Un week end d'épreuves coquines épisode 2
Récit érotique écrit par Antonia [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-05-2004 dans la catégorie Dominants et dominés
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Un week end d'épreuves coquines épisode 2
L'idée d'aller flâner dans les magasins pour faire mes emplettes ne me déplaisait pas. Il était midi, j'avais 5 heures devant moi. J'enfilais rapidement les vêtements de la veille, je n'avais que ceux-là.
En descendant de la chambre, je passais par la terrasse où Stéphane flânait encore en bronzant. Quand il me vit il m'embrassa me demandant ce que je faisais l'air innocent. Je lui répondis : « je vais faire quelques courses je reviens tout à l'heure ». Il sembla satisfait de la réponse et me regarda partir tranquillement.
Dés la sortie de la maison, je sautais dans un bus qui me conduisit au centre ville non loin de là. Je ne connaissais rien de Séville et flirtait un peu au hasard des rues. Au gré des déambulations, je me suis retrouvée dans un quartier commerçant et mes notions d'espagnol, certes scolaires, mais entretenues, m'ont bien aidé dans mes démarches. Je n'avais aucune idée du style de tenue que je voulais acheter . J'ai commencé par chercher les vêtements me disant qu'ensuite j'y assortirais des chaussures. J'ai cru que j'avais trouvé mon bonheur avec un petit ensemble (mini jupe et veste) écossais et plissé. Je m'étais décidée à l'essayer mais (je ne sais pas si vous avez déjà essayé) ce n'est pas évident de se retrouver seule dans une cabine d'essayage sans culotte. J'avais en permanence la hantise que quelqu'un me voit. Peu importe que ce soit un homme ou une femme. Je m'empressais de passer ma jupe et je n'osais à peine sortir de la cabine. Par ailleurs, je me suis rendue comte que c'était compliqué de choisir seule des vêtements. Il faut dire que d'habitude j'y vais toujours accompagnée. Au final, ce petit ensemble écossais m'allait bien, il respectait les consignes de longueur puisque cette jupette était vraiment micro (30cm environ) et mon grain de beauté situé 10 cm environ au dessus du genou voyait bien le jour. Le seul souci : je trouvais cela classique et sans originalité. Je continuais donc mes recherches et entrais, un peu plus loin, dans un magasin de vêtements régionaux pour femme. Vous imaginez donc toutes les robes magnifiques sévillanes avec volants, poids aux couleurs vives. Le seul souci s'était la longueur des robes : toutes longues!.
Toutes, sauf une, que la vendeuse me proposa et ce fut le coup de foudre : une jupette noire forme trapèze avec des petits volants ornés de petits poids rouges. Elle se portait avec un corset rouge à poids noirs, faussement lacé dans le dos (en fait il y avait caché, sur le côté, une rangée d'agrafes pour le mettre plus facilement). Sans hésiter, je me glissais dans la cabine pour le passer, curieusement mon absence de culotte me dérangea moins dans ce magasin, beaucoup plus intime et moins fréquenté. Je sortais de la cabine, me regardais dans une glace : c'est vrai , ça m'allait bien. Cependant, la vendeuse me fit remarquer que le bustier se portait d'habitude sans soutien-gorge, c'était plus beau de ne pas voir les bretelles du soutif. J'en convenais et j'aurais dû m'en rendre compte seule. Toute excitée de ma trouvaille, je rentrai dans la cabine, ôtais le bustier, libérais mes seins aux tétons tout dur pour les recomprimer dans ce bustier qui se révélait alors plus moulant que prévu. Il faut dire que ma poitrine d'un coup se montrait fort découverte et avantageusement compresser au point de souligner le galbe de mes seins. Tout cela me semblait osé. Se rajouter à cela, que le bustier moulait bien mon ventre, ce qui faisait ressortir le gonflé de mes seins. J'étais un peu gênée pour sortir. La vendeuse, fine observatrice, sut le voir et me proposa une magnifique petite veste boléro noir que je m'empressais de prendre et qui effaça ma pudeur encombrante.
