fente. Il l’a ainsi pénétrée jusqu’à la garde. Valérie soufflait et poussait des petits « hum » tout au long de l’introduction de cette verge ce qui semblait en dire long sur le plaisir et les sensations que cela lui procurait. Une fois entièrement en elle, Jean acommencé à s’activer. Il s’est penché en avant et a saisi ses seins, un dans chaque main. Il était en train de la bourrer de coups de reins, entrant et sortant de son corps lorsque il a remarqué les deux chiens assis sur leur postérieur qui les regardait.
- « Et Valérie, regardes les. Ils inversent les rôles et ce sont eux qui nous regardent maintenant.
- Oh les voyeurs. Bof, ils n’ont pas vraiment tort et on ne peut pas leur en vouloir. Qu’avons-nous fait tout à l’heure dans le parc ?
- Oui, c’est vrai. Et en plus cela m’excite. Pas toi ?
- Si terriblement. Oh ! Continue à me baiser comme cela. »
Il a poursuivi ses coups de reins, la bourrant de plus en plus. Lâchant ses seins, il s’est redressé et a pris le petit gode en main. Tout en continuant à la baiser, il l’a approché de son anus tendu et offert. Alors, cessant de s’activer en elle, il a posé l’engin fin et brillant sur son œillet. Elle s’est mise aussitôt à crier.
- « Non, pas ça. Je t’en prie. »
Sans répondre, il s’est retiré de sa chatte et il a remplacé sa bite parle gode. Elle s’est détendue et il l’a masturbée ainsi quelques instants avec cet objet, le faisant sortir pour mieux la pénétrer ensuite. Puis,il a retiré le gode et a posé sa bite a l’entrée de sa chatte. Lorsqu'il a commencé à s'enfoncer de nouveau en elle, il a rapidement posé le godemiché humide sur son anus et il l’a enfoncé sur quelques centimètres avant qu’elle n’ait le temps de réagir. Elle s’est brutalement contractée.
- « Non, arrêtes ! Je n’aime pas ça du tout.
- Laisses-toi aller s’il te plait. Tu m’as dit que tu m’appartenais et je t’ai dit que je ne te ferais pas mal. As-tu eu mal ?
- Euh, non, mais ce n’est pas le problème. Je ne veux pas que tu me sodomises.
- Et moi j’en ai envie. Reviendrais-tu sur ta promesse ?
- Je ne sais pas. J’ai vraiment peur. Arrêtes s’il te plait.
- Je t’ai juré que je ne te ferais pas mal et je ne le ferais ni physiquement, ni psychologiquement. J’arrête. »
En disant cela, il a retiré le gode de son cul. Valérie a frissonné alors que l’objet quittait son fondement. Jean a posé l’objet sur le sol et il a continué à la baiser, en lui embrassant le cou et en reprenant ses seins en main. Au bout d’un moment, il s’est retiré pour aller s’asseoir dans un fauteuil.
- « Viens. Viens sur moi. Tournes moi le dos et viens t’empaler sur ma queue. »
Elle l’a rejoint et s’est tournée pour lui montrer ses fesses. Puis elle a descendu son bassin pour amener sa chatte à la rencontre de sa verge. Elle s’est empalée dessus et a commencé à s’activer, montant et descendant le bassin, faisant coulisser son membre dans sa chatte. Pour l’aider, Jean a posé ses mains sous ses fesses et l’a soulevée en rythme pour lui faciliter ses allées et venues. Il a fini par glisser un doigt vers sa fente et a commencé à lui titiller le clitoris.
Elle a rapidement jouit en criant. Ces petits cris ainsi que les contractions de son con n’ont pas permis à son amant de tenir plus longtemps. Il s’est lâché dans son con, répandant son sperme dans sa chatte, en donnant de grands coups de reins, s’enfonçant le plus loin possible en elle.Ils se sont écroulés sur le sol, vidés mais heureux. Jean était toujours en elle, mais sa queue ramollissant, elle a fini par sortir de sa chatte. Valérie s’est tournée vers lui et s’est blottie dans ses bras. Ils sont restés ainsi, de longues minutes, allongés à même le sol, en s’embrassant tendrement.
Gourou s’est presque instantanément précipité vers elle, et Jean l’a donc suivi, marchant tranquillement entre les allées.
