Un weekend chez mon maître

- Par l'auteur HDS Pass_trav_soum -
Auteur homme.
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Récit libertin : Un weekend chez mon maître Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-03-2010 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
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Un weekend chez mon maître
Je suis un jeune homme gay de 20 ans, typé européen, brun aux yeux vert, 1 m 70 pour 60kg, totalement imberbe (des pieds à la tête si on peut dire), passif, travesti et soumis. J’habite encore chez mes parents en région parisienne, et j’ai trouvé un homme mûr gay, actif et dominateur dans le but qu’il devienne mon maître (grâce à un site gay spécialisé) dans une relation dite « suivie ». Niveau sexe, j’adore sucer (c’est vraiment ce que je préfère) sinon j’aime me faire doigter, lécher, goder l’anus, j’aime me faire sodomiser et j’apprécie de branler une bite. Niveau travestissement, je possède beaucoup de vêtements (et accessoires), mini jupe, robe (courte et longue), pantalon féminin, mini short, débardeur, collant, bas, porte-jarretelle, socquette à volants, talon haut, perruque (blonde et brune), maquillage, string (d’ailleurs je n’ai que cela en sous-vêtement) et une tenue coquine de soubrette. Niveau soumission, j’aime être humilié, fessée, insulté, les crachats (directement la bouche), attaché, tenu en laisse comme une chienne, esclave (pour le sexe), larbin (pour les tâches ménagères)…bref, faire ce que le maître ordonne tout en restant dans le respect de mes limites préalablement établies, c'est-à-dire, pas de crade (uro, scato…), pas de travail (tétons, couilles…), pas de violence (sauf fessée…si désobéissance évidement).
Aujourd’hui cela fait 7 mois et demi que nous nous voyons régulièrement (au moins un weekend sur deux voir tout les weekends) avec mon maître, dans une relation domi – soumi et sa nous conviens parfaitement. Un week-end (le samedi), il est venu me chercher chez moi en début d’après-midi pour aller chez lui (comme d’habitude), c’est un homme de 46 ans, brun aux yeux marron, 1 m 87 pour environ 85kg, une belle queue de 18cm par 4,5 entièrement rasée (pubis, verge et testicules) et les couilles bien lourdes et pendantes, ce que j’adore ! Il habite à environ 20 minutes de chez moi (de chez mes parents plutôt) dans un pavillon de taille moyenne avec un jardin de même dimension. Une fois dans la voiture (et dès qu’on se retrouve ensemble) quand il vient me chercher, la règle est simple, je suis la « lope » aux ordres du maître !
1er jour : Une fois arrivé dans sa maison, je vais me changer (me travestir) dans sa chambre. Je me mets complètement nu, j’enfile ensuite 1 mini short, un débardeur, une paire de talon haut, une perruque (blonde au carrée), je me maquille et je me tamponne à l’encre noire le mot « SLAVE » sur la fesse droite pour souligner mon appartenance envers lui. Je reviens vers mon maître, qui était dans le salon à m’attendre, pour lui donner, afin qu’il mette dans un lieu de la maison don je n’ai pas accès, mes vêtements masculin (pour être sûr que je sois uniquement travesti ou bien complètement nu), et qu’il me mette autour du cou mon collier de petite chienne docile. Il m’indique ensuite les corvées qui doivent être faites (vaisselle et poussière) et qui n’attendent que moi. Une fois faite, il m’ordonnait de lui apporter quelque chose à boire devant la télévision, en n’oubliant pas de m’insulter de salope. Je lui apporte ce qu’il avait demandé, puis il me donna l’ordre de rester regarder la télé avec lui, assis à ses pieds et tenu en laisse. Après quelques minutes, il se levait, baissait son jean, se rasseyait, et me dit d’un ton ferme « suce moi, chienne ! ». Je m’exécutais, soumis que je suis, avec un « oui maître ». Je pris son sexe, encore au repos, entièrement dans la bouche en le caressant de l’intérieur avec ma langue, 2 minutes plus tard, il était aussi dur que du béton et je pouvais commencer un long va et viens buccal pendant que lui continuais de regarder la télévision en buvant son verre. Je léchais la verge sur toute sa longueur, je passais ma langue ensuite sur le gland, je suçotais les lourdes testicules que j’aspirais une à une entre mes lèvres et je pompais