Une aventure érotique : Soumise
Récit érotique écrit par DeLaLune [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-10-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Une aventure érotique : Soumise
J’aime être soumise aux hommes, je ne saurai pas expliquer les raisons ou les causes de ce vice mais je ne peu concevoir l’acte charnel sans me sentir sous l’emprise de l’homme avec qui je copule !
Depuis toute jeune et mes premiers émois, j’ai toujours été attirée par les mecs virils et machos, les minets, très peu pour moi ! Par contre l’acceptation de ma part de ce côté SM ne s’est faite que petit à petit. J’étais, vers 18 ans, comme la plupart des filles de mon âge, bercée par des rêves un peu « fleur bleue ». J’attendais le prince charmant, seulement, moi, il n’était pas blond, imberbe et filiforme… Il était plutôt bien brun, musclé et assez poilu !
Ma première fois avec un mec c’est passé avec un petit ami doux et prévenant, je n’ai rien à lui reprocher, il a été vraiment sympa et a tout fait pour que cela se passe bien. Par contre je n’ai pas vraiment ressentis d’orgasme, du moins pas tel qu’on en rêve, j’étais juste bien avec lui et heureuse d’être devenue une femme.
J’ai eu, par la suite, différents petits amis qui me plaisaient mais aucun ne sus m’amener au 7° ciel ! Je les prenais pourtant tous bien virils !
A l’âge de 20 ans, alors que j’allais à la Fac, je perdis mes dernières rondeurs d’adolescente pour devenir une jeune et jolie femme. Blonde, les yeux bleus, des jolis seins ni trop petits ni trop gros, un petit cul rebondis et de longues jambes faisaient que je plaisais (et à 30 ans je plais toujours !!!) beaucoup aux hommes.
Je pris conscience d’un fait nouveau à cette époque là, c’est que je prenais plaisir aux regards des hommes un peu « goujats » sur les bords ! En effet, sur le chemin de la fac, il y avait un chantier où travaillaient des ouvriers. Chaque matin quand je passais prêt d’eux, ils me sifflaient et m’apostrophaient. Elevée par un mère « ex-soixante-huitarde » et féministe, ce genre de façon de faire, je l’avais toujours condamnée… Jusqu’au jour où cela m’est arrivée ! Car malgré moi, j’étais excitée par ces sifflets et termes grossiers à mon égard. Bien sur, au début, j’ai été outrée, je marchais vite parce que j’avais un peu honte d’être ainsi l’objet de leur drague peu finaude ! Mais si ma tête pensais : « quels malotrus ceux là », ma culotte me disais : « comme j’aimerai qu’ils me touchent ! ».
Au fil des jours j’ai ralentis ma marche pour profiter plus longtemps de la sensation de leurs regards posés sur moi. Puis je me suis habillée de façon plus provoquant : jupes plus courtes, hauts plus échancrés, vêtements plus prêts du corps… J’ai fini par leur sourire carrément, leur décochant même des petits clins d’oeils qui voulaient tout dire !
Ce qui devait arriver arriva : un jour, deux de ces ouvriers me suivirent dans la rue et voulurent me payer un pot. J’ai refusé, mais ils ont insistés et m’ont suivis jusque chez moi… J’étais apeurée mais aussi excitée… Et là, au lieu d’entrer dans mon appartement et de leur fermer la porte au nez, j’ai fait la chose la plus folle de ma vie de jeune et jolie fille : je suis rentrée chez moi sans dire un mot mais ai laissé la porte entre ouverte… Les deux ouvriers sont bien sur entrés, heureux de l’aubaine !
« Alors comme ça la petite bourgeoise fait la sainte ni touche, elle nous allume mais refuse notre invitation, elle nous fuit dans la rue mais laisse la porte de son appartement ouverte… »
Dis le premier, un homme d’une quarantaine d’année au visage buriné par le soleil et sûrement d’origine espagnole ou portugaise.
N’en menant pas large et regrettant d’avoir eu se geste un peu fou je leur répondis :
« Sortez, laissez moi tranquille, je n’ai pas fait exprès de ne pas fermer… »
« Mais bien sur ! Tu te fais suivre pas deux mecs dans la rue et tu oublies de fermer ta porte ! ! ! » Répond le second, un Magrebin d’à peu près mon âge.
« Sortez où je cris ».
« Voyons ma jolie, tu ne veux donc pas profiter de la chance que tu as que d’avoir deux grosses et jolies queues à ta disposition ? »
Tout en disant cela, l’ibère avait sorti de son pantalon une verge bien grosse, large et tendue d’une façon extrême… Abasourdie, je restais pétrifiée sur place devant un tel engin. Tandis que je restais là, comme hypnotisée, il me pris la main et la posa sur son sexe.