Sa voisine semblait tout particulièrement surveiller sa chienne labrador prénommé «Melba », qui d’ordinaire était sortie par son mari, ne la laissant pas se promener librement dans le parc, mais la gardant sagement en laisse.Sa voisine finit par lui expliquer que sa chienne était en chaleur en ce moment. Gourou le savait déjà car malgré les efforts de Valérie, il revenait systématiquement vers elle. Devant ce problème, et ne parvenant pas à calmer son chien, Jean décida qu'il valait mieux quitter le parc.Comme il s’excusait du comportement de son chien auprès de sa voisine, elle lui demanda de rester.
- « Non, ne partez pas. Je n’aime pas être seule dans ce parc. C’est pour cela que d’ordinaire c’est mon mari qui la sort. Mais ce soir il est à Paris. Restez, cela me tranquillise. Et, de toutes façons, c'est la nature. »
Il l'entendit également ajouter pour elle même, tout bas
"il faut bienqu’il y en ait une qui prenne son pied aujourd’hui".
Elle a retiré la laisse de sa chienne, qui s’est aussitôt précipitée vers Gourou. Ils se sont reniflés mutuellement. Comme Jean lui demandait pourquoi elle avait fait cela, elle lui a répondu :
- « Visiblement, ils en ont envie tous les deux alors pourquoi les priver ? Et puis cela me serait agréable d’avoir des petits chiots. Ne vous plaignez pas, comme cela, vous ferez un peu partie de notrefamille.»
Cette dernière phrase le laissa perplexe, et pour éviter le sujet, il s’est mis à regarder les animaux. C’était la première fois qu’il voyait son chien s’apprêter à ce genre d’activités et mine de rien, cela l’intéressait. Gourou ne se contentait plus de sentir Melba, mais il lui léchait allégrement l’arrière train. Valérie dit alors d’un ton badin :
- « Et bien dites donc, je ne sais pas comment il a été éduqué, mais au moins, lui, il s’occupe de sa partenaire.
- Que voulez-vous dire ?
- Oh, tout simplement, que votre chien pourrait apprendre certaines techniques à mon cher mari. »
Cette dernière remarque a particulièrement surpris Jean qui n’osait plus rien dire. Cela devait se voir car d’un air taquin elle lui dit :
- « Allez, ne soyez pas gêné, c’est la vérité. Ceci dit, vous, vous vous en occupez comment de votre copine ?
- Euh. Cela dépend. dit t’il pas très assuré et de plus en plus gêné
- De quoi ? A moins que cela ne dépende de quelle copine ?
- Cela varie selon la façon dont elle s’occupe de moi, voilà ! a-t’il lancé pour tenter de la déstabiliser mais aussi pour essayer de se sortir d’une conversation qui commençait à partir vers des sujets très personnels..
- Oh oh. Une caresse mutuelle. Comme celle qu’ils se font en ce moment d’ailleurs ! Je trouve pour l’instant que vous êtes bien en phase avec votre chien. »
Il n’avait pas fait attention aux animaux, mais en effet, Melba, le museau glissé sous le ventre de Gourou, lui léchait allégrement sa queue rosée qui gonflait petit à petit et sortait de son fourreau. Gourou haletait tout en gratifiant la vulve et l’anus de sa compagne de grandscoups de langue. Jean trouvait la pine de son chien plutôt imposante lorsqu’il la vit complètement sortie du fourreau.
- « Et bien, il semble bien membré comme animal. Melba a de la chance,elle. »
Cette fois-ci Jean ne releva pas l’allusion sur la taille de ce sexe qui s’érigeait fièrement, même si elle confortait son impression. Il se demandait cependant si cette dernière remarque concernait également son mari ou si elle se posait des questions sur la taille de son membre. Elle ne l’a pas laissé longtemps dans le doute.
- « Non non, ne vous inquiétez pas, je parle encore une fois de mon époux. Ce n’est pas qu’il ait un petit sexe, mais j’aimerais qu’il soit un peu plus gros.
- Vous savez, on en dit beaucoup, mais il me semble que la taille ne fait pas forcément tout.
- Certes. Mais si en plus il y a la taille, alors je pense que cela doit être super. En tous les cas, votre chien semble aux anges. »
Les coups de langue de Melba semblaient mettre Gourou en grande forme. Sa queue enflait presque à chaque fois que la langue de Melba venait s’enrouler autour. Gourou tirait la langue et avait de plus en plus de mal à lui lécher l’arrière train.
