Une chef de cabine excitée - histoire érotique

Ce récit est réel comme tous ceux que je communique sur le site. Il se déroule à l’étranger car j’y suis pour une activité professionnelle. Comme chaque après midi je suis à partir de 15.00 sur les bords de la piscine du NOVOTEL. Je savoure le calme et la tranquillité et profite d’un cadre superbe au bord du fleuve où passent les pirogues des vendeurs de sable. Je suis sur un transat à l’ombre lorsqu’un groupe d’expatriés se regroupe et s’installe très proche de moi. Je compte 7 personnes dont 3 femmes. Il me semble qu’ils communiquent en français. Une d’entre elle est de taille moyenne, brune et de belles formes dans un maillot deux pièces très échancré. Elle s’aperçoit de l’intérêt que je porte à son corps et me lance un sourire. Je vais me baigner et fais des longueurs quand j’exprime le besoin de reprendre ma place sur le transat. Je m’installe et prends un journal que je commence à feuilleter lorsque j’entends une voix féminine me demander :« Auriez-vous du feu s’il vous plait ? »Je lève la tête et aperçois la femme au maillot échancré enveloppée dans un paréo. Une cigarette entre les doigts qui sont soigneusement vernis et taillés. Elle a des yeux verts et une peau légèrement bronzée. Un petit accent oriental. Je tends mon briquet chinois qui bien sûr ne fonctionne que lorsqu’il le décide. Raté cette fois encore il fait un caprice. Elle éclate de rire et me dit :« Puis je m’assoir je pense que nous allons y passer un moment » Sacrée entrée en matière n’est ce pas. Elle se pose sur le bord du transat où j’ai pris soin de lui faire de la place. Re tentative et ça marche. Je luis dis alors « et bien la discussion aura été courte décidément ». Elle éclate de rire et s’installe plus confortablement. Un coup d’œil vers son groupe très affairé à papoter. Nous faisons les présentations, je lui donne mon nom et découvre ainsi le sien. J’explique ma présence ici et elle me confie qu’elle travaille chez Air France comme chef de cabine. En Escale pour 48 heures et dans cet hôtel car le seul à être homologué par la compagnie. Elle m’explique aussi qu’ils ne peuvent pas quitter l’hôtel mais que parfois elle se plaît à s’échapper. Je saute sur l’occasion pour lui dire que ce soir je vais dîner dans un restaurant où beaucoup d’expatriés se rendent et qu’il est absolument sécurisé, donc si elle le désire elle pourra profiter de mon véhicule.
Nous passons la fin de l’Am à discuter et échanger, puis ils se fait tard et les moustiques commencent leur balai incessant vers 18.00 avant la tombée de la nuit. Je lui explique qu’il est temps pour moi de me préparer pour ce dîner.
« A qu’elle heure devez-vous vous rendre sur place ? je crois que l’envie de changer de menu va me faire désobéir une nouvelle fois »Nous nous donnons RDV dans une heure dans le hall du NOVOTEL, elle me tend la main pour ensuite me dire en s’approchant « il me tarde de vous retrouver ».
L’heure passée je vais dans le hall où Nyotta m’attends assise et souriante. Vêtue d’une jupe qui est juste remontée sur ces jambes, un chemisier blanc qui laisse entrevoir son soutient gorge rouge. Je suis bien plus décontracté mais élégant comme pour aller rendre visite à un VIP de l’ambassade. Elle se lève et je découvre cette belle femme ses jambes allongées et ce même sourire, elle approche de moi « j’ai failli attendre » puis pose un baiser délicat sur mes joues. « Allons-y je meurs d’envie de sortir de ce piège à rats, c’est ennuyeux, enfin pas aujourd’hui car je suis avec mon Body-Guard ».
Nous quittons notre hôtel pour nous rendre au Carnivore presque au centre-ville. J’avais réservé allez loi du bar à cause du bruit. Alain un ancien militaire devenu patron du restaurant nous fait guider par une serveuse. Nous installe avec tout le protocole obligatoire et nous invite à prendre un verre offert par la maison. « Et bien lâchons nous me dit mon invitée du moment » Elle regarde rapidement la carte et me propose un cocktail à base de gin.
« Lâchons-nous lui dis-je en souriant » Elle tend sa main pour me saisir la pointe de la mienne, STP raconte moi ton job ici, je veux découvrir.
