Une bonne remise en pression
Récit érotique écrit par Simorgh [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-07-2006 dans la catégorie Plus on est
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Une bonne remise en pression
<p>Ce jour là, assez tôt, un agent du Canal devait venir pour régler la pression de l’eau dans les canalisations qui, avec la boue, devenaient moins performantes.
Mon mari, rentré tard la veille, dormait encore à moitié quand ce jeune homme est arrivé et c’est moi qui me suis occupée de lui indiquer l’emplacement des compteurs et des filtres.
Après avoir nettoyé le pré filtre il fallu rentrer dans le garage où se trouvaient d’autres éléments de purification de l’eau. Ces pièces étaient dans la chaufferie, lieu étroit et sombre, dans lequel on ne s’éclairait qu’avec une baladeuse, le reste de la lumière provenant d’un soupirail.
Vêtue d’une courte chemise très fluide je ne me rendais pas compte que ma tenue était très suggestive et limite provoc. Il faut dire qu’à cinquante balais passés j’avais cette rondeur sensuelle légèrement lourde des vraies femmes qui ont connu les plaisirs de la vie, une bouche aux lèvres ourlées et des yeux qui regardaient les gens bien en face.
Ma poitrine faisait un bon 90 E, avec des pointes constamment en érection, ce qui ne manquait pas d’attirer l’attention de tous les males du coin , mes larges hanches de femelle et ma croupe de baiseuse auraient donné des envies salaces au plus déburnés des séminaristes. Ajouté à ça le fait que l’été nous étions constamment à poil autour de la piscine et vous devinez ce qui devait trotter dans la tête de ce jeune qui devait entendre les divers ragots sur ce lieu de stupre que devait être notre villa.
Dans la chaufferie j’avais précédé le jeune qui avançait en tenant la baladeuse, mais en n’ayant pas assez dévidé du fil.
Evidemment la lampe s’éteint et le jeune vint buter contre moi qui, m’étant arrêtée dans le noir, était en train de me retourner. Ma lourde poitrine vint frôler le tee-shirt du jeune qui en sentit les pointes dures comme des crayons le chatouiller. N’imaginant pas les éventuelles conséquences de son geste il leva les mains pour les appuyer sur les masses charnues de mes copieux nibards et entreprit un massage à pleine mains, style boulanger qui fait lever sa pâte.
Au lieu de me débattre, je me laissais faire...après tout, une petite séance de tripotage ça ne me ferait pas de mal et, bien chauffée, j’irais ensuite me faire prendre dans le lit conjugal en portant le café à mon mari...
Ca c’est ce que je me disais, en me laissant aller à cette trouble situation d’une bourge en chaleur qui se fait dévergonder de manière crapuleuse.
Le type s’était rapproché et avait appuyé son bas ventre contre le mien...il avait une érection de cheval et se mit à donner de petits coups de reins en mimant le coït...Vu la finesse de ma chemise je sentais toute cette masse de queue me taper sur la motte et mes sens, plus qu’éveillés, me donnèrent l’envie d’aller plus loin. Après tout, j’étais chez moi et ma libido constamment en éveil avait bien le droit d’être satisfaite. A la surprise du jeune qui croyait qu’il allait palucher et devoir partir, je me mis à genoux et faisant glisser le zip de la combinaison de travail j’envoyais mes mains à la recherche de cette queue dont la dureté m’avait envoyé une décharge dans le ventre.
Vite pris en main et sorti du slip ce membre était imposant dans la pénombre de la chaufferie. Gros, long, lourd, veiné de bleu avec un gland turgescent suintant de désir...une vraie masse de chair chaude, frémissante...ce jeune avait de l’avenir avec une pine de cette taille.
Excité comme un poux il se remit à donner des coups de reins, amplifiant la lente masturbation à laquelle je me livrais, en rapprochant mes lèvres de ce gland énorme. Ouvrant grande la bouche je l’avalais d’un coup en me distendant la mâchoire. Quelle bite !!!