sa bite sur le maximum de longueur que je pouvais (à peu près 16cm), quand il ne me relevait pas par la tête en m’ordonnant d’ouvrir la bouche pour qu’il crache sa salive dedans (afin de donner encore plus de lubrification et bien sur de m’humilier). Environ 40 minutes plus tard, mon maître me prévient de l’éjaculation arrivant (pour que je me prépare), je pris uniquement son gland dans la bouche pendant que lui se masturbait pour déverser le liquide chaud et visqueux à l’intérieur de mon palais et sur ma langue. Une fois entièrement vidé, il m’ordonnait de tout avaler (comme d’habitude, étant complètement clean cela ne me posait aucun problème) et de lui montrer qu’il n’en restait pas une goutte. Après cette fellation baveuse et les couilles bien vidangées, il m’enlevait ma laisse (sans enlever le collier), et allait préparer le dîner (je ne m’occupe pas de cette tâche ne sachant pas faire à manger) pendant que moi je m’occupais de mettre la table. Il apportait une gamelle (de chien) où il y mit ce qu’il avait préparé pour que je mange à ses pied pendant que lui mangeait à table. Le repas terminé, je débarrassais la table pendant que mon maître allait dans sa chambre. Après avoir terminé la vaisselle et l’avoir rejoins, il sorti un appareil photo numérique (faisant aussi vidéo), mis un peu de musique et me donna l’ordre de lui faire un streap-tease sur le lit. Il s’assied sur une chaise placée en face et je m’exécutais dans la minute. Je me mis à danser pour lui langoureusement, me caresser et prendre des poses très explicites. Il n’oublia pas de me faire la remarque que cela irait vite ayant vu que je ne portais pas de sous-vêtements (comme les trois quart du temps) sous mon mini short. Le show dura environ 15 minutes, minutes pendant lesquels je l’excitais en étant filmé, et me retrouvant entièrement nu (ayant quand même gardé perruque, collier (de chienne) et talons hauts) sur le lit devant lui. Ensuite, il posa l’appareil, et amenait différentes cordes et attaches pour me ligoter. En moins de 10 minutes je me suis retrouvé lié par les poignets et les chevilles, sur le dos, en croix, aux barreaux du lit. Puis il me laissa à mon sort dans sa chambre, dans le noir, pendant que lui sortit pour aller voir un film avec ses amis. Pendant ce temps je me suis assoupi, et c’est environ 2h30 après que quelque chose me chatouillant la plante des pieds me réveillait. Je vis que mon maître m’avait ôté mes sandales à talons pour me titiller les orteils et la plante des pieds avec une plume (choses qui l’amusait beaucoup, sachant que je ne supportais pas les chatouilles à ce niveau là…mais l’excitation était quand même là). Ensuite il me détacha en n’oubliant pas de me remettre en laisse, il plaçait l’appareil numérique de façon à ce qu’il prenne tout l’angle de la chambre, et s’allongea sur le lit et me tira par la laisse pour mettre ma tête au niveau de sa queue, déjà toute dure. Je savais ce qu’il voulait, et je me mis à refaire le travail que j’avais fait devant la télévision l’après-midi même.
Il me fit aussi lécher ses doigts afin de me titiller un peu l’anus et de me chauffer comme il se doit. Je me retrouvais à sucer sa bite pendant qu’il me tenait en laisse d’un coté, et qu’il me doigté le cul de l’autre. Peu de temps après, il me mit à quatre pattes, me lécha délicatement l’anus et mis un peu de gel lubrifiant sur son sexe. Je sentis son membre entrer peu à peu en mois jusqu’à ce qu’il y soit entièrement, et que je sente ses couilles coller les miennes. A ce moment là, une heure de ramonage anale commença, en levrette, tenu en laisse, face à l’appareil photo numérique qui filmait toute la scène, et moi gémissant comme une vraie petite salope à chaque coup de reins que me donnait mon maître. Au moment de l’éjaculation, dans le but de m’humilier mais aussi pour le film qu’il tournait, il se retira de mon cul, me mis a genou par terre et me gicla son sperme en pleine figure. Il me laissa aller me nettoyer pendant que lui regardait si tout avait été bien filmé. Je suis revenue quelques minutes après, il était dans le lit, me montrant la nuisette et l’endroit ou je dormirai (un matelas posé à même le sol au pied de son lit). J’enfilais la nuisette et me mis dans le lit d’appoint.