Parée de cet ensemble, je me plaisais et je sentais que je lui plairais. J'étais conquise.
Un seul détail me tourmenta : le grain de beauté de ma jambe était recouvert. J'étais ennuyée, mais comment l'expliquer. Sans perdre mon aplomb, je demandais à ce que la jupe soit légèrement raccourcie. La vendeuse comprit et se mis à genoux pour prendre les mesures du raccourci. A ce moment là, je me trompe peut-être, mais j'ai eu l'impression qu'elle s'était aperçue que je n'avais pas de culotte. Ce n'était qu'une impression, mais c'est ce que j'ai lu dans son regard et son sourire. Je suis devenue rouge pivoine un instant. La vendeuse le vit mais ne dit rien. Est-ce mon imagination ?
Après avoir repris mes esprits, je payais, leur confiais mon ourlet à faire dans les plus brefs délais et m'échappais à la recherche des chaussures appareillées. Je n'ai pas traînée pour trouver mon bonheur : des talons aiguilles noirs avec un liseré rouge et deux sangles fines me tenant les chevilles.
Après avoir récupérer ma jupe raccourcie, je sautais dans un taxi pour ne pas être en retard pour mon rendez-vous de 17 heure. J'étais fière de mes trouvailles et de mes achats. En respectant les consignes de Stéphane, je m'amusais bien finalement.
Arrivée à 16 h 10 à notre chambre, je n'avais pas aperçu Stéphane. J'entrepris alors de me préparer en relisant d'abord la lettre :
« A 17 heure précise, tu te constitueras prisonnière. Tu attendras dans la chambre, sous le lustre, les mains jointes derrière la nuque, les jambes écartées. Tu porteras, sur les yeux, un bandeau noir, aux pieds tes chaussures noires à talon haut, des bas noirs et un bracelet à chaque poignet. Tu peux mettre un soutien-gorge ou un porte-jarretelles si tu le souhaites. Tous les accessoires sont au fond de la boite ».
D'un seul coup j'ai senti la pression montée. Ce qui m'était demandé m'angoissait un peu, je crois. Pourtant j'avais pleinement confiance en Stéphane et nous avais déjà pratiqué ces jeux mais sans toute cette mise en scène. Pour me décontracter, je commençais par une douche suivi d'un maquillage et je me parfumais le corps. Encore nue, je me dirigeais vers la boite offerte pour en prendre le contenu. Comme pour me rassurer, j'ai commencé par mettre le soutif, certes pigeonnant à souhait, mais qui me couvrait un peu. Ensuite, j'ai choisi les bas et le porte-jarretelles. En fait il n'y avait pas besoin du porte-jarretelles puisque les bas étaient auto-collants mais je me sentais mieux ainsi. J'ai chaussé mes hauts talons fraîchement achetés. Puis, vint le moment des bracelets. Ces bracelets, je les connaissais, dans nos jeux érotiques je les avais déjà portés une fois dans les Pyrénées. Ils n'avaient alors pas beaucoup servi et je préférais un bon foulard noué. Mais avais-je le choix ?
Je me sanglais donc chacun des poignets sans serrer. Çà fait tout drôle de se voir avec des bracelets noirs aux poignets, surtout posés par ses propres soins.
Il ne restait plus que le bandeau. Avant de me le poser, je me dirigeais, un peu frémissante, vers le lustre. Encore aujourd'hui, en écrivant ce moment particulier de mon aventure, je frissonne. A 16h 57, je vis pour la dernière fois les chiffres rouges du réveil ; je me suis passée le bandeau noir élastique sur les yeux ; j'ai écarté les jambes et posé mes mains derrière la nuque.
L'attente m'a semblé immense. Peut-être cinq, sept ou bien dix minutes. Peut-être plus. Stéphane faisait-il exprès ou est-ce moi qui avait perdu la notion du temps ?
