Une aventure érotique : Enculé - histoire érotique

J’étais en train d’enculer ma jeune secrétaire quand celle-ci, vicieuse comme pas deux me demanda si je n’aimerai pas à mon tour être pris par derrière ! La remarque m’étonna, moi le macho, moi le baiseur de femme invétéré me faire prendre comme un homo ? Mais que pensait 'elle ? Je lui ai dit de ne même pas y penser et je redoublais mes coups de butoir pour la faire gémir de plaisir… Quelques minutes après avoir déculé, et après avoir un peu récupéré nos esprits, Juliette, ma secrétaire remis cela sur le tapis :

- Tu sais Marc, c’est vraiment génial la sodomie, ce serait bien que tu essais pour voir !


- Me faire prendre par derrière, mais tu n’y penses pas, je ne suis pas gay !


- Mais je ne te parle pas de te faire enculer par un mec ! tu sais il existe des godes-ceinture pour que les femmes puissent se prendre entre elles ou bien enculent leur amant.


Effectivement vu sous cet angle c’était différent, mais quand même, la position est humiliante. Je me comportais plutôt comme le dominant avec les femmes et je n’avais pas trop le goût à la soumission… Je lui en fis la remarque :

- Les femmes, c’est moi qui les baise, je n’ai pas trop l’intention de changer cela…

- Tu n’es qu’un sale macho Marc, c’est dommage que tu sois si peu ouvert, tu manques certaines choses qui pourraient t’ouvrir l’esprit !


- Ouai, tu veux plutôt dire m’ouvrir le cul !


Et je partis dans un rire bien gras, content de mon humour scabreux.


Quelques jours plus tard, j’avais oublié cette conversation et m’apprêtais à convoquer ma secrétaire Juliette pour assouvir mes pulsions et faire cocu ma femme une énième fois !
Ce jour là, j’avais envie d’amour buccal, un 69 me satisferait pleinement ! Je décrochais le téléphone et tapais le numéro de ma secrétaire sur la ligne interne de l’entreprise :

- Juliette, pouvez-vous passer dans mon bureau, j’ai du travail pour vous…

La jeune fille savait à quoi s’en tenir quand je lui passais des coups de fil de ce genre ! Et c’est la jupe relevée et sa chemisette entrouverte qu’elle entra dans mon bureau… Celle-là, elle n’avait pas son pareil pour me mettre le feu !


J’avais sortis mon sexe déjà en érection pour qu’elle commence à me le pomper. Elle s’en empara et je lui fis comprendre de se placer de manière à se que je puisse lui mater et caresser l’entre-jambe. Toujours assis sur ma chaise, je m’abandonnais au plaisir de faire minette tout en étant sucé, je ne me rendais pas compte de ce qui se passait autour de moi… Trois de mes collègues de bureau, toutes amantes occasionnelles étaient entrées dans la pièce. Je sentis mes mains attrapées et attachées tandis que Juliette se relevait. Face à moi, j’avais mes quatre « amantes de boulot ». Si je ne savais pas si elles étaient au courant de leurs relations respectives avec moi, désormais j’en avais la preuve ! Les quatre garces avaient attachées mes mains grâce à des menottes, je ne comprenais pas bien ce qui se passait et devant mon air étonné, Christelle, la plus dévergondée des quatre pris la parole :

- Mon cher Marc, tu es un merveilleux amant et nous n’avons à nous plaindre aucune des quatre de tes performances, mais en discutant entre nous, nous avons convenues que tu étais un peu trop porté sur le machisme… Nous avons donc décidé de t’instruire aux choses de la sodomie, ce qui aura pour effet non seulement de te faire découvrir un nouveau plaisir mais en plus de te faire un peu redescendre de ta position de mâle dominant.


Effaré et en colère je me débattais.


- Inutile de résister, nous avons pris notre décisions et ne reculerons pas, laisse toi faire, laisse toi aller au plaisir anal.


Elles me firent me retourner et me plaquèrent sur mon bureau, fesses cambrées et offertes. Je me sentais humilié mais étrangement je bandais comme un fou.


Juliette sortis de son sac à main quatre godes-ceintures et les distribuas… Pour une première fois du côté pile, j’allais avoir droit à la totale ! Noemi, habituellement la plus timide, se fit un plaisir de me préparer la rondelle en me la léchant et doigtant abondamment. Coralie, la plus mignonne eu l’honneur d’être la première, j’allais être dépucelé du cul par une jolie fille blonde à tête d’ange d’à peine vingt ans !


Etrangement, je me suis alors calmé. Quant tout semblait perdu pour moi quant à ma fierté, je réalisais que finalement ce n’était pas si terrible que ça, être seul dans mon bureau avec quatre jolies filles prêtes à assouvir pour une fois leur fantasme plutôt que les miens. Tout en me détendant, je facilitais l’intrusion dans mon intimité du gros membre en plastic. Bien lubrifié, celui-ci se frayait un chemin petit à petit. Coralie me pénétrait sans violence, tout en retenue et en douceur. Les trois autres filles étaient complètement excitées par la scène, elles criaient, rigolaient nerveusement et se touchaient les unes les autres.


Coralie, de son côté, accentuait la cadence, voyant que mon postérieur acceptait facilement l’offrande, elle poussait plus loin et plus fort son exploration et ses coups de queue.
Mon sexe était bandé à son maximum, il me faisait presque mal tellement il était dur ! Noemi pris alors l’initiative de le prendre en bouche… Je n’ai pas tenu plus d’une minute avant d’éjaculer abondamment dans la gorge de donzelle… Un plaisir immense me submergea alors et je jouis comme jamais auparavant. Heureuses de mon plaisir, les quatre filles me cajolèrent alors, m’embrassant et me caressant. Pendant un moment j’ai été à leurs petits soins. Elles m’expliquèrent que cela faisait un moment qu’elles fantasmaient sur ce moment mais que voyant bien que je n’accepterai jamais la chose, elle s’étaient dites qu’il fallait un peu forcer les choses. Cependant elles craignaient ma réaction.

Ce fut la bonne pour elles puisque non contant de ne pas me rebeller une fois détaché, je leur présentais une nouvelle fois mon trou du cul pour que celles-ci s’en occupent…