Une chaude soirée

Récit érotique écrit par nvyh l. tate [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Une chaude soirée
Lionel, une trentaine d’années, 1m86, métis, un visage assez fin, des yeux noisettes intenses appelant au charme et à la gourmandise, une coupe de cheveux soignée; un dégradé mi-hawk avec de beaux cheveux bouclés châtin foncé, mi-long tombant sur ses oreilles, de nombreux percings oreilles, arcade, langue, lèvre inférieure et tatoué sur tous les membre de son corps, un manchon polynésien sur le bras droit allant jusqu'à son omoplate, un physique athlétique un ventre plat, un V bien déssiné, des bras assez fin aux muscles qui laissaient transparaître une qualité et une rigueur à l’entraînement faisant supposer une certaine force de caractère et une bonne maîtrise de son corps.
Un style vestimentaire plutôt Casual.
Jean ou short jean basket et un t-shirt qui m’était en valeur son buste.
Son ex était de retour dans leur région natale après des années d’absences.
Elle s’appelais Stelly, « enfant des 90’s » sa délicate manière de garder une zone de fout sur son âge, elle était passionné de culture asiatique. De taille moyenne, un visage mignon à croquer, qui plaisait à beaucoup, un sourire qui pouvais vous faire allez au bout du monde, des cheveux crépus souvent bien coiffé de tresses, une silhouette en poire avec des seins et des fesses à s’oublier dans une rêverie la concernant. Elle portais souvent des shorts ou des jeans m’étant en valeur sa croupe, qu’elle accompagnais d’une paire de basket, d’un top bustier ou de body galber au niveau de sa poitrine.
Son effluve était souvent associé à des parfums fruités ou floraux avec de légère touche sucré.
Elle était venu pour quelque temps, et une curiosité brûlante le rongeait quant à ce qui l'avait mener à rester aussi longtemps.
Il avait appris qu'elle rêvait d’ailleurs que l’ambiance parisienne n’est plus ce qu’elle souhaitait, que sa vie rester là-bas lui manquait, certes, mais qu'elle cherchait désespérément à s'ancrer de nouveau sur ces terres, au soleil, là où ses compétences était porteuses d’innovations.
Elle l'a invité plusieurs fois à sortir cinéma, restaurant, comme pour renouer le contacte et se sentir moins seule.
Très vite, ils ont retrouvé cette alchimie indéniable qui les avait rapproché dans le passé, leurs rires s'entrelaçant ils se chamaillaient et se taquinaient.
Le temps avait passé, c'était certain, mais il n'avait altéré en rien cette connexion si particulière entre eux.
Ce soir-là, en la voyant franchir le seuil de son appartement, bien range, décorer dans un style épuré, des murs au couleur sobres que faisais ressortir les lumières feutré du couloir d’où se dégageais un mélange entre son parfum aux notes sucré et la senteur boisé de la maison il savait, au plus profond de lui, qu'elle était là pour succomber au plaisir.
La soirée a glissé, fluide, leurs discussion tournant autour de leur différentes passions et de leur souvenir du passé.
Leurs voix s'enroulant dans des confidences intimes faisant dériver la conversation vers les souvenirs de leur ébats et de l’alchimie qu’il y avait entre eux, comment leur corps savaient se mouvoir presque instinctivement pour leur plaisir respectif. Sentant le désir monter en eux il décida de lui montrer ses tatouages, bonne excuse, pour qu’elle voit l’évolution de son corps et le touche.
Elle joua donc le jeu et commença à lui toucher le torse l’effleurer le caresser et ses mains douces délicates et bien manucurées s’arrêtant sur chaque tatouage, une fois l’explication de pourquoi son existence donné, elle continuais à le caresser jusqu’a ce que sa mains du effleurer le pubis de son complice du soir qui suscita chez lui un sursaut dans sa poitrine, un début de raideur dans son entre jambes.
Puis, avec cette impudeur délicieuse qui lui était si propre, elle a brisé le silence et la tension sexuel dégager de ses caresses d'une question directe, presque un défi :
"Alors, on baise toujours ?" Sa franchise, sa façon d'aller droit au but, ont toujours été le fil rouge de son identité.