Nous commandons en savourant notre cocktail et papotons, je sens parfois sa jambe venir intrusivement vers la mienne. Son regard et pétillant et elle fini par me fixer et me dit « je ne te plais pas ? je te provoque et tu restes rangé soigneusement dans ton coin ? »Je lui avoue alors que je suis marié ici en célibataire géographique et que je n’ai jamais eu d’aventure depuis que je suis marié. « je n’y crois pas … » dit-elle en me prenant entièrement la main et je ressent ses ongles qui glissent sur ma peau et remontent sur mon avant-bras. Je lui confirme encore et elle insiste en souriant « il faut bien une première fois ». Ses caresses deviennent plus appuyées et je me fais emprisonner entre ses jambes. « Moi aussi je suis mariée mais parfois un plan Q ça ne fait pas de mal ». Je me laisse alors aller persuadé que rien ne se passera. Le repas se termine nous quittons la table et elle passe son bras autour de ma taille pour me confirmer qu’elle souhaite aller plus loin. « Ne rentrons pas immédiatement les autres risquent d’être au salon en bas de l’hôtel je dois être discrète, le commandant de bord est un con, mal baisé je pense aussi ». Il est alors 21.30 je lui explique que nous pouvons passer par l’arrière de l’hôtel et que tout se déroulera bien. Nous reprenons la route je passe vers l’aéroport et elle me dit :« Le fait de jouer aux sales gosses et de braver les interdis m’excite vraiment, et toi ? » mêlant le geste à la parole elle place sa main sur mon ventre et entame une caresse qui descend vers mon entre jambe. « Et bien c’est merveilleux, je te fais donc de l’effet ». Elle continue jusqu’à ce que je me gare au parking, détache sa ceinture et se jette sur moi pour me fourer sa langue dans la bouche « Chut ne dis rien ouvre et savoure ». Sa langue agile trouve la mienne, elle l’aspire dans la sienne et mouille terriblement. Elle lâche prise lorsque j’ouvre ma porte. Nous marchons mains dans la main et je me mets à lui caresser les fesses « Ha quand même, il était temps je croyais que j’étais avec mon mari…. » Je la pétris deviens intrusif à mon tour ce qui n’est pas fait pour lui déplaire. Nous jouons un jeu de cache cache mêlé de caresses sexuelles très excitantes. Nous rentrons dans l’hôtel ascenseur et elle me plaque contre la paroi de la cabine. « On va dans ta chambre ». nous sommes excités comme des ados qui vont baiser pour la première fois. Hop la carte sur la porte et je la prends dans les bras, pousse la porte et le jette sur le lit. Je plonge à côté d’elle le dévête pour découvrir son cops en chaleur ses parties intimes sous ces sous-vêtements rouges. Elle me retourne sur le dos et fait de même avec moi sauf que j’ai un boxer qui est trempé. « Et bien en voilà une belle chose » elle prend mon sexe en bouche et gémis, puis approche son bassin de mon visage et je me débrouille pour me retrouver entre ses cuisses face à son écrin. Je n’enlève pas son string au contraire je tatillonne avec ma langue mes doigts pour dégager ses grandes lèvres et les aspirer. Elle me pompe littéralement, caresse mes bourses douloureuses et parfois pousse un de ses doigts vers ma rondelle.
Nous nous excitons coulons buvons nos liqueurs quand elle me relâche, se pose au bord du lit jambes relevées et écartées, « baise moi là maintenant ». Je n’hésite pas elle m’aide en guidant ma queue tendue dans son écrin trempé par l’excitation et l’envie. Je pose ses mollets sur mes épaules. Je commence à la besogner et la pilloner alors qu’elle se caresse tour à tour clitoris et tétons. Une vraie nymphomane. Des gémissements montent et me rendent encore plus dur. D’un coup elle se tend comme un ressort comprimé son bassin quitte le lit elle est en appui sur ses épaules et les miennes et elle gicle comme une fontaine. Elle retombe lourdement manquant me déséquilibrer, je la soulève à nouveau et la voir dégoulinante et presque en manque d’air déclenche mon orgasme qui remplit le préservatif. Je me retire lentement mais elle me saisit pour retirer elle-même la capote qu’elle vide dans sa bouche avec un grand soupir. Elle lèche mon gland et me demande si elle peut dormir ici dans ma chambre.
Le lendemain matin (samedi) je ne travaille pas, je reste donc dans le lit je contemple cette belle naïade en dessous rouge ou ce qu’il en reste. Lorsqu’elle se réveille nous passons un moment à nous caresser, puis nous allons sous la douche où elle me fait reprendre de la vigueur.
Nous allons passer le Week end à baiser sodomie comprise et jeux de bouche, puis le lundi matin elle se prépare pour le retour en France avec le reste de son équipage. Nous n’avons jamais échangé nos adresses de courriel. Une aventure explosive et raffinée.