UNE BOULOTTE QUI SE TRANSFORME EN BELLE PLANTE APRES AVOIR MARCHE VERS SAINT JACQUES
Récit érotique écrit par Malaufre [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-05-2007 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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UNE BOULOTTE QUI SE TRANSFORME EN BELLE PLANTE APRES AVOIR MARCHE VERS SAINT JACQUES
Une belle plante
Il m’arrive souvent de la croiser dans les couloirs de la fac de lettres, les yeux dans le vague. Elle est brune, 25 ans environ, bien en chair avec une grosse poitrine qui attire immanquablement mon regard chaque fois que je la vois. Elle a des cheveux bruns mi-longs. Je crois qu’elle étudie les auteurs anglais. Elle se mêle peu aux autres.
Un jour, je la rencontre à la fin d’un cours, l’air un peu timide. J’en profite pour lui parler.
-Tu viens boire un pot ?
-D’accord dit-elle.
-Tu t’appelles comment ?
-Christine.
Je la détaille un peu plus et découvre un beau minois plein de taches de rousseur. Elle a des yeux gris-vert et une belle peau mate.
Nous prenons tous deux un café.Brusquement, elle me demande :
-Tu ne trouves pas que j’ai trop de rondeurs ?
-Bah, un peu.
-Ca me dérange, j’ai l’impression que les mecs me fuient à cause de mes kilos et ça me déprime.
Je comprends maintenant pourquoi elle a toujours un petit sourire triste. Je réponds:
-T’as combien en trop ? Elle hésite à répondre :
-Une bonne quinzaine.
Puis c’est le silence. Je la sens très gênée par cet aveu. Je décide d’en savoir plus :
-Et alors ?
-Ben, les gars n’aiment que les nanas canons avec un petit cul étroit et des longs cheveux. Je n’ai aucune chance.
Je perçois une pointe de colère dans sa voix. Je lui explique :
-Tu sais, tu ne peux rien y faire. Regarde simplement ce qu’il y a de mieux en toi. Tu vois par exemple, ta poitrine, tes yeux.
-Tu crois ?
La situation commence à m’intéresser. Je la regarde attentivement. Il y a dans son regard quelque chose qui m’attire, j’ai envie de lui lancer un défi. C’est vrai qu’elle a de beaux seins. Je la caresserais bien, là tout de suite. Ouah.
-Alors, je lui dis.T’attends quoi ?
-J’ai essayé plusieurs régimes sans succès et je suis vite essoufflée.
Je consulte ma montre et réalise qu’il est tard. J’ai encore bien des choses à faire. On se quitte et on se promet de reprendre la conversation. En rentrant chez moi, je repense à cette fille. Il y a une espèce de charme subtil chez elle qui me plaît beaucoup malgré ses kilos superflus. Elle a des traits fins allié à une certaine grâce. Je revois en pensée la poitrine bien pleine et ferme. Combien de fois ai-je rêvé de loger ma queue entre ses seins quand je la croisais. Je commence à voir comment je pourrais l’aborder concrètement… La semaine suivante, je lui propose d’aller au restaurant chinois pour une petite bouffe sympa qu’elle accepte volontiers. On se retrouve le soir. Elle a enfilé des jeans qui la serrent un peu trop et un t-shirt bien moulant qui me met l’eau à la bouche car on lui voit les tétons. Le léger maquillage de ses yeux la rend très attirante.
-C’est super, je ne pensais pas te revoir de sitôt après mes histoires dit-elle.
-Tu te fais des idées, je te trouve très sympa et craquante.
La soirée est très détendue. On parle de tout et de rien. Puis elle me parle de sa famille. Elle a deux frères plus âgés qui se sont souvent moqués d’elle à cause de ses rondeurs. Je sens que ça l’a beaucoup blessée et commence à lui expliquer ce qu’elle peut faire. Elle a à la fois quelque chose qui me touche et m’excite profondément. J’ai très envie d’elle, je sens ma virilité s’émouvoir mais je me retiens.Je ne veux rien précipiter.
-La première chose est de savoir pourquoi tu veux maigrir. Est-ce pour te sentir mieux ou pour les autres ? Ce que voient les autres de toi ne correspond en rien à ce que tu es vraiment. Tu dois comprendre que tu existes indépendamment de leur regard. Tu es toi, tout simplement.