Il l'a menée dans l'obscurité complice de sa chambre, les lumières éteintes, seul subsistait la lumière du salon, traversant l’encadrement de la porte et leur permettant d’y voir et de créer une jeu d’ombre et de lumière dans la pièce, où l’atmosphère était déjà chargée.
Elle s'est déshabillée avec une lenteur exquise jouant avec la lumière exposant ses seins d’une forte taille bien galbé dans son soutient gorge qu’elle retira ensuite, se tournant en 3/4 pour lui montrer ses fesses moelleuse et charnu comme des brioches, enlevant le string qu’elle portait, tout en se penchant en avant pour exposer ces parties intimes qui depuis les caresses précédente exposait ses envie de relation; elle se baissa pour finir d’enlever son sous vêtement puis remonta d’un coup pour le privé, pour le moment, de cette vue si excitante en se mettant un tape sur les fesses, chacun de ses gestes étaient un prélude au moment de passion intense qui se préparait.
Il l'avait admiré pendant son show privé, ne la quittant pas des yeux, se mordant les lèvres, avec une folle envi qu'elle le touche, à telle point qu'il ne pouvait s'empécher de passer ses mains sur ses cuisses et de passé près de son entrejambes, une sourire qu'il ne pouvait plus enlevé et une chaleur montant en lui visible à travers la fréquence à laquelle il déglutie et de sa respiration se saccadant de plus en plus .
Lui aussi, exposa son corps ses bras aux muscles bien dessiner, ses mains épaisses retirant son t-shirt, sa taille marquer par un V solide ses cuisses dégageant puissance et souplesse ,son membre déjà long au repos, qui avec l'excitation commençait à se tendre et ses fesses rondes et ferme, ses mouvements d'ondulation qui exposait la souplesse de ses hanches. Il lui lançant des regard lors de sens, un grand sourire et lui lâchas avec une pointe de provocation: « Alors tu aime ce que tu vois?».
Elle prit de longue seconde de réflexion se demandant sûrement comme elle allait dealer avec une tel monture.
Néanmoins, dans cet élan de défi, elle monta sur le lit, ses fesses en évidence elle fit un mouvement de twerk, puis le regarda par dessus son épaule, toujours son intimité exposé bougeant le bas de son corps comme pour l’appeler à passer à l’action, tout en lui renvoyant sa question.
Elle regarda son anatomie grossir se gorger et atteindre une taille et épaisseur qui déclenchait en elle un frisson entre la peur et l'excitation.
Néanmoins, elle avait sa réponse, elle l’invita à se rapprocher par un « Viens » entre le murmure et le chuchotement due au tambour battant dans sa poitrine manifestant son envie de sexe.
Elle pris en main son membre généreux le lubrifia et fit des va et viens avec ses doigts qui s’enroulaient autour de celui-ci lui malaxant les bijoux de famille, un doigt parcourant son canal déférent le fit frissonné et le fixant dans les yeux sa bouche à deux pas de la fellation elle continue ces mouvements de mains tantôt énergique tantôt doux et sensuel. Leur excitation monta encore d’un cran son membre bandait au vent tel un mât.
Il n’en pouvait plus de se traitement spéciale et lui dit alors: «Allonge toi sur dos» elle s’exécutât, son corps épousant le drap soyeux, puis ouvrit les jambes de façon à ce que même dans cette pénombre il puissent voir en détail son anatomie, elle était épaisse des grosses lèvres qui refermait le tout et des poiles fin sur le pubis uniquement en forme de triangle dont la pointe indiquait la direction d’un voyage au cœur des sens, un appétissant bout de premier choix.
Il se plaça entre ses jambes se pencha sur elle, leur sexe se touchèrent ils décidèrent de se frotter, percevant le désir monter en vagues chaudes et incontrôlables, il l’embrassa fougueusement lui mordillant les lèvres lui suçant la langue, revenant à ses lèvres puis glissant le long de sa mâchoire, descendant vers son cou y déposant des baisers tendre et des suçons fugaces, son souffle passant de gauche à droite pour réitérer l’opération de l’autre coté et revenir une nouvelle fois sur ces lèvres au gout de luxure.