2e jour : Je me suis levé en fin de matinée, mon maître était déjà debout, habillé et discutait avec un homme brun d’environ 1m78 pour 72kg, les yeux bleus, qui semblait avoir à peu près le même âge que lui, j’ai pensé qu’il devait être un de ses amis qu’il avait vu hier. J’arrivais dans la pièce en nuisette et comme je ne souhaitais pas être vu, je décidais de rester cacher de son ami. J’entendais que mon maître parlait de moi, et de ce qu’on faisait ensemble depuis quelques temps. Je regardais la scène et je vis qu’il montrait à son ami, par le biais de l’appareil numérique, ce qu’on avait fait hier soir avant de se coucher. Je décidais d’écouter ce qu’il se disait, et un moment mon maître lui proposa de « m’essayer ». Son ami (meilleur ami) étant aussi gay et appréciant ce qu’il voyait dit « oui » quasiment tout de suite. Je décidai de retourner me coucher et de faire comme si je n’avais rien entendu. Peu de temps après mon maître raccompagna dehors son ami, et me rejoignait dans la chambre. Il me réveilla (ne sachant pas que je faisais semblant de dormir) et m’ordonna d’aller me laver, ce que je fis bien entendu. Je me suis lavé en vitesse et je suis ressorti de la salle de bain avec maquillage, perruque et peignoir de bain court (comme toutes mes affaires étaient dans la chambre) mais aussi et toujours le coup de tampon à l’encre noir marquant mon appartenance par le mot « SLAVE » sur la fesse droite. J’enfilais une mini jupe, des bas résilles, un débardeur et mes talons hauts pour aller rejoindre mon maître. Il me dit qu’avec ce temps il serait plus agréable de sortir, par contre moi je n’étais pas vraiment pour dans le cas où je croiserai quelqu’un que je connais (surtout étant travesti). Il me fit comprendre que je n’avais pas vraiment le choix, et que mes fringues masculines sortiraient du placard que quand je rentrerai chez moi. Je décidais alors que cette fois-ci je mettrai un sous-vêtement (string) pour protéger un maximum. Mais mon maître ne l’entendant pas ainsi, me tira pas le bras pour m’en empêcher et me sorti de la maison (un peu forcé). Il conduisait pendant 1h jusqu’à une forêt, dans un coin où il pouvait se garer mais qui était aussi isoler. A peine sortit de la voiture, il sortait un pony-plug (plug avec une queue de cheval raccordé) de sa poche et m’ordonna de me le mettre, puis il m’attacha la laisse au collier et me traina au milieu des arbres. Quelques minutes après, nous nous arrêtions et rencontrons l’ami qui était passé le voir le matin même. J’étais un peu gêner de rencontrer quelqu’un (que je ne connaissais pas surtout) habillé comme je l’étais, mais aussi tenu en laisse par mon maitre. Ils discutèrent cinq minutes, et mon maître donna la laisse à son ami. Il me dit que l’espace d’un moment, je serai le soumi d’un autre maître et qu’il filmera la scène. Je n’étais pas vraiment d’accord mais je n’avais pas le choix que d’obéir. Mon « nouveau » maître m’ordonna directement de m’agenouiller devant lui, et de baisser les yeux. Il m’ordonna ensuite d’aboyer comme un chien devant l’appareil photo numérique (servant de caméra), et de tortiller du cul pour monter ma satisfaction (grâce au pony-plug entre les fesses on aurait vraiment dit que j’étais « content »). Il me releva et me déshabilla en enlevant mon débardeur et ma jupe, me mettant quelque claques sur les fesses, et me confiant qu’il m’avait déjà vu sucé et qu’il allait tester ma bouche. Il m’appuya sur les épaules afin de me mettre à genoux devant lui, et baissa son pantalon et son caleçon pour me mettre devant le nez une queue d’environ 17cm par 4, au pubis touffu mais à la verge et aux burnes bien lisses. Il m’appuya sur la tête pour que