Le jeune n’en pouvait plus, complètement perdu de se savoir dans cette situation perverse et jouisseuse. Il se remit à donner des coups de pistons dans ma bouche en me tenant la tête et en se mettant à me traiter de salope qui se fait tripoter et qui se donne du bonheur...je coulais comme une fontaine.
En se penchant il réussit à me prendre les pointes de seins pour les tordre et les rouler entre ses doigts...âââââââaaaahhhhhhhhhh, le petit salaud...il savait (ou il ne savait pas, mais le résultat était le même), qui faisait que, bien entreprise aux nichons je ne pouvais plus me contrôler.
Ce petit pervers venait de me faire avoir un orgasme et maintenant il me fallait sentir une bonne queue venir me défoncer profond. Cessant mes coruscations je me relevais et m’appuyant au mur du local je soulevais une jambe pour dégager ma chatte. Rapidement le jeune mit sa main sur ma motte pour commencer un pétrissage en règle, écartant les lèvres et branlant le bouton qui grossissait...son énorme bite tapait sur mon ventre donnant des coups autour de ma fente...j’étais folle...mon mari pouvait arriver n’importe quand et malgré ça j’avais envie de pénétration, envie de sentir cette queue fabuleuse m’ouvrir en deux pour s’enfoncer bien au chaud...dingue et salope... j’étais...obsédée par une seule chose : cette choses dure, grosse, longue et juteuse devait me rentrer dans le ventre. JOUIIIIIIIR il me fallait jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiir...et seule une bonne pénétration me ferait ce bonheur là !
Les mains du type m’avaient empoignées la croupe pour bien la malaxer, pendant que sa bouche, à travers la fine chemise s’activait sur les pointes de mes nibards qui étaient devenues grosses et dures comme des bouts de crayons.
Je soufflais dans l’atmosphère confinée du local technique, appuyée par le dos contre la paroi, debout sur mes talons, les mains attrapant cette grosse queue pour venir la faire entrer dans ma motte brûlante.
Il me fallait de la queue, de la bonne queue, bien juteuse, bien jeune, bien dure et ardente...de la queue de salaud qui se rend compte qu’une femelle comme moi ça se prend à la sauvage...
D’un coup, le gros gland se positionnant contre ma fente venait de passer le pli des lèvres glissantes, s’enfonçant d’un coup dans ma motte en rut.
Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, ça y était...ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, vas-y salaud, baise, ouiiiiiiiiii, baise, baise moi, profond, fort...défonce cette salope qui va te faire jouir !!!
Je n’avais pas entendu mon mari qui, intrigué par le silence de la maison s’était levé pour aller à la cuisine et avait entendu mes soupirs de femme comblée par cette pénétration salace et pleine de luxure.
Il me vit la tête renversée en arrière, les mains sous ma chemise en train de toucher cette bite énorme qui me pistonnait le ventre à grands coups puissants et longs. Le jeune y allait de bon coeur baisant comme un malade, à croire qu’il n’avait pas tiré de femelle depuis des mois.
Je donnais, de mon coté, de grands coups de ventre pour me faire prendre encore plus profondément laissant les mains du type bien me cramponner la croupe...
Aââââââaaaaaaaaah, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, encore, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, plus fort !!!!!
Cette séance m’excitait au plus haut point. Je me sentais salope, pute, bourge en rut à me faire pistonner comme ça, dans un coin de garage, comme une affamée de sexe.
J’étais bien à sentir ce membre chaud me remplir le ventre, le sentant aller et venir en m’écrasant la motte, le prenant de toute sa longueur puissante.
Mes seins étaient devenus énormes à leur tour, érogènes, avec des pointes de pute en chaleur...c’était de la baise pour la baise...de la queue pour de la queue...du sexe pour le sexe...
J’en avais envie de la manière la plus salope qui soit et voulait me sentir baisée comme une salope, une vraie salope qui aime la bite.