- « Dites donc, il apprécie vraiment cette caresse. Le mimétisme entre le maître et le chien irait t’il jusque là ?
- Je le pense. Et concernant votre chienne, le mimétisme est t’il aussi poussé ?
- Ah ah ! Bien joué. Me voilà prise à mon propre piège. Et bien oui, je dois avouer que j'adore ces caresses.
- Pardonnez-moi si je vous ai choqué. » dit-il un peu penaud pours’excuser.
Elle a éclaté de rire. Après de longues secondes nécessaire pour reprendre son souffle, elle lui a caressé la joue en disant :
- « Qu’il est mignon ! Je le taquine depuis tout à l’heure avec des questions très personnelles et lui s’excuse à la première qu’il ose me poser. »
Un peu vexé par ce qu’il prenait vraiment pour une moquerie, il s’apprêtait à lui répondre sèchement quand elle ajouta :
- « Allons, ne boudez pas. Je vous taquine, mais vous me plaisez bien. Pour vous donner la preuve que je vous aime bien, est-ce que l’on peut se tutoyer ? Cela nous rendrait les choses plus agréables.
- Euh… Oui, d’accord. On se tutoie.
- Alors pas trop fâché ? J’espère car au stade où en sont nos animaux, je crois que cela va être dur de les séparer. Vous allez devoir me supporter encore un bon moment. » dit-elle en souriant et en me gratifiant d’un superbe clin d’œil.
Jean n’avait plus prêté attention aux deux chiens, mais ceux-ci ne s’étaient pas arrêtés aux préliminaires. Gourou était perché sur la croupe de Melba et s’activait en elle. D’où il était, on pouvait voir la queue rose entrer et sortir de la vulve sombre de sa partenaire. Les coups de reins étaient vigoureux et il pilonnait la chienne avec une fréquence impressionnante. Comme subjugués par le spectacle, ils sont restés là, sans bouger, en train de regarder les deux chiens en plein accouplement. Jean ne parvenait pas à détacher son regard de ces deux sexes mêlés.
Comme deux bons spectateurs, ils se sont assis sur un banc tout proche, éclairés par une lampe disposée juste en face, entre deux buissons du jardin. Il a prêté un peu plus attention à sa voisine. Elle était plutôt mignonne avec ses cheveux châtains courts et bouclés. Son petit nez en trompette lui donnait un air plutôt fripon et espiègle. Au bout de quelques instants, alors qu’il s’était de nouveau concentré sur les animaux, un mouvement perçu du coin de l’œil, lui a fait tourner la tête vers Valérie. Il a alors vu qu’elle avait défait deux boutons du bas de sa robe et glissé une main entre ses cuisses.
Elle se caressait l’entrejambe. Poussé par la curiosité, il s’est penché en avant, pourtenter de savoir si elle portait une culotte. Se rendant compte de sacuriosité, elle a écarté un peu plus ses cuisses, lui a sourit en disant:
- « Approches toi au lieu de te pencher. »
Et elle a défait deux autres boutons. Il a pu ainsi découvrir sa culotte de dentelle bleue. Lorsqu’il s’est approché d’elle, elle lui a pris la main pour la plaquer entre ses cuisses.
- « Caresses-moi » a t’elle soufflée à son oreille.
Il entendait Gourou qui haletait de plus en plus fort prés d’eux. Sentir cette culotte soyeuse sous ses doigts ainsi que les quelques poils qui avaient réussi à se glisser entre les trames du tissu le mettait complètement en émoi. Il l’a doucement caressée, tout en gardant le visage penché sur son entrejambe. Au bout de quelques instants, elle lui a relevé le visage en disant :
- «Regarde les aussi, tout en continuant à me caresser. Il ne faut pasque tu rates le grand moment. Je suis sure que c’est la première foisque tu vois ton chien baiser. Je me trompe ?
- Non, c’est vrai. C’est bien la première fois. »
Gourou s’activait toujours aussi fébrilement. Les efforts qu’il produisait faisaient presque peine à voir. Heureusement qu’il s’agissait pour lui de prendre son pied. Son sexe apparaissait encore plus rouge et plus gonflé qu’au début de leurs ébats. Jean n’en continuait pas moins de caresser Valérie. Il pouvait sentir désormais les lèvres de son sexe qui se gonflaient de désir. Alors qu’il tentait de glisser quelques doigts sous le fin tissu, elle dit :
- « Montres-la moi !