j’enfourne ce membre entièrement dans la bouche, et me la pressa afin qu’il me titille la glotte pendant quelque secondes. Il s’en suivit un va et viens de plusieurs minutes sous son regard très pervers, et devant l’appareil que mon maître tenait entre ses mains pour filmer la scène. Il ne manquait pas de commenter ma façon de sucer ou plutôt la façon qu’il me faisait faire cette fellation, je ne dirigeais rien, je pompais suivant le rythme qu’il me donnait avec sa main qui n’était pas occupée par ma laisse. Ce qui se passait l’excitait tellement qu’en une vingtaine de minutes il m’étalait son sperme sur les lèvres et la figure (car mon maître ne lui avait pas donné l’autorisation de m’éjaculer dans la bouche). Mon maître me donna ensuite un mouchoir pour me débarbouiller et m’ordonna de me rhabiller car quelque chose d’autre m’attendait avant que l’on retourne chez lui. Son ami reparti aussi tôt en disant au revoir à mon maître, et il m’attacha à un arbre pour être sûr que je ne me sauve pas pendant qu’il allait chercher à manger. Il revint 30min plus tard avec des sandwichs tout chauds, m’en donna un et m’expliqua qu’il avait envi d’aller plus loin sur le fait de me « prêter ». Les sandwichs avalés, il repartit en ne me disant rien (ne m’ayant toujours pas détaché), le soleil s’était couché et il commençait à faire froid dans ce bois (surtout avec le peu de vêtements que je portais). Il revint environ 1h30 plus tard, me détache et m’ordonne d’aller faire la pute sur le bord du trottoir. Je lui dis qu’il en était hors de question, que c’était beaucoup trop risqué et que je ne savais pas sur qui j’allais tomber. Il me dit de ne pas m’inquiéter et qu’il resterait avec moi (en retrait bien sur). Environ 10min après, une voiture s’arrête avec un homme d’âge mûr à l’intérieur, il me demanda combien je prenais et ne sachant pas répondre (car je n’étais vraiment pas préparé à cette chose là) je n’ai rien dis. La voiture repartit et mon maître me dit de dire 20€ pour la pipe et 40€ pour la sodomie. Je n’en revenais pas, j’étais sur un trottoir le soir à faire la pute pour mon maître qui réalisait son fantasme de mac. Je croyais que sa allait s’arrêter là quand une autre voiture arriva, un autre homme d’âge mûr me reposa la question et je répondis ce que m’avais dit mon maître. Quand l’homme me dit de monter, je n’ai pas eu le courage d’aller avec lui et il repartit aussi sec. Mon maître m’engueula et me traîna jusqu’à la voiture de la même manière qu’il m’avait entrainé dans cette forêt. Une fois arriver chez lui, il me déshabilla complètement, m’enfila une tenu de soumi (attaches (fermées par des cadenas) au cou, poignets et chevilles reliées par des chaînes en métal) et un gag ball (bâillon avec une boule pour la bouche). Il me fit mettre à 4 pattes, le cul bien en l’air et me fouetta les fesses avec un martinet à 5 lanières, pendant 10min. Il me traita de tout les noms et me précisa que ceci est la punition pour lui avoir désobéit. Le bâillon étouffait mes cris de douleurs, et je sentais mon derrière chauffé et rougir à chaque coup de martinet. Puis il me détacha et en guise de seconde punition, il envoya (par e-mail) les vidéos qu’on avait enregistré, à tout ses contacts (gay) et il précisait dans son message, pour ceux qui le veulent, qu’ils viennent me baiser pendant une mis à dispo qui se tiendrait très bientôt chez lui. J’avoue que je ne me sentais pas vraiment à l’aise à cette idée, mais je lui avais déjà désobéit aujourd’hui et je ne comptais pas recommencer. Une fois fait, il m’ordonna d’aller me coucher et de dormir, ce que je fis, pendant que lui était dans le salon en train de regarder la télévision (et de se calmer aussi).
