Une balançoire
Récit érotique écrit par Klauss [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-06-2009 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
Une balançoire
J'avais tout juste 17 ans quand j'ai réalisé que j'étais gay. Enfin, c'est surtout après avoir embrassé mon voisin que je l'ai compris. Voisin qui devint rapidement mon amant. Entre nous, tout allait bien. Autant sur le plan sentimental que sexuel. Pour tout vous dire, on le faisait partout. Mais je crois que ma meilleure expérience fut ce jour là, dans un parc. Il ne faisait pas très chaud dehors et Anton s'inquiétait pour moi. C'est alors qu'il me guida vers des balançoires puis enleva son manteau et prit place sur l'un des sièges suspendu par des chaînes avant de tendre sa main vers moi afin de m'attirer vers lui. Je pris place sur ses cuisses et passai mes bras autour de son cou avant de nicher mon visage dans son creux. Anton passa alors son manteau sur mes épaules dénudées et m'enlaça tendrement.
- C'est mieux comme ça ? Me demanda-t-il.
- Oui. Merci, je murmurai.
- Tant mieux alors, répliqua-t-il en déposant un chaste baiser sur mes lèvres.
Quand nos lèvres se séparèrent, j’en réclamai un autre et il captura mes lèvres avides des siennes avant que nos langues ne se rencontrent à la fois dans nos bouches mais aussi à l'air libre.
Il glissa ses doigts entre mon haut et ma peau froide et délicate, et je commençai à soupirer de bien être entre deux baisers enflammés. Anton ne put s'empêcher de sourire et déplaça lentement ses mains du dos vers mon ventre. Je frissonnai quand ses mains touchèrent mon bas ventre alors qu'il déboutonnait mon jeans. Il rompit notre dernier baiser pour s'emparer de mon cou que j'inclinai légèrement pour le lui offrir, alors que je sentais mon jeans s'ouvrir un peu plus sur mon boxer déformé par mon membre durci à cause du froid, mais aussi par l'excitation du moment présent.
Anton laissa ses doigts errer sur la bosse qui lui était offerte avant de chercher à pénétrer le sous-vêtement. Il glissa ensuite sa main droite à l'intérieur et extirpa mon érection naissante qu'il caressa doucement, effectuant de lent va-et-vient sur le muscle tendu.
Ma respiration était des plus difficiles, tandis que je collai mon front au sien et partageai avec lui le même air que nos lèvres, à quelques millimètres les unes des autres, rejetaient sensuellement. Par moment un de nous deux capturait les lèvres de l'autre, mais le baiser ne durait pas très longtemps car Anton aimait me regarder jouir sous sa main.
La masturbation était à son comble et les mouvements de main d'Anton étaient des plus rapides ... au point que pour ne pas crier trop fort, je lui mordis le cou, lui faisant ainsi d'abondantes marques qui lui resteraient très longtemps. Quand il me sentit proche de la fin, il ralentit ses va-et-vient, ce qui me fit soupirer de mécontentement. Mais Anton se fit pardonner par un langoureux baiser durant lequel il me souleva en passant ses mains sous mes cuisses. Je m'accrochai autant que je le pouvais pour ne pas tomber et Anton me posa sur la balançoire à sa place avant de se mettre à genoux dans le sable.
Il passa ses bras autour de ma fine taille et me prit en bouche. Je crispai mes mains sous le plaisir sur les chaînes retenant mon siège et fermai les yeux, profitant ainsi de cette paire de lèvres qui caressaient tout mon membre.
Anton fit un premier va-et-vient des plus lents sur ma hampe, collant ainsi sa langue contre la peau fine du muscle et, après être revenu à l'extrémité, il joua un peu avec le gland avant de lécher mon érection sur toute sa longueur, provoquant ainsi d'immenses sensations en moi. Je me mordis la lèvre pour ne pas crier mon plaisir. Mais la torture n'était pas terminée et ce n'était que le début.