Cette sensation entre la douceur de son souffle les battements de son cœur et ses baisers laissa sur la peau de son amante une emprunte de douceur, faisant frissonner chaque parcelle de leurs être.
Haletant, il se redressa et elle lui intima de jouer avec sa vulve. Dans un moment de flottement, sa main brûlante, parcouru l'onde de son corps, entra en contacte avec son entrejambe, il sentait la réponse vibrante de son corps sous ses doigts, que tout son fruit était déjà très juteux que la mouille lui recouvrait jusqu’au grandes lèvres.
Ainsi il entama les caresses lui ouvrant les grandes lèvres, frottant les petites, s’attardant délicatement et minutieusement sur son clitoris l’embrassant en même temps, elle laissa échapper un « oui continue », ne se faisant pas prier, il continua glissant ces doigts à la base de son vagin y faisant entrer un puis deux doigts les enfonçant et les ressortant, les enfonçant de nouveau jusqu’à la base, recourba légèrement ceux-ci à l’intérieur les faisant claquer puis onduler sur le haut de sa parois vaginale créant une émulation de plaisir dans son bas ventre jusqu’à lui arracher « c’est ça, là , là , oui , continue! » gémi puis murmurer pour reprendre son silence de concentration.
En parallèle, il lui suça et mordilla ses tétons, embrassa et suça ses mamelons, elle frissonnais de plaisir; celui-ci lui parcourait de sa pointe d’orteil jusqu’à bout de ses cheveux lui créant spasmes et frissons, ses bras et ses jambes cherchait à l'enlacer la source de son plaisir, ses mains agrippant sa nuque, ses cuisses s’agitant nerveusement.
Elle était prête, mais il eu une envie irrépressible de prolonger les caresses, de savourer chaque instant, ce feu qui les consumaient.
Alors, il s’abandonna à l'exploration sensuelle et passionnée de son intimité il lui suça le clitoris de diverse manières et avec des intensité différentes rapidement ou lentement faisant passé sa langue de gauche à droite de bas en haut en dessinant des cercles dessus suçant plus fort y mettant de nouveau les doigts, une dégustation qui aurait fait chavirer même la plus innocente des âmes. Au vu de son visage, elle était au comble du plaisir, mais ses yeux profonds réclamaient davantage.
Son regard, intense, l'a transpercé. "C'est tout ce que tu voulais faire de moi ?" a-t-elle murmuré, l’incitant subtilement à plus.
À ces mots, il se dirigea vers sa commode, ses gestes imprégnés de l'urgence de l'instant. Il a pris un préservatif, l’enfila, ressentant déjà les battements de son coeur à travers les tressaillements de son penis.
Elle était impatiente et lui envoya: « Dépêche toi j’en meure d’envie ».
Puis, il revint sur elle, la première poussée fut un soupir de délivrance. Son vagin se resserra autour de lui, l'enveloppant, l'aspirant. Il atteignit le fond et buta sur l’entré de son utérus, sa chaleur accueillant, la verge gorgée du désir qu'elle avait éveillé en lui.
Leur regard éteint intense les sexes connecté palpitait de plaisir.
ll s’embrassèrent de nouveau comme pour seller la suite des événements.
Il s'est abandonné au rythme, un mouvement de va-et-vient constant et puissant il cherchait à la lui enfoncer le plus profondément qu’il puisse.
Ses respirations firent plus intense elle lui serrait ses hanches qu’il restent bien au fond il y était des pet coups bougeant que le bassin à des moment de relâchement de tension il ressortait jusqu’à la base de son gland pour l’enfoncer avec des coups secs et brutaux. Chacun de ses coups entrainait une réactions de plaisir intense un gémissement un râle une reprise de souffle trés prononcé s’accompagnant de mouvements de bassin et d’un resserrement de jambe.
Ses jambes furent écarter remonter et tenu solidement par ses bras pour un meilleur angle et quelle en profite mieux, toute sa zone de plaisir recevait une sollicitation il en profita pour lui tenir et lui malaxer les fesses.