Je marque un temps d’arrêt pour lui laisser le temps de digérer. Elle est très attentive.
-Tu sais, j’ai peut-être une solution pour toi. A ces mots, son regard brille :
-Ah oui et c’est quoi ?
-Il s’agirait de marcher régulièrement et de faire deux ou trois étapes du chemin de Saint-Jacques de Compostelle.
-Mais tu rêves ou quoi ? Je n’ai aucun entraînement physique, aucun souffle. Je vais être épuisée.
-Il suffit simplement chaque jour de faire quelques km, de profiter du soleil, de se remplir la vue avec les paysages qu’on traversera. En un rien de temps tu fondras comme neige au soleil, tu auras un corps ferme avec des fesses d’enfer et une poitrine à damner un saint. Là j’ai l’impression d’être allé trop loin et deviens confus mais elle a un petit sourire et dit tout à coup « Chiche ».
Comme c’est les vacances de Pâques on décide de partir et de commencer par l’étape le Puy jusqu’à Aumont-Aubrac.
Le premier jour est assez éprouvant mais le paysage est superbe.On avance lentement et chaque instant est bon pour regarder le balancement de ses hanches pleines et de son cul. La sueur coule entre ses seins, son visage est un peu rouge sous l’effort mais elle ne bronche pas et continue bravement. On s’arrête dans un gîte d’étape.Elle prend une douche et en sort toute fraîche. On part ensuite manger. A table je la félicite sincèrement, ses yeux sont brillants et elle dépose un baiser très doux près des lèvres. Je commence à m’échauffer et je lui fais :
-Tu as été magnifique, je suis fier de toi.
Le soir elle s’effondre sur le lit et s’endort comme une masse. Chaque jour je l’encourage car les étapes sont parfois longues. Le septième jour lorsqu’elle s’allonge sur le lit après une dure journée, je lui propose de masser tous ses muscles endoloris en particulier ses jambes. Elle accepte avec reconnaissance. Elle se déshabille et reste en petite tenue.Je découvre alors des dessous en coton blanc très simples qui cachent à peine ses seins et son Mont de Venus qui transparaît à travers le tissu. Elle a un cul bien dessiné malgré son ampleur et des rondeurs bien proportionnées. Une bouffée de chaleur monte en moi. J’ai la trique.L’envie me prends de la sauter sur le champ, tellement elle est désirable mais je sens qu’il faut y aller doucement, rien ne presse. Je commence à masser ses pieds endoloris et elle soupire de plaisir. « Ah c’est super, continue ». Je procède lentement, en faisant des mouvements très doux. Je prends tout mon temps. Je remonte le long de ses mollets, qui ont durci sous l’effet de la marche. Je passe sur le creux des genoux qui sont sensibles puis je vais en direction des cuisses. Là elle frémit, je sens qu’elle se détend à fond. Elle écarte légèrement les cuisses et j’aperçois quelques poils foncés qui dépassent du fond sa culotte. C’est vachement excitant et je sens ma queue de plus en plus à l’étroit. Je lui masse les muscles des cuisses très lentement, en insistant là ou les cuisses rejoignent les fesses. Elle commence à gémir de plus en plus, son souffle s’accélère. De mes deux pouces, j’appuie sur la naissance des fesses et fais des cercles réguliers qu’elle semble apprécier à en juger par les mouvements de son bassin. Elle soupire voluptueusement, c’est un moment intense. De l’humidité commence à se former sur l’empiècement de son slip. Elle mouille cette petite coquine. J’effleure délicatement le tissus qui épouse sa vulve, elle soulève alors les fesses m’invitant à appuyer davantage mon geste. Exprès, je la fruste en renonçant à lui donner satisfaction et monte en direction de ses reins que je pétris vigoureusement. Elle gémit de nouveau et ouvre en grand ses