Tout en jouant de sa langue sur ma verge tendue, Anton tira un peu plus sur le jeans jusqu'à ce qu'il dénude mes cuisses. Je n'avais bien évidement plus froid et j'étouffais même sous la chaleur des émotions qui m'envahissaient à cause de cette langue qui me taquinait outrageusement, mais aussi à cause des lèvres d'Anton qui était désormais en train d'explorer mes bourses.
Quelques fois, sa bouche se perdait plus bas, ce qui me donnait un avant goût de ce qui allait suivre. Mais de toute façon je me doutais très bien que nous n'en étions qu'aux préliminaires et qu'il avait bien l'intention de faire durer mon plaisir de manière sadique.
Après avoir quelques peu exploré mon intimité, Anton remonta vers ma verge inassouvie et recommença à lécher sa friandise avec amour et lenteur, s'attardant toujours plus sur le gland qu'il suçait plus particulièrement par moment.
Je n'en pouvais déjà plus. C'était déjà bien trop pour moi et se retenir plus longtemps m'était impossible. Je peinais d'ailleurs à ne pas m'effondrer sous l'orgasme que me faisait connaître mon amant. Et je savais que ce n'était rien en comparaison du moment court mais tellement plaisant que serait l'éjaculation ; surtout après s'être si longtemps retenu. J'avais donc enroulé mes poignets dans les chaînes qui retenaient la balançoire et j’enfonçais mes baskets dans le sable. J’avais également posé mon front contre un de mes bras levés et entremêlés dans les lianes d'acier. Ma respiration se faisait de plus en plus erratique.
- Anton, c'est ...
La fin de ma phrase se mut dans un cri aigue. Ce dernier fut suivit par le déversement de mon sperme dans la bouche d'Anton qui l'avala avant de s'emparer de mes lèvres encore tremblantes de plaisir.
- C'était..., j'avais du mal à retrouver mon souffle entre les baisers que me donnait mon amant. C'était...
- Ce n'est pas fini, répliqua-t-il sadiquement en m'embrassant et en déboutonnant son propre pantalon.
Je ne pu m'empêcher de sourire à ce qui allait se passer et je me levai de moi-même tournant le dos à mon amant et posant un genou sur la balançoire alors que mes bras s'enroulaient aux chaînes et que j’offrais son fessier à Anton. Ce dernier esquissa un sourire, ravi et se pencha pour humidifier de sa langue une nouvelle fois le contour de l'anneau de chaire. Je soupirai doucement à ses caresses plus qu'intimes.
Il fit entrer un premier doigt, plus exactement son index droit avec lequel il effectua de petits cercles pour me préparer. Je me cambrai un peu plus à mesure que le doigt s'enfonçait en moi puis je senti l'index gauche de mon amant me pénétrer. Les deux doigts préparèrent le terrain, élargissant de leur mieux mon entrée, afin que l'érection plus que conséquente d'Anton y passe mieux. Juste après avoir retiré ses doigts, Anton pressa son désir tendu contre mon intimité alors que je resserrai mes doigts sur les chaînes tout en gémissement doucement. Une fois qu'il fut en moi, Anton me laissa le temps de s'habituer à sa présence avant de débuter des coups de butoirs de plus en plus violents et de plus en plus profonds. Je ne pu retenir mes cris de jouissances, notamment à cause de la vigueur que mon amant mettait dans ses va-et-vient. Mon genou glissa du siège de la balançoire en même temps que mes mains se meurtrissaient contre les chaînes. Anton s'en rendit compte et ralentit son rythme jusqu'à effectuer de petit mouvement tout en se collant à mon dos.
- Bébé, relâche tes mains, tu vas te faire mal, dit-il en passant l'un de ses bras autour de ma taille.
- Oui, je murmurai en lui obéissant docilement.
Sans se retirer, Anton me fit me mettre à quatre pattes sur le sable avant de reprendre son rythme soutenu que j'accompagnais de gémissements durant lesquels je lui en demandais plus.
