Un voyage vers de nouveaux plaisirs

- Par l'auteur HDS Fitze -
Récit érotique écrit par Fitze [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Un voyage vers de nouveaux plaisirs Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-05-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un voyage vers de nouveaux plaisirs
Nous décollons, elle est à côté de moi, souriante, la terre s’éloigne tandis que nous partons pour Prague. Ses yeux noirs me couvent, ses mains me recherchent, je la sens heureuse de voyager avec moi, de visiter un nouveau pays avec moi et d’aller découvrir ensemble des horizons qui nous sont inconnus.

Je l’admire. Son visage doux aux traits fins est entouré par ses longs cheveux noirs où naissent des boucles fines, les avoir relâché lui va à ravir et mettent en avant ses beaux yeux noirs au parfum d’orient. Ses lèvres sont charnues et laissent deviner ses fines dents blanches. Elles ne sont pas parfaitement droites, mais cela ne la rend que plus charmante. Je l’embrasse, je sens sa bouche s’entrouvrir pour accepter ma langue pendant que je passe ma main dans ses cheveux pour la rapprocher de moi. Après un moment nous nous séparons, l’équipe de bord ne serait surement pas ravie qu’on s’envoie en l’air en même temps que l’avion. Je m’éloigne d’elle, mais laisse ma main sur sa cuisse, tandis qu’elle pose la sienne sur ma cuisse tout en cherchant autre chose. Je me sens durcir, le trajet va être long, je le sens, elle aime me taquiner et rien n’arrive à la convaincre d’arrêter.

Nous arrivons enfin à Prague, je n’en peux plus, vivement que nous arrivons à l’hôtel. La douane nous laisse filer très rapidement, rien que pour ça j’adore l’Union européenne et nous sortons de l’aéroport pour rejoindre le centre-ville. Nous choisissons l’itinéraire qui semble le plus simple et le moins cher, le métro. Notre voyage se poursuit et j’espère que d’ici trente minutes je pourrais enfin faire disparaitre cette envie brûlante qui me tiraille le bas ventre, je me sens plein, je n’en peux plus.

Mais ce sera visiblement pour plus tard, alors que nous sommes dans le train, que je suis chargé comme une mule et le métro bondé, je sens sa main contre moi, me caresser et surtout caressant ma braguette et ce qui se trouve dessous, je n’arrive plus à me concentrer. Nous loupons notre arrêt. Nous sommes perdus. Le temps presse… Nous sortons du métro et hélons un taxi, qui n’a pas l’air des plus officiels, il est rouge, mais ce n’est pas vraiment volontaire, ce n’est qu’un tas de rouille. Je n’ai pas la tête à négocier, je veux arriver à l’hôtel, j’accepte son prix et nous montons à bord. Le taxi qui m’affirmait connaitre la route, ne semble plus tant la connaitre, nous passons puis repassons dans les mêmes rues, je m’impatiente. Le taxi le voit et ma copine le sent surtout.

Enfin ! L’hôtel, je sors les papiers, ma réservation, mon passeport, mon argent et attends les clefs. Je crois que la réceptionniste veut mourir. Elle m’explique que nous devons déjà remplir un formulaire. J’ai envie de lui faire avaler son papier et de lui enfoncer dans le gosier en poussant avec le stylo qu’elle me tend comme une oie avant noël. J’attrape sa plume en essayant de ne pas la briser en deux, depuis 4 heures celle qui m’accompagne me chauffe, j’ai besoin de m’éteindre en elle au plus vite. J’ai les clefs, je monte, elle me suit. J’ouvre la porte, la chambre est belle, grande, de la moquette grise au sol et un lit géant trônant au fond de la pièce. Je pose mes affaires et visite la chambre, elle sourit, je suis sur qu’elle sait que je n’en peux plus, mais comme souvent j’essaie de le cacher tant bien que mal, je n’aime pas trop lui montrer qu’elle pourrait me demander n’importe quoi dans ces moments. Elle en joue.

Elle prend son temps pour finalement s’étendre sur le lit. Je la rejoins et commence à l’embrasser, lui caressant les cheveux, passant mes mains sous ses vêtements pour caresser sa poitrine, je n’en peux plus je ne vais pas prendre mon temps, j’attrape son jeans que je tire vers le bas pour la délivrer de cette ceinture protectrice. Elle retient mon mouvement, je m’en fiche, mais pour une fois elle insiste, elle veut que j’aille prendre une douche. Au diable la douche, j’en ai pris une ce matin, je suis encore propre.