- Pardon ?
- Montres-la moi ! Je suis sure que tu bandes.
- Euh oui, comment ne pas bander dans de telles circonstances ?
- Alors sors là et montres-la moi ! Je veux voir la taille de ton désir.
- Mais là, ici ? Des gens peuvent nous voir ! N’importe qui, des fenêtres qui nous entourent peuvent nous voir.
- Et alors ? Cela ne te gêne pas quand tu me caresses. Alors !J’attends ? »
Que pouvait -il faire ? Ne pas lui obéir alors que les choses paraissaient si bien engagées et la nuit prometteuse ? Prendre le risque que l’un des voisins le voit ? Finalement, les promesses du plaisir ont eu raison de sa pudeur et de sa timidité.Toujours à coté d’elle, il a commencé à défaire, un par un, les boutonsde sa braguette, tout en essayant de garder un œil sur les deux animaux, toujours en train de forniquer.
Lorsqu’il a eu défait tous les boutons,tout en gardant la ceinture bouclée, il s’est attaqué à ceux de son caleçon. Valérie avait les yeux rivés sur son bas-ventre, attendant impatiemment de voir la taille de la verge qui allait en sortir. Inconsciemment, elle se passait la langue sur le bord des lèvres. Une fois les trois boutons défaits, Jean a extrait sa verge. Elle est alors apparue à l’air libre, tendue, gonflée de désir. Sans hésitation,Valérie a avancé sa main gauche et de son index, elle en a apprécié les contours.
- « Bel engin. Jusque là je ne suis pas déçue. » Dit-elle
Et elle a commencé à le caresser. Jean a alors timidement glissé un doigt sous sa culotte et il est parti à la rencontre de sa fente. Aubout de quelques secondes, elle s’est levée pour retirer sa culotte.
- « Comme cela tu ne seras plus gêné ! » lui dit-elle
Avant de se rasseoir, elle a ouvert un peu plus sa robe, en défaisant les boutons jusqu’au-dessus de son nombril. Jean pouvait admirer sa toison pubienne bien rasée. Elle s’est de nouveau installée à ses cotés et ils ont repris leurs caresses mutuelles. Ils en étaient là lorsque Gourou a éjaculé. Ils s’en sont aperçus car il a brutalement arrêté de s’activer frénétiquement pour ne plus donner que de longs coups de reins. De plus, son corps semblait secoué de spasmes. Melba, elle, ne bougeait pas, mais haletait. Valérie tenait toujours la bite dans sa main, mais ne la branlait plus. Gourou s’est finalement retiré, et a abandonné la croupe de Melba. De sa queue toujours en érection s’écoulait un peu de liquide blanchâtre.
- « On va pouvoir aller à la maison maintenant. Tu es d’accord ? ditelle
- Chez toi ? On peut aussi aller chez moi, mes parents sont absentsjusqu’à demain soir.
- Non, je préfère chez moi si cela ne t’ennuie pas trop.
- Pas du tout. Alors allons-y. dis-Jean en commençant à se rhabiller.
- Non, non, on y va comme cela. Ne te rhabille pas.
- Mais, mais … Si on croise quelqu’un. Je sais bien qu’il est tard, mais il va nous falloir marcher sous les arcades pour rejoindre l’entrée de l’immeuble.
- Et bien, voyons… Dans ce cas, je me jetterais dans tes bras. Et lesgens ne s’apercevront de rien.
- Hummm. Cela ne me plait pas trop, mais bon, d’accord. »
De toutes façons, ce soir elle pouvait faire ce qu’elle voulait, Jean ne pouvait plus lui résister. Chacun a remis la laisse à son chien et ils sont partis. Elle avait gardé sa robe ouverte sur le devant, ne cachant rien de sa toison à l'air libre. Quant à Jean, il avait la verge pointée hors de son pantalon. En sortant du jardin, ils ont débouché sous les arcades abritant de nombreux magasins. Cette allée, qu’ils devaient remonter sur une centaine de mètres, était largement éclairée par des tubes néons. Ils avaient franchi environ la moitié du parcours et il ne leur restait plus qu’à passer devant une entrée d’immeuble avant d’atteindre le leur quand un groupe de jeunes gens est apparu à une dizaine de mètres d’eux. Valérie s’est aussitôt jetée dans ses bras et elle l’a embrassé goulûment.