Le parfum enivrant de leurs corps entremêlés avait laissé place à l'effluve âpre et sucrée du désir brut. Leurs corps, perlé de la sueur de leurs ébats, brillait d'un éclat précieux, comme un bijou orné de mille pierres sous la lumière incertaine de la nuit.
Dans cette étreinte enfiévrée, leurs respirations haletantes, leurs râles profonds étaient les seuls sons qui résonnait dans cette chambre devenu lieu de plaisir, et de temps à autre, un "Oh oui, c'est bon" s'échappait.
Galvanisé par son corps vibrant sous ses poussées, il alternait force et douceur, il changeait les angles, la vitesse et la profondeur de sa pénétration, tantôt au bord de l’entrée du vagin tantôt au fond, il massait son clitoris avec le contacte de son pubis sur sa chatte, ses mains agrippa ses fesses serrait de plus en plus, il se redressait et pinçait ses tétons un premier plus fort que les autre et progressivement, il continuais de l’embrasser une énergie torride et un shoot de luxure circulais entre leurs deux points de contacte, il relevais son bassin de plus en plus l’angle était parfais pour elle, et elle vibrait tenais les draps tenait la tête de son amant entre ses mains et lui colla furieusement sa bouche pour l’embrasser lui qui n’avait pas plus que ça exprimer son extase concentrer sur se retenir car cette chatte était son coins de paradis.
Le claquement de ses couilles sur ses fesses tapant son anus résonnant dans leur oreilles la bande son érotique qui rehaussait la chaleur ambiante. Dans cette même position des caresses clitoridienne revenait des qu’il pouvait et remontant vers ses seins pour les honorer de baiser intense.
Une symphonie menée avec brio.
Ce chant de gémissements, cette percussion ardente au rythme qui accélérait au fur et a mesure que leurs corps se réchauffait fit monter le plaisir jusqu'à son paroxysme. Dans un fracas, au bout de 30 minutes, sur un dernier râle et des petits gémissements répétées, ses jambes s’enroulèrent autour de sa taille le tirant plus près encore, scellant leur extase.
Ce fut le premier ébat d'une longue, très longue série, car cette nuit-là, ils iraient jusqu'au bout de leurs désirs.
Et, ils avaient tous les deux, incroyablement, une faim insatiable.
Un style vestimentaire plutôt Casual.
Jean ou short jean basket et un t-shirt qui m’était en valeur son buste.
Son ex était de retour dans leur région natale après des années d’absences.
Elle s’appelais Stelly, « enfant des 90’s » sa délicate manière de garder une zone de fout sur son âge, elle était passionné de culture asiatique. De taille moyenne, un visage mignon à croquer, qui plaisait à beaucoup, un sourire qui pouvais vous faire allez au bout du monde, des cheveux crépus souvent bien coiffé de tresses, une silhouette en poire avec des seins et des fesses à s’oublier dans une rêverie la concernant. Elle portais souvent des shorts ou des jeans m’étant en valeur sa croupe, qu’elle accompagnais d’une paire de basket, d’un top bustier ou de body galber au niveau de sa poitrine.
Son effluve était souvent associé à des parfums fruités ou floraux avec de légère touche sucré.
Elle était venu pour quelque temps, et une curiosité brûlante le rongeait quant à ce qui l'avait mener à rester aussi longtemps.
Il avait appris qu'elle rêvait d’ailleurs que l’ambiance parisienne n’est plus ce qu’elle souhaitait, que sa vie rester là-bas lui manquait, certes, mais qu'elle cherchait désespérément à s'ancrer de nouveau sur ces terres, au soleil, là où ses compétences était porteuses d’innovations.
Elle l'a invité plusieurs fois à sortir cinéma, restaurant, comme pour renouer le contacte et se sentir moins seule.
Très vite, ils ont retrouvé cette alchimie indéniable qui les avait rapproché dans le passé, leurs rires s'entrelaçant ils se chamaillaient et se taquinaient.
Le temps avait passé, c'était certain, mais il n'avait altéré en rien cette connexion si particulière entre eux.
