Un soumis à Paris 2

- Par l'auteur HDS EricSoumis19 -
Auteur homme.
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Récit libertin : Un soumis à Paris 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-07-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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(9.0 / 10)

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Un soumis à Paris 2
Mon unique rencontre avec René m'a tout chamboulé. Il correspond exactement à ce que j'attends d'un homme, aussi bien physiquement qu'au niveau sexuelle. L'idée d'aller vivre chez lui dans une chambre miteuse et d'être à sa disposition pour assouvir tout ses vices est à la fois excitante et effrayante. J'ai une très grosse libido, et j'ai rarement du mal à me chauffer, mais j'appréhende tout de même d'être autant à sa merci. Je sais qu'avec mon physique de crevette je ne peux pas lui opposer la moindre résistance.

Après tout, je suis pour la première fois de ma vie seul dans une grande ville, et c'est bien le moment de tenter de nouvelle aventure. Je me suis promis que quand je quitterai enfin mes parents, ce serait pour vivre sans tabou et en suivant mes envies sexuelles de soumission envers des vrais mâles dominants.

Me voilà donc à préparer mes valises pour mon emménagement chez René, je prend soin de bien plier convenablement tout mon panel de lingerie en dentelle de salope : porte jarretelle soutien gorge triangle, string de différentes couleurs, bas opaque et résille,combinaisons entières. J'espère qu'il appréciera ces petites tenues, je me sens tellement plus femelle et belle ainsi vêtu. Je range également comme je peux ma collection de sextoy diverse et variée, allant des gros godes noirs large pour bien m'écarter l'anus, des plugs pour rester ouvert, aux différents accessoires BDSM comme des menottes, un bâillon, une cage de chasteté, une cagoule. J'ai la valise de la parfaite pute.

Il m'a bien prévenu en me foutant à la porte la dernière fois :
- « Tu vas vite revenir voir papa, et la prochaine fois je m'occuperai de ton trou serré. »
Je me prépare donc en conséquence et me rase intégralement pour être aussi lisse que possible. Il ne reste plus un poil sur mon corps mince, et je m'applique à bien préparer mon petit trou brun. J'aime être propre de ce côté pour ne pas avoir de mauvaise surprise, surtout vu la violence des mecs que je rencontre. J'enfile une paire de bas résille que j'attache à un porte jarretelle noir très fin au niveau de ma taille. La sensation contre ma peau lisse me donne des frissons jusque dans mon sexe, je me retiens pour ne pas me branler immédiatement. Paris étant une ville énorme où tout le monde est anonyme, je décide de me décomplexer et met un petit short qui moule mon gros cul rond et laisse donc voir mes bas sur mes jambes. Un petit crop-top que je vole à mon « ex » avant de quitter son appartement, et me voilà tout sexy pour prendre un taxi avec mes deux valises. En route vers une nouvelle vie.

Durant le trajet, les regards appuyés du chauffeur dans le rétroviseur sur mes jambes en résille ne me laisse pas indifférent. Je joue la provocation avec lui et écarte en grand mes cuisses, laissant deviner ma bosse au milieu de mon entrejambe. Je le fixe dans le rétroviseur et lui fait un clin d’œil. Il devient rouge mais ne semble pas assumé d'être excité par un minet, et retourne à sa route. Dommage, c'était un grand africain, la quarantaine bien passée, en costard très classe, tout à fait à mon goût, et j'aurai été partant pour une petite contrepartie afin de régler la course. Mais il évite maintenant mon regard, et je devine que la photo d'une femme et de trois enfants sur son tableau de bord y est pour quelque chose.

J'abandonne et je laisse mon esprit vagabondé devant le défilé des passants le long des trottoirs. Je m’assoupis, pour finalement être réveillé par mon beau chauffeur qui m'ouvre la porte :
- Nous sommes arrivé ma jolie, si vous voulez bien prendre ma main.