Alors qu’ils attendaient que ces 5 jeunes montent dans leur voiture, elle a, à sa grande surprise, de nouveau saisi la verge de Jean et s’est remise à le branler. La crainte d’être vu associée à l’incongruité de la situation ont mis ce dernier dans un bel émoi. Quand enfin ils sont partis, il avait à nouveau une superbe érection. Ils ont franchi les quelques mètres restants en courant et en riant. Elle a ouvert la porte d’entrée de l’immeuble et ils se sont précipités à l’intérieur. Ils ont pris les escaliers pour aller au second étage, et elle l’a fait entrer dans son appartement. Jean s’y est engouffré en soufflant.
L’appartement était meublé avec goût, les meubles étant de style ancien, mais sans être trop chargé.Elle a retiré le collier de Melba et il a fait de même avec Gourou.Melba s’est tout de suite dirigée vers une pièce sur la droite pour se précipiter vers son écuelle et se désaltérer, buvant sans doute pour se remettre de ses émotions. Gourou l’a suivi et a fini par l’imiter. Valérie avait pendant ce temps traversé tout le couloir et se tenait à l’entrée d’une pièce. Elle fit signe à Jean de la rejoindre.
- « Viens dans le salon. On sera plus à l’aise. Tu veux boire quelquechose ?
- Oui, je veux bien. Aurais-tu quelque chose de frais ?
- Un panaché cela t’irait ? Je dois en avoir au frigo.
- Cela ira très bien. Va pour un panaché »
Elle est partie vers la cuisine, a ouvert le frigo et elle est revenue avec deux cannettes bien fraîches. Ils ont commencé à boire, debout,l’un en face de l’autre.
- « Dis donc, il y a du laisser aller, lui dit-elle en regardant sa verge.
- Désolé.
- Ce n’est pas grave, je vais m’en occuper »
Elle s’est agenouillée devant lui, a posé sa cannette sur le sol et a saisi la verge dans sa main, glacée. Elle a commencé une caresse lente et douce, puis a approché son visage et elle a commencé à le sucer. Sa bouche s’est ouverte et elle a englouti la queue. Jean trouvait cela doux et bon. Elle a titillé son gland de sa langue experte puis a ressorti sa bite. Elle l’a caressée de nouveau, un peu, puis l’a reprise en bouche. Elle a recommencé ce manège, jusqu'à ce que cette tige de chair redevienne bien dure. Elle a alors bu une gorgée de panaché et sans l’avaler, a remis la verge dans sa bouche.
La sensation fut sans doute très étrange car Jean se raidit quelque peu. La sensation provoquée par la boisson froide et pétillante ne devait pas être si désagréable car il s’est rapidement détendu. Elle a eu quelque mouvementde va et vient, puis a avalé la gorgée de liquide. Elle a ensuite recommencé plusieurs fois, finissant son panaché de cette façon. Au cours de cette fellation, elle a débouclé la ceinture du pantalon de son partenaire, puis a défait le dernier bouton. Elle l’a fait glisser jusqu’aux chevilles, puis s’est attaquée au caleçon, qui n’a pas tardé à rejoindre le pantalon.
Jean était désormais debout devant elle, nu de la ceinture jusqu’au chevilles, la bite bien dressée. Elle avait répandu, volontairement ou non, une partie du liquide sur sa robe et notamment entre ses seins. Il a pu s’en rendre compte lorsqu’elle s’est relevée. Alors, sans lui demander son avis, Jean a commencé à retirer chacun des boutons de sa robe qui a fini par s’ouvrir. Ses seins étaient emprisonnés dans un mignon soutien-gorge bleu à balconnets, sans bretelle. Son ventre plat semblait une invitation aux caresses. Alorsqu’il voulait dégrafer l’attache de son soutien-gorge, elle l’a repoussé.
- « Tut tut tut. D’abord tu te déshabilles complètement !
- Oh non ! Tu es dure là.
- Sans doute, mais je veux d’abord te voir à poil. Après tu pourras disposer de moi.
- Promis ?