jambes pour que je lui caresse la moule. Cette fois je ne peux plus résister et m’abandonne au plaisir de la stimuler. Je pince ensuite légèrement ses grandes lèvres et les frotte l’une contre l’autre ce qui lui fait cambrer les reins comme une chatte en chaleur qui s’ouvre. Elle râle de plaisir de plus en plus et inonde sa petite culotte. L’odeur de son sexe commence à m’assaillir les narines, à m’enivrer. Je touche à peine sa fente visqueuse et me passe un doigt sous les narines pour sentir encore plus ce parfum que j’adore. J’abandonne son sexe pour la retourner sur le dos afin de poursuivre mon massage prétexte à une exploration en profondeur de ses trésors. Elle retient à peine un cri de déception. « Le meilleur sera pour plus tard» je lui fais en la regardant avec émotion. Délicatement je lui masse le cou et les épaules.Elle se laisse de nouveau aller. Puis je m’attaque à sa poitrine. Elle se soulève pour ôter son soutien-gorge qui découvre des seins magnifiques et fermes qui remplissent agréablement mes mains. Ils sont chauds et doux. Je les pétris longuement en m’arrêtant sur les mamelons dont la pointe s’érige sous l’excitation. Mes paumes se promènent sur eux, déclenchant une vague de plaisir intense chez Christine. Son regard se voile, je la vois partir dans la jouissance. Brusquement elle se cabre, s’immobilise puis lâche une interminable plainte qui la laisse pantelante.Je la regarde tendrement, l’embrasse doucement sur les lèvres. « Merci mon cœur dit-elle, si j’avais su je me serais lancée dans la marche plus tôt » et elle éclate de rire. On se précipite au bistrot pour aller manger car les émotions ça creuse. Finalement on part se coucher, sagement, l’un à côté de l’autre. Les jours se suivent mais ne se ressemblent pas.Chaque soir elle a droit à un massage relaxant mais en tout bien tout honneur car ne il faut pas abuser des bonnes choses. Quand je m’endors à ses côtés, j’écoute un long moment son souffle régulier qui s’apaise lorsque son sommeil devient profond. Le dernier jour, je sens comme une excitation dans l’air. Je suis plein d’énergie. Le but de la dernière étape c’est Conques et quand on arrive au coucher du soleil, on découvre émerveillés l’abbatiale de Foy. C’est un bijou de l’architecture romane à nul autre pareil. Il y a des trésors insoupçonnés.Pour marquer cette journée mémorable, on choisit un bel hôtel et chacun prend un long bain avec des sels relaxant.
On va dans un resto très classe pour fêter notre exploit. Je regarde Christine dans les yeux, elle est magnifique.
Je lui dis plein d’admiration :
-Tu te rends compte que tu as fait plus de 200 km à pied et que tu y croyais à peine !
-Oui c’est vrai et chaque jour je me suis sentie mieux, plus légère. Aujourd’hui ça a été le summum.
-Alors à ta santé lui dis-je en levant mon verre et à nous deux.
Je la regarde intensément. Elle a mis une tenue légère qui met en valeur son teint mat accentué par la marche au soleil. J’aperçois ses seins qui pointent sous le tissu délicat de sa robe et forment une vallée prometteuse quand elle se penche en avant. J’en ai l’eau à la bouche. Elle me fixe d’un air moqueur :
-Alors, je vois qu’on a encore de l’appétit malgré le délicieux repas. Dans ce cas on va passer au dessert, qu’en penses-tu ? Et on commande un assortiment de sorbets aux fruits exotiques agrémenté d’une petite liqueur.
On rentre à l’hôtel le cœur, léger l’esprit un peu brumeux.
Christine se retire à la salle de bain en disant qu’elle est très fatiguée et qu’elle souhaite se coucher sans autre, à ma grande déception. J’avais quelque espoir. Je me glisse donc sous les draps et m’assoupis bientôt.