Soudain, j'entendis la porte s'ouvrir mais aucun mot. L'angoisse montait, j'ai failli céder à ce moment-là, tellement c'était insoutenable de ne pas savoir qui était entré. Et si c'était le personnel de chambre ? J'ai murmuré alors « Stéphane ? ». Aucune réponse. C'était trop cruel.
J'ai entendu des petits bruits dans mon dos, puis une musique. Cela aurait dû accentuer mon angoisse mais le contraire se produisit car cette musique c'était la nôtre, celle de nos ébats amoureux. Sans parler, Stéphane m'avait fait comprendre qu'il était là pour moi et pour l'amour. Il était fort. Je me détendis.
Subitement des effleurements, des caresses de mains m'ont parcouru le corps. Quand on est détendu c'est terriblement excitant de sentir des caresses sans les voir. Car , si le caresseur est doué, il vous les fait à des endroits inattendus. Tout le plaisir se situe dans la surprise. Essayez ! Vous comprendrez !
Ca a duré plusieurs minutes au point que mes lèvres intimes se sont franchement humidifiées. Pourtant, elles n'avaient pas été touchées.
Pendant quelques instants tout c'est arrêté. En fait, je ne l'ai su qu'après, Stéphane a fait de moi de nombreuses photos, dans toutes les positions. Ces photos sont rangées dans notre album secret de couple que l'on continue à alimenter pour nous. Cela m'a fait tout drôle de me voir, de nous voir après. Certaines, ( pas toutes ) sont très belles, je dois le reconnaître. Avec le retardateur, il en a même pris avec nous deux sur la photo.
Après cette première séance photographique secrète, Stéphane m'a pris délicatement les mains derrière la nuque pour les faire glisser dans le dos au niveau des reins. J'ai senti et entendu un petit cliquetis : un mousqueton venait de relier les deux anneaux de mes bracelets de poignet. J'étais belle et bien prisonnière mais je me sentais parfaitement bien et en confiance.
En me pressant les épaules vers le bas, Stéphane me fit mettre à genou et ses deux mains m'écartèrent ces mêmes genoux. Imaginez-moi un instant : J'étais au milieu d'une chambre, en partie nue, entre les mains d'un inconnu dévoilé, les yeux bandés, les mains liées dans le dos, à genoux, les jambes écartées!
Qu'allais-je devoir faire ?
En descendant de la chambre, je passais par la terrasse où Stéphane flânait encore en bronzant. Quand il me vit il m'embrassa me demandant ce que je faisais l'air innocent. Je lui répondis : « je vais faire quelques courses je reviens tout à l'heure ». Il sembla satisfait de la réponse et me regarda partir tranquillement.
Dés la sortie de la maison, je sautais dans un bus qui me conduisit au centre ville non loin de là. Je ne connaissais rien de Séville et flirtait un peu au hasard des rues. Au gré des déambulations, je me suis retrouvée dans un quartier commerçant et mes notions d'espagnol, certes scolaires, mais entretenues, m'ont bien aidé dans mes démarches. Je n'avais aucune idée du style de tenue que je voulais acheter . J'ai commencé par chercher les vêtements me disant qu'ensuite j'y assortirais des chaussures. J'ai cru que j'avais trouvé mon bonheur avec un petit ensemble (mini jupe et veste) écossais et plissé. Je m'étais décidée à l'essayer mais (je ne sais pas si vous avez déjà essayé) ce n'est pas évident de se retrouver seule dans une cabine d'essayage sans culotte. J'avais en permanence la hantise que quelqu'un me voit. Peu importe que ce soit un homme ou une femme. Je m'empressais de passer ma jupe et je n'osais à peine sortir de la cabine. Par ailleurs, je me suis rendue comte que c'était compliqué de choisir seule des vêtements. Il faut dire que d'habitude j'y vais toujours accompagnée. Au final, ce petit ensemble écossais m'allait bien, il respectait les consignes de longueur puisque cette jupette était vraiment micro (30cm environ) et mon grain de beauté situé 10 cm environ au dessus du genou voyait bien le jour. Le seul souci : je trouvais cela classique et sans originalité. Je continuais donc mes recherches et entrais, un peu plus loin, dans un magasin de vêtements régionaux pour femme. Vous imaginez donc toutes les robes magnifiques sévillanes avec volants, poids aux couleurs vives. Le seul souci s'était la longueur des robes : toutes longues!.