- Euh… Bon d’accord. Juré. Je serais à toi. »
Devant une telle promesse, il a rapidement entrepris de se dévêtir totalement. Valérie s’est assise dans un fauteuil lui faisant face, les jambes écartées, sa vulve rose offerte au regard. Une fois nu, il s’est approché d’elle et s’est penché pour lui retirer son soutien gorge. Elle n’a pas bougé, tournant seulement la tête pour suivre chacun des gestes. Il a retiré le morceau de tissu, dégageant sa poitrine.
Ses seins n’étaient pas très gros, mais d’une taille suffisante, avec une auréole fine et un téton bien dressé. Il a envoyé le soutien-gorge rejoindre ses affaires posées à même le sol. Saisissant ses seins à pleine main, il acommencé à la caresser. Elle a repris dans sa bouche la verge qui se situait juste à la bonne hauteur et s’est mise de nouveau à le sucer. Jean s'est dégagé, se souvenant de ses paroles dans le jardin, il s'est agenouillé et, sans attendre, il a plongé son visage vers son pubis, tandis que de ses mains, il lui écartait les cuisses.
Elle n’a absolument pas résisté. Il a tout d’abord senti son odeur, se remplissant les narines de ses senteurs intimes. Puis, avec sa langue,il est allé à la rencontre de sa chatte. Il a commencé à en écarter ses lèvres, glissant sa langue entre elles pour rechercher son petit bouton d’amour. Ses mains pétrissaient ses fesses, les passants entre les lobes, glissant vers son anus. Elle commençait à frissonner et à se raidir, puis repoussa sa tête avec ses mains en disant :
- « Allonges toi sur le dos. Je veux te sucer pendant que tu t’occupes si bien de moi. »
Presque à regret, il a abandonné cette chatte si douce et il s’est allongé à même la moquette. Elle s’est installée au-dessus de lui, lui offrant une vue superbe sur sa chatte et sur son cul. Il l’a amenée lentement vers sa bouche alors qu’il sentait la sienne prendre possession de sa bite. Il a senti sa chaleur envahir son membre alors qu’il lui écartait les lèvres de la chatte avec ses doigts avant d’y glisser la langue. Elle mouillait vraiment comme une folle et c’était autant d’indication sur le plaisir qu’il lui donnait. Elle le suçait divinement bien, lui pétrissant les couilles tout en lui mordillant le gland.
- « Viens, prends-moi maintenant. Mets-la-moi par derrière.
- J’ai vraiment envie de te sodomiser. Tu es d’accord ?
- Non, surtout pas de ça. Non, prends-moi comme ton chien a pris Melba. En levrette ! »
En disant cela, elle s’est relevée et s’est mise à quatre pattes, juste à coté de lui. Il voyait ses seins pendre dans le vide. Elle l’a regardé alors qu’il n’avait toujours pas bougé.
- « Tu ne veux pas me baiser ?
- Si bien sur. Mais tu ne crois pas que tu exiges beaucoup et demandes peu ? Je croyais que je pouvais faire de toi ce que je voulais. Ce n’est plus vrai ?
- Si bien sur, mais j’ai tellement envie de sentir ta bite en moi. S’il te plait !
- Ah, c’est déjà un grand pas de franchi. Mais dis-moi, avec les petites réflexions que tu me faisais sur ton mari, je suis à peu près sur que tu as des outils pour pallier ses défaillances non ?
- De… de quoi parles-tu ?
- Tu n’aurais pas un petit gode par ici ?
- Euh.. Si, j’en ai bien un dans mon sac. Mais pourquoi ?
- Vas le chercher, s’il te plait. J’ai envie de faire quelque chose avec toi ce soir. Et tu m’as bien dit que tu m’appartenais.
- Bon d’accord. Mais tu ne me fais rien de douloureux hein ?
- C’est juré. »
Elle est allé dans l’entrée et est revenue avec un objet d’aspect métallique dans les mains. Jean, pendant ce temps, s’était mis à genoux et elle lui a donné l’objet avec un petit air inquiet. Celui-ci, assez fin, devait bien faire dans les 25 centimètres de long. Elle s’est remise à quatre pattes.
- « Viens s’il te plait. Viens en moi maintenant.
