Une aventure érotique : Petit boulot et gros cochon - histoire érotique

J’aimerai me dire que cette histoire ne s’est jamais passée, que c’est juste le fruit de mon imagination et pourtant elle est bien réelle et chaque fois que j’ai le malheur d’y penser je mouille abondamment ma petite culotte ou mon string…


Il y a de cela cinq ans, j’étais encore étudiante et pour payer mes études, mes parents m’avaient trouvé un petit boulot de repassage chez un de leur ami qui se nomme Roger.
Roger est célibataire, la quarantaine, les cheveux dégarnis et bien gros. Ce vieux garçon est vraiment repoussant avec sa graisse qui déborde de partout, son front toujours luisant de sueur et sa façon de parler graveleuse. Vraiment un remède contre l’amour ! Ses déboires amoureux était nombreux et j’ai souvent entendu mes parents parler de lui comme quelqu’un qui ne se comportait pas toujours bien : misogyne et un penchant sérieux pour la bouteille. Moi je l’avais souvent vu à la maison venir voir les matchs de football lors des soirées européennes. L’homme, depuis que j’avais pris mes formes féminines me reluquais à la dérobée et je trouvais cela dégueu et déplacé !


Pendant que je repassais ses habits immenses, Roger était vautré sur son canapé à regarder des téléfilms insipides sur son téléviseur 16/9 °. Il faisait chaud et je n’étais habillée que d’un débardeur et d’un petit short, Roger comme à son habitude ne se gênait pas pour me mater du coin de l’œil. Lui était habillé d’un marcel et d’un short large. Sa graisse dépassait de partout et la chaleur rajoutait, si c’était possible, encore plus de sueur sur son corps qu’à l’accoutumée. Il commentait sans arrêt ce qui se passait à la télévision en insistant souvent sur la beauté des actrices… Enfin, ce n’était pas tout à fait le langage qu’il utilisait… C’était plutôt :


« Regarde moi ces salopes comme elles sont bien roulées… »


Ou bien :


« Putain la paire de nibard qu’elle a celle là… On en mangerait ! »


Je n’étais pas vraiment outrée, j’avais l’habitude de l’entendre parler de la sorte mais quand même, si les pauvres actrices pouvaient entendre ce qui se dit sur leur dos… peut être que cela leur plairait… Oups ! Quelle pensée vient de me traverser ! Mais à bien y penser cela doit être excitant de se savoir désirée de la sorte, comme une femme objet, une salope ! Ma réflexion m’étonna et me fit rougir devant ma table à repasser.


Je continuais donc trois fois par semaines à me rendre chez Roger. Celui-ci était toujours affalé devant son poste de télévision quand un beau jour il regarda un film un peu coquin… Pas un film porno, non, mais un film où les nanas sont habillées très très court et où l’histoire, ras les pâquerettes, aborde le thème de l’érotisme.


Roger comme à l’accoutumée, se délectait d’ajouter ses commentaires au film… Et moi cela m’excitait de l’entendre traiter ses jolies filles de greluches, de pétasses, de salopes et autres noms d’oiseaux ! Roger, se rendant compte de mon trouble me demanda si je voulais qu’il change de film, si cela me gênait, je lui répondit que non, qu’il n’y avait pas de problème, que j’étais majeure et vaccinée et que j’en avais vu d’autres… Que n’avais je pas dit !...


Il me demanda ce que je voulais dire par en ‘avoir vu d’autre’…


J’ai dû lui avouer avoir regardé quelques fois les films pornos de mon frère en cachette…


Il me demanda si cela m’avait plût, je lui avouais que… Oui cela ne m’avait pas déplût !


Ensuite il voulu savoir si j’avais eu des petits amis et si j’avais de l’expérience du haut de mes vingt et un ans…


Je trouvais ses questions très déplacées mais allez savoir pourquoi j’y répondais sans broncher, malgré moi excité d’un tel interrogatoire…


Oui j’ai eu des petits amis et oui j’ai un peu d’expérience…


Ses questions devenaient plus crues, plus coquines…


-Tu as déjà fait l’amour avec deux mecs à la fois ?


- Heu… non…


- Tu as déjà fait l’amour avec un mec beaucoup plus vieux que toi ?


- Oui…


- Quel age ?


- Trente ans…


- Cochonne… Et il t’a fait quoi ?
Cochonne… Ce mot avait fait tilt et me fit monter encore plus le rouge aux joues et la mouille au fion…


- Il m’a appris la fellation…


- Et la sodomie, tu as déjà pratiqué ?


- Ben….


- Oh la salope tu l’as fait ? Avoue, tu t’es déjà faite enculée ?


- Oui…


- J’en était sûr ! Avec le corps que tu as, tu dois être une vraie chienne au lit…


- J’aurais du protester, je le sais, mais que voulez vous… Je ne pouvais pas, j’étais dans un état d’excitation trop avancé…


Je passe les autres questions pour arriver au moment où il me dit remarquer que son interrogatoire avait l’air de me plaire… J’avais effectivement sans m’en rendre compte mis une main sur mon pubis pour y appuyer dessus et me procurer un petit effet…


J’étais surprise de se geste que j’avais eut et retirais bien vite ma main…


- Mais ne l’enlève pas coquine, fais-toi du bien si tu en as envie… Moi je ne me gène pas pour me masturber quand je reluque ces films de salopes…


Et il portât sa main à son bas ventre…


J’étais pétrifiée… Mais ne bougeais pas, comme hypnotisée…


Il sortit de son short une queue bandée, une queue pas très longue mais bien grosse…


Ce gros lard libidineux et en sueur se branlait la queue devant mes yeux de jeune fille !
J’aurai peut être du partir mais je n’en fit rien, bien au contraire je me délectais de voir aller et venir ses doigts boudinés sur son mandrin…

- Approche petite, viens voir mon membre de plus prêt !


Timidement je m’approchais de cet homme que je trouvais monstrueux… Mais la situation m’excitait au plus au point : un gros lard laid et crados, un gras du bide qui n’a sûrement eu dans sa vie que des expériences avec des prostitués, ce boudin blanchâtre et adipeux se faisant une jeune fille canon comme moi…


- Allez, penche-toi, prend ma bite dans ta gueule, tu en crèves d’envie…


J’obéis et trouvais son sexe fort appétissant, au contact de mes caresses buccales, le vit s’érigeait de plus en plus fièrement pour atteindre des proportions plus qu’appréciables !


Il éjacula rapidement et j’avalais goulûment cet important flot spermatique.
Roger en plus de ses « nombreuses » qualités était en plus éjaculateur précoce !


J’étais frustrée, j’avais envie moi aussi d’avoir du plaisir… Chose qu’il me donna avec sa langue et ses doigts… Je me dis avec le recul qu’il n’est pas étonnant qu’un homme aussi gros et donc aimant autant manger soit si bon dans le cunnilingus !


Par la suite à chaque fois que je me rendis chez lui nous avons recommencé ce manège… Roger m’a pénétré une seule fois et ce fut un fiasco mais jamais un homme ne m’avait donné autant de plaisir avec la bouche ! Sa langue est une experte pour caresser un clito et je le lui ai dit ce qui à eu l’air de le flatter.


Je lui ai dit qu’on arrêterait de ce voir en fin d’été quand je repartirais à mes études… Mon dernier jour de repassage il m’offrit des fleurs, j’en ai été flattée, cette soudaine preuve de sensibilité de la part d’un homme si grossier m’émue plus que je ne l’aurais dû.


Je l’ai revue trois fois depuis et nous n’en avons pas reparlé, juste quelques regards furtifs qui veulent tout dire…