3e jour : Je me sui réveillé en fin de matinée, un peu avant mon maître qui s’était couché plus tard que moi la veille. Je m’empressai de me lever, d’aller me laver et m’habiller, afin de lui préparer son petit déjeuner que je lui apporterai par la suite au lit. Il était à moitié en train de s’éveiller quand j’entrais dans la chambre, en tenu de soubrette (avec collier, talon haut, maquillé et perruque) plateau à la main et bien sur un « bonjour maître ». Je déposai son plateau sur un socle adéquat pour qu’il puisse déjeuner dans le lit, j’allumai la télévision qui était en face, et pour lui faire plaisir je passai sous les draps pour lui faire une bonne petite pipe matinale (comme il aime à le dire). Il était très content du fait que j’ai entrepris tout cela moi-même, mais que bien entendu il me donnera toujours les ordres à suivre et que sa n’enlèverai en rien à ce qui c’était passé la veille. Environ 30 min plus tard, le petit déjeuner avalé, la fellation terminée (et le sperme gobé), il se leva pour aller se laver ne manquant pas de me dire de me rechanger parce qu’on ressortira tout à l’heure. J’enlevais ma tenu de soubrette (mais gardais tout le reste) et enfilais une petite robe noir courte (arrivant à mis cuisses) et ajourée (sur les 2 cotés). Mon maître ne tarda pas à sortir de la salle de bain, termina de se préparer et me dit d’un ton sec « on y va ! ». Je lui posai la question pour savoir où il voulait m’emmener cette fois-ci et me répondit « dans un sauna gay, salope ». Là encore je n’étais pas très à l’aise, les plans à plusieurs (3 ou 4 quand on connaît les personnes) ne me dérange pas, ce qui me dérange est de faire ce genre de chose en public devant des inconnus. Encore une fois, je ne dis rien et je m’exécutai pour savoir où cela me mènerai dans la relation (très spéciale) que nous vivons. Au vu de la tenue que je portais, je me demandais si même c’était un lieu pour gay, il n’y aurait pas de problèmes. Après 40min de routes, nous arrivions dans paris (14e arrondissement). C’était un sauna gay sur plusieurs étages, à l’accueil, l’homme me regardai (de la façon dont j’étais habillé et avec le collier que je portais) et compris tout de suite ce qui se passait. Il ne prêta pas plus attention, et nous souhaita un agréable moment. Après avoir payé l’entrée, nous nous sommes dirigés vers les vestiaires pour nous changer et prendre nos serviettes. Ensuite nous sommes descendus d’un étage pour aller au sauna (sec) où se trouvaient déjà 2 hommes (mûrs) qui discutaient. Avant d’y entrer mon maître m’ordonna de retirer la serviette que j’avais autour de la taille afin que je m’exhibe (sans le montrer directement) devant eux. J’entrais (entièrement nu) dans cette (chaude) pièce suivi de mon maître. Les 2 hommes (plutôt vicieux et pervers) me regardèrent (des pieds à la tête) entrer et aller m’asseoir devant eux sur un banc (à l’extrémité) en bois, pendant que mon maître qui était derrière moi leurs lança un « bonjour messieurs ». C’était deux hommes à peu près du même style, environ 1m80 pour 85-90kg, cheveux grisonnants, aux yeux marrons et un peu plus vieux que mon maître (surement la cinquantaine passée). Peu de temps après, mon maître discuta avec eux, il leurs expliquai que j’étais sa pute (très soumise) et que j’obéissais aussi bien qu’une petite chienne. Etant (apparemment) habitué à ce genre de chose, les 2 hommes (qui me lançaient des regards tantôt furtifs, tantôt soutenus) n’étaient pas choqués et comprenaient tout à fait. Mon maître, qui avait apporté mon collier et ma laisse (dans une serviette enroulée) m’ordonna de venir m’agenouiller devant lui et ses nouveaux amis. Je m’exécutai sans réfléchir car je ne voulais pas le décevoir une nouvelle fois, et qu’il perde la face devant ces hommes. Cela faisait environ 10min qu’on était dans le sauna, que j’étais déjà à genoux et tenu en laisse par mon maître devant des hommes que je ne connaissais pas du tout. Je n’écoutais qu’à moitié ce qu’ils se disaient mais pour leurs prouver que j’étais vraiment soumis, mon maître m’ordonna d’ouvrir la bouche, me pris la mâchoire entre ses doigts et me cracha sa salive directement dans la bouche, terminant avec un « avale maintenant ! ». Les 2 hommes, excités par la situation, proposèrent un plan (à plusieurs). Mon maître n’hésitait pas longtemps, il se dit que se sera une bonne chose pour moi, et qu’ensuite il pourrait peut être me mettre sur le trottoir sans que je rechigne. Ne pouvant pas m’en aller et ne voulant pas décevoir mon maître, je me résignais (à contre cœur cette fois-ci) à ce qui allait se passer. Les