une bonne collègue
Récit érotique écrit par Norbert [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-12-2006 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
une bonne collègue
cette jeune collègue, était vraiment sexy et bandante, elle avait un regard de chienne attendant d'etre saillie par un male en rut.
Agée de 25 ans, mariée, elle était très bien roulée, seul son visage sans etre laid, avait un rictus qui l'empechait d'etre beau.
Demeurant pres de chez moi, nous pratiquions le covoiturage avec un collègue qui passait nous prendre devant chez moi. J'occupais le siège passager et Lise appelons la comme cela, montait derrière moi.
Plusieurs fois au cours du trajet, j'avais laissé ma main trainer le long de sa botte remontant jusqu'au genoux sans jamais recevoir de rebufade.
Si nous partions au travail en voiture, en revanche nous revenions en RER, n'ayant pas les memes horaires.
Ce vendredi la, je montais l'escalier menant a la sortie, lorsque je vis Lise qui se dirigeait également vers la porte. Je lui demandais si elle voulait rentrer avec moi, elle me dit oui avec entousiasme, ce qui me conforta dans l'idée que j'avais un tiket avec elle.
C'était l'hiver, il était 16 heures et nous avions quitté le boulot plus tot tous les deux sans nous concerter.
Arrivés a Vincennes, je lui demandais si elle voulait prendre un pot, ce qu'elle accepta.
Nous nous rendimes dans le premier café venu et nous primes une table dans une salle un peu a l'écart. Notre consommation commandée, je la pris par les épaules et l'embrassais goulument sur la bouche, elle me rendit un patin baveux a tel point que ma queue commenca a gonffler dans mon jeans.
Comme d'habitude, elle portait une jupe plutot courte, sous laquelle je passais une main, rencontrant des bas tenus par un porte-jaretelles, et un string en dentelles tres fines.
Elle écarta largement les cuisses pour me permettre de la doigter tout à mon aise, ce qui me permis de voir qu'elle avait la chatte entièrement rasée et trempée.
De son coté Lise me massait la bite à travers mon jeans dans lequel j'étais de plus en plus à l'étroit.
Lescalier des toilettes au sous-sol se trouvait juste ne face de notre table, je demandais a Lise si elle n'avait pas envie de pisser, car moi j'avais envie.
Nous descendimes, puis nous avons ferme la porte de l'unique WC à la turque du café.
Je m'agenouillais et remontant sa jupe je lui fouillais le sexe de ma langue et de mes doigts, l'enculant meme avec le pouce sans aucune resistance tant elle mouillait.
Elle eut un 1er orgasme et se mit a son tour a genoux pour me sucer la bite avec gourmandise, portant mon érection a son summum.
Presses par le temps je la fis pencher en avant au dessus de la cuvette et la pénétrais jusqu'aux couilles dans cette ambiance trouble aux senteurs d'urine et d'amoniac tres forte.
Je sortais et entrais dans son con baveux a la limite d'échapper, et a un moment elle me dit, "non, non pas mon petit trou" ce que j'interprétais comme une invite.
Je déplacais donc mon gland sur son anus et elle donna un grand coup de rein pour que je l'encule a fond, elle parti alors dans un delire de jouissance si fort qu'elle pissa tout debout avec ma bite enfoncée dans ses intestins.
Lorsqu'elle eut fini de jouir je partais a mon tour lui graissant l'anus de longs jets glaireux.
Lise qui savait se tenir et avait été bien éduquée, me netooya la queue de fond en comble avant que nous remontions finir nos bières.
Par la suite je changeais de boulot et perdis Lise de vue. Mais je garde un souvenir brulant de ce vendredi soir.
Je n'avais meme pas eu l'impression de tromper Jeanne, car cet épisode était purement sexuel à la limite bestial. Fruit de la rencontre de deux individus en mal d'amours fortes
Agée de 25 ans, mariée, elle était très bien roulée, seul son visage sans etre laid, avait un rictus qui l'empechait d'etre beau.
Demeurant pres de chez moi, nous pratiquions le covoiturage avec un collègue qui passait nous prendre devant chez moi. J'occupais le siège passager et Lise appelons la comme cela, montait derrière moi.
Plusieurs fois au cours du trajet, j'avais laissé ma main trainer le long de sa botte remontant jusqu'au genoux sans jamais recevoir de rebufade.
Si nous partions au travail en voiture, en revanche nous revenions en RER, n'ayant pas les memes horaires.
Ce vendredi la, je montais l'escalier menant a la sortie, lorsque je vis Lise qui se dirigeait également vers la porte. Je lui demandais si elle voulait rentrer avec moi, elle me dit oui avec entousiasme, ce qui me conforta dans l'idée que j'avais un tiket avec elle.
C'était l'hiver, il était 16 heures et nous avions quitté le boulot plus tot tous les deux sans nous concerter.
Arrivés a Vincennes, je lui demandais si elle voulait prendre un pot, ce qu'elle accepta.
Nous nous rendimes dans le premier café venu et nous primes une table dans une salle un peu a l'écart. Notre consommation commandée, je la pris par les épaules et l'embrassais goulument sur la bouche, elle me rendit un patin baveux a tel point que ma queue commenca a gonffler dans mon jeans.
Comme d'habitude, elle portait une jupe plutot courte, sous laquelle je passais une main, rencontrant des bas tenus par un porte-jaretelles, et un string en dentelles tres fines.
Elle écarta largement les cuisses pour me permettre de la doigter tout à mon aise, ce qui me permis de voir qu'elle avait la chatte entièrement rasée et trempée.
De son coté Lise me massait la bite à travers mon jeans dans lequel j'étais de plus en plus à l'étroit.
Lescalier des toilettes au sous-sol se trouvait juste ne face de notre table, je demandais a Lise si elle n'avait pas envie de pisser, car moi j'avais envie.
Nous descendimes, puis nous avons ferme la porte de l'unique WC à la turque du café.
Je m'agenouillais et remontant sa jupe je lui fouillais le sexe de ma langue et de mes doigts, l'enculant meme avec le pouce sans aucune resistance tant elle mouillait.
Elle eut un 1er orgasme et se mit a son tour a genoux pour me sucer la bite avec gourmandise, portant mon érection a son summum.
Presses par le temps je la fis pencher en avant au dessus de la cuvette et la pénétrais jusqu'aux couilles dans cette ambiance trouble aux senteurs d'urine et d'amoniac tres forte.
Je sortais et entrais dans son con baveux a la limite d'échapper, et a un moment elle me dit, "non, non pas mon petit trou" ce que j'interprétais comme une invite.
Je déplacais donc mon gland sur son anus et elle donna un grand coup de rein pour que je l'encule a fond, elle parti alors dans un delire de jouissance si fort qu'elle pissa tout debout avec ma bite enfoncée dans ses intestins.
Lorsqu'elle eut fini de jouir je partais a mon tour lui graissant l'anus de longs jets glaireux.
Lise qui savait se tenir et avait été bien éduquée, me netooya la queue de fond en comble avant que nous remontions finir nos bières.
Par la suite je changeais de boulot et perdis Lise de vue. Mais je garde un souvenir brulant de ce vendredi soir.
Je n'avais meme pas eu l'impression de tromper Jeanne, car cet épisode était purement sexuel à la limite bestial. Fruit de la rencontre de deux individus en mal d'amours fortes
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