Toutes, sauf une, que la vendeuse me proposa et ce fut le coup de foudre : une jupette noire forme trapèze avec des petits volants ornés de petits poids rouges. Elle se portait avec un corset rouge à poids noirs, faussement lacé dans le dos (en fait il y avait caché, sur le côté, une rangée d'agrafes pour le mettre plus facilement). Sans hésiter, je me glissais dans la cabine pour le passer, curieusement mon absence de culotte me dérangea moins dans ce magasin, beaucoup plus intime et moins fréquenté. Je sortais de la cabine, me regardais dans une glace : c'est vrai , ça m'allait bien. Cependant, la vendeuse me fit remarquer que le bustier se portait d'habitude sans soutien-gorge, c'était plus beau de ne pas voir les bretelles du soutif. J'en convenais et j'aurais dû m'en rendre compte seule. Toute excitée de ma trouvaille, je rentrai dans la cabine, ôtais le bustier, libérais mes seins aux tétons tout dur pour les recomprimer dans ce bustier qui se révélait alors plus moulant que prévu. Il faut dire que ma poitrine d'un coup se montrait fort découverte et avantageusement compresser au point de souligner le galbe de mes seins. Tout cela me semblait osé. Se rajouter à cela, que le bustier moulait bien mon ventre, ce qui faisait ressortir le gonflé de mes seins. J'étais un peu gênée pour sortir. La vendeuse, fine observatrice, sut le voir et me proposa une magnifique petite veste boléro noir que je m'empressais de prendre et qui effaça ma pudeur encombrante.
Parée de cet ensemble, je me plaisais et je sentais que je lui plairais. J'étais conquise.
Un seul détail me tourmenta : le grain de beauté de ma jambe était recouvert. J'étais ennuyée, mais comment l'expliquer. Sans perdre mon aplomb, je demandais à ce que la jupe soit légèrement raccourcie. La vendeuse comprit et se mis à genoux pour prendre les mesures du raccourci. A ce moment là, je me trompe peut-être, mais j'ai eu l'impression qu'elle s'était aperçue que je n'avais pas de culotte. Ce n'était qu'une impression, mais c'est ce que j'ai lu dans son regard et son sourire. Je suis devenue rouge pivoine un instant. La vendeuse le vit mais ne dit rien. Est-ce mon imagination ?
Après avoir repris mes esprits, je payais, leur confiais mon ourlet à faire dans les plus brefs délais et m'échappais à la recherche des chaussures appareillées. Je n'ai pas traînée pour trouver mon bonheur : des talons aiguilles noirs avec un liseré rouge et deux sangles fines me tenant les chevilles.
Après avoir récupérer ma jupe raccourcie, je sautais dans un taxi pour ne pas être en retard pour mon rendez-vous de 17 heure. J'étais fière de mes trouvailles et de mes achats. En respectant les consignes de Stéphane, je m'amusais bien finalement.
Arrivée à 16 h 10 à notre chambre, je n'avais pas aperçu Stéphane. J'entrepris alors de me préparer en relisant d'abord la lettre :
« A 17 heure précise, tu te constitueras prisonnière. Tu attendras dans la chambre, sous le lustre, les mains jointes derrière la nuque, les jambes écartées. Tu porteras, sur les yeux, un bandeau noir, aux pieds tes chaussures noires à talon haut, des bas noirs et un bracelet à chaque poignet. Tu peux mettre un soutien-gorge ou un porte-jarretelles si tu le souhaites. Tous les accessoires sont au fond de la boite ».
