Une bonne surprise - histoire érotique

Ce soir là, j’arrivai plus tôt que d’habitude pour l’ouverture du restaurant. Il est situé à dans une ville de la grande couronne et sert essentiellement du poisson et des crustacés. Bon vous voyez de quelle chaîne je parle je suppose...
Donc, j’arrivais en avance, sachant que Daphné ma chef de rang avait sans doute tout préparé.
Cette jeune femme aux cheveux châtains clairs et aux yeux verts est l’efficacité personnifiée.
J’entrai donc dans le restaurant et vis que tout était prêt pour le service comme d’habitude. Par contre, personne pour m’accueillir... mais bon j’ai trente minutes d’avance.
Soudain, j’entend des gémissements et une respiration étouffée. Cela vient de la mezzanine qui ne sert que les jours de forte influence.
Merde me dis-je, des cambrioleurs? Si c’est cela ils ont dû attacher la pauvre fille, ou pire...
Je monte l’escalier à pas de loup et m’arrête brutalement en découvrant un spectacle inattendu...

Fatoumata, l’adjointe de Daphné est assise nue sur une table, les jambes écartées. Ses petits seins tremblotent au rythme des coups de bite que lui met Daphné installée entre ses cuisses.
Hein? Mais enfin, Daphné? Une beauté pareille serait un mec?
Merde alors! Moi qui ai fantasmé sur elle à plus d’une reprise, rêvant de la sauter dans la réserve.
Je suis sur le cul mais bon le spectacle est sympa à regarder.
Et cette Fatoumata, une petite blackette d’à peine 20 ans: elle cache bien son jeu, moi qui la prenait pour une petite serveuse sans grande personnalité!
Daphné continue à la défoncer, changeant la fréquence de ses coups de manière à faire gémir sa copine...
Du coup, je sens ma queue durcir. Je me branle doucement en matant ce joli spectacle.
Soudain les bruits s’arrétent et je vois que Fatoumata me regarde directement. Elle tient solidement Daphné contre elle par la taille.
-Bonjour patron, tu viens nous rejoindre?
Ma queue est sortie de mon pantalon et je la sens bien dure et au bord de la rupture alors...
Je finis de monter l’escalier. Daphné respire de plus en plus fort tandis que Fatoumata sourit de toutes ses dents.
-Encule là patron, je lui ai bien mouillé son petit trou du cul avant que tu arrives...
Moi, enculer un, une, enfin, je ne sais plus... je pose la main contre ce si joli croupion bien offert et je sens alors une lanière.
C’est un gode ceinture!!!
Daphné est bien une jeune trentenaire...
J’écarte la lanière et j’embroche ainsi violemment ma chef de rang. Celle ci se sert de mon mouvement pour continuer à baiser sa copine Fatoumata...
Elle était bien serré et je sentait ses jolis petits seins biens fermes sous mes mains.
Peu après Daphné se retira de Fatoumata et s’agenouilla devant moi. Elle se mit à me sucer avec entrain tandis que Fatoumata se caressait le vagin doucement en me regardant.
Je retirai alors ma queue de la bouche de Daphné et j’entrai dans le jeune vagin de Fatoumata en conquérant. Daphné avait défait mon pantalon et à présent, toujours entre mes jambes elle me lèchait les boules avec une délicatesse extrême.
Au moment où j’allai me retirer de Fatoumata Daphné m’en empêcha et se leva.
Je soulevai Fatoumata entre mes bras et Daphné s’assit sur la table, son gode ceinture bien dressé.
Doucement j’écartais les fesses de Fatoumata et la déposait sur le gode en la regardant.
Je la vis grimacer lors de l’introduction de l’engin dans son petit trou du cul mais, une fois qu’il fut entré moi et Daphné travaillâmes ensemble le corps de cette jeune salope qui gémissait de plaisir à chacun de nos coup de rein...
J’étais au bord de l’explosion lorsque Daphné écarta Fatoumata lui laissant le gode dans le cul et écartant ses jambes: elle était parfaitement épilée et son vagin était complètement détrempé, prêt à m’accueillir.
J’entrai violemment en elle et malgré le terrain bien humide je me rendis compte que le vagin de Daphné était très serré: beaucoup plus que son cul. Je sentais son corps m’épouser, ses seins se durcir jusque devenir en béton. Elle m’embrassait à pleine bouche et je lui rendais la pareille, sentant l’odeur de son parfum se mélanger à celui de notre sueur.
Fatoumata s’était mise de l’autre côté de la table et se godait consciencieusement en nous regardant prendre notre pied.
Enfin j’explosai dans le con de Daphné lui livrant ainsi une cargaison de sperme bien au fond d’elle.
Elle cria de plaisir en resserrant les jambes autour de ma taille.
Alors je me retirai d’elle doucement...
Enfin Daphné ouvrit la bouche.
-Chéri, patron, je t’aime...
Fatoumata rit: elle essuyait le gode avec une serviette de table en nous regardant. Je tenais la jolie Daphné par la taille. Elle se blottit contre moi, me couvrant de baiser.
-Tu vois Daphné, dit Fatoumata, je savais qu’un jour ça arriverait... je suis bien contente que vous vous soyez enfin baisés.

Fatoumata disparut très vite de nos vies.
Daphné devait m’avouer plus tard que c’était elle qui l’avait séduite et qui avait eu l’idée de ces séances de baises dans la mezzanine.
Nous sommes ensembles à présent moi et Daphné.
Pour remplacer Fatoumata, nous avons recruté Samia... mais cela est une autre histoire...