« Tiens viens tâter de la marchandise ! Je suis sûr que tes petits copains n’en n’ont pas de si jolies »
Ma tête me tournait sous l’excitation et la tentions, mon bas ventre me brûlait et ma culotte était trempée de désir… Le beur derrière moi, se collant derrière mon dos me dit :
« Allez petite salope, fait donc plaisir à mon copain Marco : prend sa pine en bouche et montre ce que tu sais faire ».
Me voyant hésitante, il pris ma tête et me força à me baisser au pied de son aîné.
« Je t’ai dis de le sucer… Et applique toi, une pute dans ton genre doit apprendre à donner du plaisir aux hommes… ».
A quatre pâtes, je pris donc l’énorme gland de Marco entre mes lèvres et commençais à le lécher et le sucer.
« Voilà, très bien, tu vois Habib que les petites cochonnes dans son genre ne sont pas farouches pour deux sous ! Il suffit de leur forcer un peu la main et on peut ensuite en faire ce que l’on veut ! »
Ses paroles, humiliantes pour moi, me firent un effet électrisant. Tout mon corps à présent réclamait du plaisir… Mes dernières réticences psychologiques tombaient, j’aillais m’offrir à eux comme la dernière des putains !
Habib pendant que je suçais Marco, m’avait soulevée la jupe et baissée ma culotte.
« La traînée ! Elle a la culotte complètement trempée ! »
Marco : « Met toi en position, je vais te rentrer la chatte »
Obéissante, je m’exécute et lui présente ma chatte en position de levrette.
« Oh mais dans cette position, c’est ton cul qui me donne envie ! »
Et sans me prévenir il me saisis par les hanches, crache dans mon petit trou et présente son gros pénis à l’entrée de mon cul. Il commence à me forcer, ça me fait mal, je crie :
« Non s’il vous plait, pas par là, je suis encore vierge, on ne m’a jamais sodomisée, vous allez me faire trop mal avec votre grosse bite ! »
« Tu as raison connasse, il vaut mieux que ce soit Habib qui te déflore le cul, son sexe est moins large que le mien… »
Sur ce, Habib ce place à son tour derrière moi et me plante son pénis dans mon anus. Il pousse petit à petit. Bien que plus fine que celui de son collègue, sa pine me fait quand même mal quand elle rentre, mais c’est supportable, d’autant plus que Marco a entrepris de me lécher le clito ce qui a pour effet de me faire mouiller encore plus. La mouille lubrifie mon petit trou et ainsi le sexe du plus jeune de mes deux amants rentre de mieux en mieux dans mon fondement. Le Magrébin devait avoir énormément envie puisqu’il n’a pas été long à jouir en moi, la sensation de sentir son sperme dans mes entrailles est étonnante…
« Ola, Habib ! Tu es un rapide toi ! Fait toi nettoyer la bite par la petite, je vais la prendre en levrette ».
Et voilà que de nouveau on change de position. J’allais enfin recevoir la grosse pine de Marco dans ma chatte, j’en avais énormément envie et quand celui-ci me rentra, c’est mon corps tout entier qui fut pris d’un frisson de bonheur. Puissant et endurant, il me lima en cadence. M’insultants tout les deux, je n’écoutais pas vraiment leurs paroles ordurières, mais me sentir offerte et soumise à ces deux hommes m’excitait comme une folle. Je sentais monter en moi quelque chose de nouveau, quelque chose de fort… Mon premier véritable orgasme…
J’ai crié sous le choc, j’ai hurlé même. J’ai moi aussi, malgré moi, commencée à sortir des mots salaces et cochons.
« Oh oui ! Oh ouiiiii, défoncez moi, faites de moi ce que vous voulez, je suis votre chose, votre chienne, votre objet… »
Voilà comment j’ai découvert mon goût pour la soumission. Ses deux hommes sont revenus chez moi, d’abord chacun de leur côté ou tout les deux, puis accompagnés par des collègues à eux, ce manège a duré environ 3 ou quatre mois. Trois ou quatre mois pendant lesquels Marco a fini par réussir à me sodomiser ! Trois ou quatre mois où j’ai connu toute sortes de choses jusque là inconnues pour moi comme la double pénétration, les douches de sperme ou de pisse, la fessée, le bondage…
Par la suite, tout mes amants furent des dominateurs, Je suis allée très loin dans ces jeux de soumission et désormais je peux dire que je sais ce qui me plait et ce qui ne me plait pas dans les relations SM. Je vis actuellement depuis deux ans avec le même homme qui me comble sur ce plan là, nous avons trouvés le juste équilibre et la juste frontière entre la vie de couple normale et notre sexualité si particulière…
Depuis toute jeune et mes premiers émois, j’ai toujours été attirée par les mecs virils et machos, les minets, très peu pour moi ! Par contre l’acceptation de ma part de ce côté SM ne s’est faite que petit à petit. J’étais, vers 18 ans, comme la plupart des filles de mon âge, bercée par des rêves un peu « fleur bleue ». J’attendais le prince charmant, seulement, moi, il n’était pas blond, imberbe et filiforme… Il était plutôt bien brun, musclé et assez poilu !