Anton parut satisfait et ne se fit pas plus prier pour monter d'un cran ses coups de reins. Devant ce nouveau degré de plaisir, j'enfonçai mes doigts dans le sable avant de prendre dans mes bras le siège de la balançoire, m'y accrochant désespérément comme à une bouée de sauvetage afin de ne pas m'effondrer de plaisir sur le sol. Anton fit encore quelques mouvements puis se vida dans mon corps dans un cri presque bestial. Il se retira peu après et se rhabilla avant de m'aider, moi qui étais encore dans les brumes de l'orgasme. Je me laissai lourdement asseoir sur le sol et Anton prit place sur mes cuisses pour me donner un langoureux baiser.
- C'est mieux comme ça ? Me demanda-t-il.
- Oui. Merci, je murmurai.
- Tant mieux alors, répliqua-t-il en déposant un chaste baiser sur mes lèvres.
Quand nos lèvres se séparèrent, j’en réclamai un autre et il captura mes lèvres avides des siennes avant que nos langues ne se rencontrent à la fois dans nos bouches mais aussi à l'air libre.
Il glissa ses doigts entre mon haut et ma peau froide et délicate, et je commençai à soupirer de bien être entre deux baisers enflammés. Anton ne put s'empêcher de sourire et déplaça lentement ses mains du dos vers mon ventre. Je frissonnai quand ses mains touchèrent mon bas ventre alors qu'il déboutonnait mon jeans. Il rompit notre dernier baiser pour s'emparer de mon cou que j'inclinai légèrement pour le lui offrir, alors que je sentais mon jeans s'ouvrir un peu plus sur mon boxer déformé par mon membre durci à cause du froid, mais aussi par l'excitation du moment présent.
Anton laissa ses doigts errer sur la bosse qui lui était offerte avant de chercher à pénétrer le sous-vêtement. Il glissa ensuite sa main droite à l'intérieur et extirpa mon érection naissante qu'il caressa doucement, effectuant de lent va-et-vient sur le muscle tendu.
Ma respiration était des plus difficiles, tandis que je collai mon front au sien et partageai avec lui le même air que nos lèvres, à quelques millimètres les unes des autres, rejetaient sensuellement. Par moment un de nous deux capturait les lèvres de l'autre, mais le baiser ne durait pas très longtemps car Anton aimait me regarder jouir sous sa main.
La masturbation était à son comble et les mouvements de main d'Anton étaient des plus rapides ... au point que pour ne pas crier trop fort, je lui mordis le cou, lui faisant ainsi d'abondantes marques qui lui resteraient très longtemps. Quand il me sentit proche de la fin, il ralentit ses va-et-vient, ce qui me fit soupirer de mécontentement. Mais Anton se fit pardonner par un langoureux baiser durant lequel il me souleva en passant ses mains sous mes cuisses. Je m'accrochai autant que je le pouvais pour ne pas tomber et Anton me posa sur la balançoire à sa place avant de se mettre à genoux dans le sable.
Il passa ses bras autour de ma fine taille et me prit en bouche. Je crispai mes mains sous le plaisir sur les chaînes retenant mon siège et fermai les yeux, profitant ainsi de cette paire de lèvres qui caressaient tout mon membre.
Anton fit un premier va-et-vient des plus lents sur ma hampe, collant ainsi sa langue contre la peau fine du muscle et, après être revenu à l'extrémité, il joua un peu avec le gland avant de lécher mon érection sur toute sa longueur, provoquant ainsi d'immenses sensations en moi. Je me mordis la lèvre pour ne pas crier mon plaisir. Mais la torture n'était pas terminée et ce n'était que le début.
Tout en jouant de sa langue sur ma verge tendue, Anton tira un peu plus sur le jeans jusqu'à ce qu'il dénude mes cuisses. Je n'avais bien évidement plus froid et j'étouffais même sous la chaleur des émotions qui m'envahissaient à cause de cette langue qui me taquinait outrageusement, mais aussi à cause des lèvres d'Anton qui était désormais en train d'explorer mes bourses.
Quelques fois, sa bouche se perdait plus bas, ce qui me donnait un avant goût de ce qui allait suivre. Mais de toute façon je me doutais très bien que nous n'en étions qu'aux préliminaires et qu'il avait bien l'intention de faire durer mon plaisir de manière sadique.