Le jeune se mit à accélérer sa cadence me pistonnant de plus en plus fort, soufflant des vicieuseries à mes oreilles qui entendaient dire que j’étais bonne, salope, vraiment bonne à baiser...que des putes comme moi il en avait jamais rencontré. Je me sentis partir, pendant que le jeune me cramponnant encore plus fort aux hanches s’enfonça puissamment au fond de ma chatte...Aââââââhh, le salaud, il allait cracher son foutre...je sentais son membre gonfler, son gland se mettre à vibrer prépa rant la salve de sperme qui allait me remplir, me gaver de jus...
OOOOuiiiiiiiiiiiiiiii, ça y est............en râlant le jeune se lâcha complètement m’inondant le ventre d’un torrent de crème épaisse, lourde, grasse...quelle santé !!!
Il n’avait pas déchargé depuis des mois celui là...
Je sentais les secousses de sa pine qui éjaculait decrescendo, pendant qu’il continuait à s’enfoncer dans mon ventre comme pour y rentrer en entier.
Quel bonheur cette bite de jeune !!!
Sitôt qu’il fut parti, après m’avoir complimenté sur ma belle santé et me promettant de revenir quand mon mari ne serait pas là, car il avait bien l’intention de me refaire ma fête, je revenais dans la maison pour porter le café à mon mari que je trouvais au lit, nu et à ma surprise, car je ne savais qu’il m’avait surprise en plein débordements sexuels, avec une érection des grands jours...posant la tasse sur la table de nuit je me mis à cheval sur ses cuisses et sans coup férir me mit en position pour m’enfoncer cette queue bien raide dans la chatte. A peine appuyée contre les lèvres de mon sexe bombé elle entra sans problème, tant j’étais encore pleine du sperme du jeune...celà me fit un effet très salaud de sentir la bite de mon mari glisser dans le foutre de l’autre qui, cinq minute avant giclait encore dans mon ventre...l’impression était très salace, à comparer la taille de ces membres qui se succédaient dans mon intimité.
Mon mari me dit : « tu es trempée salope...c’est ma queue qui te fait cet effet ? »
« Ouiiiii, enfin non, pas seulement...tu sais...le jeuuune...quiiiii est venuuu...il me regardait avec de drôles d’yeux...je crois qu’il baaaandait en travaillant... »
« Ah oui...et ça t’a fait de l’effet... ? »
« Ben tu sais...voir bander un jeune...ça excite une femme qui pourrait avoir le double de son âge... »
« Et alors ça t’a donné envie de bite...salôôôôôpe... »
« Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii, alors quand j’ai vu la tiiiienne, j’en ai voulu aussi... »
« Comment ça...aussi...? Dis-moi...espèce de belle pute...je te vois venir avec tes grosses pointes toutes rouges...tu t’es faite prendre hein...dis... ? Tu as ta tête des jours de baise, les yeux vicieux, le regard lourd, tes cuisses sont chaudes, tu sens le sperme et surtout tu es trempée comme si ta chatte s’était déjà prise une giclée de foutre... »
« Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, salaud, baise moi, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, baise moi, oui, il m’a prise contre le mur de la chaufferie, comme une salope en manque, sans fioritures, de la queue, rien que de la queue, toute sa grosse queue... »
« Ca t’a faite jouir salope...? »
« Ouiiiiiii, j’ai joui, j’ai joui en pensant que j’étais tout à coté de toi qui dormais, j’ai joui en sentant cette énorme bite m’ouvrir le ventre, j’ai joui de me sentir pute, à prendre du membre alors que tu m’en avais mis la veille...j’ai joui en femelle qui aime le rut...et puis làaaaaaa, ââââahh, je jouis encore en sentant ta pine aller et venir dans son juuuuuus. C’est très salaud comme sensation...j’ai la vulve toute pleine, tu limes, tu pénètres en repoussant son foutre, je sens encore les tressaillements de sa décharge et je devine que tu vas gicler car je sens ton gland qui gonfle... »
Mon mari devenait fou à m’entendre lui dire, avec la tranquille impudeur d’une salope de haut vol, que je baisais comme une pute, que je me faisais prendre dans un garage comme la dernière des traînées, que j’aimais ça et que je recommencerai à la première occasion...avec ce jeune ou avec d’autres !!!