Tout à coup, dans mon demi-sommeil, je vois une masse sombre s’approcher doucement et me chuchoter à l’oreille : « Tu ne pensais tout de même pas que la fête était terminée ? »
J’ouvre alors davantage les yeux et aperçois sa silhouette à la lueur des bougies disposées tout autour du lit.Je découvre son corps mince et musclé recouvert de superbes dessous en satin gris qui soulignent sa beauté.J’en ai le souffle coupé.Elle me dit dans le creux de l’oreille : « J’ai perdu une dizaine de kilos et je me sens très en beauté grâce à toi.Tu as été merveilleux de patience. A moi de te récompenser comme il se doit. Laisse-toi faire ». L’instant est unique, je vais pouvoir partager quelque chose de précieux avec elle. J’en ai la gorge sèche. Elle commence par m’embrasser avec une douceur infinie qui me fait chavirer. Sa bouche sent la vanille et me donne un avant-goût de ce que sera son nid d’amour, chaud et humide. Je sens mon sexe durcir. Elle caresse ensuite mes épaules, mon torse puis le dos pour finir par un massage du dos. Je suis aux anges et ferme les yeux. Je me retourne sur le dos pour la regarder. Elle passe deux doigts dans mon boxer et le fait glisser très lentement sur mes hanches créant une onde de plaisir dans les reins et les fesses qui accentue mon érection. Cette lenteur est à la fois exaspérante, insoutenable et en même temps d’une rare volupté. Elle me regarde légèrement moqueuse, tout en souriant. Son charme me fait craquer. J’attire sa tête sur ma queue qu’elle aspire dans sa bouche. Aussitôt, elle m’enveloppe de sa langue chaude et ferme. Tout mon bassin est en fusion. Je prends ses seins magnifiques dans mes mains, les caresses avec un plaisir infini tant j’ai attendu ce moment. Je les suce inlassablement lui arrachant des cris de bonheur. Puis, au bord de l’orgasme, je me retire de sa bouche et plonge entre ses cuisses pour la lécher longuement, sentir son odeur de femelle qui s’ouvre mordiller ses petites lèvres gonflées d’excitation. A chaque instant elle mouille davantage. Je mets un doigt dans son petit con serré et m’imprègne de son humidité. Je n’en peux plus. Mon jus va jaillir. Tout à coup elle place ses cuisses sur mes épaules, me plante la queue dans sa moule en feu en me regardant amoureusement et lâche : « Abandonne-toi, mon chéri, j’attends ce moment depuis que je t’ai croisé. Chaque soir, je me suis touchée la moule et fais plaisir en pensant à toi. Alors vas-y maintenant, c’est trop bon, je ne peux plus attendre, jouis en moi». Brusquement une immense vague de plaisir monte de mes entrailles, le long du dos jusqu’en haut et explose dans ma tête. Je vois un immense lotus sortir de mon crâne tandis que son vagin se contracte en même temps autour de ma queue et que Christine crie de plaisir. On perd conscience pour émerger enfin un long moment plus tard, dans une félicité qui semble infinie. Le sommeil finit par s’emparer de nous et la nuit fait son apparition avec les bougies qui s’éteignent.
Je suis prêt pour faire tout le chemin de Saint-Jacques .1500km depuis le Puy !
Le 5 mai 2007 Malaufre
Il m’arrive souvent de la croiser dans les couloirs de la fac de lettres, les yeux dans le vague. Elle est brune, 25 ans environ, bien en chair avec une grosse poitrine qui attire immanquablement mon regard chaque fois que je la vois. Elle a des cheveux bruns mi-longs. Je crois qu’elle étudie les auteurs anglais. Elle se mêle peu aux autres.
Un jour, je la rencontre à la fin d’un cours, l’air un peu timide. J’en profite pour lui parler.
-Tu viens boire un pot ?
-D’accord dit-elle.
-Tu t’appelles comment ?
-Christine.
Je la détaille un peu plus et découvre un beau minois plein de taches de rousseur. Elle a des yeux gris-vert et une belle peau mate.
Nous prenons tous deux un café.Brusquement, elle me demande :
-Tu ne trouves pas que j’ai trop de rondeurs ?
-Bah, un peu.
-Ca me dérange, j’ai l’impression que les mecs me fuient à cause de mes kilos et ça me déprime.
Je comprends maintenant pourquoi elle a toujours un petit sourire triste. Je réponds:
-T’as combien en trop ? Elle hésite à répondre :
-Une bonne quinzaine.
Puis c’est le silence. Je la sens très gênée par cet aveu. Je décide d’en savoir plus :
-Et alors ?
-Ben, les gars n’aiment que les nanas canons avec un petit cul étroit et des longs cheveux. Je n’ai aucune chance.
Je perçois une pointe de colère dans sa voix. Je lui explique :
-Tu sais, tu ne peux rien y faire. Regarde simplement ce qu’il y a de mieux en toi. Tu vois par exemple, ta poitrine, tes yeux.
-Tu crois ?
La situation commence à m’intéresser. Je la regarde attentivement. Il y a dans son regard quelque chose qui m’attire, j’ai envie de lui lancer un défi. C’est vrai qu’elle a de beaux seins. Je la caresserais bien, là tout de suite. Ouah.