Ce soir-là, en la voyant franchir le seuil de son appartement, bien range, décorer dans un style épuré, des murs au couleur sobres que faisais ressortir les lumières feutré du couloir d’où se dégageais un mélange entre son parfum aux notes sucré et la senteur boisé de la maison il savait, au plus profond de lui, qu'elle était là pour succomber au plaisir.
La soirée a glissé, fluide, leurs discussion tournant autour de leur différentes passions et de leur souvenir du passé.
Leurs voix s'enroulant dans des confidences intimes faisant dériver la conversation vers les souvenirs de leur ébats et de l’alchimie qu’il y avait entre eux, comment leur corps savaient se mouvoir presque instinctivement pour leur plaisir respectif. Sentant le désir monter en eux il décida de lui montrer ses tatouages, bonne excuse, pour qu’elle voit l’évolution de son corps et le touche.
Elle joua donc le jeu et commença à lui toucher le torse l’effleurer le caresser et ses mains douces délicates et bien manucurées s’arrêtant sur chaque tatouage, une fois l’explication de pourquoi son existence donné, elle continuais à le caresser jusqu’a ce que sa mains du effleurer le pubis de son complice du soir qui suscita chez lui un sursaut dans sa poitrine, un début de raideur dans son entre jambes.
Puis, avec cette impudeur délicieuse qui lui était si propre, elle a brisé le silence et la tension sexuel dégager de ses caresses d'une question directe, presque un défi :
"Alors, on baise toujours ?" Sa franchise, sa façon d'aller droit au but, ont toujours été le fil rouge de son identité.
Il l'a menée dans l'obscurité complice de sa chambre, les lumières éteintes, seul subsistait la lumière du salon, traversant l’encadrement de la porte et leur permettant d’y voir et de créer une jeu d’ombre et de lumière dans la pièce, où l’atmosphère était déjà chargée.
Elle s'est déshabillée avec une lenteur exquise jouant avec la lumière exposant ses seins d’une forte taille bien galbé dans son soutient gorge qu’elle retira ensuite, se tournant en 3/4 pour lui montrer ses fesses moelleuse et charnu comme des brioches, enlevant le string qu’elle portait, tout en se penchant en avant pour exposer ces parties intimes qui depuis les caresses précédente exposait ses envie de relation; elle se baissa pour finir d’enlever son sous vêtement puis remonta d’un coup pour le privé, pour le moment, de cette vue si excitante en se mettant un tape sur les fesses, chacun de ses gestes étaient un prélude au moment de passion intense qui se préparait.
Il l'avait admiré pendant son show privé, ne la quittant pas des yeux, se mordant les lèvres, avec une folle envi qu'elle le touche, à telle point qu'il ne pouvait s'empécher de passer ses mains sur ses cuisses et de passé près de son entrejambes, une sourire qu'il ne pouvait plus enlevé et une chaleur montant en lui visible à travers la fréquence à laquelle il déglutie et de sa respiration se saccadant de plus en plus .
Lui aussi, exposa son corps ses bras aux muscles bien dessiner, ses mains épaisses retirant son t-shirt, sa taille marquer par un V solide ses cuisses dégageant puissance et souplesse ,son membre déjà long au repos, qui avec l'excitation commençait à se tendre et ses fesses rondes et ferme, ses mouvements d'ondulation qui exposait la souplesse de ses hanches. Il lui lançant des regard lors de sens, un grand sourire et lui lâchas avec une pointe de provocation: « Alors tu aime ce que tu vois?».
Elle prit de longue seconde de réflexion se demandant sûrement comme elle allait dealer avec une tel monture.
Néanmoins, dans cet élan de défi, elle monta sur le lit, ses fesses en évidence elle fit un mouvement de twerk, puis le regarda par dessus son épaule, toujours son intimité exposé bougeant le bas de son corps comme pour l’appeler à passer à l’action, tout en lui renvoyant sa question.
Elle regarda son anatomie grossir se gorger et atteindre une taille et épaisseur qui déclenchait en elle un frisson entre la peur et l'excitation.
Néanmoins, elle avait sa réponse, elle l’invita à se rapprocher par un « Viens » entre le murmure et le chuchotement due au tambour battant dans sa poitrine manifestant son envie de sexe.