deux hommes (dont mon maître) se levèrent d’un coup, retirant leurs serviettes, et se rasseyant (mon maître au milieu) me dirent « au travail petite chienne ! ». Mon maître me tira par la laisse en direction des trois queues (encore au repos), l’un des deux « inconnus » avait un sexe entièrement rasé (comme celui de mon maître) et l’autre avait laissé juste un petit « ticket de métro » sur le pubis. J’allais commencer par prendre mon maître en bouche quand il m’arrêta et me dit « honneur aux invités ! ». Il garda quand même ma laisse dans les mains, et moi j’allais sucer l’un d’eux en commençant par celui qui était entièrement rasé. Je commençais par lécher ses testicules tombants entre ses cuisses, en l’espace d’une minute j vis sa queue grandir et arriver jusqu’a mon visage, je remontais doucement avec ma langue le long de ses bourses, puis le long de la verge et j’enfournais sa bite au plus profond que je le pouvais. Un va et viens de quelque minute commença (pour ne pas léser l’autre « inconnu » et mon maître), puis je senti qu’on tira sur ma laisse, j’entendais qu’on m’ordonnait « passe à l’autre maintenant ! ». J’allais (en marchant à quatre pattes) jusqu’à l’inconnu suivant, il bandait déjà au maximum avec ce qu’il avait vu, à peine j’étais à son niveau qu’il me tendait sa bite en direction de ma bouche. Je pris sa queue en bouche et commença le va et viens (de quelque minute également) quand je sentais une main (celle de mon maître) se poser sur ma tête et appuyer jusqu'à faire complètement disparaître la verge de l’homme dans ma bouche en entendant un « suce salope ! ». J’allais passer à mon maître quand il se leva, me dit que maintenant je connaissais de nouvelles queues et qu’il avait envie de voir comment je m’en sortirais. Il s’asseyait sur le coté et regarda la scène se passer. L’un des deux pris deux attache-câbles en plastique, me releva et me les passaient autour des poignets (sur le ventre) et autour des chevilles. L’autre avait attrapé ma laisse, il tira dessus pour me mettre en position levrette et regardai mon maître qui lui dit « amusez-vous bien messieurs ». Celui qui m’avait attaché s’agenouilla devant moi, sa bite dressée vers ma bouche, me prenait la tête entre ses mains et se mis à faire des va et viens comme si il me baisait par la bouche. L’autre était placé derrière, il enfila une capote, me cracha sur mon petit trou et s’enfonça complètement en moi. Je retirai la bite que j’étais en train de sucer pour laisser échapper un râle de douleur. Sans préparations le début d’une sodomie est quelque chose d’un peu douloureux. L’autre me repris la tête et me remis sa bite en bouche pendant que j’étais en train de me faire pilonner l’anus à grands coups de bite et me faire en même temps fessée. Environ une demi-heure plus tard, celui qui était dans mon cul se retira, enleva la capote et m’éjaculait sur les fesses, pendant que l’autre se retira de ma bouche, me tira les cheveux et laissa couler sa semence sur mon visage. Les deux hommes repartirent aussi tôt en félicitant mon maître de sa petite pute et il les en remercia. Mon maître me détacha et m’emmena jusqu’aux douches pour me débarbouiller de tout se sperme. Puis nous nous changions et repartions directement chez lui pour y passer la soirée. Arriver chez lui, il me dit que ce qu’il avait vu l’avais bien excité et qu’il faudrait remettre sa très vite, surtout qu’il avait pris le numéro de téléphone (pendant que je m’habillais) des deux mecs de la cabine pour un (ou des) futur plan à venir. Ensuite mon maître prépara le diner, me fit enfiler 1 string, ma tenu de soubrette, ma perruque blonde et 1 pair de sandales à talon hauts (le tout en gardant mon collier) pour manger (chose que je trouvais étrange sur le moment), me servi ma gamelle en me disant qu’il n’avait pas faim tout de suite. Puis environ un quart d’heure après, le dîner était avalé et j’entendis frapper à la porte, c’était cinq hommes (à peu près du même âge que mon maître, deux blancs, deux blacks et un algérien) que mon maître avait invité (sans me le dire) pour la soirée. Mon maître allait les accueillir, en me présentant à eux comme étant sa pute soumise qu’il était en train de dresser (ce qui n’a pas paru les choqués). Je croyais que mon maître avait organisé une séance de « mis à dispo » ce soir avec ses amis (vu ce qu’il c’était passé durant l’après-midi et surtout avec l’e-mail (et la vidéo) qu’il leurs avait envoyé la veille), mais finalement non. Il les fit asseoir à la table et m’ordonna de faire la serveuse pour eux durant leur soirée (qui cette fois-ci se déroulait chez mon