-Alors, je lui dis.T’attends quoi ?
-J’ai essayé plusieurs régimes sans succès et je suis vite essoufflée.
Je consulte ma montre et réalise qu’il est tard. J’ai encore bien des choses à faire. On se quitte et on se promet de reprendre la conversation. En rentrant chez moi, je repense à cette fille. Il y a une espèce de charme subtil chez elle qui me plaît beaucoup malgré ses kilos superflus. Elle a des traits fins allié à une certaine grâce. Je revois en pensée la poitrine bien pleine et ferme. Combien de fois ai-je rêvé de loger ma queue entre ses seins quand je la croisais. Je commence à voir comment je pourrais l’aborder concrètement… La semaine suivante, je lui propose d’aller au restaurant chinois pour une petite bouffe sympa qu’elle accepte volontiers. On se retrouve le soir. Elle a enfilé des jeans qui la serrent un peu trop et un t-shirt bien moulant qui me met l’eau à la bouche car on lui voit les tétons. Le léger maquillage de ses yeux la rend très attirante.
-C’est super, je ne pensais pas te revoir de sitôt après mes histoires dit-elle.
-Tu te fais des idées, je te trouve très sympa et craquante.
La soirée est très détendue. On parle de tout et de rien. Puis elle me parle de sa famille. Elle a deux frères plus âgés qui se sont souvent moqués d’elle à cause de ses rondeurs. Je sens que ça l’a beaucoup blessée et commence à lui expliquer ce qu’elle peut faire. Elle a à la fois quelque chose qui me touche et m’excite profondément. J’ai très envie d’elle, je sens ma virilité s’émouvoir mais je me retiens.Je ne veux rien précipiter.
-La première chose est de savoir pourquoi tu veux maigrir. Est-ce pour te sentir mieux ou pour les autres ? Ce que voient les autres de toi ne correspond en rien à ce que tu es vraiment. Tu dois comprendre que tu existes indépendamment de leur regard. Tu es toi, tout simplement.
Je marque un temps d’arrêt pour lui laisser le temps de digérer. Elle est très attentive.
-Tu sais, j’ai peut-être une solution pour toi. A ces mots, son regard brille :
-Ah oui et c’est quoi ?
-Il s’agirait de marcher régulièrement et de faire deux ou trois étapes du chemin de Saint-Jacques de Compostelle.
-Mais tu rêves ou quoi ? Je n’ai aucun entraînement physique, aucun souffle. Je vais être épuisée.
-Il suffit simplement chaque jour de faire quelques km, de profiter du soleil, de se remplir la vue avec les paysages qu’on traversera. En un rien de temps tu fondras comme neige au soleil, tu auras un corps ferme avec des fesses d’enfer et une poitrine à damner un saint. Là j’ai l’impression d’être allé trop loin et deviens confus mais elle a un petit sourire et dit tout à coup « Chiche ».
Comme c’est les vacances de Pâques on décide de partir et de commencer par l’étape le Puy jusqu’à Aumont-Aubrac.
Le premier jour est assez éprouvant mais le paysage est superbe.On avance lentement et chaque instant est bon pour regarder le balancement de ses hanches pleines et de son cul. La sueur coule entre ses seins, son visage est un peu rouge sous l’effort mais elle ne bronche pas et continue bravement. On s’arrête dans un gîte d’étape.Elle prend une douche et en sort toute fraîche. On part ensuite manger. A table je la félicite sincèrement, ses yeux sont brillants et elle dépose un baiser très doux près des lèvres. Je commence à m’échauffer et je lui fais :
-Tu as été magnifique, je suis fier de toi.