Elle pris en main son membre généreux le lubrifia et fit des va et viens avec ses doigts qui s’enroulaient autour de celui-ci lui malaxant les bijoux de famille, un doigt parcourant son canal déférent le fit frissonné et le fixant dans les yeux sa bouche à deux pas de la fellation elle continue ces mouvements de mains tantôt énergique tantôt doux et sensuel. Leur excitation monta encore d’un cran son membre bandait au vent tel un mât.
Il n’en pouvait plus de se traitement spéciale et lui dit alors: «Allonge toi sur dos» elle s’exécutât, son corps épousant le drap soyeux, puis ouvrit les jambes de façon à ce que même dans cette pénombre il puissent voir en détail son anatomie, elle était épaisse des grosses lèvres qui refermait le tout et des poiles fin sur le pubis uniquement en forme de triangle dont la pointe indiquait la direction d’un voyage au cœur des sens, un appétissant bout de premier choix.
Il se plaça entre ses jambes se pencha sur elle, leur sexe se touchèrent ils décidèrent de se frotter, percevant le désir monter en vagues chaudes et incontrôlables, il l’embrassa fougueusement lui mordillant les lèvres lui suçant la langue, revenant à ses lèvres puis glissant le long de sa mâchoire, descendant vers son cou y déposant des baisers tendre et des suçons fugaces, son souffle passant de gauche à droite pour réitérer l’opération de l’autre coté et revenir une nouvelle fois sur ces lèvres au gout de luxure.
Cette sensation entre la douceur de son souffle les battements de son cœur et ses baisers laissa sur la peau de son amante une emprunte de douceur, faisant frissonner chaque parcelle de leurs être.
Haletant, il se redressa et elle lui intima de jouer avec sa vulve. Dans un moment de flottement, sa main brûlante, parcouru l'onde de son corps, entra en contacte avec son entrejambe, il sentait la réponse vibrante de son corps sous ses doigts, que tout son fruit était déjà très juteux que la mouille lui recouvrait jusqu’au grandes lèvres.
Ainsi il entama les caresses lui ouvrant les grandes lèvres, frottant les petites, s’attardant délicatement et minutieusement sur son clitoris l’embrassant en même temps, elle laissa échapper un « oui continue », ne se faisant pas prier, il continua glissant ces doigts à la base de son vagin y faisant entrer un puis deux doigts les enfonçant et les ressortant, les enfonçant de nouveau jusqu’à la base, recourba légèrement ceux-ci à l’intérieur les faisant claquer puis onduler sur le haut de sa parois vaginale créant une émulation de plaisir dans son bas ventre jusqu’à lui arracher « c’est ça, là , là , oui , continue! » gémi puis murmurer pour reprendre son silence de concentration.
En parallèle, il lui suça et mordilla ses tétons, embrassa et suça ses mamelons, elle frissonnais de plaisir; celui-ci lui parcourait de sa pointe d’orteil jusqu’à bout de ses cheveux lui créant spasmes et frissons, ses bras et ses jambes cherchait à l'enlacer la source de son plaisir, ses mains agrippant sa nuque, ses cuisses s’agitant nerveusement.
Elle était prête, mais il eu une envie irrépressible de prolonger les caresses, de savourer chaque instant, ce feu qui les consumaient.
Alors, il s’abandonna à l'exploration sensuelle et passionnée de son intimité il lui suça le clitoris de diverse manières et avec des intensité différentes rapidement ou lentement faisant passé sa langue de gauche à droite de bas en haut en dessinant des cercles dessus suçant plus fort y mettant de nouveau les doigts, une dégustation qui aurait fait chavirer même la plus innocente des âmes. Au vu de son visage, elle était au comble du plaisir, mais ses yeux profonds réclamaient davantage.
Son regard, intense, l'a transpercé. "C'est tout ce que tu voulais faire de moi ?" a-t-elle murmuré, l’incitant subtilement à plus.
À ces mots, il se dirigea vers sa commode, ses gestes imprégnés de l'urgence de l'instant. Il a pris un préservatif, l’enfila, ressentant déjà les battements de son coeur à travers les tressaillements de son penis.