Il joint le geste à la parole, et me tend une main très large, en me fixant d'un regard pesant et plein de désir. Ce changement d'attitude de sa part me déconcerte, surtout l'utilisation du féminin « ma jolie », mais me chauffe également. Je saisie la main tendue, et en profite pour lui caresser l'intérieur de la paume en descendant sur le trottoir. Je le sens frissonner, mais cette fois-ci il ne se dégonfle pas et me fait du rentre dedans :
- Je vous souhaite un agréable séjour à Paris, si vous cherchez quelqu'un pour vous conduire ou vous guider dans cette magnifique ville, vous pouvez faire appel à moi avec grand plaisir. Le hasard fait que j'habite dans ce même quartier à deux rues d'ici, quel coïncidence n'est-ce pas ?

Il me tend une carte professionnel, avec un numéro de portable ajouté au stylo, et à côté une annotation « 24x6 ». Je le regarde avec des yeux grand ouvert, je comprends immédiatement à quoi font référence ses chiffres, et j'ai du mal à contenir ma surprise.

- « Heu je … enfin je veux dire … heu … » bredouillais-je
Il prend alors les devants, et me plaque contre la porte cochère de l'immeuble, ses deux mains sur mes fesses et les malaxes avec fermeté immédiatement. Il m'embrasse à pleine bouche et je fond littéralement, sa langue cherchant ma langue. Les africains embrassent vraiment d'une façon sensuelle, et je me laisse aller en lui passant une main dans ses cheveux courts. Il semble libérer une grosse frustration sexuelle.

- « Je sais très bien ce que tu cherches chérie. Je t'ai bien observé dans ma caisse, ton corps et tes yeux transpirent le sexe. Pour s'habiller comme ça il faut être une sacré salope. Hmm tu dois être le genre de blanc qui mouille de se faire démonter par des blacks bien monté. »
Il déboutonne mon short en un éclair et branle ma petite queue toute raide vigoureusement de ses gros doigts, tout en restant collé à moi. Il est brutal et me fait mal. J'ai peur que l'on nous surprenne, je regarde à droite à gauche mais heureusement la rue semble déserte. Je ne peux pas agir, c'est lui qui dicte le rythme. Son parfum fort me transporte et m’enivre, sa branlette commence à être plus agréable et j'en profite pour glisser une main sur son entre-jambe. En effet la carte semble véridique, une bosse monstrueuse déforme son pantalon de costard. Je pousse des petits gémissement, je lui fais de l'effet c'est certain, mais d'un coup le traitement s'arrête et il me jette contre le mur.

- « Non, il va falloir attendre. Je ne peux pas m'occuper de toi maintenant salope. J'ai des obligations qui m'attendent. »
- « Comme votre femme au foyer et vos gamins qui vous attendent sagement? » le provoquais-je.

En un éclair je reçois une grosse gifle qui me fait tourner la tête, il m'attrape à la gorge de sa grosse main et me soulève du sol, le dos contre la porte d'entrée. Je vois son regard devenir noir, et comprend immédiatement que le sujet est sensible, et que son attirance pour les jeunes mecs comme moi doit être différencié de sa vie hétéro de famille.

- « Ne t'avises plus de parler d'elles. Personne et surtout pas une petite pute comme toi ne peux rivaliser. Continues et tu en subiras les conséquences »
Il est impressionnant et dégage une énorme aura dominatrice. Ce sujet semble l'énerver, mais je sens immédiatement que son envie de me baiser est plus fort que tout le reste. Je saisi sa main toujours sur ma gorge de mes deux mains, j'en fait à peine le tour, et commence à gémir en me trémoussant. Je caresse de mon pied son gros paquet qui semble avoir encore augmenté de volume.