D'un seul coup j'ai senti la pression montée. Ce qui m'était demandé m'angoissait un peu, je crois. Pourtant j'avais pleinement confiance en Stéphane et nous avais déjà pratiqué ces jeux mais sans toute cette mise en scène. Pour me décontracter, je commençais par une douche suivi d'un maquillage et je me parfumais le corps. Encore nue, je me dirigeais vers la boite offerte pour en prendre le contenu. Comme pour me rassurer, j'ai commencé par mettre le soutif, certes pigeonnant à souhait, mais qui me couvrait un peu. Ensuite, j'ai choisi les bas et le porte-jarretelles. En fait il n'y avait pas besoin du porte-jarretelles puisque les bas étaient auto-collants mais je me sentais mieux ainsi. J'ai chaussé mes hauts talons fraîchement achetés. Puis, vint le moment des bracelets. Ces bracelets, je les connaissais, dans nos jeux érotiques je les avais déjà portés une fois dans les Pyrénées. Ils n'avaient alors pas beaucoup servi et je préférais un bon foulard noué. Mais avais-je le choix ?
Je me sanglais donc chacun des poignets sans serrer. Çà fait tout drôle de se voir avec des bracelets noirs aux poignets, surtout posés par ses propres soins.
Il ne restait plus que le bandeau. Avant de me le poser, je me dirigeais, un peu frémissante, vers le lustre. Encore aujourd'hui, en écrivant ce moment particulier de mon aventure, je frissonne. A 16h 57, je vis pour la dernière fois les chiffres rouges du réveil ; je me suis passée le bandeau noir élastique sur les yeux ; j'ai écarté les jambes et posé mes mains derrière la nuque.
L'attente m'a semblé immense. Peut-être cinq, sept ou bien dix minutes. Peut-être plus. Stéphane faisait-il exprès ou est-ce moi qui avait perdu la notion du temps ?
Soudain, j'entendis la porte s'ouvrir mais aucun mot. L'angoisse montait, j'ai failli céder à ce moment-là, tellement c'était insoutenable de ne pas savoir qui était entré. Et si c'était le personnel de chambre ? J'ai murmuré alors « Stéphane ? ». Aucune réponse. C'était trop cruel.
J'ai entendu des petits bruits dans mon dos, puis une musique. Cela aurait dû accentuer mon angoisse mais le contraire se produisit car cette musique c'était la nôtre, celle de nos ébats amoureux. Sans parler, Stéphane m'avait fait comprendre qu'il était là pour moi et pour l'amour. Il était fort. Je me détendis.
Subitement des effleurements, des caresses de mains m'ont parcouru le corps. Quand on est détendu c'est terriblement excitant de sentir des caresses sans les voir. Car , si le caresseur est doué, il vous les fait à des endroits inattendus. Tout le plaisir se situe dans la surprise. Essayez ! Vous comprendrez !
Ca a duré plusieurs minutes au point que mes lèvres intimes se sont franchement humidifiées. Pourtant, elles n'avaient pas été touchées.
Pendant quelques instants tout c'est arrêté. En fait, je ne l'ai su qu'après, Stéphane a fait de moi de nombreuses photos, dans toutes les positions. Ces photos sont rangées dans notre album secret de couple que l'on continue à alimenter pour nous. Cela m'a fait tout drôle de me voir, de nous voir après. Certaines, ( pas toutes ) sont très belles, je dois le reconnaître. Avec le retardateur, il en a même pris avec nous deux sur la photo.
Après cette première séance photographique secrète, Stéphane m'a pris délicatement les mains derrière la nuque pour les faire glisser dans le dos au niveau des reins. J'ai senti et entendu un petit cliquetis : un mousqueton venait de relier les deux anneaux de mes bracelets de poignet. J'étais belle et bien prisonnière mais je me sentais parfaitement bien et en confiance.
En me pressant les épaules vers le bas, Stéphane me fit mettre à genou et ses deux mains m'écartèrent ces mêmes genoux. Imaginez-moi un instant : J'étais au milieu d'une chambre, en partie nue, entre les mains d'un inconnu dévoilé, les yeux bandés, les mains liées dans le dos, à genoux, les jambes écartées!
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