Elle était impatiente et lui envoya: « Dépêche toi j’en meure d’envie ».
Puis, il revint sur elle, la première poussée fut un soupir de délivrance. Son vagin se resserra autour de lui, l'enveloppant, l'aspirant. Il atteignit le fond et buta sur l’entré de son utérus, sa chaleur accueillant, la verge gorgée du désir qu'elle avait éveillé en lui.
Leur regard éteint intense les sexes connecté palpitait de plaisir.
ll s’embrassèrent de nouveau comme pour seller la suite des événements.
Il s'est abandonné au rythme, un mouvement de va-et-vient constant et puissant il cherchait à la lui enfoncer le plus profondément qu’il puisse.
Ses respirations firent plus intense elle lui serrait ses hanches qu’il restent bien au fond il y était des pet coups bougeant que le bassin à des moment de relâchement de tension il ressortait jusqu’à la base de son gland pour l’enfoncer avec des coups secs et brutaux. Chacun de ses coups entrainait une réactions de plaisir intense un gémissement un râle une reprise de souffle trés prononcé s’accompagnant de mouvements de bassin et d’un resserrement de jambe.
Ses jambes furent écarter remonter et tenu solidement par ses bras pour un meilleur angle et quelle en profite mieux, toute sa zone de plaisir recevait une sollicitation il en profita pour lui tenir et lui malaxer les fesses.
Le parfum enivrant de leurs corps entremêlés avait laissé place à l'effluve âpre et sucrée du désir brut. Leurs corps, perlé de la sueur de leurs ébats, brillait d'un éclat précieux, comme un bijou orné de mille pierres sous la lumière incertaine de la nuit.
Dans cette étreinte enfiévrée, leurs respirations haletantes, leurs râles profonds étaient les seuls sons qui résonnait dans cette chambre devenu lieu de plaisir, et de temps à autre, un "Oh oui, c'est bon" s'échappait.
Galvanisé par son corps vibrant sous ses poussées, il alternait force et douceur, il changeait les angles, la vitesse et la profondeur de sa pénétration, tantôt au bord de l’entrée du vagin tantôt au fond, il massait son clitoris avec le contacte de son pubis sur sa chatte, ses mains agrippa ses fesses serrait de plus en plus, il se redressait et pinçait ses tétons un premier plus fort que les autre et progressivement, il continuais de l’embrasser une énergie torride et un shoot de luxure circulais entre leurs deux points de contacte, il relevais son bassin de plus en plus l’angle était parfais pour elle, et elle vibrait tenais les draps tenait la tête de son amant entre ses mains et lui colla furieusement sa bouche pour l’embrasser lui qui n’avait pas plus que ça exprimer son extase concentrer sur se retenir car cette chatte était son coins de paradis.
Le claquement de ses couilles sur ses fesses tapant son anus résonnant dans leur oreilles la bande son érotique qui rehaussait la chaleur ambiante. Dans cette même position des caresses clitoridienne revenait des qu’il pouvait et remontant vers ses seins pour les honorer de baiser intense.
Une symphonie menée avec brio.
Ce chant de gémissements, cette percussion ardente au rythme qui accélérait au fur et a mesure que leurs corps se réchauffait fit monter le plaisir jusqu'à son paroxysme. Dans un fracas, au bout de 30 minutes, sur un dernier râle et des petits gémissements répétées, ses jambes s’enroulèrent autour de sa taille le tirant plus près encore, scellant leur extase.
Ce fut le premier ébat d'une longue, très longue série, car cette nuit-là, ils iraient jusqu'au bout de leurs désirs.
Et, ils avaient tous les deux, incroyablement, une faim insatiable.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Histoire difficile à lire, bourrée de fautes...
Le fond semble correct bien qu'ennuyeux, surtout en raison de l'orthographe.
Tu pourrais te faire aider d'un correcteur orthographique, gratuit et simple d'utilisation.
Courage !
Le fond semble correct bien qu'ennuyeux, surtout en raison de l'orthographe.
Tu pourrais te faire aider d'un correcteur orthographique, gratuit et simple d'utilisation.
Courage !