maître) « poker ». Je m’exécutais très vite en partant dans la cuisine préparé des apéritifs et des amuse gueule (car il mange rarement durant ce genre de soirée) tout en essayant de comprendre ce qu’ils se disaient entre deux rires (ce que je ne parvins pas à faire bien sur). Après les avoir servis, mon maître m’appela (plutôt me siffla) près de lui, pris ma laisse dans sa main et me tira pour me mettre a genoux (comme une chienne) à coté de lui qui était en train de jouer. Environ une heure plus tard, j’étais en train de les regardé jouer et les hommes ne semblaient pas prêter attention à ma présence (comme si j’étais un objet faisant partie du décor), et mon maître eut l’idée de me mettre en gage comme il n’avait pas d’argent (liquide) pour miser. Il était dans la dernière ligne droite et tout le monde s’était couché sauf l’algérien. Après un temps d’hésitation il accepta l’enjeu que mon maître m’offre à lui s’il perdait la manche. Les deux hommes montrèrent leurs cartes et je compris que mon maître avait perdu quand il lui donna ma laisse pour le reste de la soirée. Je m’agenouillai à coter de lui (comme je l’avais fait avec mon maître) et il me dit qu’il ne m’avait pas gagné pour que je reste là sans rien faire, de plus comme il habitait loin, il n’aurait pas le temps de me tester complètement, alors il m’ordonna d’enlever ma tenu (de soubrette) et de passer sous la tables pour « lui faire du bien ». Je lançais un regard à mon maître afin de savoir si il était d’accord et il me dit fermement que jusqu’à nouvel ordre se serait lui mon maître. Alor je passais sous la table, l’algérien avait déjà baissé son pantalon et son caleçon et garda toujours ma laisse à son poignet pendant qu’il se concentrait sur le jeu. Sa verge était encore au repos, il avait un pubis touffu mais avait pris le soin de se raser complètement les testicules et la verge. Je pris sa verge entièrement dans la bouche et commençais à la téter comme un biberon pour la faire durcir. Une fois toute dur et après avoir commencé quelque vas et viens et ne pensant pas qu’elle serait devenu aussi longue (environ 20cm), je m’aperçu que je n’avais pas assez de place avec la table. Je ne pouvais pas ressortir son gland de ma bouche. J’entendais pendant ces long vas et viens les commentaires qu’il faisait sur moi à mon maître. Je sentis au bout d’un moment que le mec était en train de se crisper, puis j’entendais qu’il réclamait à mon maître s’il pouvait se terminer dans ma bouche. Je n’entendais pas la réponse de mon maître et senti une main m’appuyer sur la tète. Je sentais son jus gicler dans mon palet, sur ma langue et en même temps couler directement dans ma gorge. Je n’avais pas d’autre choix que de tout avaler au fur et à mesure (et il y en avait une grosse quantité). Une fois terminé il me fit sortir de dessous la table, me releva (avec ma laisse), me mis une claque sur le cul et me renvoyait à mon maître en me complimentant de « bonne suceuse ». Il repartait peu de temps après car il avait de la route à faire tandis que les autres (dont mon maître) continuèrent la partie. Le jeu reprenait de plus belle (avec moi de retour à genoux aux cotés de mon maître), cependant il commençait à se faire tard et le dernier tour (de cartes) arrivait. Mon maître refit le coup de tout à l’heure, en me mettant en jeu avec un des deux blacks cette fois-ci et comme tout à l’heure il perdit le tour. Par contre cette fois-ci, comme il était prévu que cet homme reste « dormir », il aurait surement droit à la totale. Tout le monde se disait « bonne nuit » et lui m’emmena dans la chambre en me tirant par la laisse. Une fois dans la pièce, il me menottait (avec une pair de menottes qu’il avait vue sur la table de chevet) les mains dans le dos, me retirait le string et me mis à quatre patte (façon de parler avec les mains dans le dos) sur le lit. Il me léchait l’anus et me doigtait en même temps, il me fit dilater assez rapidement, c’était terriblement bon et ce pendant une vingtaine de minutes puis il s’arrêtait. Il se déshabillait complètement, me tirait par la laisse pour me mettre à genoux sur le sol à coté du lit et lui s’asseyait sur le bord du lit en face de moi. Sans dire un mot, il me tirait par la laisse vers sa queue qui était à moitié dur afin de la prendre en bouche et ainsi l’humidifié comme il se doit. Je suçais son sexe qui était encore un peu plus grand (à peu près 22cm) que celui de l’algérien que j’avais gouté précédemment dans la soirée, mais le sien était entièrement rasé. Je léchais aussi bien son gland, que sa verge et ses couilles qui me caressaient le