Ma première fois avec un mec c’est passé avec un petit ami doux et prévenant, je n’ai rien à lui reprocher, il a été vraiment sympa et a tout fait pour que cela se passe bien. Par contre je n’ai pas vraiment ressentis d’orgasme, du moins pas tel qu’on en rêve, j’étais juste bien avec lui et heureuse d’être devenue une femme.
J’ai eu, par la suite, différents petits amis qui me plaisaient mais aucun ne sus m’amener au 7° ciel ! Je les prenais pourtant tous bien virils !
A l’âge de 20 ans, alors que j’allais à la Fac, je perdis mes dernières rondeurs d’adolescente pour devenir une jeune et jolie femme. Blonde, les yeux bleus, des jolis seins ni trop petits ni trop gros, un petit cul rebondis et de longues jambes faisaient que je plaisais (et à 30 ans je plais toujours !!!) beaucoup aux hommes.
Je pris conscience d’un fait nouveau à cette époque là, c’est que je prenais plaisir aux regards des hommes un peu « goujats » sur les bords ! En effet, sur le chemin de la fac, il y avait un chantier où travaillaient des ouvriers. Chaque matin quand je passais prêt d’eux, ils me sifflaient et m’apostrophaient. Elevée par un mère « ex-soixante-huitarde » et féministe, ce genre de façon de faire, je l’avais toujours condamnée… Jusqu’au jour où cela m’est arrivée ! Car malgré moi, j’étais excitée par ces sifflets et termes grossiers à mon égard. Bien sur, au début, j’ai été outrée, je marchais vite parce que j’avais un peu honte d’être ainsi l’objet de leur drague peu finaude ! Mais si ma tête pensais : « quels malotrus ceux là », ma culotte me disais : « comme j’aimerai qu’ils me touchent ! ».
Au fil des jours j’ai ralentis ma marche pour profiter plus longtemps de la sensation de leurs regards posés sur moi. Puis je me suis habillée de façon plus provoquant : jupes plus courtes, hauts plus échancrés, vêtements plus prêts du corps… J’ai fini par leur sourire carrément, leur décochant même des petits clins d’oeils qui voulaient tout dire !
Ce qui devait arriver arriva : un jour, deux de ces ouvriers me suivirent dans la rue et voulurent me payer un pot. J’ai refusé, mais ils ont insistés et m’ont suivis jusque chez moi… J’étais apeurée mais aussi excitée… Et là, au lieu d’entrer dans mon appartement et de leur fermer la porte au nez, j’ai fait la chose la plus folle de ma vie de jeune et jolie fille : je suis rentrée chez moi sans dire un mot mais ai laissé la porte entre ouverte… Les deux ouvriers sont bien sur entrés, heureux de l’aubaine !
« Alors comme ça la petite bourgeoise fait la sainte ni touche, elle nous allume mais refuse notre invitation, elle nous fuit dans la rue mais laisse la porte de son appartement ouverte… »
Dis le premier, un homme d’une quarantaine d’année au visage buriné par le soleil et sûrement d’origine espagnole ou portugaise.
N’en menant pas large et regrettant d’avoir eu se geste un peu fou je leur répondis :
« Sortez, laissez moi tranquille, je n’ai pas fait exprès de ne pas fermer… »
« Mais bien sur ! Tu te fais suivre pas deux mecs dans la rue et tu oublies de fermer ta porte ! ! ! » Répond le second, un Magrebin d’à peu près mon âge.
« Sortez où je cris ».
« Voyons ma jolie, tu ne veux donc pas profiter de la chance que tu as que d’avoir deux grosses et jolies queues à ta disposition ? »
Tout en disant cela, l’ibère avait sorti de son pantalon une verge bien grosse, large et tendue d’une façon extrême… Abasourdie, je restais pétrifiée sur place devant un tel engin. Tandis que je restais là, comme hypnotisée, il me pris la main et la posa sur son sexe.