- « Oui Monsieur, je ferai tout ce que vous voudrez.Pardon j'ai été une vilaine fille, utilisez moi comme bon vous semble, punissez moi hmmm »
Il me regarde avec un grand sourire, ses dents blanches apparaissant au milieu de son visage noir. Son sourire est celui du prédateur qui a comprit que sa proie était à sa merci, et qu'il en ferait ce qu'il en voudrait. J'adore ces hétéros mariés frustrés de leur vie de couple routinière qui ne baise plus depuis que leur femme a eu leur enfant. Obligés de tromper leur femme avec des putes, ou avec des trous anonymes et silencieux comme moi. Ce sont de sacré bon coup au lit, et j'adore être utiliser pour assouvir leurs fantasmes inavoués. Sa misère sexuelle et son manque de rapport brutaux ne laisse aucun doute au traitement qu'il me réserve.

- « C'est bien, tu sais où est ta place de chienne. Tu vas devenir mon jouet pour me défouler et me vider les couilles dès que j'en aurai besoin. »
Il desserre son étreinte et je tombe au sol, les genoux tremblants. Il déboucle sa ceinture et baisse d'un coup son pantalon au niveau des genoux. Je vois pour la première fois sa bite libérée de toute contrainte. Il n'a pas menti, elle fait bien ses 24cm par 6cm de largeur, et a la taille d'une canette. Il a des grosses couilles poilus qui pendent, et une odeur de sueur dû à sa journée de travail s'en dégage. Il me prend le menton dans sa grosse paluche, et commence à se branler frénétiquement en soupirant à 10cm de mon visage. Je comprends qu'il est pressé et qu'il veut juste se vider rapidement. Son gland est impressionnant, du liquide commence déjà à s'écouler, il doit être dans un état d'excitation second d'avoir un petit blanc de 19 ans à genoux devant lui, à sa merci.

- »Ooh vite ouvre la bouche chienne, je vais te donner mon jus d'homme ooh prends tout ! »
La libération de se fait pas attendre, il m'asperge la bouche de puissants jets tout en continuant à la même vitesse ses aller-retour. Sa main maintient ma bouche ouverte, son sperme remplis entièrement ma bouche et je sens du liquide commençait à couler par le bord de mes lèvres. Il se calme et s'éloigne de quelques pas. Je le regarde droit dans les yeux, la bouche pleine, et avale son sperme bruyamment. Je tire la langue pour lui montrer qu'il ne reste plus rien, et me caresse à travers mon short. Je sais bien que je n'aurai pas plus pour l'instant.

Il se penche alors pour ramasser mon sac à main, et fouille pour trouver mon téléphone, afin de récupérer et noter mon numéro. Je le vois également prendre ma carte d'identité et ma carte bancaire. Il me balance mon sac ouvert au visage et toute mes affaires tombent par terre : porte monnaie, mouchoir, étui à lunette, mais aussi les préservatifs et lubrifiant que je garde toujours à porter de main au cas ou.

- « Ça fait du bien ma salope ! Il va falloir que tu achètes des capotes modèle gros calibre pour notre prochaine rencontre. Ma teub va te remplir ton cul de PD entièrement. Je garde tes papiers et ta CB pour garantir ton obéissance. Tu les récupéreras la prochaine fois. T'inquiète on va se voir très rapidement. Tu as intérêt à répondre immédiatement quand je t’appellerai, et ramener ton gros cul de pute en string fissa !»
Il met tout ça dans sa poche, et remonte dans son taxi en rigolant, et disparaît aussi vite qu'il a joui. Je me relève péniblement, j'ai une trique terrible qui me fait mal au sexe. Je sens une énorme envie et une grande frustration de ne pas m'être fait casser les fesses par ce bel africain. C'est la deuxième fois que je me fais utiliser par un inconnu en quelques jours, mais jamais mon cul n'y ait passé. Être soumis aux mâles impliquent de satisfaire leurs désirs, et non les miens.

Heureusement je suis bien arrivé, et je n'attends pas plus longtemps pour monter chez René qui doit m'attendre, son gros gourdin à la main.

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