Après avoir quelques peu exploré mon intimité, Anton remonta vers ma verge inassouvie et recommença à lécher sa friandise avec amour et lenteur, s'attardant toujours plus sur le gland qu'il suçait plus particulièrement par moment.
Je n'en pouvais déjà plus. C'était déjà bien trop pour moi et se retenir plus longtemps m'était impossible. Je peinais d'ailleurs à ne pas m'effondrer sous l'orgasme que me faisait connaître mon amant. Et je savais que ce n'était rien en comparaison du moment court mais tellement plaisant que serait l'éjaculation ; surtout après s'être si longtemps retenu. J'avais donc enroulé mes poignets dans les chaînes qui retenaient la balançoire et j’enfonçais mes baskets dans le sable. J’avais également posé mon front contre un de mes bras levés et entremêlés dans les lianes d'acier. Ma respiration se faisait de plus en plus erratique.
- Anton, c'est ...
La fin de ma phrase se mut dans un cri aigue. Ce dernier fut suivit par le déversement de mon sperme dans la bouche d'Anton qui l'avala avant de s'emparer de mes lèvres encore tremblantes de plaisir.
- C'était..., j'avais du mal à retrouver mon souffle entre les baisers que me donnait mon amant. C'était...
- Ce n'est pas fini, répliqua-t-il sadiquement en m'embrassant et en déboutonnant son propre pantalon.
Je ne pu m'empêcher de sourire à ce qui allait se passer et je me levai de moi-même tournant le dos à mon amant et posant un genou sur la balançoire alors que mes bras s'enroulaient aux chaînes et que j’offrais son fessier à Anton. Ce dernier esquissa un sourire, ravi et se pencha pour humidifier de sa langue une nouvelle fois le contour de l'anneau de chaire. Je soupirai doucement à ses caresses plus qu'intimes.
Il fit entrer un premier doigt, plus exactement son index droit avec lequel il effectua de petits cercles pour me préparer. Je me cambrai un peu plus à mesure que le doigt s'enfonçait en moi puis je senti l'index gauche de mon amant me pénétrer. Les deux doigts préparèrent le terrain, élargissant de leur mieux mon entrée, afin que l'érection plus que conséquente d'Anton y passe mieux. Juste après avoir retiré ses doigts, Anton pressa son désir tendu contre mon intimité alors que je resserrai mes doigts sur les chaînes tout en gémissement doucement. Une fois qu'il fut en moi, Anton me laissa le temps de s'habituer à sa présence avant de débuter des coups de butoirs de plus en plus violents et de plus en plus profonds. Je ne pu retenir mes cris de jouissances, notamment à cause de la vigueur que mon amant mettait dans ses va-et-vient. Mon genou glissa du siège de la balançoire en même temps que mes mains se meurtrissaient contre les chaînes. Anton s'en rendit compte et ralentit son rythme jusqu'à effectuer de petit mouvement tout en se collant à mon dos.
- Bébé, relâche tes mains, tu vas te faire mal, dit-il en passant l'un de ses bras autour de ma taille.
- Oui, je murmurai en lui obéissant docilement.
Sans se retirer, Anton me fit me mettre à quatre pattes sur le sable avant de reprendre son rythme soutenu que j'accompagnais de gémissements durant lesquels je lui en demandais plus.
Anton parut satisfait et ne se fit pas plus prier pour monter d'un cran ses coups de reins. Devant ce nouveau degré de plaisir, j'enfonçai mes doigts dans le sable avant de prendre dans mes bras le siège de la balançoire, m'y accrochant désespérément comme à une bouée de sauvetage afin de ne pas m'effondrer de plaisir sur le sol. Anton fit encore quelques mouvements puis se vida dans mon corps dans un cri presque bestial. Il se retira peu après et se rhabilla avant de m'aider, moi qui étais encore dans les brumes de l'orgasme. Je me laissai lourdement asseoir sur le sol et Anton prit place sur mes cuisses pour me donner un langoureux baiser.
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