Il se mit à me défoncer en cramponnant mes hanches larges et pleines, de vraies hanches de femelle qui aime la bite...
Je me penchais en avant pour qu’il s’occupe de mes nibards, qui me donnaient énormément de plaisir à être malmenés. Il s’y mit aussitôt, mordant et tirant les pointes tout en me disant que j’étais une salope, une pute, une femelle en chaleur, que je ne pensais qu’à la baise...ses mains avaient empoigné ma croupe pour me la malaxer...je me sentais bien, femelle en plein rut, salope en jouissance, bourge en plein trip qui se fait prendre par deux mecs à cinq minutes d’intervalle...le coït parfait, la baise pour la baise, la queue dans le ventre qui glisse dans le jus du baiseur précédent...la sensation lourde et salace de me faire tringler comme une pute...de me faire remplir le ventre pour mêler des spermes de salauds et en jouir...jouir de cette sensation trouble à être un ventre et un sexe qui demandent à être remplis, une bouche qui demande à sucer, des seins qui veulent sentir un gros membre glisser entre eux...
Mon mari se mit à accélérer sa cadence, pistonnant de plus en plus fort ma chatte qui laissait refluer le sperme du jeune. Il m’avait mis la dose celui là...un jus de qualité, qui lubrifiait bien la queue de mon mari, laquelle devenait de plus en plus grosse et vibrionnante. Ses soupirs dans mon cou annonçaient sa prochaine décharge, ses mots devenaient de plus en plus porteurs d’un érotisme salace : « salope, tu es une salope, tu te fais prendre comme une pute...et ensuite tu t’en fais remettre une deuxième pour que ça te remplisse encore plus...je baigne dans ta chatte de pute...tu es pleine de son jus...espèce de femelle et ça te fais jouir de me mélanger à lui...
« AâââââââAAAAAAAAAAAAAAAhhh, tiens salope...c’est pour toi...du sperme, je t’envois du sperme pour le mélanger à l’autre...AAAAAAAAAAAAAaaaaah, la pute...elle est pleine, bourrée...ça coule de partout ».
Sous l’effet de la décharge et du stupre je me mis à hurler ma joie d’être une salope bien remplie, bien prise, bien comblée...
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Mon mari, rentré tard la veille, dormait encore à moitié quand ce jeune homme est arrivé et c’est moi qui me suis occupée de lui indiquer l’emplacement des compteurs et des filtres.
Après avoir nettoyé le pré filtre il fallu rentrer dans le garage où se trouvaient d’autres éléments de purification de l’eau. Ces pièces étaient dans la chaufferie, lieu étroit et sombre, dans lequel on ne s’éclairait qu’avec une baladeuse, le reste de la lumière provenant d’un soupirail.
Vêtue d’une courte chemise très fluide je ne me rendais pas compte que ma tenue était très suggestive et limite provoc. Il faut dire qu’à cinquante balais passés j’avais cette rondeur sensuelle légèrement lourde des vraies femmes qui ont connu les plaisirs de la vie, une bouche aux lèvres ourlées et des yeux qui regardaient les gens bien en face.
Ma poitrine faisait un bon 90 E, avec des pointes constamment en érection, ce qui ne manquait pas d’attirer l’attention de tous les males du coin , mes larges hanches de femelle et ma croupe de baiseuse auraient donné des envies salaces au plus déburnés des séminaristes. Ajouté à ça le fait que l’été nous étions constamment à poil autour de la piscine et vous devinez ce qui devait trotter dans la tête de ce jeune qui devait entendre les divers ragots sur ce lieu de stupre que devait être notre villa.
Dans la chaufferie j’avais précédé le jeune qui avançait en tenant la baladeuse, mais en n’ayant pas assez dévidé du fil.
Evidemment la lampe s’éteint et le jeune vint buter contre moi qui, m’étant arrêtée dans le noir, était en train de me retourner. Ma lourde poitrine vint frôler le tee-shirt du jeune qui en sentit les pointes dures comme des crayons le chatouiller. N’imaginant pas les éventuelles conséquences de son geste il leva les mains pour les appuyer sur les masses charnues de mes copieux nibards et entreprit un massage à pleine mains, style boulanger qui fait lever sa pâte.