« Tiens viens tâter de la marchandise ! Je suis sûr que tes petits copains n’en n’ont pas de si jolies »
Ma tête me tournait sous l’excitation et la tentions, mon bas ventre me brûlait et ma culotte était trempée de désir… Le beur derrière moi, se collant derrière mon dos me dit :
« Allez petite salope, fait donc plaisir à mon copain Marco : prend sa pine en bouche et montre ce que tu sais faire ».
Me voyant hésitante, il pris ma tête et me força à me baisser au pied de son aîné.
« Je t’ai dis de le sucer… Et applique toi, une pute dans ton genre doit apprendre à donner du plaisir aux hommes… ».
A quatre pâtes, je pris donc l’énorme gland de Marco entre mes lèvres et commençais à le lécher et le sucer.
« Voilà, très bien, tu vois Habib que les petites cochonnes dans son genre ne sont pas farouches pour deux sous ! Il suffit de leur forcer un peu la main et on peut ensuite en faire ce que l’on veut ! »
Ses paroles, humiliantes pour moi, me firent un effet électrisant. Tout mon corps à présent réclamait du plaisir… Mes dernières réticences psychologiques tombaient, j’aillais m’offrir à eux comme la dernière des putains !
Habib pendant que je suçais Marco, m’avait soulevée la jupe et baissée ma culotte.
« La traînée ! Elle a la culotte complètement trempée ! »
Marco : « Met toi en position, je vais te rentrer la chatte »
Obéissante, je m’exécute et lui présente ma chatte en position de levrette.
« Oh mais dans cette position, c’est ton cul qui me donne envie ! »
Et sans me prévenir il me saisis par les hanches, crache dans mon petit trou et présente son gros pénis à l’entrée de mon cul. Il commence à me forcer, ça me fait mal, je crie :
« Non s’il vous plait, pas par là, je suis encore vierge, on ne m’a jamais sodomisée, vous allez me faire trop mal avec votre grosse bite ! »
« Tu as raison connasse, il vaut mieux que ce soit Habib qui te déflore le cul, son sexe est moins large que le mien… »
Sur ce, Habib ce place à son tour derrière moi et me plante son pénis dans mon anus. Il pousse petit à petit. Bien que plus fine que celui de son collègue, sa pine me fait quand même mal quand elle rentre, mais c’est supportable, d’autant plus que Marco a entrepris de me lécher le clito ce qui a pour effet de me faire mouiller encore plus. La mouille lubrifie mon petit trou et ainsi le sexe du plus jeune de mes deux amants rentre de mieux en mieux dans mon fondement. Le Magrébin devait avoir énormément envie puisqu’il n’a pas été long à jouir en moi, la sensation de sentir son sperme dans mes entrailles est étonnante…
« Ola, Habib ! Tu es un rapide toi ! Fait toi nettoyer la bite par la petite, je vais la prendre en levrette ».
Et voilà que de nouveau on change de position. J’allais enfin recevoir la grosse pine de Marco dans ma chatte, j’en avais énormément envie et quand celui-ci me rentra, c’est mon corps tout entier qui fut pris d’un frisson de bonheur. Puissant et endurant, il me lima en cadence. M’insultants tout les deux, je n’écoutais pas vraiment leurs paroles ordurières, mais me sentir offerte et soumise à ces deux hommes m’excitait comme une folle. Je sentais monter en moi quelque chose de nouveau, quelque chose de fort… Mon premier véritable orgasme…
J’ai crié sous le choc, j’ai hurlé même. J’ai moi aussi, malgré moi, commencée à sortir des mots salaces et cochons.
« Oh oui ! Oh ouiiiii, défoncez moi, faites de moi ce que vous voulez, je suis votre chose, votre chienne, votre objet… »
Voilà comment j’ai découvert mon goût pour la soumission. Ses deux hommes sont revenus chez moi, d’abord chacun de leur côté ou tout les deux, puis accompagnés par des collègues à eux, ce manège a duré environ 3 ou quatre mois. Trois ou quatre mois pendant lesquels Marco a fini par réussir à me sodomiser ! Trois ou quatre mois où j’ai connu toute sortes de choses jusque là inconnues pour moi comme la double pénétration, les douches de sperme ou de pisse, la fessée, le bondage…
Par la suite, tout mes amants furent des dominateurs, Je suis allée très loin dans ces jeux de soumission et désormais je peux dire que je sais ce qui me plait et ce qui ne me plait pas dans les relations SM. Je vis actuellement depuis deux ans avec le même homme qui me comble sur ce plan là, nous avons trouvés le juste équilibre et la juste frontière entre la vie de couple normale et notre sexualité si particulière…
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