Elle insiste, je me lève furieux et part en direction de la douche, je crois que je vais juste aller me masturber et je m’occuperai d’elle quand j’en aurai de nouveau envie si elle le prend comme ça. J’entre sous la douche, l’eau est chaude, mon sexe droit, l’envie complète, je me dis que je ne vais pas la laisser encore jouer avec mon désir et juste l’expulser dans la rigole. J’attrape donc ce sexe qui dépasse et commence à le contenter, je ferme les yeux et me laisse envahir par mon plaisir. J’entends du bruit, mais je n’en ai cure, je veux continuer, je sens la douche s’ouvrir et son corps m’effleurer, ses cheveux glisser le long de mon corps et ses mains entourant les miennes pour arrêter le mouvement, je la laisse faire, elle se met à genoux face à moi et je sens sa bouche m’envelopper et j’ouvre les yeux. Ses cheveux sont mouillés et tombent sur sa peau aux reflets dorés. Je passe ma main alors à travers ses boucles et commence à pénétrer sa bouche au rythme de mon choix. Ca monte, je n’en peux plus, je vais craquer elle le sait, elle me laisse accélérer le mouvement, elle gémit pendant que je baise sa bouche. J’éjacule soudain plusieurs fois. Je crois que c’est vraiment l’endroit où je préfère jouir, je m’y sens bien, je m’abandonne. Elle se relève, les cheveux défait, souriante, le regard coquin, elle se dirige vers le lavabo puis revient vers moi. Je l’embrasse et commence à la caresser, elle me demande de la savonner, je m’exécute et passe du savon sur son dos, son ventre, sa belle poitrine, ses épaules et ses fesses et sent mon désir remonter. C’est ce qu’elle cherchait, je crois, vu son sourire en sentant mon érection le long de sa cuisse. Elle me dit « C’est bon je suis toute propre, je vais dans la chambre m’habiller, toi tu restes sous la douche » , un peu déconfit je l’embrasse sur la joue et la laisse partir. Quelques minutes plus tard, plus propre que propre, je sors enfin de la salle de bain, attrape ma serviette et me sèche.

J’entre alors dans la chambre. Je vois encore aujourd’hui cette scène un peu comme une première fois. Elle me regarde, l’air gêné comme si elle avait quelque chose à cacher alors que j’ai pu la voir nue des centaines de fois, les cheveux détachés tombant sur ses épaules fines. Elle avait enfilé une nuisette noire en soie qui laisse deviner sa poitrine et tombait juste sous ses jolies petites fesses. C’était la première fois que je la voyais dans cette tenue, cela lui allait très bien. En règle général, quand on se voyait elle n’avait jamais de sous-vêtements appareillés, souvent des soutiens-gorges qui avaient plusieurs années et des culottes en cotons (certaines avec l’option troues-, mais je n’en avais cure, je la dévorais à chaque fois en moins de deux, avec cette tenue ce sera en moins d’une.

Je m’avance vers elle, la serre dans mes bras tout en faisant passer mes mains sur l’étoffe et ce qu’elle protège, mal, puis la jette sur notre lit où je la rejoins très vite. Je recherche sa bouche que je veux dévorer, je sens sa langue me chercher et viens à sa rencontre. Ma main passe sur ses fesses, ses seins, son ventre, ses jambes, son dos, je crois que je cherche à ne louper aucune partie de ce corps que je désire tant. Je descends, passe ma langue sur son cou, ses épaules frêles, puis passe lentement entre ses seins pour descendre sur son ventre, bientôt j’arriverai à destination, je vois son sexe perler de ce désir que je veux boire, j’y colle ma bouche et commence à la lécher tout en ouvrant bien la source de ce jus avec deux de mes doigts. Je l’entends gémir de plus en plus fort, ce traitement la rend folle, ses jambes se contractent, ses fesses remuent, elle ne se contrôle plus. J’utile mes bras pour lui ouvrir les cuisses et la maintenir en place, elle crie d’extase, ma barbe est luisante, j’abandonne ma position pour remonter vers elle et l’embrasser. Pendant que nos lèvres se retrouvent elle colle ses fesses à mon sexe dur comme de la pierre, je me frotte à elle, j’ai qu’une seule envie, la pénétrer, mais je ne peux, elle est toujours vierge, j’essaye de contenir mon envie et continue de me frotter à elle, puis je commence à me frotter à son petit trou qui est une zone inexplorée, mais elle est beaucoup plus ouverte de ce côté, elle aime que j’y introduise mes doigts. Je pose mon sexe contre ce petit trou et continue de me frotter tout en poussant un peu sans chercher vraiment à entrer. À ma grande surprise je la sens venir à ma rencontre, je me sens petit à petit glisser en elle, puis j’arrête en la voyant en peine, mon gland est en elle, planté dans son cul, je reste calme contenant mon envie de la pilonner, je l’embrasse, caresse son corps, caresse son sexe pour maintenir son plaisir, je recommence à m’enfoncer, mais je vois qu’elle n’est pas prête, je me retire donc et elle me termine en me masturbant.
Je suis un peu déçu, mais je me dis que je suis arrivé à passer au-delà de l’une de ses barrières, d’ici peu j’arriverai enfin à entrer en elle. Rien qu’à cette idée je me sens à bander à nouveau.

