Une cochonne québécoise à Paris - histoire érotique

Quelle ne fut pas ma surprise de revoir mon bel amant cogner à ma porte le lendemain. Je m’étais donné du plaisir toute la nuit en pensant à ses mains, à sa bouche, mais surtout à son énorme queue qui savait me faire jouir comme une folle. Je l’ai fait entrer et je lui ai offert un verre. Cette fois, il n’avait pas l’air mal à l’aise, mais il y avait une lueur sauvage dans ses yeux et j’ai deviné qu’il me ferait payer mon petit jeu de la veille. Tant pis, j’étais prête à devenir son objet sexuel s’il me le demandait, pourvu qu’il me donne sa queue encore et encore.
Je venais de sortir d’un long bain parfumé et j’étais nue sous mon peignoir de satin. Mes mamelons déjà durcis pointaient fièrement et Patrice l’a remarqué. Posant son verre, il s’est approché de moi et a posé sa main mon sein. Il glissait mon mamelon entre ses doigts. Je l’embrassais à pleine bouche, je jouais avec sa langue et j’ondulais les hanches. Je me collais et je me frottais sur lui. Il avait dégagé son bel engin et je le pompais allègrement avec ma main. Il m’avait pratiquement arraché mon peignoir et m’a soulevé de terre pour m’empaler sur son bâton. Il m’a plaqué contre le mur et m’a écarté les jambes en l’air. J’étais complètement offerte et il me clouait contre le mur en me baisant la chatte presque rageusement. Nos orgasmes fulgurants nous emportèrent et je sentais son liquide chaud couler entre mes cuisses. Belle entrée en la matière, mais j’en voulais plus. Je lui murmurai à l’oreille que je voulais être son esclave. Il me traita de salope et j’ai senti un grand frisson me traverser, j’adore quand mes amants m’insultent.
-Va sur le lit salope.
Je lui obéis. Il a pris deux morceaux de tissus et m’a place sur le ventre, un oreiller sous mon ventre pour faire ressortir mon cul bien haut. Il m’a attaché chaque bras aux deux montants au pied du lit, de sorte que j’avais la tête dans le vide. Il m’a ensuite bandé les yeux. Je l’ai entendu prendre quelque chose qui m’a semblé être du métal. Brutalement, il m’a tiré la tête vers le haut
-Suce ma bite.
Je me suis dépêchée de le satisfaire, avalant cette grosse bite qui m’était offerte comme une offrande et qui goûtait le sperme et mon jus. J’aime les queues et celle-là était un vrai plaisir à sucer. Il me baisait la bouche avec sa queue et j’étais au bord de l’étouffement tellement elle était grosse, mais je continuais à sucer comme une bonne soumise. Il se pencha en avant.
-Ouvre les cuisses.
Il se mit à jouer avec mon clito, il me mit deux doigts dans la chatte. Je jutais abondamment, mais sa grosse bite dans ma bouche m’empêchait de crier ma joie. Il sorti ses yeux et me les mis dans le cul. Surprise, je me raidis et je refermai les cuisses.
-Écarte les cuises j’ai dit petite chienne.
Pour le provoquer, je n’ai pas bougé. Il me donna une grosse claque sur les fesses et m’écarta de force les jambes. Pour me punir, il prit le god qu’il était allé chercher plus tôt et me l’enfonça dans le cul. Il se pencha et me suça le clito, entra sa langue dans ma chatte en me baisant le cul avec le god. Il vint se placer sur le lit, derrière moi.
-Baise-moi!
-C’est moi qui donne les ordres salope. Bouge ton cul pour moi.
Je me mis à onduler des hanches, à soulever mon cul. J’avais toujours le god dans mon trou et je me frottais la chatte contre les draps. Il me détacha des montants et m’attacha les mains dans le dos, j’avais le visage contre le matelas, il me releva le cul et je me cambrai pour qu’il me baise bien. Il frottait son gland sur mon clito et le rentrait pour le ressortir aussitôt.
-Tu veux ma bite ma petite chienne.
-Oui!!
Il me l’enfonça jusqu’à la garde. Il me prit par les hanches et me fit avancer d’en avant en arrière sur sa bite. Il me baisait à un rythme infernal, il me punissait d’être une salope qui le détournait de sa femme, il me punissait de l’exciter, il me punissait d’avoir un cul et une chatte auquel il ne pouvait pas s’empêcher de penser. Il me détacha et me retourna sur le dos. Je laissais mes mains par-dessus ma tête. Il m’écarta les cuisses en me remontant les genoux aux épaules. Il enleva le god et me sodomisa d’un coup raide en me doigtant et en caressant mon clito. Il sorti ses doigts de ma chatte et me les fis lécher. Il remit sa queue dans ma chatte bien profondément et la ressorti pour la remettre dans mon cul et ensuite dans ma chatte. Il me faisait à lui tout seul une double pénétration en continuant de jouer avec mon clito avec son pouce. J’ai eu un orgasme assez rapidement, sa queue me défonçait littéralement les deux orifices et j’en redemandais, folle amoureuse de cette chose qui me fouillait la chatte. Il était sur le point de jouir je le savais. J’avais envie qu’il me donne son liquide dans la bouche. Je lui dis.
-Oui ma salope, fais-moi venir dans ta petite bouche de suceuse.
Il me détacha et je me mis à quatre pattes. Je lui pompais la queue frénétiquement. Je goûtais mon jus. Il a grogné et m’a déchargé au fond de la gorge. Je lui ai nettoyé la queue, m’enivrant de son goût.
Durant cette nuit, il m’a baisé dans tous les trous, dans toutes les positions comme la chienne que je suis quand j’ai une belle queue à ma disposition. J’avais du sperme partout, ma chatte était en feu, mais il n’arrêtait pas de me baiser. Il m’avait bien punie, j’étais sa salope.
Mon voyage était très satisfaisant.