Au lieu de me débattre, je me laissais faire...après tout, une petite séance de tripotage ça ne me ferait pas de mal et, bien chauffée, j’irais ensuite me faire prendre dans le lit conjugal en portant le café à mon mari...
Ca c’est ce que je me disais, en me laissant aller à cette trouble situation d’une bourge en chaleur qui se fait dévergonder de manière crapuleuse.
Le type s’était rapproché et avait appuyé son bas ventre contre le mien...il avait une érection de cheval et se mit à donner de petits coups de reins en mimant le coït...Vu la finesse de ma chemise je sentais toute cette masse de queue me taper sur la motte et mes sens, plus qu’éveillés, me donnèrent l’envie d’aller plus loin. Après tout, j’étais chez moi et ma libido constamment en éveil avait bien le droit d’être satisfaite. A la surprise du jeune qui croyait qu’il allait palucher et devoir partir, je me mis à genoux et faisant glisser le zip de la combinaison de travail j’envoyais mes mains à la recherche de cette queue dont la dureté m’avait envoyé une décharge dans le ventre.
Vite pris en main et sorti du slip ce membre était imposant dans la pénombre de la chaufferie. Gros, long, lourd, veiné de bleu avec un gland turgescent suintant de désir...une vraie masse de chair chaude, frémissante...ce jeune avait de l’avenir avec une pine de cette taille.
Excité comme un poux il se remit à donner des coups de reins, amplifiant la lente masturbation à laquelle je me livrais, en rapprochant mes lèvres de ce gland énorme. Ouvrant grande la bouche je l’avalais d’un coup en me distendant la mâchoire. Quelle bite !!!
Le jeune n’en pouvait plus, complètement perdu de se savoir dans cette situation perverse et jouisseuse. Il se remit à donner des coups de pistons dans ma bouche en me tenant la tête et en se mettant à me traiter de salope qui se fait tripoter et qui se donne du bonheur...je coulais comme une fontaine.
En se penchant il réussit à me prendre les pointes de seins pour les tordre et les rouler entre ses doigts...âââââââaaaahhhhhhhhhh, le petit salaud...il savait (ou il ne savait pas, mais le résultat était le même), qui faisait que, bien entreprise aux nichons je ne pouvais plus me contrôler.
Ce petit pervers venait de me faire avoir un orgasme et maintenant il me fallait sentir une bonne queue venir me défoncer profond. Cessant mes coruscations je me relevais et m’appuyant au mur du local je soulevais une jambe pour dégager ma chatte. Rapidement le jeune mit sa main sur ma motte pour commencer un pétrissage en règle, écartant les lèvres et branlant le bouton qui grossissait...son énorme bite tapait sur mon ventre donnant des coups autour de ma fente...j’étais folle...mon mari pouvait arriver n’importe quand et malgré ça j’avais envie de pénétration, envie de sentir cette queue fabuleuse m’ouvrir en deux pour s’enfoncer bien au chaud...dingue et salope... j’étais...obsédée par une seule chose : cette choses dure, grosse, longue et juteuse devait me rentrer dans le ventre. JOUIIIIIIIR il me fallait jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiir...et seule une bonne pénétration me ferait ce bonheur là !
Les mains du type m’avaient empoignées la croupe pour bien la malaxer, pendant que sa bouche, à travers la fine chemise s’activait sur les pointes de mes nibards qui étaient devenues grosses et dures comme des bouts de crayons.
Je soufflais dans l’atmosphère confinée du local technique, appuyée par le dos contre la paroi, debout sur mes talons, les mains attrapant cette grosse queue pour venir la faire entrer dans ma motte brûlante.
Il me fallait de la queue, de la bonne queue, bien juteuse, bien jeune, bien dure et ardente...de la queue de salaud qui se rend compte qu’une femelle comme moi ça se prend à la sauvage...
D’un coup, le gros gland se positionnant contre ma fente venait de passer le pli des lèvres glissantes, s’enfonçant d’un coup dans ma motte en rut.
Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, ça y était...ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, vas-y salaud, baise, ouiiiiiiiiii, baise, baise moi, profond, fort...défonce cette salope qui va te faire jouir !!!
Je n’avais pas entendu mon mari qui, intrigué par le silence de la maison s’était levé pour aller à la cuisine et avait entendu mes soupirs de femme comblée par cette pénétration salace et pleine de luxure.
Il me vit la tête renversée en arrière, les mains sous ma chemise en train de toucher cette bite énorme qui me pistonnait le ventre à grands coups puissants et longs. Le jeune y allait de bon coeur baisant comme un malade, à croire qu’il n’avait pas tiré de femelle depuis des mois.
Je donnais, de mon coté, de grands coups de ventre pour me faire prendre encore plus profondément laissant les mains du type bien me cramponner la croupe...
Aââââââaaaaaaaaah, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, encore, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, plus fort !!!!!
Cette séance m’excitait au plus haut point. Je me sentais salope, pute, bourge en rut à me faire pistonner comme ça, dans un coin de garage, comme une affamée de sexe.
J’étais bien à sentir ce membre chaud me remplir le ventre, le sentant aller et venir en m’écrasant la motte, le prenant de toute sa longueur puissante.
Mes seins étaient devenus énormes à leur tour, érogènes, avec des pointes de pute en chaleur...c’était de la baise pour la baise...de la queue pour de la queue...du sexe pour le sexe...
J’en avais envie de la manière la plus salope qui soit et voulait me sentir baisée comme une salope, une vraie salope qui aime la bite.
Le jeune se mit à accélérer sa cadence me pistonnant de plus en plus fort, soufflant des vicieuseries à mes oreilles qui entendaient dire que j’étais bonne, salope, vraiment bonne à baiser...que des putes comme moi il en avait jamais rencontré. Je me sentis partir, pendant que le jeune me cramponnant encore plus fort aux hanches s’enfonça puissamment au fond de ma chatte...Aââââââhh, le salaud, il allait cracher son foutre...je sentais son membre gonfler, son gland se mettre à vibrer prépa rant la salve de sperme qui allait me remplir, me gaver de jus...
OOOOuiiiiiiiiiiiiiiii, ça y est............en râlant le jeune se lâcha complètement m’inondant le ventre d’un torrent de crème épaisse, lourde, grasse...quelle santé !!!
Il n’avait pas déchargé depuis des mois celui là...
Je sentais les secousses de sa pine qui éjaculait decrescendo, pendant qu’il continuait à s’enfoncer dans mon ventre comme pour y rentrer en entier.
Quel bonheur cette bite de jeune !!!
Sitôt qu’il fut parti, après m’avoir complimenté sur ma belle santé et me promettant de revenir quand mon mari ne serait pas là, car il avait bien l’intention de me refaire ma fête, je revenais dans la maison pour porter le café à mon mari que je trouvais au lit, nu et à ma surprise, car je ne savais qu’il m’avait surprise en plein débordements sexuels, avec une érection des grands jours...posant la tasse sur la table de nuit je me mis à cheval sur ses cuisses et sans coup férir me mit en position pour m’enfoncer cette queue bien raide dans la chatte. A peine appuyée contre les lèvres de mon sexe bombé elle entra sans problème, tant j’étais encore pleine du sperme du jeune...celà me fit un effet très salaud de sentir la bite de mon mari glisser dans le foutre de l’autre qui, cinq minute avant giclait encore dans mon ventre...l’impression était très salace, à comparer la taille de ces membres qui se succédaient dans mon intimité.