Le soir elle s’effondre sur le lit et s’endort comme une masse. Chaque jour je l’encourage car les étapes sont parfois longues. Le septième jour lorsqu’elle s’allonge sur le lit après une dure journée, je lui propose de masser tous ses muscles endoloris en particulier ses jambes. Elle accepte avec reconnaissance. Elle se déshabille et reste en petite tenue.Je découvre alors des dessous en coton blanc très simples qui cachent à peine ses seins et son Mont de Venus qui transparaît à travers le tissu. Elle a un cul bien dessiné malgré son ampleur et des rondeurs bien proportionnées. Une bouffée de chaleur monte en moi. J’ai la trique.L’envie me prends de la sauter sur le champ, tellement elle est désirable mais je sens qu’il faut y aller doucement, rien ne presse. Je commence à masser ses pieds endoloris et elle soupire de plaisir. « Ah c’est super, continue ». Je procède lentement, en faisant des mouvements très doux. Je prends tout mon temps. Je remonte le long de ses mollets, qui ont durci sous l’effet de la marche. Je passe sur le creux des genoux qui sont sensibles puis je vais en direction des cuisses. Là elle frémit, je sens qu’elle se détend à fond. Elle écarte légèrement les cuisses et j’aperçois quelques poils foncés qui dépassent du fond sa culotte. C’est vachement excitant et je sens ma queue de plus en plus à l’étroit. Je lui masse les muscles des cuisses très lentement, en insistant là ou les cuisses rejoignent les fesses. Elle commence à gémir de plus en plus, son souffle s’accélère. De mes deux pouces, j’appuie sur la naissance des fesses et fais des cercles réguliers qu’elle semble apprécier à en juger par les mouvements de son bassin. Elle soupire voluptueusement, c’est un moment intense. De l’humidité commence à se former sur l’empiècement de son slip. Elle mouille cette petite coquine. J’effleure délicatement le tissus qui épouse sa vulve, elle soulève alors les fesses m’invitant à appuyer davantage mon geste. Exprès, je la fruste en renonçant à lui donner satisfaction et monte en direction de ses reins que je pétris vigoureusement. Elle gémit de nouveau et ouvre en grand ses jambes pour que je lui caresse la moule. Cette fois je ne peux plus résister et m’abandonne au plaisir de la stimuler. Je pince ensuite légèrement ses grandes lèvres et les frotte l’une contre l’autre ce qui lui fait cambrer les reins comme une chatte en chaleur qui s’ouvre. Elle râle de plaisir de plus en plus et inonde sa petite culotte. L’odeur de son sexe commence à m’assaillir les narines, à m’enivrer. Je touche à peine sa fente visqueuse et me passe un doigt sous les narines pour sentir encore plus ce parfum que j’adore. J’abandonne son sexe pour la retourner sur le dos afin de poursuivre mon massage prétexte à une exploration en profondeur de ses trésors. Elle retient à peine un cri de déception. « Le meilleur sera pour plus tard» je lui fais en la regardant avec émotion. Délicatement je lui masse le cou et les épaules.Elle se laisse de nouveau aller. Puis je m’attaque à sa poitrine. Elle se soulève pour ôter son soutien-gorge qui découvre des seins magnifiques et fermes qui remplissent agréablement mes mains. Ils sont chauds et doux. Je les pétris longuement en m’arrêtant sur les mamelons dont la pointe s’érige sous l’excitation. Mes paumes se promènent sur eux, déclenchant une vague de plaisir intense chez Christine. Son regard se voile, je la vois partir dans la jouissance. Brusquement elle se cabre, s’immobilise puis lâche une interminable plainte qui la laisse pantelante.Je la regarde tendrement, l’embrasse doucement sur les lèvres. « Merci mon cœur dit-elle, si j’avais su je me serais lancée dans la marche plus tôt » et elle éclate de rire. On se précipite au bistrot pour aller manger car les émotions ça creuse. Finalement on part se coucher, sagement, l’un à côté de l’autre. Les jours se suivent mais ne se ressemblent pas.Chaque soir elle a droit à un massage relaxant mais en tout bien tout honneur car ne il faut pas abuser des bonnes choses. Quand je m’endors à ses côtés, j’écoute un long moment son souffle régulier qui s’apaise lorsque son sommeil devient profond. Le dernier jour, je sens comme une excitation dans l’air. Je suis plein d’énergie. Le but de la dernière étape c’est Conques et quand on arrive au coucher du soleil, on découvre émerveillés l’abbatiale de Foy. C’est un bijou de l’architecture romane à nul autre pareil. Il y a des trésors insoupçonnés.Pour marquer cette journée mémorable, on choisit un bel hôtel et chacun prend un long bain avec des sels relaxant.
On va dans un resto très classe pour fêter notre exploit. Je regarde Christine dans les yeux, elle est magnifique.
Je lui dis plein d’admiration :
-Tu te rends compte que tu as fait plus de 200 km à pied et que tu y croyais à peine !
-Oui c’est vrai et chaque jour je me suis sentie mieux, plus légère. Aujourd’hui ça a été le summum.