Nous sommes rentrés sur Paris, où nous avons retrouvé notre rythme usuel, c’est-à-dire que l’on doit d’avantages ressembler à des lapins spécialisés dans les préliminaires qu’à autre chose.

Nous nous voyons tous les jours et avons des difficultés à passer plus de 20 minutes habillés quand nous sommes ensemble dans la même pièce. Nous n’avons pas reparlé de ce qui s’était passé à Prague, je ne veux pas qu’elle se sente brusquée, mais durant nos rapports, je cherche de plus en plus à jouer avec son petit trou, à le caresser, à y insérer des doigts ou bien à le lécher. Je la caresse aussi tout en jouant avec son anus, pour que son cerveau interprète ce trou comme une source de plaisir. Ce régime dura un mois avant que les choses ne changent entre nous deux.

C’était un samedi comme les autres, elle était arrivée peu après midi, vers 14 heures peut-être, nous nous étions installés dans ma chambre pour regarder «Cauchemar en cuisine». C’est surement un peu débile comme émission, mais cela nous amuse de voir Gordon Ramsay engueuler des restaurateurs qui ne comprennent pas qu’il faut mettre la viande au frais et que le plat du jours ne peut dater de la semaine dernière. Comme souvent quand nous regardons une émission ou un film, nous sommes collés l’un à l’autre et ne pouvons nous empêcher de chercher de la main nos différents corps. De cette manière chaque film se terminait de la même façon, nous nous sautions dessus à la première seconde du générique.

Cette fois-ci, ce fut comme souvent, je l’embrasse pendant que mes mains passent sous ses vêtements pour toucher sa peau si douce, je sens mon désir monter et ne peux m’empêcher de presser les choses pour qu’elle se retrouve nue contre moi. Alors qu’il ne lui reste plus que quelques centimètres de peau couverte, elle m’arrête pour me chuchoter à l’oreille. « Tu te souviens de Prague ? » Je crois que je n’ai même pas eu besoin de répondre, elle vient de sentir mon sexe se dresser rapidement contre son ventre. Elle sourit. « J’aimerai que l’on ressaye ». Pour lui répondre je l’embrasse et me lève chercher le lubrifiant qui est dans ma salle de bain.

Je reviens, la mets sur le ventre, l’attrape par les hanches pour relever son adorable petit cul et commence à étaler ce produit glissant sur son petit trou en la doigtant doucement, j’ai juste envie de la prendre comme un sauvage là tout de suite, mais je me contrôle. Je sais que si elle a mal, elle ne voudra pas tester avant longtemps, donc je prends le temps de faire les choses bien. Une fois bien lubrifié, je la bascule sur le côté et viens me poser contre elle. Je colle ma bite sur son cul et ma main sur son clitoris pour la masturber. Maintenant je vais vers l’avant, je me sens entrer petit à petit. L’accès n’est pas simple, mais j’avance, déjà mon gland est entrée et dieu sait qu’il s’y sent bien, là tout entouré et comprimé par cette chair chaude et humide. Elle soupire de plaisir, elle a l’air de bien accueillir ce corps étranger qui continue son exploration. Maintenant que mon gland est dedans, le reste suit plus aisément. Ca y est mes boules tapes sur son cul, je ne pourrais pas m’introduire plus loin, je reste quelques instants là, sans bouger, pendant que ma main continue de la toucher et que ma bouche l’embrasse , pour lui laisse le temps de bien m’accepter et de s’habituer à moi, puis je commence à faire des mouvements lents de vas et viens. Putain ce que j’aime ça. Petit à petit je la sens m’accompagner dans mes mouvements, cela me fait accélérer le rythme, je la veux. J’accélère la cadence à tous les niveaux, ma main va vu plus vite sur son clitoris humide et dur, et mon sexe s’enfonce et se retire de plus en plus vite de ses fesses, je l’entends commencer à gémir de plus en plus fort, je n’y tiens plus et je jouis alors que je l’entends avoir un orgasme. Puis nous nous écroulons l’un sur l’autre pour nous endormir à l’issue de cette douce extase.

Avant de m’endormir, je me dis que cette première fois semble avoir été plus qu’agréable pour nous deux, je sais que maintenant je pourrai visiter son cul régulièrement, je dépose un baiser sur son front alors qu’elle dort déjà, je sais que nous avons franchi un nouveau cap.

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