- D’accord. Je ne vais pas te faire attendre plus longtemps. »
Il s’est présenté derrière elle et, en s’aidant de la main droite, il a posé son gland à l’entrée de sa chatte. Elle était bouillante et humide à souhait. D’une petite poussée il a fait entrer sa bite, sans forcer. En se cambrant légèrement, il regardait sa queue disparaître lentement dans cette fente. Il l’a ainsi pénétrée jusqu’à la garde. Valérie soufflait et poussait des petits « hum » tout au long de l’introduction de cette verge ce qui semblait en dire long sur le plaisir et les sensations que cela lui procurait. Une fois entièrement en elle, Jean acommencé à s’activer. Il s’est penché en avant et a saisi ses seins, un dans chaque main. Il était en train de la bourrer de coups de reins, entrant et sortant de son corps lorsque il a remarqué les deux chiens assis sur leur postérieur qui les regardait.
- « Et Valérie, regardes les. Ils inversent les rôles et ce sont eux qui nous regardent maintenant.
- Oh les voyeurs. Bof, ils n’ont pas vraiment tort et on ne peut pas leur en vouloir. Qu’avons-nous fait tout à l’heure dans le parc ?
- Oui, c’est vrai. Et en plus cela m’excite. Pas toi ?
- Si terriblement. Oh ! Continue à me baiser comme cela. »
Il a poursuivi ses coups de reins, la bourrant de plus en plus. Lâchant ses seins, il s’est redressé et a pris le petit gode en main. Tout en continuant à la baiser, il l’a approché de son anus tendu et offert. Alors, cessant de s’activer en elle, il a posé l’engin fin et brillant sur son œillet. Elle s’est mise aussitôt à crier.
- « Non, pas ça. Je t’en prie. »
Sans répondre, il s’est retiré de sa chatte et il a remplacé sa bite parle gode. Elle s’est détendue et il l’a masturbée ainsi quelques instants avec cet objet, le faisant sortir pour mieux la pénétrer ensuite. Puis,il a retiré le gode et a posé sa bite a l’entrée de sa chatte. Lorsqu'il a commencé à s'enfoncer de nouveau en elle, il a rapidement posé le godemiché humide sur son anus et il l’a enfoncé sur quelques centimètres avant qu’elle n’ait le temps de réagir. Elle s’est brutalement contractée.
- « Non, arrêtes ! Je n’aime pas ça du tout.
- Laisses-toi aller s’il te plait. Tu m’as dit que tu m’appartenais et je t’ai dit que je ne te ferais pas mal. As-tu eu mal ?
- Euh, non, mais ce n’est pas le problème. Je ne veux pas que tu me sodomises.
- Et moi j’en ai envie. Reviendrais-tu sur ta promesse ?
- Je ne sais pas. J’ai vraiment peur. Arrêtes s’il te plait.
- Je t’ai juré que je ne te ferais pas mal et je ne le ferais ni physiquement, ni psychologiquement. J’arrête. »
En disant cela, il a retiré le gode de son cul. Valérie a frissonné alors que l’objet quittait son fondement. Jean a posé l’objet sur le sol et il a continué à la baiser, en lui embrassant le cou et en reprenant ses seins en main. Au bout d’un moment, il s’est retiré pour aller s’asseoir dans un fauteuil.
- « Viens. Viens sur moi. Tournes moi le dos et viens t’empaler sur ma queue. »
Elle l’a rejoint et s’est tournée pour lui montrer ses fesses. Puis elle a descendu son bassin pour amener sa chatte à la rencontre de sa verge. Elle s’est empalée dessus et a commencé à s’activer, montant et descendant le bassin, faisant coulisser son membre dans sa chatte. Pour l’aider, Jean a posé ses mains sous ses fesses et l’a soulevée en rythme pour lui faciliter ses allées et venues. Il a fini par glisser un doigt vers sa fente et a commencé à lui titiller le clitoris.
Elle a rapidement jouit en criant. Ces petits cris ainsi que les contractions de son con n’ont pas permis à son amant de tenir plus longtemps. Il s’est lâché dans son con, répandant son sperme dans sa chatte, en donnant de grands coups de reins, s’enfonçant le plus loin possible en elle.Ils se sont écroulés sur le sol, vidés mais heureux. Jean était toujours en elle, mais sa queue ramollissant, elle a fini par sortir de sa chatte. Valérie s’est tournée vers lui et s’est blottie dans ses bras. Ils sont restés ainsi, de longues minutes, allongés à même le sol, en s’embrassant tendrement.
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Très excitant
magnifique !!!
mmagnifique !