visage en même temps. Ensuite je reprenais la verge en bouche pour des vas et viens pendant lesquels il posait sa main sur ma tête afin de me la mettre au plus profond possible de la gorge. Il n’hésitait pas non plus de temps à autres à me cracher de la salive en pleine bouche (surement un tuyau de mon maître) afin d’encore plus lubrifié la bouche qui accueillait sa queue. Les vas et viens buccaux durèrent près d’une demi-heure, ensuite il me tirait par la laisse pour me faire revenir sur le lit et toujours à quatre pattes. Il me mit ensuite le gag ball, que mon maître avait, en me chuchotant à l’oreille que c’était pour ne pas réveiller mon maître (avec mes gémissements) qui dormait peut-être déjà. Il s’installait ensuite derrière moi et s’étalait un peu de lubrifiant sur sa bite (je n’ai pas dit « sur la capote qu’il avait sur sa bite ») toute raide pour s’insérer au mieux dans mon anus. Il forçait un peu l’entrée sans prêter attention à ce que moi je ressentais à ce moment là, il fit en même temps quelques commentaires (sympathiques) sur mes fesses et le trou du milieu en y mettant quelques claques et me tirant par à-coups sur la laisse. Il commença un va et viens anal puissant en allant à chaque fois un peu plus profond en moi. Au bout de quelques minutes il réussissait à rentrer sa queue entièrement en moi, je sentais ses couilles taper contre les miennes et son gland frotter à mon intestin (ce qui me fit un peu mal n’étant pas habitué à de si grand membre). Il me baisa à quatre pattes comme ça, comme une pute, pendant près d’une heure en n’omettant pas de m’insulté de tout les noms et qu’une fois que mon maître en aurait assez de moi, je deviendrai son vide couilles personnel. D’un seul coup, il se retira de mon cul et me dit qu’il aimait se terminer là où il avait commencé. Il me fit redescendre du lit, m’enlevait le gag ball et m’ordonnait d’ouvrir la bouche pour y recevoir la queue que j’avais entre les fesses il n’y a même pas 3 minutes ! Etant mon maître (du moins momentanément), j’obéissais sans discuter ses ordres, pendant que je reprenais mon travail de suceuse, il me félicitait sur la propreté de mon petit trou tout en me disant (et rigolant en même temps) qu’il y avait plutôt intérêt à ce qu’il le soit vu que j’étais entrain de pomper la bite qui m’a ramoner pendant plus d’une heure. Quelques instant après, il me disait qu’il aimait verser son jus sur une langue de salope, il m’appuya sur la tête pour me faire descendre au niveau de ses testicules (afin de les caressés avec ma langue). Il se branlait pour faire monter la sève le plus possible jusqu’au moment où il me dit « ouvre grand la gueule sale chienne ! ». Je m’exécutais très vite en ouvrant en grand la bouche et tirant la langue en même temps. Il y déposa son gland tout en continuant à se masturber pour y déverser une très grosse quantité de jus blanc et épais au goût amère (mais qui me plait bien). Une fois complètement vidé, il m’ordonnait de tout avaler et de ne pas en laisser un goûte, je m’exécutais aussi tôt mais quand il c’est un peu reculé pour me laisser gober la décharge, quelques petites goutes tombèrent sur le sol. Il me tira par la laisse pour lui nettoyer (avec ma bouche) sa queue et une fois fait, il me retira par la laisse pour lécher les quelques gouttes au sol. Une fois fait, il me renvoyait avec mon maître pour passer la nuit.
4e jour : Mon maitre me réveillait vers 10h30, il n’y avait plus que nous dans la maison, il avait ressorti mes affaires de mec, m’ordonnait d’aller me laver et m’habillé car il fallait qu’il me ramène chez moi. Il n’oubliait pas de me dire que ceux qui m’avait testé hier soir (notamment le deuxième homme) avaient énormément apprécié et qu’il faudrait très prochainement une mise à dispo. Je partais me préparer et dès ma sortie de salle de bain, mon maître me raccompagnait chez moi dans l’attente du weekend prochain.

Les avis des lecteurs

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excellent, je me masturbe, je me sens femelle et pute à verges

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c est une tres belle histoire j ai bien aime ça m afait bander je me suis masturber et j ai jouis comme une sale pute que je suis merçi j ai bien aime

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je suis une vieille femelle gaie et soumise je me suis masturbée

Histoire Libertine
j'ai tellement aimé que je suis decue de pas lire la suite..bravo pour la simplicité des
phrases qui m'ont incité a lire jusqu'a la fin..chose que je fais rarement



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