-Alors à ta santé lui dis-je en levant mon verre et à nous deux.
Je la regarde intensément. Elle a mis une tenue légère qui met en valeur son teint mat accentué par la marche au soleil. J’aperçois ses seins qui pointent sous le tissu délicat de sa robe et forment une vallée prometteuse quand elle se penche en avant. J’en ai l’eau à la bouche. Elle me fixe d’un air moqueur :
-Alors, je vois qu’on a encore de l’appétit malgré le délicieux repas. Dans ce cas on va passer au dessert, qu’en penses-tu ? Et on commande un assortiment de sorbets aux fruits exotiques agrémenté d’une petite liqueur.
On rentre à l’hôtel le cœur, léger l’esprit un peu brumeux.
Christine se retire à la salle de bain en disant qu’elle est très fatiguée et qu’elle souhaite se coucher sans autre, à ma grande déception. J’avais quelque espoir. Je me glisse donc sous les draps et m’assoupis bientôt.
Tout à coup, dans mon demi-sommeil, je vois une masse sombre s’approcher doucement et me chuchoter à l’oreille : « Tu ne pensais tout de même pas que la fête était terminée ? »
J’ouvre alors davantage les yeux et aperçois sa silhouette à la lueur des bougies disposées tout autour du lit.Je découvre son corps mince et musclé recouvert de superbes dessous en satin gris qui soulignent sa beauté.J’en ai le souffle coupé.Elle me dit dans le creux de l’oreille : « J’ai perdu une dizaine de kilos et je me sens très en beauté grâce à toi.Tu as été merveilleux de patience. A moi de te récompenser comme il se doit. Laisse-toi faire ». L’instant est unique, je vais pouvoir partager quelque chose de précieux avec elle. J’en ai la gorge sèche. Elle commence par m’embrasser avec une douceur infinie qui me fait chavirer. Sa bouche sent la vanille et me donne un avant-goût de ce que sera son nid d’amour, chaud et humide. Je sens mon sexe durcir. Elle caresse ensuite mes épaules, mon torse puis le dos pour finir par un massage du dos. Je suis aux anges et ferme les yeux. Je me retourne sur le dos pour la regarder. Elle passe deux doigts dans mon boxer et le fait glisser très lentement sur mes hanches créant une onde de plaisir dans les reins et les fesses qui accentue mon érection. Cette lenteur est à la fois exaspérante, insoutenable et en même temps d’une rare volupté. Elle me regarde légèrement moqueuse, tout en souriant. Son charme me fait craquer. J’attire sa tête sur ma queue qu’elle aspire dans sa bouche. Aussitôt, elle m’enveloppe de sa langue chaude et ferme. Tout mon bassin est en fusion. Je prends ses seins magnifiques dans mes mains, les caresses avec un plaisir infini tant j’ai attendu ce moment. Je les suce inlassablement lui arrachant des cris de bonheur. Puis, au bord de l’orgasme, je me retire de sa bouche et plonge entre ses cuisses pour la lécher longuement, sentir son odeur de femelle qui s’ouvre mordiller ses petites lèvres gonflées d’excitation. A chaque instant elle mouille davantage. Je mets un doigt dans son petit con serré et m’imprègne de son humidité. Je n’en peux plus. Mon jus va jaillir. Tout à coup elle place ses cuisses sur mes épaules, me plante la queue dans sa moule en feu en me regardant amoureusement et lâche : « Abandonne-toi, mon chéri, j’attends ce moment depuis que je t’ai croisé. Chaque soir, je me suis touchée la moule et fais plaisir en pensant à toi. Alors vas-y maintenant, c’est trop bon, je ne peux plus attendre, jouis en moi». Brusquement une immense vague de plaisir monte de mes entrailles, le long du dos jusqu’en haut et explose dans ma tête. Je vois un immense lotus sortir de mon crâne tandis que son vagin se contracte en même temps autour de ma queue et que Christine crie de plaisir. On perd conscience pour émerger enfin un long moment plus tard, dans une félicité qui semble infinie. Le sommeil finit par s’emparer de nous et la nuit fait son apparition avec les bougies qui s’éteignent.
Je suis prêt pour faire tout le chemin de Saint-Jacques .1500km depuis le Puy !
Le 5 mai 2007 Malaufre
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