Mon mari me dit : « tu es trempée salope...c’est ma queue qui te fait cet effet ? »
« Ouiiiii, enfin non, pas seulement...tu sais...le jeuuune...quiiiii est venuuu...il me regardait avec de drôles d’yeux...je crois qu’il baaaandait en travaillant... »
« Ah oui...et ça t’a fait de l’effet... ? »
« Ben tu sais...voir bander un jeune...ça excite une femme qui pourrait avoir le double de son âge... »
« Et alors ça t’a donné envie de bite...salôôôôôpe... »
« Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii, alors quand j’ai vu la tiiiienne, j’en ai voulu aussi... »
« Comment ça...aussi...? Dis-moi...espèce de belle pute...je te vois venir avec tes grosses pointes toutes rouges...tu t’es faite prendre hein...dis... ? Tu as ta tête des jours de baise, les yeux vicieux, le regard lourd, tes cuisses sont chaudes, tu sens le sperme et surtout tu es trempée comme si ta chatte s’était déjà prise une giclée de foutre... »
« Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, salaud, baise moi, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, baise moi, oui, il m’a prise contre le mur de la chaufferie, comme une salope en manque, sans fioritures, de la queue, rien que de la queue, toute sa grosse queue... »
« Ca t’a faite jouir salope...? »
« Ouiiiiiii, j’ai joui, j’ai joui en pensant que j’étais tout à coté de toi qui dormais, j’ai joui en sentant cette énorme bite m’ouvrir le ventre, j’ai joui de me sentir pute, à prendre du membre alors que tu m’en avais mis la veille...j’ai joui en femelle qui aime le rut...et puis làaaaaaa, ââââahh, je jouis encore en sentant ta pine aller et venir dans son juuuuuus. C’est très salaud comme sensation...j’ai la vulve toute pleine, tu limes, tu pénètres en repoussant son foutre, je sens encore les tressaillements de sa décharge et je devine que tu vas gicler car je sens ton gland qui gonfle... »
Mon mari devenait fou à m’entendre lui dire, avec la tranquille impudeur d’une salope de haut vol, que je baisais comme une pute, que je me faisais prendre dans un garage comme la dernière des traînées, que j’aimais ça et que je recommencerai à la première occasion...avec ce jeune ou avec d’autres !!!
Il se mit à me défoncer en cramponnant mes hanches larges et pleines, de vraies hanches de femelle qui aime la bite...
Je me penchais en avant pour qu’il s’occupe de mes nibards, qui me donnaient énormément de plaisir à être malmenés. Il s’y mit aussitôt, mordant et tirant les pointes tout en me disant que j’étais une salope, une pute, une femelle en chaleur, que je ne pensais qu’à la baise...ses mains avaient empoigné ma croupe pour me la malaxer...je me sentais bien, femelle en plein rut, salope en jouissance, bourge en plein trip qui se fait prendre par deux mecs à cinq minutes d’intervalle...le coït parfait, la baise pour la baise, la queue dans le ventre qui glisse dans le jus du baiseur précédent...la sensation lourde et salace de me faire tringler comme une pute...de me faire remplir le ventre pour mêler des spermes de salauds et en jouir...jouir de cette sensation trouble à être un ventre et un sexe qui demandent à être remplis, une bouche qui demande à sucer, des seins qui veulent sentir un gros membre glisser entre eux...
Mon mari se mit à accélérer sa cadence, pistonnant de plus en plus fort ma chatte qui laissait refluer le sperme du jeune. Il m’avait mis la dose celui là...un jus de qualité, qui lubrifiait bien la queue de mon mari, laquelle devenait de plus en plus grosse et vibrionnante. Ses soupirs dans mon cou annonçaient sa prochaine décharge, ses mots devenaient de plus en plus porteurs d’un érotisme salace : « salope, tu es une salope, tu te fais prendre comme une pute...et ensuite tu t’en fais remettre une deuxième pour que ça te remplisse encore plus...je baigne dans ta chatte de pute...tu es pleine de son jus...espèce de femelle et ça te fais jouir de me mélanger à lui...
« AâââââââAAAAAAAAAAAAAAAhhh, tiens salope...c’est pour toi...du sperme, je t’envois du sperme pour le mélanger à l’autre...AAAAAAAAAAAAAaaaaah, la pute...elle est pleine, bourrée...ça coule de partout ».
Sous l’effet de la décharge et du stupre je me mis à hurler ma joie d’être une salope bien remplie, bien prise, bien comblée...
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